Masturb et Exhib à deux dans le bus

[AsMoth 257]

Masturbation dans le bus…

L’été, je deviens un vrai chasseur de minijupes, dans l’espoir toujours de voir apparaître le fruit défendu.

Ce jour là, j’avais décidé de prendre un ticket de bus rien qu’à cet effet. Un bus que j’avais l’habitude de prendre.

Il faisait beau, il faisait chaud. Le soleil tapait déjà fort à dix heures du matin. Me dirigeant vers l’arrêt de bus, je vis d’entrée de jeu une jeune femme en robe minijupe. Elle portait des talons. Tout excité, je me mis à la suivre discrètement, en caressant mon sexe par-dessus mon micro short de course à pied. Discrètement, pas tant que ça, car elle remarqua ma présence, mais ne sembla pas prendre peur pour autant. Sa robe lui arrivait au raz du bonbon, une robe moulante, et la jeune inconnue, qui devait avoir mon âge, prenait bien la direction du terminus de l’arrêt de bus. Je la suivais, reluquant ses jolies jambes, excité à l’idée qu’elle prenne le bus.

J’arrivai à point nommé, car le bus arriva en même temps que nous. Naturellement, je la laissai passer devant moi. Elle n’avait pas de carte, elle s’arrêta donc au chauffeur pour prendre un ticket. Je ne pus résister… passant à côté d’elle, je fis glisser le revers de ma main droite sur ses fesses. Elles étaient si fermes… ça me dit en bonnes conditions. J’allai m’asseoir aux sièges situés juste devant la porte arrière du bus, par là où on sort. Il n’y avait quasiment personne dans le bus, quelques petits vieux… a tous les coups, il me faudrait changer de place pour parvenir à mes fins…

La jeune et brune inconnue, au corps svelte arriva à ce moment là. Elle semblait gênée par sa robe jupette sur laquelle elle tirait dessus par le bas pour l’empêcher de remonter. Etait-ce une nouvelle qu’elle n’avait jamais portée ? La jeune brunette me reconnut de suite, décochant un léger sourire. Partant pour s’installer dans l’autre file, me voyant là, elle opta pour finalement – dieu soit loué !! – s’installer pile en face de moi, dans le sens inverse de la marche !

Nous n’étions séparés que par la descente des marches du bus… le recul idéal pour rien reluquer. Mon cœur se mit à accélérer… pourvu qu’elle me montre quelquechose ! Elle s’assit donc en face de moi timidement en baissant la tête. Ce n’est après que quelques secondes qu’elle releva les yeux en ma direction… elle portait des lunettes noires et opaques… mais nul doute que c’était moi qu’elle regardait. Elle se redressa un peu de façon à tirer encore sur sa robe qui visiblement la mettait mal, serrant les cuisses en les inclinant sur le coté. Elle regarda dans ma direction, peut être aussi pour elle sûre de ce qu’elle voyait… Mais zut ! Moi qui titillait déjà ma queue par-dessus mon microshort… pourtant, bien que positionnée ainsi, sa jupe si moulante était tendue entre ses cuisses. Elle ne pouvait pas cacher grand-chose. Tout ou tard, l’heure viendrait… ! Cela me suffisait pour le moment à m’exciter. Je sentais ma queue grossir entre mes doigts. Je la caressais doucement tout en fixant les cuisses et l’entrecuisses de la belle inconnue. Celle-ci feignait semblant de rien, jouant avec son ticket. Quand soudain, sans me regarder, elle écarta lentement les cuisses ! Bordel ! Je me demandais si elle portait une culotte… oui elle en avait une… qui semblait être noire, mais totalement transparente ! ça y est, le bus démarrait, le voyage infernal pouvait commencer !

Ses cuisses étaient tout de même bien entrouvertes. Je ne pouvais pas voir les lèvres de sa chatte, mais cette simple vue me fit bander du tonnerre. J’avais la moitié de ma grosse queue qui dépassait maintenant de mon short. Tirant sur la peau de mon sexe avec le bout des doigts, je présentais à ma belle brunette mon gland en fusion. Elle leva alors la tête. Nul doute que ses yeux se rivèrent dessus. Je me mis à me caresser comme ça un bon moment, profitant du spectacle visiblement bien offert et consentant, mon exhibitionniste prenant soin à me montrer sa fente en restant comme ça, bien immobile. Quand soudain, j’eus très peur. La brunette commença à trifouiller son sac à main situé à côté d’elle. J’eus peur qu’elle ne change de place, d’autant qu’elle avait resserré les cuisses. A ce moment précis, soit elle se sentait fondre, soit elle voulait fuir !

Elle trifouilla son sac, jusqu’au moment où elle tourna de nouveau la tête en ma direction. Elle écarta alors plus amplement les cuisses que la première fois, avant de lever son pied gauche et l’éloigner du droit ! Là, je vis sa chatte et parfaitement son pubis dont les poils raz étaient taillés en un « i » très fin. Mon cœur se mit à battre comme jamais. Le fait d’avoir écarté ses pieds faisait que ses cuisses ne se touchaient plus. Elle sautilla un instant sur elle-même. Les lèvres de sa fente devaient s’écraser contre le siège. Je n’en pus plus. Les tempes battantes, le sexe en érection totale, je sortis ma belle queue de mon short, mes boules avec, pour me prendre ENFIN à pleine main. Je n’en pouvais plus. Il le fallait. Voyant ainsi mon sexe apparaître outrageusement dressé devant moi, en sa direction, je vis la brunette serrer subitement les cuisses, avant de les rouvrir. Je savais que ce n’était pas –plus- par pudeur, mais bel et bien parce que sa minette l’excitait au plus haut point.

La brunette posa alors sa main droite dans l’intérieur de sa cuisse, et écarta tout doucement. Un rayon de soleil apparut alors, éclairant son entrecuisses. Je fondais ! Elle ne portait pas de culotte en fait ; l’aspect sombre n’était que l’ombre faite par sa jupe ! La belle inconnue me présentait son sexe à son tour. celui-ci, hors mis le pubis était dépourvu de poils, totalement lisse. Les petites lèvres plissées de sa jolie chatte dépassait des grandes. Moi, je me paluchais toute queue dressée devant elle, après avoir humidifié ma main droite de salive. Mon gland me faisait fondre. Je bandais comme un âne, bien dur. La belle inconnue me mattait derrière ses lunettes. Elle serra les cuisses par réflexes une ou deux fois, comme pour sentir sa jolie chatte fondre, puis soudain, céder elle aussi à la tentation. Approchant sa main centimètre par centimètre, le bout de ses doigts finirent par toucher sa jolie chatte. Apposant ces derniers sur la partie inférieure, elle les fit remonter tout doucement, ouvrant et faisant gonfler ses chairs tendres et brunâtres. Mon dieu quelle chatte ! Ce simple geste fit doubler la taille de ses petites lèvres, qui maintenant dépassaient outrageusement des grandes. Regardant ma main s’activer langoureusement de ma belle queue dressée, la belle inconnue s’attarda lascivement sur son clitoris, avant que je ne vois glisser de façon descendante son majeur entre ses lèvres tendres et humides. Elle se caressait bien plus discrètement que moi, m’excitant son sexe que tu bout des doigts. Moi, je bandais à exploser, mon gland plus gonflé et luisant de mouille que jamais. J’avais ma belle queue fièrement dressée à la verticale, je me paluchais à pleine main, ondulant mon corps tant le plaisir était intense.

Tout en se caressant, la brunette passa alors son pouce dans sa robe, et tirant dessus comme pour la rabaisser par pudeur, je vis son majeur disparaître dans sa fente. Les lèvres de la bouche de la belle inconnue s’ouvrirent. Ses seins se mirent à pointer furieusement. Elle n’osa trop le faire. Je compris pourquoi : le bus s’arrêtait pour marquer le nouvel arrêt. Jusqu’au bout, elle se titilla le clitoris, avant de resserrer les cuisses sans pour autant resserrer les pieds. Mon dieu ce qu’elle devait avoir la chatte en feu !

Elle se recoiffait l’air de rien durant l’arrêt. Une fois le bus reparti, elle écarta les cuisses d’un seul éclair. Idem, titillage de clito, puis doigt dans la fente humide. Cela me cachait la vue, mais le fait de savoir qu’elle imaginait avoir ma queue bien offerte dans fente me rendait dingue. Nouvel arrêt. On se souriait. L’inconnue ne rabattit qu’une seule jambe, prenant confiance en elle. La coquine ! elle continuait de se caresser le clitoris par d’infimes petits cercles dessinés par le bout de son majeur. Je voyais sa vulve luisante. Moi, je devais rester comme je pouvais immobile, mon microshort rabattu sur mon sexe qui de doute façon dépassait. J’en étais les yeux grands ouverts et sacrément incommodé. Ma ptite inconnue en souriait encore. Le bus repartit de nouveau. Le fait de la voir fixer mon sexe en érection totale me transportait dans un autre monde. Je sentais l’éjaculation arriver. Toujours sa technique du pouce tirant sur sa robe et son majeur dans la chatte. Je commençais à grimacer… elle s’en enfonça un deuxième. Quelle torture !

A bout de nerfs, je ne cherchais même plus à cacher ma queue à ce nouvel arrêt. La belle inconnue prenait plaisir à reluquer mon sexe qui s’offrait à elle. Elle, inclinait légèrement ses jambes, histoire de… malheureusement, cette fois-ci, des personnes montèrent. Un homme vint s’asseoir au siège situé devant moi à ma gauche, sûrement pour mater les cuisses de ma belle… zut ! oserait-elle continuer ?

…

:P

[Kirah 13]

cochon !

et moi qui prends les transports en commun !

en attendant, j'ai lu ton histoire à la pause du midi, maintenant je suis bien, j'ai ma petite culotte toute mouillée et je n'ai pas d'affaires de rechange !

t'abuse sérieux ! ... je ne veux pas connaître la suite ! sinon je vais me faire griller !

vilain ! :P

[puma.95 2]

J'ai trouvé ton histoire génial !!!

Moi qui suis un grand reluqueur, j'imagine ton excitation !!!

J'aimerais vivre une expérience comme la tienne !

Bravo ! :roll:

[Guest Anonymous]

diantre pervers mais combien bon a lire et a... frémir d'envie... :wink:

[intymmiti 0]

super bien écrit il ya une suite ? J' ESPERE !! :wink:

[repere 9]

Au début, moi aussi je me suis dit "le pervers" puis je me suis vite pris au jeux car apparemment la fille en face était consentante.

Et effectivement, l'exhibition, si elle est partagée avec l'inconnue est très excitante comme situation.

[Guest Anonymous]

J'ai lu ce récit avant de me connecter, et je vous assure, que j'en ai eut un agréable plaisir.

Doux plaisirs solitaires s'en est suivit

Merci a l'auteur. :)

[Guest decibel]

Au début, moi aussi je me suis dit "le pervers" puis je me suis vite pris au jeux car apparemment la fille en face était consentante.

Et effectivement, l'exhibition, si elle est partagée avec l'inconnue est très excitante comme situation.

D'accord avec Repere ... la situation "entre adultes consentants" est très excitante et tu as très bien raconté tes ressentis et vos petites coquineries expérimentées à deux, Asmoth

Pas contre, fais quand même attention à l'exhib' dans les lieux publics, s'il y a d'autres personnes "innocentes" ou des enfants dans les parages

:)

[Dabouille 0]

C'est vrai mais lorsue que l'excitation monte, tout le monde ici présent en tout cas sait que l'on peut pas se retenir et qu'on fait des choses que l'on ne ferait pas habituellement.

A part ça, très bien écrit !!! LA SUITE

[AsMoth 257]

LA SUITE...

La belle inconnue semblait elle aussi à bout de souffle. Je voyais sa poitrine monter et descendre, cherchant un peu d’air pour supporter cet état d’excitation que nous devions garder secret. Elle restait les cuisses serrées, visiblement gênée par la présence de l’autre homme. Elle regardait pat la vitre, n’osant plus me regarder. Je vis alors sa tête se tourner légèrement vers moi. Elle reluquait mon sexe discrètement. Il faut dire que je ne pouvais plus le cacher. Sand doute l’autre homme s’en était aperçu en montant dans le bus. Ce salaud en tout cas la reluquait. Elle ne savait plus où se mettre, tirant tant qu’elle pouvait sur sa robe. A écarter les cuisses comme elle l’avait fait auparavant, elle ne s’était pas rendu compte qu’elle s’était drôlement retroussée, puisque ma belle inconnue avait les fesses à-même le siège ! Evidemment que l’autre bougre la reluquait !

Moi, j’étais à bout. J’avais ma belle queue totalement gonflée et dressée entre mes cuisses. Je sentais sa chaleur contre ma cuisse droite. Mon gros gland était en fusion totale au bout de cette tige. Je le sentais palpiter. Ainsi décalotté, mon intimité la plus offerte possible à ma belle inconnue, je vis celle-ci la reluquer en permanence. Oh oui ! Regarde mon joli gland ! Tu l’excites tant ! Je sentais le sang palpiter en lui… boum boum… boum boum… une fois, puis deux fois… ma queue en sautillait. Me voir au bord de l’éjac, de l’explosion, faisait serrer les cuisses très fort à ma belle brunette qui gardait les pieds distants et les genoux serrés le plus possible. Soudain, la situation, l’intensité de l’excitation, le regard de ma belle posé sur l’extrémité de mon sexe eurent raison de moi. Les palpitations se montrèrent fortes, de plus en plus fortes. Je savais ce que cela annonçait : c’était trop tard ; j’allais éjaculer. Impossibles à retenir, elles se mirent à accélérer, jusqu’à parcourir mon sexe tout entier et se transformer en spasmes. Et là, grimaçant en silence, je me mis à expulser de puissants et longs jets de sperme devant moi. ils vinrent gicler sur les marches de la descente du bus, juste devant ma belle inconnue. Face à ce spectacle, elle ouvrit la bouche de stupéfaction. Ce sont ses deux mains qui vinrent se loger à la jonction de ses cuisses. Impossible de savoir si le bout de ses doigts vint se montrer titilleur, salvateur... Moi, j’étais dans un état de détachement complet : je ne pouvais pas me retenir, j’étais désolé d’éjaculer en public, mais c’était tellement impossible à contrôler que j’en avais même plus honte. Mon gland me faisait merveilleusement jouir. Ces jets puissants me faisaient tellement de bien... Ma belle inconnue avait eu raison de moi, de mon sexe. J’éjaculais puissamment devant elle, pour elle.

Je ne sais si elle avait joui elle aussi en me voyant exploser. Je descendis à l’arrêt suivant, ma présence n’ayant plus de sens.

Je ne la revis plus jamais.

[Pierot8089 0]

J'adore ton récit, il faut vraiment oser en public quand même et de plus dans un bus :welcome:

[AsMoth 257]

c'est risqué, complètement barge d'un point de vue extérieur... mais c'est surtout toute la puissance du désir et de l'excitation qui arrive à effacer la raison et la bien-séance... comme quoi nous sommes bien guidés par nos sens au plus profond de nous.

(bon, je ne fais pas une généralité non plus, ... mais c'est si puissant ! )

[Biaatch 0]

Faut oser dans le bus quand même

Heureuement que c'était pas une heure de pointe... :clap:

[serpentine 0]

merci biaatch d'avoir remonté ce post.

Je l'avais pas lu celui là!

Magique, comme d'hab! Bravo asmoth! ça fait rêver...

[AsMoth 257]

oui, quand le regard de la femme de fait accrocheur... son esprit n'est plus qu'un "coffre-fort"... trouver lentement la "combinaison magique" et faire céder les verrous de sa conduite pour petit à petit libérer le désir et l'ardeur qui sont en elle.

:clap:

[Shinzu 0]

j'en reste sans voix, très belle confessions.

:D

[Valimor 0]

Wouhou! Juste trop folle, comme situation, mais tellement excitante...J'adore! :)

[Benooze 0]

Le côté exhib j'aime bien. Pour ma part je me suis branlé en conduissant dans le centre de bruxelles, pleine heure de pointe. Au feu rouge, je devais un peu me planquer mais j'ai eu quelque coup de claxon et un bon clin d'oeil d'une business woman dans la trentaine :)

[leetha 0]

moi je suis tout le temps nue sous mes jupes ou robes alors cette histoire me touche beaucoup !!!!

merci!!!!

[ptitminou60 812]

youhouh trop excitante la situation, avec le monde autour, l'interdit c'est encore meilleur, j'adore quand on sait qu'il "ne faut pas" mais que c'est terriblement bon qu'on ne pense plus qu'à cela et à son plaisir, hum et tu racontes toujoursaussi bien :P

[AsMoth 257]

Avec les beaux jours, vous voyez de belles choses dans les transports en commun ?

Pour le moment, je trouve que c'est relativement calme...

Du minou les filles ! Du minou !