Première éjaculation avec une femme

[AsMoth 257]

Anne-Laure

J’avais dix neuf à l’époque. Mon frangin en avait vingt huit, et sa petite amie – bientôt fiancée – Anne-Laure en avait tout autant.

Très souvent, ils venaient passer le samedi soir à la maison familiale ou je vivais encore. Ils dormaient sur place, mangeaient le midi en famille, puis reprenaient la route ensuite.

Anne-Laure était une femme sublime : cheveux châtains lui arrivant plus bas que les épaules et surtout de longues jambes et un cul de rêve. Clairement, elle m’excitait beaucoup, et m’intimidait également, bien qu’elle se comportait avec moi le plus simplement du monde.

Ce dimanche matin, alors que ma mère était partie faire les courses et mon frère et mon père étaient partis faire un tour en auto, je me retrouvais seul à larver dans le salon, en calbute, regardant la télé. Je me croyais vraiment seul, tant aucun bruit ne régnait dans la maison. J’entendis soudain des bruits de talon. Tiens, Anne-Laure est ici ? me demandai-je. Et bien oui. Quelques minutes plus tard, elle descendit et arriva dans le salon. Elle me fit bonjour. Moi, je restait bouche bée. L’été favorisait les tenues légères, mais là, Anne-Laure avait sorti une minijupe noire très très courte, avec un top noir également qui moulait magnifiquement les formes de son corps. J’étais assis dans le fauteuil situé à gauche du canapé. Elle vint s’asseoir à l’extrêmité droite de celui-ci. Elle me demanda ce que je faisais. Je lui répondis un « rien de spécial » à demi bafoué, tant je restais fixé devant la vue de ses belles jambes, superbement mis en valeur par des talons aiguille à lacet remontant jusqu’en haut de ses chevilles. J’avais surtout une demie érection qui prenait forme sous mon caleçon fin et léger. Je me demandai même si Anne-Laure ne s’en était pas aperçue, ses yeux s’abaissant un instant au niveau de mon entrecuisses. Assise sur le bord du canapé, le corps cambré, sa minijupe s’était retroussée. Anne-Laure se tenait de profil, me présentant ses belles cuisses qui me rendaient fou. Sa minijupe lui arrivait au ras des fesses. Heureusement qu’elle était assise ! J’imaginais que sa chatte touchait le cuir encore froid du canapé. Moi, je me sentais de plus en plus à l’étroit dans mon caleçon. Je me mis à bander dur. Là, c’était sur, Anne-Laure l’avait remarqué. Ses yeux restèrent rivés plu d’une seconde durant sur mon sexe. Elle passa sa main le long de sa cuisse droite, telle une caresse, pour me figer.

