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AsMoth

Mon dépucage : la mère de mon meilleur ami

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Je me rappellerai toujours ce matin où je vis pour la première fois la chatte d’une femme, et plus précisément celle de la mère de mon pote, Alex. J’avais vingt ans, elle en avait trente huit. Elle s’appelait Béatrice. C’était une belle femme au charme dévastateur, qui ne me laissait pas insensible. Je passai souvent des week-ends chez mon pote, et le simple fait de voir les bas de sa mère à sécher dans la salle de bain me faisait fantasmer.

Ce matin là, alors que je me levai pour aller prendre mon petit-déjeuner, je passai devant la chambre de Béatrice dont la porte était entrouverte. Curieux comme j’étais, je m’arrêtai et fus surpris, estomaqué, par ce que je vis. Béatrice, assiste sur son lit les cuisses écartées, était justement en train d’écarter sa culotte de sa chatte, laissant apparaître celle-ci. Il semblait qu’elle devait être en train de se masturber. Il faut dire que Béatrice était une femme divorcée. Elle portait une guêpière blanche en satin, et des bas de la même couleur. Elle devait d’ailleurs porter un string plutôt qu’une culotte, car celui-ci rentrait dans ses fesses. Les yeux fixant sa chatte dont leur le pubis était orné que quelques poils, son sexe était charnu et entrouvert. Nul doute qu’elle avait dû se rentrer un ou deux doigts juste avant que je ne la surprennes, car sa chatte était visiblement gonflée d’excitation, et son clitoris apparent. Interloqué, je sentis mon cœur se mettre à battre à la chamade, et ma belle queue se gonfler et se raidir d’excitation sous mon short pyjama. Je fus si excité que je sortis ma queue de mon short et je commençai à me masturber moi aussi à pleine main, tapi dans l’ombre du couloir. Béatrice ne m’avait pas vu, et la vue de sa belle chatte de femme mûre, déjà luisante de mouille, m’excita plus que tout. Tirant sur son string, Béatrice frottait celui-ci délicatement sur sa chatte. Je bandais si fort que ma grosse bite se mit à clapoter de mouille. Béatrice, bouche entrouverte, se mit à lâcher de petits gémissements bien contenus, à la sensation du tissu effleurant son intimité. Le fait de voir cette femme d’âge mûre ainsi vêtue se caressant la chatte m’excita plus que tout, si bien que je me rendis pas compte que j’étais quasiment sur le pas de sa porte, excité d’en voir toujours plus.

Quelque chose dût alors trahir ma présence, car Béatrice regarda soudain en ma direction, et eut un sourire aux lèvres, lorsqu’elle me surprit ainsi avec ma jeune queue à la main. Écartant son string de sa chatte plus encore, comme pour mieux me la présenter, elle me lâcha un sourire amusé, avant de me lâcher un bonjour, restant immobile, et pas surprise ni outrée par le fait que j’étais en train de me palucher devant elle. J’étais pétrifié, ne sachant comment réagir. Là, Béatrice me pria d’entrer dans la chambre, et de fermer la porte derrière moi. Je m’exécutai, sans réfléchir…

Remettant mon short, ce qui eut pour effet de dessiner une bosse énorme tendant le tissu en coton, je fermai la porte. Me retournant ensuite vers Béatrice, je vis celle-ci lever ses jambes, posant ses pieds sur le lit, et écartant amplement son string de façon à me montrer sa chatte. De là, elle me dit : « Ben alors Cédric, pourquoi tu remets ton short ? Tu as honte ? Je te montre bien ma minette, regarde ! Allez, enlève-moi ça ! ». Je crus halluciner. Mes yeux furent dès cet instant hypnotisés par son entrecuisses. Gêné, honteux, je me mis donc tout nu devant la mère de mon meilleur ami, me retrouvant avec mon sexe en fusion dressé devant moi. Béatrice me demanda alors d’approcher. Elle fixait mon sexe en érection totale fixement, attirée et amusée par mon état d’érection. Elle me sentait gêné, et me demanda de me relaxer, de ne pas avoir honte d’être nu devant elle.

