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Faites des rencontres coquines près de chez vous

misslau

Soirée chaude en boite

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[Je tiens à préciser que cette histoire est fictive, et n'est que le fruit de mon imagination débordante donc si parfois ça vous semble iréel c'est normal :P Mais soyez indulgent, car je n'écrit pas souvent ce genre de récit, et je sais que c'est pas forcément bien, surtout que c'est un peu long à démarrer, mais j'ai encore plein d'autre idées que je ferais figurer dans d'autre post, et je vous préviens au fur et à mesure je vais faire en sorte que ça soit de plus en plus trash hihi]

J'avais ce soir là, décider de sortir faire la fête et danser en boite, comme souvent j'adorais le faire. J'avais pris soin ce soir là, de mettre une petite robe noire et des talons haut, à la fois sobre et sexy.

C'est en entrant que je vois que la soirée bas déja de son plein. La musique résonne, et j'aperçois quelque couple en train de se bécoter sur la piste. Tout ça me donne bien envie, moi qui suis venue seule et célibataire. J'ai toujours détester la solitude, et mon côté fleur bleue, fait sans doute que je n'aime pas voir les couples quand moi je n'ai personne. Heureusement, pour remédier à ce petit mal être du moment, je décide d'aller au bar, me prendre quelques verres. Marco, le serveur, semble être ravit de me voir seule ce soir. Il faut dire que j'ai vraiment l'habitude de fréquenter cette boite de nuit, c'est pour ça qu'il m'a souvent vu, accompagnée d'ailleur, et que disons il commence à me connaitre plutôt bien.

Marco est ce genre de type, très agréable et chaleureux, qui a le contact facile avec n'importe qui, et qu'il faut avouer, est beau comme un Dieu. J'avais toujours penser que ce bel italien avait un charme fou, et j'avoue, que si j'avais été célibataire à l'époque où je l'ai connu, j'aurais forcément tenter quelque chose. Mais maintenant, il est comme devenu une sorte d'ami. Enfin, il m'est tout de même arrivé de fantasmer sur lui, j'avoue.

Comme à son habitude, il m'offrit plusieurs verres, car il voyait bien que ce soir là, j'avais envie de m'amuser. A force de passer mon temps à étudier, je n'avais pas pris la peine de faire des folies depuis un moment, et là sur le moment, l'alcool commençait à provoquer une sorte d'effet libérateur sur moi. Je n'avais pas penser au sexe depuis plusieurs semaines, mais là d'un coup, en regardant un couple se peloter, je commençait à m'éprendre de quelques envies, et pas des moindre.

« Si tu veux faire pareille ma belle je suis partant, rien qu'en te regardant dans cette petite robe noire, j'ai envie de te fourrer ma bite un peu partout. »

Un homme vint à m'aborder, et je fut surprise sur le moment, d'entendre de telles obsénités. Non pas que je sois du genre coincé et timide vous savez, mais en le regardant, bourré et puant la bière à 2 kilomètre, cet homme me répugnait. Je le repoussa, d'un geste ferme, mais le boulet ne semblait pas vouloir lâcher prise.

« Fait pas ta timide petite salope, je suis sur que tu n'a pas mit une robe aussi courte pour rien...»

Non mais pour qui se prenait-il? Ni une ni deux je le giffla, pour la simple et bonne raison que je n'acceptait pas qu'on me parle dans un tel contexte de cette façon. Apparement il ne sembla pas apprécier mon geste. Ah les hommes bourés, rien de plus pénible! Heureusement, Marco qui était dans le coin s'approcha de lui, l'empoigna et le fit reculer, tel un chevalier servant prêt à me sauver. Son geste héroique, le rendit encore plus sexy qu'il ne l'était déja, et avec son sourire à tomber par terre, il vint ensuite s'approcher de moi et me murmurer quelque chose à l'oreille. « La prochaine fois qu'on te traite ainsi, je n'hésiterait pas à frapper. » Je ne put m'empêcher de sourire à cette remarque, ce qui n'échappa pas au yeux du beau Marco. « J'ai bientôt finit mon service, si tu veux on pourra passer la soirée ensemble après...» Me dit-il, toujours avec ce même sourire. Face à une telle proposition, je ne put m'empêcher d'accepter immédiatement, même si je ne savais pas du tout quelle était la nature de soirée qu'il comptait passer. Et oui, n'oubliez pas que je n'avait pas fait l'amour depuis plusieurs semaine, autant vous dire que j'était en état de manque, et la présence de Marco et sa proposition, n'arrangea rien à mon cas, donc forcément, des idées perverses me vinrent à l'esprit.