Un léger sourire aux coin des lèvres, elle croisa enfin les jambes en prenant un magasine, tandis que la télé tournait maintenant à vide pour personne. Ainsi assise, elle se mit plus dans l’axe face à moi. je voyais donc la jonction de ses cuisses malheureusement restées serrées. De par cette position, et vu la petite taille de sa jupe, ses cuisses étaient quasiment complètement dénudées de ma position. louchant dessus, je fixais la jonction de ses cuisses… mais oui ! purée ! un mince trait noir se distinguait, cela ne pouvant être qu’un string. Voilà maintenant que mon cœur battait à la chamade et envoyait sous pression mon sang chaud dans mon sexe qui était gonflé comme jamais. Anne-Laure lisait sa revue, pouvait-elle me voir ? … je voyais et sentais ma belle queue de dix neuf centimètres hoqueter sous les effluves de sang. Mon gros gland ne demandait qu’à sortir, qu’une caresse. Possédé et excité par la vision de l’entrecuisses de la belle Anne-Laure, je ne pus résister. C’était malsain mais comment résister : je saisis mon sexe à pleine main par-dessus mon caleçon pyjama et sentis à ce moment précis combien je bandais fort. Pire encore, je sentais mon gros gland très humide, d’une mouille épaisse. Il fallait absolument que je le libère. Honteux et excité, je passai ma main par la petite jambe de mon caleçon et mis ma belle queue le long de ma cuisse. Je sentis à quel point elle était brûlante de désir. Les yeux d’ Anne-Laure vacillèrent, je ne sais si elle me vut… mais le cœur battant à rompre, je n’en pouvais plus, je me décalottai enfin. Mon frein, resserrant la base de mon gland, me fit littéralement fondre. Ma tête chavira un instant en arrière. C’est là qu’ Anne-Laure se rendis compte de ce que j’étais en train de faire : ses yeux se rivèrent sur ce qu’elle devait voir, à savoir mon gros gland luisant de mouille. La regardant, elle baissa les yeux. Je vis aussitôt ses joues se mettre à rosir, puis à rougir, tandis qu’elle se tortillait l’arrière-train sur le canapé, toujours cuisses serrées. C’est à ce moment là que j’eus l’impression de « déconnecter ». Une force au-delà de la raison et de la folie : une loi de la nature. Planant à moitié, je mis un peu de salive dans ma main et me mis à caresser mon sexe en érection totale, discrètement, devant Anne-Laure. Je feignais regarder la tv de temps en temps pour ne pas éveiller les soupçons. Mais mon cœur battait à rompre, mon sexe, plus gonflé et humide que jamais, menaçait à quant à lui d’exploser. Chaque glissade de l’un de mes doigts sur mon gland me procurait un plaisir d’une intensité indescriptible. Anne-Laure me faisait mouiller et bander très fort. Les traits de son visage semblaient se durcir. Allait-elle se mettre en colère ? je ne savais pas. Je m’en moquait. Mon état me faisait planer. Seule la vue de ses longues jambes et de son entrecuisses me préoccupait. Anne-Laure ne bougeait plus, si ce n’est qu’elle semblait essayer de remonter sa cuisse, qui revenait à chaque fois à la même place. Je me demandais vraiment ce qu’elle pouvait penser ou ressentir. Déconnecté du monde et de ses bien-séances, j’avais maintenant ma belle queue toute entière à l’air. Je la tenais dans ma main, remuant discrètement mes doigts qui ne pouvait la masquer en totalité.

Je restai immobile lorsque Anne-Laure finit son magasine. Elle le referma, me lança un regard droit dans les yeux, avant que les siens ne retombent et se figent sur ma belle queue de laquelle j’avais ôté ma main quelques infimes instants. Elle dut voir mon gros gland en fusion ainsi que mon membre en quasi-totalité. Se remettant de profil, elle passa sa main dans ses cheveux en reluquant mon sexe en érection, offert à ses yeux. Elle lâcha une profonde inspiration en semblant retrousser sa minijupe.

C’est à ce moment là qu’elle pivota sur elle-même afin de poser son magasine sur la petite table située à côté du canapé, à sa gauche. Jambes fléchies et se penchant en avant en posant mon avant bras sur l’accoudoir, Anne-Laure se présenta donc son cul et sa chatte, sa minijupe s’étant complètement retroussée. Elle feint chercher un magasine, comme si elle n’avait pas senti sa minijupelui glissant jusqu’en haut de ses fesses. Moi, je devins fou. Anne-Laure portait un string noir en nylon transparent qui recouvrait sans les masquer les jolies lèvres lisses et sans poils de sa belle chatte. Son cul, lui, était lisse et ferme. A la vue se des parties intimes, je ne pus me retenir. Je retroussais mon caleçon de façon à voir ma queue et les boules à l’air et je me mis à me palucher sans retenue ni pudeur aucune, ma grosse queue fièrement dressée à la verticale, lâchant même des râles de plaisir. Sans mot dire, Anne-Laure tourna sa tête en ma direction. De toute façon j’étais cuit. Dans une pulsion incompréhensible, je me levai et me dirigea vers elle et collai ma grosse queue à la verticale entre ses fesses, la faisant frotter contre sa fente et le long de sa raie culière. Anne-Laure ne dit toujours rien, elle ne se contenta que d’hoqueter au plaisir de sentir ma barre de chair dure et chaude s’écraser contre les lèvres de sa jolie chatte. Quel plaisir ce fut de caler mon sexe en érection totale entre ses fesses. Je sentais l’humidité de sa fente traverser le nylon fin de son string. Anne-Laure me regardait tantôt dans les yeux, tantôt les rivait sur ce qu’elle voyait de notre plaisir : mon gland en fusion montant et descendant entre ses fesses. Je m’arrêtai alors un instant. Anne-Laure se mit à bouger ses fesses de gauche à droite, comme pour mieux sentir encore mon gros chibre frotter contre ses intimités. Puis, je vis sa main droite passer derrière elle et venir se poser sur mon gros gland. Anne-Laure semblait de plus en plus excitée. Remuant maintenant de haut en bas pour me masturber avec ses fesses, elle porta sa main à sa langue pour la mouiller de salive, et se mit aussitôt après à caresser mon gland en fusion. Moi, je n’en pouvais plus. Me regardant droit dans les yeux, Anne-Laure lâcha un gémissement avant de me lancer : « Huummm… j’aime ta grosse queue ! ».

Et là, je ne comprendrais jamais ce qui NOUS est passé par la tête : devenu fou à sentir ainsi pour la première fois la main d’une femme caressant mon sexe, je retroussai sa minijupe complètement et saisissant son string, je l’abaissai d’un seul geste, à presque le déchirer, mettant la belle Anne-Laure qui m’intimidait temps le cul et la chatte à l’air. Elle se retrouvai (malgré elle ?) à genoux sur le canapé, sa rondelle et sa fente outrageusement offerts. Je ne pus m’empêcher de lécher cette drnière à pleine langue, faisant gémir Anne-Laure comme une mauribonde. Après quoi, je montai sur le canapé, nu, pour pénétrer Anne-Laure. Elle sentit alors mon gros gland caresser et glisser contre les lèvres de sa jolie chatte, puis contre sa vulve bien offerte. Je m’introduisis en elle d’un seul trait, la bite dure comme un roc. Anne-Laure cria, s’attrapa la tête. Moi, je râlais aussi. Soudain, Anne-Laure posa sa main contre mon bassin de façon à me stropper, puis, je ne sais pour quelle raison, retira ma queue prête à exploser – malgré les quelques coups de queue donnés – et la dirigea vers sa rondelle. J’en fis les yeux ronds. Elle se justifia par un « viens plutôt par là ». Je ne posai aucune autre question. Je réussi à introduire mon gros gland dans sa rondelle serrée et brûlante. Les râles d’ Anne-Laure me rendirent dingue. Je me mis à bouger plus difficilement par cet orifice avant d’exploser en lui. Je me vidai littéralement les couilles en restant immobile. Anne-Laure semblait être dans un autre monde…

Cet ébat est depuis lors notre terrible secret. Il a décrit mes sensibilités et attraits en matière de sexe pour toujours…

asmoth@hotmail.fr

[Guest Anonymous]

Si bien écrit qu'elle procure cette sensation forte dans un désir latent que je ne peux résister a me caresser...

Vraiment chaud... j'Adore... merci de ce partage.... aucune morale viendra suivre ton récit. :aime2:

[mysterya 8]

Impossible à lire, un pavé. Fais des paragraphes la prochaine fois.

Et , pas d'adresse mail dans les posts :aime2:

[Guest Anonymous]

Roooooooo mais j'ai très bien lu moi ce pavé.... de bout en bout sans arret... Si bien décrit exprimé...

Faut pas etre trop dur avec lui.... :aime2:

[mysterya 8]

Je ne suis pas dure, j'ai lu le début et après 10 lignes j'ai lâché, ça fait mal aux yeux, je suis désolée.

[AsMoth 257]

hello, as tu lu mon dernier commentaire de l'article :

http://www.forum-intime.com/confession_intime/plaisir-en-lieux-publics-obsenite-ou-depassement-de-soi-t19321.html#469983

qu'en penses tu ?

[Waka 1]

J'ai déjà lu certains de tes récits, et pas que sur ce forum.

Un truc me dérange un peu, c'est qu'à chaque ligne tu te sens obligé de mettre des "ma grosse queue, mon gros gland, mon énorme sexe"..

Pourquoi insister autant? Le texte est bon mais je trouve que ça gâche trop...

Et bizarrement, ça revient dans chacune de tes histoires...

[Guest Anonymous]

je suis de l'avis de waka. tres sympa mais tu fais un peu trop la promotion de ton sexe

[Guest Anonymous]

Il surestime son sexe pour en jeter un peu plus.... Il faut juste qu'il apprenne a modérer ses qualificatifs... car le reste est vraiment bon... :aime2:

[Cubi45 601]

je suis de l'avis de waka. tres sympa mais tu fais un peu trop la promotion de ton sexe

C'est plus de la promo à ce stade c'est les soldes. :aime2:

[sweety-cacahuete 15]

Moi c'est surtout ça qui m'a fait ouvrir grand les yeux : 'sentais ma belle queue de dix neuf centimètres "

à part ça j'ai beaucoup apprecié ton texte, j'y ai senti l'attente de savoir si la jeune femme allait répondre à tes désirs :wink:

[AsMoth 257]

hello,

je veillerai à corriger ce défaut dans mes prochaines parutions, promis !

(c'est juste que celui qui écrit doit se donner du plaisir dans son écriture... la "grosseur" n'est pas à comprendre dans le sens : wouah, je me vente vous avez vu (d'ailleurs il n'y a rien à voir, c'est du texte !) mais dans le sens : bordel ce que cette situation m'excite, jamais mon sexe n'a été aussi dur, aussi gonflé.

Tout reste relatif, je ne suis pas doté d'un tronc d'arbre ne ne croit pas l'être, je vous assure !

je veillerai donc à plus orienter les descriptions par rapport à ce que je veux en faire (et que donc ce ressenti soit partagé par toutes zé tous ! ).

Merci en tout cas pour vos réactions. Confronter ses textes et expériences à l'avis du monde extérieur n'est pas forcément chose facile. Merci pour votre attention et votre compréhension ! :aime2:

[Tobyking 1]

Et soyez cool avec le jeune padawan, il débute.

Et même s'il n'a pas encore le style et qu'il insiste lourdement sur son petit lance roquette, qui viendra dire que ce texte ne vous a pas rendu tout chose.

[sweety-cacahuete 15]

Et soyez cool avec le jeune padawan, il débute.

Et même s'il n'a pas encore le style et qu'il insiste lourdement sur son petit lance roquette, qui viendra dire que ce texte ne vous a pas rendu tout chose.

Je suis loin d'avoir dit le contraire...

J'éspère qu'il continuera d'écrire même.... :oops:

[Guest Anonymous]

tres belle experience mais avec des paragraphes c'est beaucoup mieux.

[AsMoth 257]

je me demandais... : quel plaisir différent/supplémentaire à se faire éjaculer dans la rondelle plutot que dans le vagin ? :aime2:

[Guest Anonymous]

Ça, ça prouve que tu ne l'a jamais fait dans le petit trou...

Et moi j'ai bien aimé ton écrit.... et la grosseur de ton membre ne m'a pas arrêter....

J'ai meme tres fortement apprécié.... :aime2:

[Guest delphine33]

moi aussi mais rêve ou réalité???

[AsMoth 257]

merci merci chattine... ça me touche bcp.

quand je posai cette question : pour la femme : quelle différence entre le "petit trou" et le vagin ? ce dernier n'est-il pas plus sensible ?

au fait, tu n'as pas de mail ?

(snif snif, étant nouveau et n'ayant pas encore 10 MP, je ne peux ni en envoyer, ni consulter mes 2 malheureux MP...

)

[Guest Anonymous]

Maintenant tu peux écrire a qui tu veux....

Mmmmmm le petit trou plus étroit... procure sensation mitigés qui font autant jouir.... l'étroitesse y est pour quelque chose.... Mais oui, c'est au départ douloureux.... Comme un vagin fortement étroit.... et ce, ça dépend des gouts en matière de plaisir sexuels. J'ai été longtemps a croire que c'était affreux et dégoutant....

[Kirah 13]

:wink: trop chaud !

malheureusement, je n'ai jamais eue l'occasion de me faire éjaculer dans le petit trou.

J'ai top peur que ça soit désagréable ensuite... les filles, ça fait comment ? "inconvénient" ou pas ? :wink: