Déesse d'Enfer.

[Guest Anonymous]

Il était aisé pour Aimy d'octroyer du plaisir aux hommes. Toute sa vie elle avait vu sa mère agir ainsi. Même si cette dernière prenait soin de ne pas mêler sa vie de femme de joie à la mère qu'elle était, Aimy avec les années était parvenue à comprendre. Chaque soir un homme différent franchissait leur porte de maison et à chaque soir, elle entendait des sons qui encore là au fil du temps elle était parvenue à reconnaitre et en comprendre les raisons. Loin à ce moment de l'exciter, elle réprimait le dégout que cela lui provoquait aimant sa mère, qui était une mère merveilleuse mais refusant d’apprécier ce qu’elle était.

Toute son enfance et voire même son adolescence, sa mère n'avait jamais voulu qu'un mec la touche elle, elle la prunelle de sa vie. Toujours, elle lui disait qu'elle était le plus beau cadeau que le ciel lui avait offert et qu'elle la protégerait de la vie qu'elle avait choisie elle. Plusieurs hommes et femmes, fallait bien le dire, se virent jetés dehors dès qu’ils osaient dire une quelconque obscénité.

Pourtant, vint le jour où sa mère décéda. D'une maladie honteuse comme le disait les bonnes gens. D'une maladie qu'il ne fallait surtout pas dévoiler pour ne pas mettre l'opprobre sur la famille, qui bien sur avait rejetée Natalia, le nom de sa mère, par le métier que celle-ci avait délibérément choisie le jour où elle avait découvert que le sexe, elle ne pouvait s'en passé.

Tant qu'à Aimy elle avait été parachutée dans un pensionnat de vieilles soeurs tout aussi frustrées que méchantes.... Heureusement elle n'avait que deux années à souffrir dans ce lieu horrible où elle sue aussi, étrangement que cela puisse être, qu'est-ce qu'elle ferait de son avenir… La source provenant d’un curé qui ne craignait pas d’être découvert. Elle avait comprit ce jour là, que les apparences étaient fortement trompeuses.

Le métier de sa mère.... en s'y prenant d'une manière bien particulière. Personne ne pouvait se douter dans son entourage ce qu'elle était réellement. Car le jour elle faisait un métier bien commun, secrétaire judiciaire dans un grand cabinet d'avocats et le soir, dans un appartement au coeur de la ville où se côtoyaient les gens d'affaires et de grands métiers, Aimy offraient ses services avec un immense sourire et plaisir.

1 mètre 80, svelte, cheveux noir très long et yeux légèrement bridés, héritage d'un homme parmi tant d'autres que sa mère avait eut dans sa vie, mais ayant une peau naturellement basanée, héritage cette fois de la nationalité de sa mère, une marocaine d'origine, Aimy en faisait tourner des têtes mêmes si son apparence était des plus sobres. Enfin, le jour.... Alors le soir, c’était une déesse d’enfer comme le dirait le curé qui l’avait si bien initiée.

Aimy sans provocation, dégageait cette sensualité que beaucoup de femme tentaient d'imiter mais qui par le manque de naturel, faisait faux. Elle, avec grâce, elle savait faire les gestes qui aguichaient. C'est qu'elle avait été à la bonne école. Sa mère quoique les gens pouvaient avoir dit d'elle, n'était pas une prostituée des rues. Mais une catin de luxe comme le disait, les bonnes gens.

Son regard troublait aussi. Dès qu'il se posait sur une personne avec cette profondeur, la majorité en perdait leurs moyens...

Aimy.... j'aurais besoin que tu viennes dans mon bureau s'il te plait.... lui demanda Alexandre l'un des avocats huppés de la boite. De plus en plus ce grand blond, gagnait ses procès et le succès le déroutait.

Non, il n'était pas l'un de ses clients de nuit. Ce dernier semblait ne pas etre porté sur la chose. Ce qu'il semblait car..... Il en pinçait pour la belle Aimy. Mais autant qu'il était confiant dans son travail, avait une assurance à toute épreuve, devant les femmes il l'était moins.