Alors, qu'il retourna travailler, me fesant un clin d'oeil du comptoir, je m'installa sur un petit canapé, mis à disposition, non loin du bar où il était, et où je pouvais le mater sans aucun problème. J'avais chaud! Horriblement chaud et l'alcool commençait à me monter à la tête et à mettre tout mes sens en éveil. Je savais que Marco, d'où il était, pouvait me voir et me regardait du coin de l'oeil. J'avais eu la chance de trouver un endroit sur le côté, assez isolé, et éloigné de tout les pervers ambulants qui ne m'intérèssait guère. En attendant que le bellâtre aie finit son service, la soirée s'annonçait longue pour moi. Car là, la seule envie que j'avais était d'être avec lui. J'avais la tête qui commençait à tourner, il ne vallait mieux pas que j'aille danser, et puis j'était plutôt pas mal calée ici. Tranquille, je laissait mes pensées divaguer dans tout les sens, étant toujours dans cet état de manque. Je regardait Marco, servir à boire aux clients, aperçevant même d'ici la sueur couler sur son front et ne pouvant détacher des yeux ses muscles saillant qui apparaissaient à travers son tee shirt. Quel homme! Un vrai plaisir pour les yeux, et ce spectacle, m'exita de plus en plus. Sans même m'en rendre compte, j'étais entrain de mouiller dans ma petite culotte. On peut dire qu'il me fesait vraiment de l'effet celui-là! Sans réfléchir, je glissa doucement une main sous ma petite robe, pour aller jusqu'à mon entre-jambe. Effectivement, j'était déja bien mouillée et cette constatation, ne fit qu'augmenter ce désir de sexe qui sommeillait en moi. Je le regardait toujours, et m'imaginait dans ses bras. Faire l'amour avec lui devait être le pied total! Rien qu'à la pensée de sa queue entre mes cuisses, je sentit ma chatte s'humidifier encore plus. Bon tanpis, plutôt que de ne rien faire, je décida qu'il fallait que je m'occupe. J'écarta de ma main toujours au même endroit ma culotte, pour commençer à caresser mon clitoris, le fesant tournoyer entre mes doigts. Hum, un vrai régal. Je ne sais pas si c'était l'alcool, ou l'envie, mais je ne me sentait pas du tout d'assaut à m'arrêter, même si j'était dans un lieu public et que quiconque qui s'attardait à me regarder, pouvait voir le bien que je me fesait. Mais tout cela ne m'importait guère à vrai dire. Mes pensées étaient occupés par moi et Marco. Finissant par glisser un doigt, je me plaisait à imaginer la taille de sa queue. Si elle suivait son gabarit, elle devait sans doute être bien grosse et forte. Oups. Voilà que maintenant, c'était deux doigts que je m'était mis. Sacré cochonne que je suis!

Au loin, je finit par apercevoir, que le bellâtre me regardait. Je me demandait si d'où il était, il pouvait voir mon petit manège. N'ayant plus vraiment de pudeur sur le moment, ça m'importait peu, la bête de sexe qui sommeillait en moi était bien réveillé, et je continuait à me doigter comme il le fallait, n'ayant qu'une seule envie, qu'il vienne me rejoindre.

Les minutes défilèrent, je n'avait même plus conscience du temps. Mon coeur, s'embala, lorsqu'au bout d'un moment, je le vit arriver vers moi. Et en plus je ne rêvait pas! Comme si mon souhait du moment, venait à se réaliser, il s'approcha de moi. Son sourire me fit craquer, et c'était certain que de là, il voyait nettement la main coquine cachée sous ma jupe.