Elle me demanda alors expressement de regarder sa chatte. Elle me demanda si c’était la première fois que j’en voyais une. Je répondis par l’affirmative, honteux d’être puceau. Cela sembla la toucher. Elle me demanda alors : « Alors, tu ne te masturbes plus ? Tu peux te caresser tu sais… C’est ma chatte qui t’excite ? ». Ne pouvant plus résister, je me mis à me masturber à pleine main doucement en regardant sa belle chatte. Elle me dit alors : « C’est un bel engin que tu as là dis donc ! ». Je fus touché et flatté par ses mots. Ma belle queue chuintait de mouille, la peau épaisse de mon sexe coulissant sur mon gland rose et tendre, si fragile.

Béatrice enleva alors sa guêpière, et s’allongeant sur le lit, elle écarta les cuisses, gardant les jambes pliées. Les pointes de ses seins dardaient comme des « i ». Toujours ce même sourire d’amusement aux lèvres, elle me demanda d’approcher, de venir sur le lit. J’étais maintenant à genoux entre ses cuisses, mon chibre à quelques centimètres de sa chatte. Elle me demanda de me masturber d’une voix chargée de sensualité et de désir. Elle était amusée par mon visage de jeune puceau qui ne croyait pas ce qu’il voyait, et par cette belle jeune queue bien raide que je caressais devant elle. Elle me demanda de me caresser doucement. Elle semblait émue elle aussi, car ses joues se mirent à rougir. Sûrement était-elle excitée par le fait d’avoir un jeune homme en train de caresser entre ses cuisses, innocent et docile. Appliquant soudain le bout de ses doigts sur sa langue, elle passa ceux-ci sur mon gland luisant de mouille, avant de commencer à me masturber à son tout à pleine main, saisissant fermement mon gros chibre dans celle-ci, sans parvenir à en faire le tour. Elle se mit alors à gémir : « Huummm… quelle belle queue ! » tout en la faisant chuinter. Je me mis alors à lui caresser les seins, chose que je faisais également pour la première fois. Béatrice me fit alors acte de tendresse, lorsqu’elle passa ses mains le long de mes bras et sur mon torse. Je pris cela pour une invitation.

Croyant qu’elle m’invitait à entrer en elle pour rompre mon pucelage, et comme le bout de ma grosse queue caressait déjà sa chatte, j’enfonçais celle-ci dans son antre. Béatrice eut alors un sursaut de surprise, ne s’attendant pas à ce que je m’insère en elle. Elle se crispa dans un « non ! » de refus, son visage étant comme choqué par ce que je venais de faire. Mais la sensation de mon chibre lui caressant l’entrejambes rendit la tentation trop forte pour tous les deux. Prenant ma queue entre les doigts, je la réinsérai en elle, la faisant de cambrer tout en posant ses mains sur mon bas ventre comme pour me stopper. Mais mon sexe était déjà inséré dans sa fente chaude et humide. J’insistai alors en exerçant une pression avec mon bassin tout en passant une main sur sa poitrine. Béatrice soudain lâcha. Je m’enfonçai alors au plus profond d’elle, la faisant grimacer et râler de douleur et de plaisir conjugués, sentant cette belle queue entrer si rapidement en elle, la transperçant et la comblant de jouissance. Son vagin était brûlant et tendre. Il était un lieu d’extase. Me penchant en avant sur Béatrice, je me mis dès lors à aller et venir en elle par de longues pénétrations. Sentant ce beau chibre lui pilonner la chatte, Béatrice semblait lâcher prise et succomber au plaisir. J’étais en train de faire l’amour à la mère de mon pote, je la dominais par les assauts profonds et virils que je lui infligeais. Béatrice hoquetait au début, puis se relacha, fermant les yeux de plaisir, en lâchant de doux gémissements de jouissance, sentant son intimité parfaitement comblée. Ses mains vinrent se poser sur mes hanches, puis mes fesses, comme pour m’inviter à la pénétrer le plus profondément possible. Elle m’encourageait en me disant : « Vas-y continue ! ». Nos sexes se mirent à clapoter. Sa chatte était en fusion totale. Béatrice ouvrit soudain les yeux, et fixant les miens, seul bougeait son corps au rythme de mes coups de buttoir. Je lui pilonnais littéralement l’entrejambes, et elle semblait bien apprécier cela. Ainsi en elle, et après plusieurs longues minutes de pénétrations intenses, je sentais que j’allais jouir très bientôt. Béatrice le lus sur mon visage.

Elle se mit alors sur le ventre, m’offrant sa chatte et ses fesses. Souriante, elle m’invita alors à me ré-introduire en elle, prenant elle-même mon manche pour se le mettre dans la chatte. Penché sur elle, les bras tendus, je me mis dès lors à la pénétrer de nouveau, avec la sensation supplémentaire et exquise de ses fesses douces qui frottaient et s’écrasaient contre mon bassin. Cela m’excita plus encore. Je ressentais ainsi toute la féminité de Béatrice, offerte comme jamais à mes assauts. Une main sur son sein, je la culbutais profondément. Ne pouvant retenir mes grimaces et mes râles de jouissance, Béatrice avait un large sourire. Amusée, elle me dit : « Tu aimes mes fesses hein ?! », comme si le jeu de domination s’inversait soudain. Mon gland me faisait atrocément jouir. Je ne pourrais plus me retenir bien longtemps, tant la sensation combinée de sa chatte et de son cul était merveilleuse. J’étais en train de réaliser que j’étais en train de faire l’amour à une femme mûre que bien des hommes auraient aimé baiser eux aussi. Béatrice me regardait avec son grand sourire, et sentant que j’allais bientôt éjaculer, elle se mit à me caresser le bas ventre avec une main. Au bord de l’orgasme, elle finit de m’achever lorsqu’elle se mit à me caresser les boules avec délicatesse. Je sentis alors une profonde décharge électrique remonter de celles-ci et je me mis à jouir dans sa chatte. Je me retirai après deux ou trois éjaculations massives au fond de son vagin, pour finir de me vider les couilles sur sa chatte et sur son cul. Mon sperme brûlant inonda son entrejambes, et coula sur la couette et les draps. À la sensation de ce liquide brûlant giclant sur sa rondelle et sa chatte, Béatrice ne put s’empêcher de gémir, tuant ses râles profonds dans l’oreiller. Une fois l’éjaculation terminée, elle me caressa la queue encore gonflée d’excitation, avant de prendre la couette et de se recouvrir avec, soudainement assoupie et envahie de bien-être. Je remis alors mon short. Béatrice me regardait, contente. Moi, je ne savais pas quoi dire. Je finis par lui dire que je descendais prendre mon petit déj. Elle ne dit qu’un : « ok, à tout à l’heure ! ».

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Je cryais que c'était avec Anne-Laure quand t'avais 19 ans??

M'en sors plus avec tout ce que tu nous racontes...

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Je cryais que c'était avec Anne-Laure quand t'avais 19 ans??

M'en sors plus avec tout ce que tu nous racontes...

Oui, mais là il parle de son dépucage... Moi même, je ne l'ai jamais vécu, ça. :aime2:

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Oui, mais là il parle de son dépucage... Moi même, je ne l'ai jamais vécu, ça. :aime2:

Oui, mais là il dit avoir vingt ans... Ou bien c'est Benjamin Button et il est dépucelé après avoir vécu sa vie sexuelle, ou bien certains textes mériteraient plutôt une place dans les histoires plus que dans les expériences. :aime2:

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Guest Anonymous

Moi mon dépucelage.... je ne m'en souviens pas... On m'avait droguée et le seul souvenir que j'en ai c'est un réveil a quelque part, les culottes baisées...

Je ne crois pas que ce soit un viol... car j'étais partie consentente et un peu ivre.... Le seul regret c'est de ne pas me souvenir...

Meme si mon premier amour, j'étais nerveuse.... C'était tout meme tres bien.

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Guest decibel

Oui, mais là il parle de son dépucage... Moi même, je ne l'ai jamais vécu, ça. :cry:

:cry::cry: Ah toi aussi, tu avais remarqué ??? :aime2::D:cry::cry::cry:

:cry:

Vraiment ces textes semblent des pures affabulations et écrits avec un style plutôt "surprenant" :P ... et le mot est faible ! :aime2::cry:

Désolée, je n'accroche pas à la vulgarité ou la provocation :D

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je ne considère pas qu'avec Anne-Laure ce fut mon dépucelage (merci de relire si cela est aussi important avant d'envoyer des posts) .

donc, plusieurs choses, puisque je vois que vous attachez une importance particulière à la critique plutôt qu'à l'essence mêmes des écrits :

- ceux qui n'aiment pas mes textes - dans le style notamment - : merci de ne pas cliquer sur les textes édités à mon nom (comme ça c'est réglé !)

- pour ceux qui les trouvent excitant, mais qui cherchent à trouver les erreurs, les défauts ou autre, plutôt qu'à en retenir au final le plaisir qu'ils ont eu à le lire : c'est l'érotisme et la sensation ressentie au travers des lectures qui compte. "La critique est facile, l'art es difficile" ... ce n'est évidemment pas de moi, mais merci d'en prendre note.

- pour ceux qui aiment, je continuerai à écrire ; mes textes, je les ai, je veux juste les partager (merci chattine)

- pour ceux qui répondent encore par des propos négatifs à ces commentaires, ceux-ci n'auront vraiment rien compris. Je suis prêt à améliorer mon style, etc... mais ce ne sera pas pour des personnes qui ne se contentent de critiquer en permanence ce qu'ils lisent ; ceux-là même ni ne connaissent pas les difficultés de l'écriture et reflètent bien la mentalité "petite bourgeoisie" de la société française éternellement insatisfaite, détruisant plutôt qu'aidant à construire...

:aime2:

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Guest Anonymous

Pour moi, que l'histoire soit ou non vraie, je m'en fout... Ce qui m'intéresse, est l'histoire en elle. Si elle se lit bien... Moi meme je fais des fautes d'Ortho et de syntaxes.. j'y peux rien j'écris par inspiration, corrige sur word meme si j'en ai pas beaucoup.. Syntaxe ne se corrige pas sur word... Et je laisse aller...

Asmoth a fait un bel écrit... vulgaire ? un tantinet... et beaucoup aime ça... un tantinet je veux dire...

Alors moi je te dis continue... Ton style fera a ceux qui aiment... tout comme mes textes... ce ne sont pas tout le monde qui aiment et c'est bien correct ainsi... :aime2:

La perfection n'est pas de ce monde...

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en tout cas moi j'ai beaucoup aime ton histoire :aime2:

et ton copain il a su que tu as couché avec sa mère?

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Merci Chattine , Merci !!

en effet, chacun son style, c'est l'essence des textes qui ont de la valeur par ce qu'ils procurent... je continuerai donc, avec mon style, que je tenterai d'améliorer néanmoins - devrais-je dire adapter -

Pour reprendre tes mots, Il n'y a pas de perfection en ce monde ; ce qu'on peut juste faire, c'est ouvrir son esprit et son coeur.

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Je l'aime bien ton récit. Même si le langage est un peu malhabile et comporte quelques fautes, je trouve que tu as su transcrire une superbe expérience qui m'a donné des frissons. Alors merci.

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je ne considère pas qu'avec Anne-Laure ce fut mon dépucelage (merci de relire si cela est aussi important avant d'envoyer des posts) .

donc, plusieurs choses, puisque je vois que vous attachez une importance particulière à la critique plutôt qu'à l'essence mêmes des écrits :

- ceux qui n'aiment pas mes textes - dans le style notamment - : merci de ne pas cliquer sur les textes édités à mon nom (comme ça c'est réglé !)

- pour ceux qui les trouvent excitant, mais qui cherchent à trouver les erreurs, les défauts ou autre, plutôt qu'à en retenir au final le plaisir qu'ils ont eu à le lire : c'est l'érotisme et la sensation ressentie au travers des lectures qui compte. "La critique est facile, l'art es difficile" ... ce n'est évidemment pas de moi, mais merci d'en prendre note.

- pour ceux qui aiment, je continuerai à écrire ; mes textes, je les ai, je veux juste les partager (merci chattine)

- pour ceux qui répondent encore par des propos négatifs à ces commentaires, ceux-ci n'auront vraiment rien compris. Je suis prêt à améliorer mon style, etc... mais ce ne sera pas pour des personnes qui ne se contentent de critiquer en permanence ce qu'ils lisent ; ceux-là même ni ne connaissent pas les difficultés de l'écriture et reflètent bien la mentalité "petite bourgeoisie" de la société française éternellement insatisfaite, détruisant plutôt qu'aidant à construire...

:aime2:

Bon, celle-là elle est pour ma pomme...

Ai-je dit que tes textes ne me plaisaient pas? Pas une seule fois, n'ayant pas dit s'ils me plaisent ou non.

Ensuite, ma critique allait simplement à la chronologie des histoires que tu racontes... Si tu ne veux pas que l'on se méprenne, sois plus précis dans tes formulations, c'est tout.

Et finalement, si tu ne peux pas accepter la critique, ne poste pas...

Fin du HS, pour moi en tout cas.

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ok Mysteria,

mais dire que mon texte tient de l'épopée fantastique que Benjamin Button, ce n'est pas de la critique, c'est de la moquerie, ce qui est d'ailleurs étonnant dans la démarche pour une correctrice qui est sensée animer le forum, et donc inciter les gens à le nourrir...

- j'entends par le mot "critique" la critique constructive...

peu importe, je ferai mieux la prochaine fois. :aime2:

j'arriverai bien à faire mouiller ta culotte un jour ou l'autre !! :cry::aime2:

bonne journée à toi

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ok Mysteria,

mais dire que mon texte tient de l'épopée fantastique que Benjamin Button, ce n'est pas de la critique, c'est de la moquerie, ce qui est d'ailleurs étonnant dans la démarche pour une correctrice qui est sensée animer le forum, et donc inciter les gens à le nourrir...

- j'entends par le mot "critique" la critique constructive...

peu importe, je ferai mieux la prochaine fois. :cry:

j'arriverai bien à faire mouiller ta culotte un jour ou l'autre !! :aime2::aime2:

bonne journée à toi

Pas de moquerie, juste de l'humour.

Pour ce qui est de ma fonction de correctrice, elle ne concerne pas FI, même si je ne dis jamais non quand on me demande un coup de main en orthographe (et pas ailleurs messieurs :cry: ).

Quant à me faire mouiller ma culotte, effectivement, peut-être, un jour. Mais juste un jour alors :cry:

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....... :wink::wink::oops:

j'aime le niveau de détail de tes histoires... ultra excitant !

merci en tout cas, j'ai eu mon premier orgasme de la journée; c'est clair que ça donne envie !!!

:wink:

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Je trouve ton histoire terriblement excitante et c'est une expérience qu'énormément d'homme aimerait connaitre!!

Je te dis continu!

As-tu eu d'autres relation avec la mère de ton meilleur ami ?

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Oui, mais là il dit avoir vingt ans... Ou bien c'est Benjamin Button et il est dépucelé après avoir vécu sa vie sexuelle, ou bien certains textes mériteraient plutôt une place dans les histoires plus que dans les expériences. :wink:

Mysterya,

Je dirai que son imagination travaille fort...s'il n'est pas entrain de nous faire de la copier-coller en se présentant comme 'réalisateur"...

Mais ça ne change rien de l'affaire....il a de très belles narrations...

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