Oui mon beau Alex.... que puis-je pour toi ? lui demanda-t-elle avec un doux sourire. Elle le trouvait si différent des autres. Calme, confiant, beau à croquer....

Lorsqu'il la vit rentrée, Alexandre en resta sans voix. Il la trouvait tellement belle. Que, malgré le lieu, il sentit sa verge grossir entre ses cuisses. Comme il aimerait pouvoir lui faire l'amour, non pas tel un dieu, mais seulement en amant fou amoureux qu'il serait si elle pouvait seulement consentir à être avec lui.

Ce qu'elle refusait à chaque tentative. Jusqu'à aujourd'hui, du moins l'espérait il. Connaissant très bien ce qu'elle faisait le soir.... Et il désirait, vu qu'il n'avait que cette possibilité s'offrir ses faveurs. Si prenait-il de la mauvaise manière? C'est qu'il avait tout essayé. Chaque tentative avait été rejetée.

J'aimerais ce soir t'inviter au resto.... il la fit taire d'un revers de la main en lui disant de l'écouter jusqu'au bout et il ajouta, ensuite, je paierai tes services si bien sur cela te convient...

Le coeur d'Aimy s'emballa et elle rougit comme jamais elle n'avait rougit. Pour la première fois, elle se sentit honteuse. Pourtant...... Elle fit fi de ses pensées troubles et elle accepta en ayant cependant, perdu son sourire. Son regard noir était devenu encore plus sombre.

Toute la journée Aimy pensa à Alexandre et se retint à chaque fois de pleurer. Elle l'aimait bien ce dernier, si ce n'était pas davantage et le soir venue elle fut prête. Elle portait une robe blanche jusqu'aux chevilles, moulant majestueusement sa taille. Étant ouverte sur le coté droit jusqu'à la cuisse avec un décolleté semi provocateur. Surtout pour mettre en valeur sa magnifique poitrine. Escarpin à haut talons accompagnait cette robe avec des bas fins d'un blanc transparent laissant découvrir la couleur de sa peau. Et pour unique bijou, un collier blanc au boucle d'oreille assortie.

Lui, était vêtu d'un habit noir et chemise noir. Faisant ressortir sa blondeur naturelle.

Il est presqu'inutile de parler du resto tant l'atmosphère était tendue. Qu'Alexandre s'en voulu atrocement de sa suggestion même qu'il lui offrit d'Annuler... Qu'elle en retorqua...

Maintenant qu'on est là aussi bien aller jusqu'Au bout.

Certes!

Toutes les têtes se retournaient sur leur passage. De doux sourires leurs parvinrent, complices, heureux, même qu'une dame leur dit qu'ils formaient un vrai beau couple. En d'autres circonstances, Aimy en aurait largement sourit. Car souvent on lui disait ça quand elle montait avec un client. Cette fois il en était tout autrement. Pour elle c'était une première et bien différente. Elle était angoissée. Ce qui ne l'empêcha pas d'être professionnelle et dès qu'ils furent dans la chambre elle se tourna vers lui et lui dit...

Que dois-je faire pour te plaire Alexandre ? l’interrogea-t-elle en le regardant d’un regard éteint, presque froid, sa beauté l’irradiant.

Il en fut secoué. Pour lui s'était la femme qu'il désirait d'entres toutes, et là, il était à ses yeux, qu'un client. Une veine battit à sa tempe, avant de dire,

Dévêtis-toi ma douce et étends toi sur le lit. Ce soir, c'est moi qui te ferai ce plaisir. Je te ferai jouir....

À ces mots, Aimy perdit contenance.... Que ses mains tremblèrent lorsqu'elle défit la fermeture éclaire de sa robe...

Non attends, je vais le faire.... et Alexandre entreprit, en prenant la décision de l'entièrement la dévêtir en lui embrassant la nuque, caressant de l'index sa colonne vertébrale.... et d'un long baiser partir de la nuque jusqu'à ses fesses lorsque la robe s'écroula autour d'elle telle une auréole.

Tu es....magnifique Aimy.