« Tu t'amuse bien? » Me dit-il avec un regard pétillant de malice. Avant même que je n'eu le temps de répondre, il repris de nouveau la parole. « J'ai demandé à mon patron de finir plus tôt. Cas de force majeure oblige! » Il souria de nouveau en me dévisageant. Je ne semblait pas comprendre pourquoi il venait de dire ça, et mon regard interrogateur, le fit de nouveau sourire, et il se hasarda à répondre à mes questionnements du moment. « Je ne pouvais pas te laisser seule plus longtemps...J'ai bien vu que tu es en train de te doigter depuis tout à l'heure, ça m'as rendu fou...Fou parceque j'aimerais tellement prendre la relève...» Mon coeur s'emballa. Quelle chance! Il avait bien fait de me dire ça, puisqu'aussitôt dit, aussitôt, j'enleva ma main, et me me rapprocha de lui, installé à côté de moi. Je frémissa quand je sentit sa main chaude et douce venir me caresser une cuisse, puis avancer timidement jusqu'à ma grotte en feu. Il caressa ensuite le tissu de ma culotte trempé, et l'écarta pour insérer son index dans mon vagin. Hum quel délice. Il devait bien constater à quel point j'était exitée vu l'état de ma petite chatte. Je me rapprocha alors un peu plus de lui, assise bien en face, et je ne put m'empêcher de passer ma main sur la bosse qui se formait à travers son jean. Ni une ni deux, je le regarda et ouvrit sa braguette pour venir glisser ma main dans son boxer, et attraper l'objet que je convoitait tant. Ce qui ne fut sans doute pas pour lui déplaire. Je le voyait, il bandait déja, et je fut ravie de lui avoir produit cet effet aussi rapidement.

On resta sans doute plusieurs minutes ainsi, il fesait tournoyer ses doigt dans mon intimité, et moi je le branlait. Le volume imposant de sa queue sous ma main, me donnait plus qu'envie de me la fourrer un peu de partout. Mais je dois dire, que pour moi, ces débuts semblaient être quelque peu timide. Je ne pouvait pas lui en vouloir, puisqu'il était sur son lieu de travail après tout, et pouvait être surpris à tout moment. Mais bien sur, j'était trop exitée pour m'en tenir à de simple caresse. « C'est où les toilettes? » Lui demandait-je subitement. Je put apperçevoir un sourire sur le coin de ses lèvres, espérant bien qu'il avait compris mes intentions...« Suis moi ma belle. » Dit-il en se levant, enlevant sa main de mon sexe, et remontant sa braguette au passage. Sa voix chaude et suave m'exitait au plus haut point. Imaginez dans quel état j'allait me retrouver par la suite à ce stade là...

Après avoir traversé la boite de nuit, nous arrivâmes enfin dans les toilettes. On se dirigea dans ceux des hommes, car généralement, c'est là qu'il y avait moin de monde, et je savais que là, on aurait moin de chance d'être surpris....Aussitôt qu'il eut refermé la porte derrière nous, le gentil Marco timide que je connaissait, se transforma complètement. Il se rua sur moi et vint me soulever pour me faire assoir sur un des lavabos, et il commença de façon très rapides à m'embrasser de partout. Cette réaction sauvage, ne put que me faire plaisir, moi qui adorait que les hommes soient ainsi avec moi. « Tu m'a trop exité tout à l'heure ma belle, je bandait derrière le comptoir, rien qu'à la pensée que tu était à quelque mètres entrain de te faire du bien. » Me dit-il entre plusieurs baisers, en collant par la suite ses lèvres au miennes, et en venant glisser ses mains sous ma robe pour faire glisser ma culotte. Ni une ni deux, il vint de nouveau insérer son index en moi pour venir le faire tournoyer dans tout les sens de façon très rapide dans ma chatte. Hum! Quel bonheur! Il commença à y insérer d'autre doigt, et je ne put m'empêcher de gémir. « Baise moi Marco! Je voudrait que tu me prennes, ici, et comme bon te semble, tu m'exite trop! » Lui dit-je sous l'effet de ces caresses. « Le pervers avait raison...Tu n'as pas mit une robe aussi courte pour rien. » dit-il coquinement « Oui c'est vrai, mais de toute façon, courte ou pas, j'avais fortement envie que quelqu'un vienne me l'enlever ce soir...» Dit-je d'un air sensuel, alors qu'il retira sa main, et ne se fit pas prier pour l'enlever. J'enroula alors mes jambes autour de son bassin, pour me rapprocher et il vint dégraper mon soutient gorge, pour par la suite, venir me dévorer les seins. Je passa mes mains sur sa nuque, et colla mon sexe mouillé carrément contre son jean dur, je sentait qu'il bandait déja très fort...

L'adrénaline me monta au cerveau, et je le fit reculer d'une main, pour ouvrir une porte de toilette, et j'abaissa la cuvette pour qu'il puisse s'y assoir. D'une traite, je lui retira son jean, puis son boxer, et je libéra son sexe tendu, et appétissant comme jamais. La cochonne que j'était, était plus que jamais réveiller en voyant se dard qui devait faire des miracles et que j'imaginait déja dans tout mes petits trous. Il s'installa, le sourire au lèvre, il avait bien compris le sort que je comptait lui réserver. Je ne tarda pas à attraper sa queue d'une de mes mains, à genoux devant lui, et pour commencer doucement et le rendre fou, je lécha juste son gland en le laissant à l'entrée de ma bouche...Le supplice devait être rude pour lui puisque je resta quelque minutes ainsi, sans aller plus loin...Puis commençant à m'impatienter à mon tour, d'une traite, je finit par gober cette belle bite de tout son long. Autant dire, que j'avais vraiment du mal à la faire rentrer, et c'est presque si elle m'empêchait de respirer...Mais bon sang, qu'est ce que j'adorait faire ça! Cette situation, et Marco, était plus qu'exitant. Il commença à agripper mes cheveux, me plaçant dans une position de soumission. Pourtant, là c'était moi qui avait les commandes de cette fellation, je m'amusait à rentrer et sortir sa bite de ma bouche, assez doucement pour le perturber, laissant parfoit que son gland dans ma bouche, puis petit à petit je commença à accélérer, le fesant pousser des soupir rauques, et des long râles de plaisir. Ma langue tournoyait sur lui, alors que mes mains et ma bouche allait et venait sur son engin, j'y prenait du plaisir à le faire, et puis je savait très bien par expérience, qu'en commençant à lui faire du bien, il me rendrait la pareille...La soirée n'était pas prête d'être finie, ça c'est certains...

[A suivre]

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Guest personne33

:bisou: la suiiiiiiiiiittttttttttteeeeeeeeeee stp :wink:

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Hé bien, ma belle, on peut dire que tu m'as mis dans tous mes états moi aussi :bisou:

Hâte de lire la suite !

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wow, plutot sympa ce petit récit.

Dommage que ce soit que tu fictif, meme si j'arrive assez bien à imaginer la scène :bisou:

je veux la suite biensur

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Marco et moi étions toujours dans les toilettes, visiblement il semblait apprécier cette fellation que je venais de lui faire. Mais je finit par me stopper au bout d'un moment. Pour la simple et bonne raison que je n'avais absolument pas envie qu'il envoie la sauce tout de suite. Je le sentait dur comme jamais, et je comptait bien profiter de tout cela.

« Vas-y Marco, prend moi...» Ne put-je m'empêcher de lui demander, à genoux, lui lançant un regard de chienne. Cela le fit sourire. Je me releva, et c'est à se moment là qu'il me plaqua contre la parois des toilettes. Il en profita pour retirer son tee-shirt et nous nous retrouvîmes nu, nos corps plaqué l'un contre l'autre, et bien entendu exités. Il dévora une nouvelle fois mes seins comme tout à l'heure, d'une façon bien à lui, en me mordillant tantôt le téton. J'adorais ça, et je comprenais parfaitement qu'il voulait me faire patienter comme j'avais fait avec lui tout à l'heure...« Supplie moi ma belle de te baiser, je veux te l'entendre dire. Je te connais, et d'après certaines rumeurs, tu serais une véritable bête de sexe. Viens me montrer la cochonne que tu es. » Me dit-il, en collant sa queue contre ma chatte, un vrai supplice de ne pas la voir entrer tout de suite. Il me rendait folle, folle de désir, et je me retrouvait à sa merci. Dans ce genre de situation, j'était vraiment capable de tout faire pour qu'une bite comme ça vienne me démonter, et je dois avouer que le supplier ne me dérangeait pas. Je pris d'ailleurs ma voix de salope, vraiment salope...pour le rendre fou, je savait que les hommes adoraient quand je me lâchait ainsi, et que je perdait toute mes limites. « Je t'en supplie Marco, prend moi, baise moi, défonce moi ma petite chatte, et même le cul s'il le faut, fait de moi tout ce que tu veux, mais fait-le. » Dis-je tout en étant assez crue dans mes paroles, mais j'adorais dans ce genre de situation parler de cette façon, et puis je savais que c'était un moyen d'obtenir ce que je voulais...« A tes ordres petite cochonne, puisque tu le désire tant, je vais te prendre dans tout les sens alors...» Me dit-il d'un air pervers, les yeux pétillant en me fixant, il voyait bien que j'étais trempée et que je mouillait depuis tout à l'heure, j'espère qu'il allait prendre ça en compte et venir s'enfoncer là tout de suite...Malheureusement, le petit Marco était tout aussi joueur, qu'il cachait bien son jeu. Moi qui l'avait toujours vu comme timide et posé, je ne l'aurais jamais imaginé aussi vicieux, mais j'adorais ça. C'est dingue, tout m'exitait en lui, et le moindre de ses faits et gestes me rendaient susceptible de mouiller encore et toujours plus.

Plutôt que de commencer, il se hasarda à frotter sa main sur mon sexe, appuyant sur mon bouton de plaisir, ce qui eu pour effet de me faire crier direct. Je n'avais pas conscience que des personnes pouvaient rentrer et pouvaient m'entendre, à vrai dire, rien d'autre que ce moment, ne pouvait compter...Marco finit par retirer sa main de mon intimité, et me la présenta. Avant même de reçevoir ces ordres, je la lécha et avala ma cyprine au goût sucré. Il devait adorer regarder ce spectacle, puisque j'avais à chaque instant, l'impression qu'il bandait encore plus fort. Et c'est sans que je m'y attende, qu'il souleva une de mes cuisses et l'enroula autour de sa taille, puis vint me pénétrer d'un coup sec. Encore une fois je ne pu m'empêcher de crier mon plaisir, cette sensation de volume entre mes jambes, était tellement divine. J'était tellement mouillée qu'il n'eut aucun mal à rentrer, mais n'empêche que j'avais l'impression qu'il venait d'écarter ma petite chatte en deux avec cette si grosse queue...Il ne tarda pas à commencer de véritables coup de butoir, n'y allant pas de main morte, ça c'était certain. A ce rythme là, j'étais bien partie pour jouir sous peu, moi qui adorait ce petit côté bestial chez un homme, à condition que cela reste sensuel, et Marco semblait répondre à ce fabuleux mélange. Le bellâtre était en train de me donner de grand coup secs, à tel point que cela me propulsait contre la paroi froide, qui contrastait avec mon corp qui était des plus chaud. La position était loin d'être confortable, mais le plaisir primait sur ce côté là. Sa bite allait et venait dans mon vagin, comme un ramoneur viendrait le faire avec une cheminée, il me bourrait la chatte et j'en oubliait presque qui j'étais. « Hum!!Continue! Défonce moi! » Ne cessai-je de lui répété. La bête que j'étais était bel et bien réveillée, et comme à mon habitude, je n'hésitait pas à crier franchement ce que je pensait, quitte à être vulgaire, mais a vrai dire je m'en fichait bien de l'être ou pas. La jouissance, finit enfin par arriver, Marco allait de plus en plus vite, tel un bourrin, il me rendait totallement à sa merci. « Prend ça ma salope. » Me disait-il en me donnant à chaque fois un coup de queue puissant. C'était presque iréel tellement c'était bon. Ce genre de situation m'avait toujours fait fantasmer, et voilà que ça se réalisait, je ne pouvait pas être plus comblée. Et là c'était le cas de le dire. L'orgasme que j'était en train de vivre était inoubliable, ma cyprine coulait à flot sur sa bite chaude qui me remplissait le vagin qu'elle venait de marteler...« Tu as aimé hein? Dit moi que tu en veux encore cochonne! » Me susura-t-il à l'oreille, d'une voie à la fois douce et sauvage, me rendant une nouvelle fois complètement dingue. Je venait de vivre un des meilleurs orgasme de ma vie, et le plaisir ne semblait pas être finit pour le moment. « J'en veux encore Marco...» Lui dit-je. Avant même de le laisser terminer, je me glissa sur le côté, avec bien entendu une idée en tête..

C'est ainsi que j'eu l'idée de venir me mettre à quatre patte sur le sol de ces toilettes. J'avança et je tournoya par terre, sous son regard amusé et provocateur. Bien entendu, c'était une invitation, et je m'arrêta quelque seconde après, lui présent mes fesses que je venait à caresser...Il n'hésita alors par une seconde à venir se mettre à genoux derrière moi, collant sa queue chaude et dure contre mes fesses, ce que j'adorait. Je tourna la tête en sa direction, pour bien lui montrer mon regard de cochonne, j'étais vraiment prête à tout.Encore une fois je perdait toute mes limites, allant jusqu'à me libérer totallement. « Viens m'enculer Marco...» Il ne fut même pas surpris par mes mots, crus, c'est vrai je dois l'avouer, mais le feu de l'action, m'empêchait de réfléchir correctement et me fesait sortir des obsénités. Je n'était plus cette étudiante aux apparences sérieuses et timides, j'étais cette petite salope, prête à tout pour se faire baiser et se faire sodomiser. La pénétration anale, n'était peut être pas de mes préférés, mais ce soir, j'avais vraiment envie de me faire prendre par tout les trous...Marco, gardant son petit coté respectueux et attentioné qui me fesait vibrer, commença à mettre son index et son pouce dans mon anus afin de bien le préparer. Il s'y prenait avec extrêmement de douceur comparé à tout à l'heure, me caressant en même temps mes fesses d'un geste doux il agitait ses doigt à l'intérieur, pendant que moi je reprennait mon souffle, me remettant de l'orgasme précédent. Encore une fois, il fit jouer sur moi l'effet de la surprise, puisque sans que je m'y attende, il enfonça sa bite dans mon anus jusqu'à la garde. La douleur était atroce et terrible, mais le plaisir était tellement grand que je ne puis une nouvelle fois m'empêcher de crier tout mon plaisir à voix haute. Il commença doucement, afin que je puisse m'habituer à cette présence imposante dans mes fesses, qui d'ailleurs, j'avais l'impression qu'elles étaient entrain d'être écartées en deux sur le moment. Tout cela continuait de me faire mouiller à flot pourtant. Au fur et à mesure, il accéléra le mouvement, fesant revenir le sauvage qu'il était. Ce qui s'apparentait à des petit coup au début, devinrent de véritable coup de butoirs que je sentait bien passer au plus profond de mes fesses. J'en criait, et je le sentait près à exploser. Je me retourna vers lui, suante de plaisir, pour lui demander une dernière faveur après cet instant torride.« Viens gicler dans ma bouche Marco...»Je ne pouvait résister à l'envie de le gouter, et c'est ainsi qu'il se retira, et je me tourna vers lui pour avaler toute cette semence si délicieuse qu'il venait de déverser juste pour moi .

Ce fut un moment inoubliable pour moi, d'ailleurs, en rentrant, j'y pensa toute la nuit, ne pouvant m'empêcher de me doigter, seule dans mon lit, imaginant Marco venir de nouveau se nicher en moi...

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nice !

Histoire bien sympatique et plutôt bien écrite en plus héhé.

tout cela m'a excité au plus haut point :bisou:

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Sympa !

Il a bien de la chance le Marco ... moi mon patron m'a jamais laissé partir plus tot pour ces motifs là ^^'

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merci à vous pour ces compliments :wink:

Ahh si seulement Marco comme je l'imagine existait :wink: :bisou:

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