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AsMoth

Voyeurisme : mon amie se caresse devant moi sans le savoir !

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Peu avant cet été, j’ai mon amie Doris qui devait monter sur Paris pour participer à un séminaire. Heureux de pouvoir la revoir après tout ce temps, je lui proposai de dormir le soir même chez moi. On se connaît de longue date. Elle accepta avec grand plaisir. Après avoir dîné ensemble, je fus contraint de dire à Dors que je ne pouvais pas la faire trop longue ce soir, car je devais me lever tôt le lendemain. Ainsi, vers 22 heures, je la laissai pour aller me coucher… elle ne voulut pas prendre ma chambre, préférant dormir dans le salon. Je respectai son choix. Je lui dis qu’elle pouvait regarder la TV si elle voulait ne pas dormir tout de suite…

Elle était vêtue d’un top moulant blanc et d’une minijupe. Je feins donc aller me coucher, ne fermant qu’à moitié la porte du salon. Doris se retrouvait seule… j’étais sure qu’elle allait s’ennuyer, elle qui était plutôt du genre couche tard.

Une fois que j’avais quitté la pièce, je restai dans l’obscurité du couloir pour mater Doris. Tôt ou tard, elle devrait de déshabiller pour se coucher… je comptais bien me rincer l’œil ! a peine je l’avais laissée seule que Doris ôta son petit gilet vert, se retrouvant en top. J’avais volontairement mis le chauffage à fond, essayant de penser à tout. Elle enleva ensuite la ceinture de sa jupe, se mettant vraiment à l’aise… pensant qu’elle allait de déshabiller j’avais déjà le sexe qui gonflait d’excitation. Elle se tenait là, les jambes croisées au milieu du canapé. C’est à ce moment là que voyant la télécommande située à côté d’elle, qu’elle mit en œuvre, malgré elle, mon dernier plan : allumant la télé, mon film porno préféré apparut à l’écran. Faisant les grands yeux les premières secondes, elle regarda dans ma direction. Peut être avait-elle peur que j’arrive et la surprenne… ! Puis, ses yeux se mirent à observer la scène ; j’avais calé la scène la plus torride afin de me garantir au maximum que Doris ne reste pas insensible. Croisant et décroisant les jambes à plusieurs reprises, elle finit par dézipper et retirer ses bottes tout en regardant le joli spectacle qui s’offrait à elle. J’entendais le son des acteurs gémissant leur plaisir, mis préalablement assez bas pour être sûr que Doris ne coupe pas le film par peur d’être remarquée. Doris décroisait ses jambes, entant visiblement des picotements à sa minette… moi, je scrutais ses jambes dans l’ombre, masturbant lascivement mon sexe à pleine main, laissant la magie de l’excitation s’opérer.

Celle-ci ne mit pas longtemps à se produire… soudain, Doris se leva et déboutonna sa jupe, se retrouvant en tanga de dentelle turquoise au beau milieu de mon salon ! elle s’assit alors dans le canapé, dans le coin cette fois-ci, quasiment orientée dans ma direction. Ses mains semblaient baladeuses mais pour autant timides… ses doigts caressaient ses cuisses et son tanga, comme si elle n’osait l’enlever. C’est à ce moment là que Doris s’attaqua au haut. Saisissant son tanga, elle le retira, se retrouvant les seins à l’air. Moi, je commençais à bander très fort.

Doris, confortablement installée, se mit à se caresser les seins en silence. Pas un regard dans l’entrebâillement de la porte dans lequel je me cachais. Elle ne se doutait de rien. Calée au fond du canapé, elle avait les jambes fléchies, se caressant de plus en plus lascivement… jusqu’au moment où elle ne put résister : elle écarta les cuisses doucement me présentant –involontairement ? – son entrejambes. D’où j’étais, je vis parfaitement que son tanga moulait les lèvres de sa chatte. Doris écarta les cuisses lentement. Sa main droite, posée sur son genoux, glissa et vint de poser sur sa fente, qu’elle se mit à caresser par-dessus son tanga. Ses doigts se montrèrent plus insistants à partir de ce moment. Les joues de Doris se mirent à rougir. Moi, je me mis à bander comme un âne face à ce spectacle bien réel qui se passait devant moi ! Doris passait de sa chatte à ses seins, doucement. Je vis alors son majeur glisser entre ses lèvres, une fois, puis deux, puis trois… Son tanga lui collait à la fente.

C’est là que, passant ses pouces entre son tanga et ses hanches, que Doris retira celui-ci discrètement, regardant dans ma direction longuement cette fois-ci, et levant les jambes qu’elle avait bien serrées, elle me présenta ainsi sa jolie chatte en retirant son tanga qu’elle avait fait glisser jusque ses chevilles. Mon dieu, quelle chatte ! elle était parfaitement lisse, pas un poil. Elle était déjà à moitié entrouverte, puisque je voyais ses petites lèvres plissées et un capuchon de clitoris à moitié dardant. Doris se mit dès lors à écarter plus amplement les cuisses, et posant ma main droite dessus, se mit à se caresser en regardant le film. Sa respiration sembla s’accélérer lorsque ses doigts dessinaient de grands cercles sur sa jolie chatte, et son corps ondulant lorsque le bout de son majeur s’attardait sur son joli bouton. Moi, j’étais partagé entre l’envie de rire pour avoir si bien réussi mon coup, et envie de jouir, sentant ma grosse queue bander à exploser face à ce spectacle que m’offrait ma meilleure amie ! la coquine !! Elle n’avait pas un seul poil à son minou… je l’aurais parié ! elle était coquette jusqu’au bout ! ses petits seins pointaient d’excitation… que se disait-elle ? purée… je me caresse chez mon pote comme une fille en chaleur dans son salon… qu’est-ce qui m’arrive e faire ça ? pourtant, je ne peux pas résister !! ses doigts s’accélérèrent. Soudain, elle entra son majeur en elle. Sa jolie fente semblait bien dilatée, accueillant ses merveilleuses caresses. Voyant le corps de Doris onduler, totalement nu, au bord de l’explosion, je ne pus résister. Je me mis à jouir en même temps qu’elle, accompagnant dans le silence – et presque la souffrance ! – la plus absolue ses gémissements de plaisir. Je sentis et vis mon sperme gicler loin devant moi… j’imaginais jouir sur son ventre… mon dieu quel pied. Les caresses de Doris ralentirent, puis stoppèrent… elle restait avec mon majeur dans la fente, jouant avec tout doucement. Moi, je pensais déjà à essuyer mes giclées de sperme. Zut ! il y en avait deux qui étaient partis entre l’entrebâillement du salon. Je ne pouvais essuyer.

Au lendemain matin, au petit déj, discussion comme si de rien ne s’était passé… pourtant me levant tôt pour espérer effacer les traces de mon faux pas, je me rendis compte que le sol, à cet endroit était parfaitement sec, sans traces…

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Guest Anonymous

superbe histoire tres excitante.

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Guest decibel

:wink: :P Belle narration avec des détails très croustillants, Asmoth :P:roll::P:wink:

:roll:

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Et bien dit donc, tu as eu une superbe chance de voir ta magnique amie.

Tu as réussi à m'exiter par cette belle naration :wink:

Maintenant il ne me reste plus qu'a espérer que cela m'arrive un jour également^^

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J'ai adoré, moi aussi je suis très voyeur et ce genre de situation ne me laisserai pas indifférent. :wink:

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Superbe histoire de voyeurisme, j'ai beaucoup aimé! :langue:

Et puis sympale petit rebondissement de la fin! :welcome:

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Cela laisse rêveur et donne même des idées pour d'éventuelles opportunités de ce genre

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Guest Anonymous

bravo asmoth!!!

tres bonne histoire :wink:

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Guest Lebobrundu59

Très sympa en effet, c'est chaud chaud chaud :wink:

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A la conclusion du récit, on se demande vraiment si c'est bien sans le savoir... c'était charmant de sa part d'effacer toute trace du délit par contre... ou bien c'était un petit message :wink:

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