Il défit son léger soutien gorge sans toucher les seins de la jeune femme même si ceux ci, pointaient durement. Il résista à l'envie de les goutter et de les toucher... plus tard...

Je suis certain Aimy que tu ne connais pas le vrai sens du mot plaisir.... Enfin, qu'on te l'offre à toi. Et ce soir, C'est ce que tu recevras.... Va au lui ma douce...

Toute tremblante, émue, Aimy s'exécuta.....elle alla s'étendre sur le lit attendant la suite....

C'est en la regardant ainsi sur les draps blancs qu'il se dévêtit à son tour, en prenant tout son temps... Pour qu'elle puisse, savourer qu'un homme se déshabilla pour elle.

A suivre.....

[badawan17 2]

OH ma belle, il est si excitant de te lire...Wow je manque de mot pour t exprimer dans quel état je suis grâce à ton récit

Merci pour ce petit moment de plaisir que tu viens de m'offrir :)

[Guest Anonymous]

Merci a toi... je me doutais qu'elle te plairait un peu cette histoire.... mais à ce point c'est encore mieux

(Désolées pour certaines fautes que je viens de voir, mais impossible d'éditer)

[Guest decibel]

:) Superbe plume, Tigresse ... vivement le suite ! :)

[Waka 1]

Joli texte !! Vivement la suite :)

[Guest Anonymous]

Aimy avait joué le jeu. Elle s'était vêtue en fonction de lui plaire. Meme pas de string sous sa robe. Ne surtout pas laisser paraitre un pli disgracieux, c'était une consigne des plus élémentaires quand on aguichait. Et sans parfum surtout. La plupart des hommes, aimaient bien l'odeur naturelle du corps de la femme en rut.

Dès son arrivée chez elle quand il vint la chercher, la complimentant sur sa robe, et le souper au resto, elle avait été celle qui affole. Fait soulever le désir dans les pantalons ou tremper, c'était selon le sexe qui bouillait. Elle riait, racontait des anecdotes, Pour admettre en regardant Alexandre, que jamais il ne lui serait venue qu'elle pouvait ressentir du plaisir et lui, ce beau blond, là ce soir, désirait le lui faire connaitre.

Elle était crispée et retint plus d'une fois sa respiration au contact de ses lèvres sur sa peau. Lèvres qui ce soir, la désiraient vraiment. L'envoutant peu a peu. Aimy était en ébulition.

Ses souliers elle les avait toujours aux pieds ainsi que ses bas quand elle se glissa sur les draps, se mouvant naturellement aguichante qu'Alexandre sentit davantage son sexe durcir dans son pantalon en remarquand les plaisir offert. Il se retint de caresser son membre comme souvent il le faisait au bureau dès qu'il l'apercevait dans les couloirs de la boite.

Ce soir, il voulait savourer chaque minute. Chaque seconde et ne pas s'arrêter à son désir à lui.

Il enleva donc aussi ses vêtements, sauf, son string blanc, il avait un faible pour ce sous vetement. Démontrant combien il la désirait. Pourtant, sans vouloir le dévoiler dans toute son intégralité. La faire languir, la torturer dans tous ses sens.

Aimy avait suivit son strip, qu'elle sentit entre ses cuisses ce liquide chaud qui rarement s'écoulait aussi abondamment. Elle ne chercha pas à comprendre et lorsqu'elle le vit près d'elle sur le lit, elle se mit a trembler.... Pas de peur. Comment pourrait elle avoir peur de ce dernier. Si tendre, si patient? Peur de ce qu'elle risquait...

C'est en la regardant tendrement dans les yeux qu'il débuta sa séance de torture.... Il caressa le galbe des seins, léchant autour des mamelons, sans toucher à ceux ci.... voulant totalement rendre au paroxysme de la folie du désir les sens d'Aichy. Et tant qu'elle ne lui dira pas de la prendre, il ne la pénétrera pas.

D'une main il titila un téton si dur, qu'il ressentit la sensation de la jeune femme. Qui ne dit rien... ne souffla aucun mot et qui, en vérité se retenait de crier. L'autre main du jeune homme tant qu'à elle, comme ses lèvres d'ailleurs s'aventurèrent sur son ventre.... offrant de délicats baisers chaud et léchant encore du bout de sa langue le ventre en contraction, provoqué il le savait par le plaisir qu'elle se retenait de démontrer.

Sa langue, gourmande, descendit plus bas.... et sa main entrouvrit un peu plus les cuisses qui étaient presque fermées et vint caresser ces lèvres du désirs, trempées alors que sa langue explora le contour de ce trésor si troublant savourant cette liqueur si douce.

Seul signe du plaisir qu'elle dissimulait tant bien que mal, furent ses mains qui aggripèrent les draps chaque coté d'elle. Elle se retenait c'était évident.

Toujours aussi doucement, il vint se placer entre ses cuisses, regardant émerveillé ce lieu si beau. Là, la passion le secoua, il se positionna pour lécher pleinement ce présent, touchant au trésor un peu plus par deux doigts qui vinrent le caresser...

Aimy se retenait toujours.... Ne voulant pas démontrer ce plaisir. Elle ne voulait pas. C'était impossible.

C'était sans compter la tenacité d'Alexandre.... qui en relevant la tete, venant de sentir vibrer le corps de la jeune femme, luidit avec amour

Ma puce, Tu jouiras.... tu n'y échapperas pas. Tant que tu ne criras pas TON plaisir, que TU ne me demanderas pas de te prendre, je poursuivrai ce supplice. Je le sais que tu en as envie.. Ton corps parle pour toi.

Il embrassa son pubis avant de reprendre possession de ce présent si merveilleux.

La jeune femme elle, commençait sérieusement à perdre ses moyens. Ce que lui faisait Alexandre, la lécher ainsi, avec autant de douceur, de sensibilité, lui ouvrait des portes qu'elle ne croyait pas pouvoir franchir un jour. Elle menait un dur combat. Céder au plaisir, enfouir ses mains dans les cheveux du jeune homme, lui crier qu'elle le voulait en elle... Jouir. Crier. Hurler ce plaisir qui la prenait comme jamais. Ou, se contenir. supporter l'épreuve comme bien d'autres et qui avaient été physiquement pire et ne jamais connaitre se qu'elle ne connaitra jamais.

[mysterya 8]

Bravo :)

[Guest Anonymous]

misi.... et j'ai pas fini... il me reste le dernier volet de cette première histoire d'Aimy.... :)

[brousse02 0]

bravo et vite la suite :)

[anakin_s 364]

Très beau récit Tigresse vraiment ! C'est un plaisir de te lire

[Guest Lynk]

Magnifique récit

vivement la suite et la suite et la suite.... :)

[Guest Anonymous]

mmmmmmm elle viendra... Promis :)

[Guest Anonymous]

(3ieme et dernière partie)

Alexandre ne tarissait pas de patience et de caresses les plus sensuelles qu'il pouvait lui prodiguer dans des va et vient langoureux. Qu'il en oubliait son propre plaisir.... qui était plus qu'évident. Son String allait surement éclater tant sa virilité souffrait dans cet espace restreint.

Qu'à cela ne tienne, il s'était juré de ne pas céder à ses pulsions tant que l'élue de son coeur n'aurait pas demandé se qu'elle désirait. Et ce n'était pas par orgueil. Il voulait simplement qu'elle parvienne elle-même à demander son plaisir.

Sachant par les entretiens grivois des clients d'Aimy, travaillant dans la même boite qu'eux ou bien des clients, tout ce qu'ils lui faisaient subir disant qu'une pute n'avait pas son mot à dire.

Ce qui l'avait rebuté. Outré. Les trouvant plus ignobles les uns que les autres. Il ne s'expliquait pas cette attitude moribonde envers une personne et cette sensibilité qu'il avait envers elle . Peut-être sa candeur, son charisme naturel, sa douceur et son envie d'aider son prochain et ce bien sur sa beauté toute naturelle qui l'émouvait et le troublait.

Alors, oui, il irait jusqu'au bout... il entra alors un doigt dans cette zone avec une infinie douceur... Aimy gémit... ll en ajouta un second....N'arrêtant aucunement sa langue de parcourir ce lieu et ce trésor aussi tendu que son sexe.

