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RD2

Mon apprentissage - Partie 1

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Bonjour,

Depuis plusieurs années que je parcours le site, je me décide enfin à y contribuer.

Je ne vais pas vous dire que je multiplie les conquêtes. C'est faux. J'ai 28 ans, je suis marié depuis 1 an et en couple depuis 9 ans. En tout, je n'ai eu que 4 partenaires depuis le début de ma vie sexuelle. Mais toutes ont compté, chacune à leur façon. Je vais vous raconter pourquoi.

Pour ma part, je trouve que 2 instants sont particulièrement forts dans le début d'une relation. Le premier correspond au moment où l'on sait qu'il y aura quelque chose. Cela peut être un sourire, une caresse, un regard. Bref, ce petit rien qui vous donne une poussée d'adrénaline et fait battre votre coeur plus vite.

Le second moment, plus intime, correspond à la première fois où les corps se découvrent. Sans forcément de rapport sexuel à proprement parler, mais plutôt les jeux qui le précèdent. Les mains, les doigts, la bouche qui parcourent le corps de l'autre...Les peaux qui se frôlent.

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La première fille qui a compté pour moi est bien entendu celle avec qui j'ai franchi le pas. Elle s'appelait Julie. Elle avait 16 ans et moi 17. C'était l'année de mon BAC.

Julie et moi habitions le même village. Nous avions été dans la même classe au primaire, mais je l'avais perdu de vue et gardais pour seul souvenir la blondeur de ses cheveux.

Je l'ai revue un soir lors d'une fête du village. Lorsque je l'ai reconnue, je suis allé la saluer, amicalement. Mais au moment où nous nous sommes approchés pour nous faire la bise, je ressentis quelque chose d'indescriptible qui me fit comprendre que nous allions nous revoir.

J'allai passer cette soirée avec mes amis, comme prévu, mais je cherchai de temps en temps Julie du regard. Timide, je n'avais pas osé rester avec elle.

La fin de la soirée approchant, je suis allé la retrouver et lui ai proposé de la raccompagner chez elle. Comme sa maison n'était pas du tout sur mon chemin, elle déclina l'invitation dans un premier temps, mais comme cela ne me dérangeait pas, elle accepta.

Nous faisions le chemin à pied et discutions de tout et n'importe quoi, pour faire de nouveau connaissance. Arrivés devant chez elle, nous avons continué à parler quelques minutes jusqu'au moment où elle voulu rentrer chez elle. J'ai hésité quelques secondes, de très longues secondes, avant de l'embrasser. Je crois qu'elle n'en avait pas très envie, mais elle se laissa faire. Emu, je lachai mon vélo pour enlasser Julie. Celui-ci-ci glissa et tomba par terre. Je trouvai la situation ridicule mais très agréable. Puis nous sommes rentrés chacun chez soi.

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Julie et moi ne pouvions nous retrouver que les mercredis après-midi et les week-end. Nous passions notre temps à nous embrasser, à nous câliner.

Je me souviens très bien de ses baisers. Des baisers légèrement humides où nos langues s'entremêlaient doucement. Par ailleurs, Julie fumait et ses baisers avaient un goût de tabac qui n'était pas désagrable. Je ne fume pas moi-même.

Je n'étais pas très entreprenant car je ne savais pas comment elle réagirait et surtout je ne savais pas comment m'y prendre. Après quelques après-midis passés ensemble, dans les bras l'un de l'autre, j'ai commencé à caresser ses seins par dessus ses vêtements. Après un moment, elle se retournait et commencait à m'embrasser. Je supposai qu'elle trouvait mes caresses agréables.

Au fur et à mesure de nos rendez-vous, nous allions à chaque fois un peu plus loin dans la découverte de nos corps. Je commencais à la déshabiller, et elle également. D'abord le haut, c'est à cette époque que j'appris à enlever un soutient-gorge. Et nous nous retrouvions à nous embrasser, sa poitrine contre mon torse.

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Par la suite, mes mains commencèrent à aller plus bas. Après ses seins, elles descendaient vers son entrejambe que protégeait son jean. La première fois que j'ai tenté de glisser ma main sous son jean pour continuer mes caresses, celui-ci était tellement serrer que je n'y suis pas parvenu. Dépité, je remontai vers des zones plus accessibles. Mais lorsque j'ai retenté ma chance, Julie m'aida et déboutonna son pantalon, ce que je n'avais osé faire.

J'étais heureux. Je découvrai le corps d'une fille et celle-ci, bien que plus jeune, m'aidait dans mon apprentissage. Elle avait déjà eu un partenaire avant moi, elle avait un peu d'avance. Ma timidité mêlée à ma maladresse me frénaient un peu mais Julie était très compréhensive et prenait parfois les devants. C'étaient des moments forts en sensualité, nous découvrions nos corps sur la canapé du salon. Je me souviens que nous commencions toujours par regarder un film, mais nous ne voyions jamais la fin. :aime2:

Je réalisais les quelques fantasmes que j'avais. Fantasmes acquis en regardant quelques films pornos en cachette, comme tout ado.

Je caressai le sexe de Julie d'une main, l'autre main sur un sein, en nous embrassant. Je découvrais l'odeur caractéristique d'un sexe de femme humide. Je glissais un doigt puis deux dans son vagin. J'étais très maladroit et j'essayai de ne pas lui faire de mal.

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C'est très mignon pour un début :aime2:

Par contre, tu peux ne faire qu'un post pour tout raconter, même si là, c'est vrai que c'est plus facile à lire. :aime2:

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J'adorai quand elle s'asseyait sur moi, en me regardant dans les yeux. Elle était nue. Nous nous embrassions et j'étais libre de promener mes mains, sur son dos, sur ses fesses. Mes mains suivaient le sillon de ses fesses jusqu'à atteindre ses lèvres humides. Là, après quelques minutes, j'introduisais un doigt dans son vagin et je le remuais à l'intérieur. Dès lors, ses baisers changeaient. Elle m'embrassait plus violemment, son bassin remuait. Parfois, quand mon pantalon était baissé au niveau de mes genoux, je sentais son nectar couler sur mes jambes et cela m'excitait au plus haut point.

C'est aussi avec Julie que j'ai réalisé un fantasme de l'époque : le cunnilingus. Maintenant que je connaissais l'odeur d'une femme, je voulais connaître le goût de la cyprine. J'avais envie de procurer à Julie autant de plaisir que semblaient avoir les actrices de mes films quand quelqu'un leur léchait le sexe.

J'étais bon élève à l'époque, j'étais curieux et j'aimais apprendre. Aussi, je voulais faire les choses bien. Je me renseignais sur la façon de faire un cunnilingus dans des livres et auprès de mes cousins et cousines plus âgés.

C'est ainsi que je réappris d'alphabet de manière...plus ludique qu'en chantant avec Chantal Goyat... Je fus très agréablement surpris de l'effet que procurait ce traitement sur Julie. Elle gémissait, elle remunait le bassin sous mes coups de langues. Un jour même je me suis retrouvé la tête coincée entre ses jambes. Elle avait joui et avait resserré ses jambes d'un coup.

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Ce que j'adorais, c'était rentrer chez moi avec cette odeur de femme excitée sur mes vêtements lorsque l'on n'avait pas pris le temps de les enlever. Mes coups de langues faisaient fondre Julie, et le fruit de son excitation coulait sur mon menton et sur le col de mon pull ou mon T-shirt. De temps en temps, durant la soirée, je replongeais mon nez dans le col pour respirer cette odeur et me remémorer les bons moments de l'après-midi.

C'est aussi avec Julie que j'ai fait fait mon premier 69. Je m'étais allongé sur le dos et elle était venue s'asseoir sur ma tête pour se pencher ensuite en avant. Elle ne pratiquait pas la fellation à l'époque mais cela m'était égal. J'adorai avoir ses fesses et sa vulve au dessus de ma tête. Je plongeais ma bouche et mon nez dans son intimité. Je léchais, je foullais au rythme de ses cris. J'adorais lui donner du plaisir. Pendant ce temps, elle me mastubait doucement et je sentais ses seins frôler mon ventre.

Nous avons continué ces jeux pendant quelques temps. Puis Julie est partie 15 jours en stage car elle devait passer son BAFA. Le week-end où elle est rentrée, je n'ai pas pu la voir. Nous nous sommes retrouvés le mercredi suivant. Nous avons "joué" comme à notre habitude, puis Julie s'est arrêtée. En me regardant dans le yeux, elle m'a demandé si "je voulais aller plus loin".

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J'y avais déjà pensé, c'est vrai, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit elle qui me le propose. J'étais surpris mais heureux de cette marque de confiance. Penaud, je lui ai avoué que c'était la première fois, mais elle le savait. Elle voulait être ma "première fois".

Elle alla chercher un préservatif dans la chambre de son frère, me le mit puis m'introduisit en elle.

C'était agréable et frustrant. L'épaisseur du préservatif enlevant beaucoup des sensations, je ne sentais pas grand chose. Je pense aussi que j'étais sous l'émotion causée par la situation pour ne pas être suffisamment concentré.

Je n'ai pas réussià jouir et nous avons arrêté. J'ai demandé à Julie si c'était bien pour elle. Elle me dit que oui. Je m'excusai de ne pas avoir joui. J'avais honte.

Mais elle me rassura en me disant que la première fois n'est jamais bien.

Je suis rentré chez moi, dépucelé, heureux de l'être mais déçu.

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Nous avons refait l'amour une fois avec Julie. Cette fois-ci, sans préservatif. Je sais, ce n'est pas bien mais nous étions au début de notre vie sexuelle et n'avions pas eu le temps d'attraper de MST.

Il faisait grand soleil et nous étions allés nous promener. Nous nous sommes assis dans l'herbe, dans un pré, à l'abri des regards, et nous avons commencé nos caresses.

Comme à mon habitude, je léchais le sexe de Julie qui mouillait abondamment. Puis elle se mit en position de levrette. Je continuais à la lécher, ma langue démarrant sur le clitoris, passant au milieu de ses lèvres en faisant des zig-zag, et finissant en entrant timidement dans son vagin. J'avais glissé une main entre ses jambes, remontant le long de son ventre pour caresser ses seins.

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Au bout d'un moment, je lui ai demandé si elle accepterait de refaire l'amour. Nous n'avions pas de préservatif mais elle accepta en me disant bien de faire attention.

J'ai alors présenté mon sexe à l'entrée de son vagin. Elle était toujours en position de levrette. J'ai joué un instant en faisant glisser mon gland entre les lèvres avant de m'introduire dans son ventre.

J'ai tout de suite senti la chaleur englobé mon sexe. C'était doux, humide. C'était beaucoup plus agréable que la première fois. Tellement plus agréable que je n'ai pas tenu longtemps...

Ce fut la dernière fois où nous avons fait l'amour. Nous nous sommes séparés peu de temps après. Julie vivait son adolescence plus difficilement que moi, et nous ne nous sommes plus entendus. J'ai décidé de rompre pour garder au maximum la belle image de cette fille qui m'avait "prêté" son corps et avait commencé mon éducation. Je l'en remercie encore aujourd'hui.

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Voilà, vous savez tout ou presque de ma première fois.

Peut-être avez vous trouvé le texte trop long ?

S'il est coupé, c'est parce que mon PC limite les caractères dans chaque post. Si vous avez un moyen de régler le problème, merci de me le faire savoir.

Si le récit vous a plu, dites le moi. Si tel est le cas, je vous raconterai mon histoire avec Marie, la deuxième fille qui a compté.

Marie, c'est elle qui m'a fait découvrir les plaisirs du sexe...

A bientôt

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