Cette fois, elle se cambrait, ondulait des hanches... cherchant plus encore, et pourtant, malgré les cris, les gémissements, pas un mot. Il savait, qu'il ne pouvait lui demander quoi que ce soit. Se souvenant que trop bien des commentaires salaces dont elle était l'objet. Les ordres qu'on lui donnaient de se mettre à quatre pattes, d'être attachée, fouettée, baillonnée, Recevant même des coups, comme l'un d'eux avaient si ouvertement déclaré. Il n’avait rien contre ces plaisirs, sauf quand c’était pas consentant et dit avec un tel mépris.

Patience Alexandre! Elle cédera..... Elle s'abandonnera.

Sans rien dire, il s'arrêta. Non parce qu'il n'y croyait plus. Bien au contraire. Il le sentait, qu’elle n’était pas loin de lui demander grâce.... Il s'arrêta pour exacerber davantage ses sens. Espérant qu'elle ne le supporterait pas.

Ce fut plus qu'il n'aurait imaginé.

NONNNNNNNNNN NONNNNNNNNNNN t'arrête pas! NONNNNNNNNN

Sa tete alla dans tous les sens, sa chevelure lui cachant le visage, agrippant fermement les draps... criant encore:

NONNNNNNNN NONNNNNNNNNNNNN OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII je le veux! OUIIIIIIIII OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII Possèdes moi! Prends moi! OUIIIIIIIIIIII

Elle le regardait, les yeux brillant de larmes contenues, et se souleva pour venir chercher ses lèvres, l'embrasser comme jamais elle n'avait embrassé et été embrassée... Elle savourait, dans un long gémissement.... alors que d'une main, elle défit son string pour prendre cette virilité bien dure en main et la conduisit là où elle en brulait d'envie.

Ouiii prend- moi Alexandre.... lui dit elle dans un souffle, venant lui griffer le dos tandis que ses jambes se refermèrent autour de lui quand il la pénétra avec une lenteur si douloureuse, qu'il lui fit complètement perdre la tête.

Elle hurla ce plaisir jamais ressentit malgré toute sa vie de fille de joie. On aurait pu croire que les murs en tremblaient tant cette jouissance et orgasme la prirent dans une intensité telle, qu'elle cessa d'un coup. les yeux en orbite, sa respiration presqu'inexistante... presqu'inerte. Et lui, il jouit au même instant qu'elle, tant il était près de l'explosion avant de la prendre en douceur l'ayant pénétré ainsi pour lui faire sentir ce qu'était cette sensation ultime de jouir pour le plaisir et pas n'importe lequel mais celui, que l'amour procure.

Il ne se défit pas d'elle et entreprit d'embrasser ses lèvres, ses seins, les mordre avec douceur, les léchant, que là, n'y tenant plus, elle pleura. Alexandre sans mot dire, bascula sur le coté et la prit dans ses bras et la berça comme si ce fut une enfant.

Je t'aime Aimy.

Voilà, il l'avait dit.

[@nge 161]

Wahoooooooooooo Tigresse j'adore !

merci pour ce récit émoustillant à souhait :)

[Guest Anonymous]

c'est un texte magnifique, tres sensible tres romantique et tres bien écrit

j'adore :)

[Guest Lynk]

:)

Tout simplement magnifique

j'adore :)

[nous_deux77 0]

Très belle histoire, et surtout très bien raconter

M&J

[Guest decibel]

:langue: Je fais partie de ton "fan-club", Tigresse ... vite la fin de cette narration superbement écrite et très excitante

:pote:

[Guest Anonymous]

Merci de vos commentaires et compliments J'ai aimé l'écrire...

Mais cette histoire est terminée... Juste que Aimy peut tres bien revivre dans une autre histoire

Bisous

[@nge 161]

Juste que Aimy peut tres bien revivre dans une autre histoire

Bisous

j'espère bien :welcome:

[mysterya 8]

j'espère bien

+1, c'est magique :welcome: