Petit poème...

[Khayman 24]

Une caresse, une rose. 

 

Une caresse a plusieurs visages. 

Elle peut être douce, aussi légère qu'une plume,

Lorsque d'une main timide je réveille tes sens.  

Et peut être brulante, comme la flamme qui s'allume,

Lorsque ces pas maladroits se transforment en une danse. 

Elle peut être agréable comme une pétale de rose, 

Qui glisse sur ta peau, libérant son parfum,

Attirant tes lèvres qui se mettent en osmose,

Au rythme de ton corps, en un instant divin.

La tige de cette rose, par tes lèvres est conquise. 

Tu l'accueilles, je souris, la danse devient jeu. 

Et lorsque je m'approche, et trouve ta bouche exquise,

Je n'ai plus qu'une envie, atteindre les plus hauts cieux. 

Cette rose voyage et effleure ton cou,

Devancée par mes lèvres qui fondent sur tes seins. 

Ses pétales tu le sais, veulent t'emmener au bout,

Et descendent sur tes hanches, faisant frissonner tes reins.  

Lorsque sa tige, câline, atteint tes lèvres fines,

Et que mes doigts curieux sentent ton désir monter,    

Cette tige monte à tes lèvres, gourmandes et félines,

Et je rentre en toi, dans ton regard plongé.  

Tes jambes relevées, et tes bras en arrière, 

Mon corps sur le tien, ma clé dans ton trésor,

Tu es à moi mon cœur, mais je te sais guerrière,

Ce qui decuple mon envie et rend mon rythme plus forts. 

Je ralentis un peu, et vois tes beaux yeux fixes,

Me demandant pourquoi ? s'il te plait n'arrête pas. 

Mais tu es si belle, je ne prends aucun risque, 

Je vole cet instant, et le grave au fond de moi. 

Maintenant je bouge, tout doucement d'abord,

Mes lèvres dans ton cou, savourant cet instant, 

Et glisse à ton oreille, arrêtant mon effort,

"Je veux ma petite salope, laisse toi faire maintenant".

Je t'entends alors gémir, sous l'effet de ces mots,

Tes lèvres cherchent les miennes et les trouvent aisément,

Nos langues s'entremellent, nous voici donc amants,

Et je coulisse alors dans ton cocon si chaud.   

Nos corps ne font qu'un, nos odeurs se mélangent,

L'envie est si forte, je ne suis plus un ange,

Mais un petit démon, qui se délecte en toi,

Et qui n'a qu'une envie, te mettre dans tous tes états. 

Tu releves tes jambes, je saisis tes chevilles,

Je me penche en avant, et vois que tes yeux brillent. 

Un baiser sur tes lèvres, tendre moment complice,

Sur ton visage se dessine un sourire, une esquisse. 

Je ne suis plus moi même, je ne me retiens pas, 

Tu es tout contre moi, secouée par nos ébats. 

Tes chevilles dans mes mains, cet instant est si beau,

Je te dis tourne toi, je veux voir ton dos.

A présent devant moi, tu me présentes ta croupe,

Je me penche en avant et te déguste, ma douce, 

Laissant ma langue jouer, et mes doigts t'explorer,

Tu ondules et te cambres, tu me fais rêver. 

A présent derrière toi j'ai une vue imprenable,

Tu te retournes et me regardes, tu te sais désirable. 

Mes mains sur tes hanches, sur tes fesses et tes cuisses,

Je te veux toute entière, toi, le plus beau des délices. 

Tu écartes les jambes ondulant doucement, 

Creusant ton dos pour moi, rajoutant du piment. 

Appuyée sur tes coudes tu m'attends, impatiente,

Je me présente à toi, te taquine, et rentre. 

Ton étau est si chaud, si doux, si bon,

Tu m'offres le paradis, je remercie cupidon. 

Je te prends par les hanches, et t'attire vers moi,

Cette sensation est si forte, je suis si bien en toi. 

Mes va et vient accellerent, et mes mains te caressent,

Je vois aussi sur ton dos quelques gouttes qui perlent. 

Nous avons chauds tous deux, mais j'en veux beaucoup plus,

Je veux nous mettre en feu, et te baiser en sus. 

Ces mots nous électrisent, et tu viens contre moi,

Faisant claquer tes fesses, tu es si belle Toi. 

Tu es sauvages je t'adore, mais tu arrêtes tout,

Tu prends ma main et me guides, vers ton tout petit trou. 

Je suis en toujours en toi, et j'ondule doucement,

Et laisse mon index glisser, je veux te titiller. 

Je t'effleure, je te frôle, je veux te rendre folle,

Et je m'immisce enfin, tu me rends heureux, amant.  

Je te découvre lentement, en écoutant ton corps,

Bougeant tout doucement, au grès de tes mouvements.   

Je t'entends gémir, je me penche en avant,

Déposant mes lèvres sur tes épaules, dans ton cou, mon trésor.

Lorsque je me retire et que mon doigt fait de même,

Tu me regardes, curieuse, et te retournes, sereine. 

Puis tu sens mon souffle, sur ton intimité, 

Vite rejoint par mes lèvres, qui libèrent ma langue. 

Tu connais cette caresses, ainsi que ses secrets,

Lorsque je glisse en toi, que tu me guides, au grès,

De ton envie, ton plaisir, car seule toi m'importe,

Et ton petit bouton, que j'adore, car avec lui je te porte,

Vers un autre monde où personne d'autre n'existe,

Il n'y a que nous deux, peu importe ni le lieu ni l'endroit, ni les yeux qui nous fixent. 

Mais je quitte ta douceur pour remonter d'un cran,

Et t'adresse un baiser, qui se veut aimant. 

Mes lèvres se déposent sur ta muqueuse chaude,

Et ma langue fait le tour, te déclamant une ode. 

Lorsque je la fais se darder, pour mieux te visiter,

Et que d'une poussée douce, elle te pénètre, avisée,

Je te sens te détendre, te relâcher, apaisée,

Comme si ce contact t'avait anesthésiée. 

Mais c'est tout le contraire, tu te réveilles, sauvage,

Lorsque je ressors, te lape, et replonge. 

Alternant ensuite entre cette langue et mes doigts,

Tu saisis ma tête, me presses, signe que tu aimes ça. 

Puis tu me relâches, te retournes, m'embrasses,

Et te repositionnes, attendant mon audace. 

Je me place derrière toi, à l'entrée que tu m'offres,

Et plonge doucement, déverrouillant ce joli coffre.  

D'abord le gland, tout seul, qui se fraie un passage,

Je carrese ton dos, attendant un message,

Légèrement tu recules, je prends ça comme un signe,

Et avance lentement, sensation divine. 

Lorsque mon passage est fait je m'arrête, et t'embrasse,

Vient ensuite le moment où se réveille ma garce. 

Tu te cambres encore plus, posant tes épaules bien bas,

Lorsque je te vois faire ça, je ne me retiens pas.

Je bouge alors en toi, et tu sembles apprécier,

Allant jusqu'à t'empaler par toi même lorsque j'avance en toi. 

Je m'accroche à tes hanches, j'entends tes fesses claquer,

Puis je caresse tes fesses, et appuie sur ton dos, là tu es à moi. 

Tu t'allonges sur le ventre, sur toi je viens me lover, 

Puis je saisis tes poignets, de part et d'autre de l'oreiller. 

Tu me laisses faire, tu me laisses dominer,

Je t'adore pour ça aussi, tu sais tant m'exciter. 

Mais lorsque je sens sous mon ventre, tes fesses se soulever, 

Je relâche tes mains, et me redresse un peu,

Je glisse alors mes doigts sous ton ventre malicieux,

Et caresse ta vulve, tout en prenant soin de ton fessier. 

Ta main droite m'y rejoint, et je te laisse faire,

Me concentrant alors sur mes va et vient, avec moins de douceur. 

Lorsque je te sens venir, à mon tour j'accellere,

Attendant ton moment, pour relâcher mon bonheur.

 

Je te glisse quelques mots, ma salope à l'oreille,

Tu te contracte alors, et je te sens partir,

Devant ce spectacle, c'est sûr, je vais faire pareil,

Et nous conjuguons ce même mot, ensemble, "jouir". 

Alors nous nous relâchons, tu es toute brulante,

Tu es trempée, tu trembles, je te sers contre moi. 

Derrière tes genoux, tu es mouillée, je souris,

Je t'embrasse dans le cou, je t'adore ma chérie. 

Je ressors de ton corps, si beau, te libérant de moi,

Et descends un instant câliner ta si belle fente. 

Je remonte alors le long de ton dos, lentement,

Pour finir dans ton cou, et lorsque tu te retournes, tes lèvres,

Elles sont si douces, si pures, je les effleure à peine,

Je veux graver cet instant, et en faire un poème. 

Il sera tel une vague, s'ecoulant tel un rêve,

Tu frissones, viens dans mes bras, je t'accueille tendrement...

J'espère que ça vous plaira...

J'ai été... inspiré :aime2

[sweety-cacahuete 15]

:D

tu as encore une fois réussi à me faire perdre mes mots...ce qui reste très rare...waouuuu

j'ai peur que mon commentaire paraisse dérisoire comparé à la sensation que j'ai eu en lisant tes mots...

Je me suis glissée dans la peau de ton amante, me suis imaginée dans tes bras, me suis imaginée toucher l'extase avec toi, tu me pardonneras...

Je n'ai pu décrocher mes yeux de ce poème, mon coeur s'est emballé et mes yeux embués... j'ai plus qu'adoré... merci pour ce moment intense que tu m'as fait vivre... :D

[Khayman 24]

tu as encore une fois réussi à me faire perdre mes mots...ce qui reste très rare...waouuuu

j'ai peur que mon commentaire paraisse dérisoire comparé à la sensation que j'ai eu en lisant tes mots...

Je me suis glissée dans la peau de ton amante, me suis imaginée dans tes bras, me suis imaginée toucher l'extase avec toi, tu me pardonneras...

Je n'ai pu décrocher mes yeux de ce poème, mon coeur s'est emballé et mes yeux embués... j'ai plus qu'adoré... merci pour ce moment intense que tu m'as fait vivre...

Ca me touche beaucoup ce que tu me dis là, et c'est à ton tour de me faire perdre mes mots...

Juste merci pour ce petit mot ma douce cahuète :bbl:

[orelya 6]

:D très beauuuu poême :D

[fanie 1,211]

Très belle inspiration

Ton poème, pas si petit que ça, est magnifique.

Les mots choisis, ta façon de nous raconter ce moment, c'est très, très beau.

Merci :D

[Khayman 24]

Merci à vous deux Fanie et Orelya

En plus venant de vous deux qui écrivez si bien, ça me fait très plaisir.

[Guest sphinx]

Chapeau Khayman !

Un homme tu es comme les aiment les femmes !

Certains devraient en prendre de la graine ! :P

[Khayman 24]

Chapeau Khayman !

Un homme tu es comme les aiment les femmes !

Certains devraient en prendre de la graine !

Merci sphinx pour ces gentils mots, ils me vont droit au cœur.

Je suis un homme, oui, mais comme les aiment les femmes, ça je ne sais pas

Par contre je suis un homme qui aime les femmes...

Et je remercie celle qui m'a inspiré pour ce poème, et qui m'inspire pour mes écrits...

Pour Elle qui arrive toujours à me donner la pêche et à me rendre heureux par sa présence (si si ), j'ecrirai juste ce mot. Magnifique. C'est le mot qui te décrit le mieux, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. Je ne dis pas parfaite car personne n'est parfait . Enfin il y a toujours une exception pour chaque règle parait-il :roll:

[Guest decibel]

:wink: Pour un "petit" poème, c'est plutôt un magnifique Ode à l'Amour plein de sensualité, de tendresse, de douceur et d'un érotisme "soft" comme j'aime ces émotions merveileuses

Je suis fan, Khayman !!! :roll:

[sweety-cacahuete 15]

Et je remercie celle qui m'a inspiré pour ce poème, et qui m'inspire pour mes écrits...

Pour Elle qui arrive toujours à me donner la pêche et à me rendre heureux par sa présence (si si ), j'ecrirai juste ce mot. Magnifique. C'est le mot qui te décrit le mieux, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. Je ne dis pas parfaite car personne n'est parfait . Enfin il y a toujours une exception pour chaque règle parait-il

Si j'en crois ce que tu dis de cette personne, je suis persuadée qu'elle n'aimerait pas être parfaite anyway.... mais elle a beaucoup de chance... :wink:

[Khayman 24]

Si j'en crois ce que tu dis de cette personne, je suis persuadée qu'elle n'aimerait pas être parfaite anyway.... mais elle a beaucoup de chance...

Non elle n'est pas parfaite... Elle ne partage pas une certaine chose :roll:

[Khayman 24]

Ca fait tout drôle de se relire...

[Guest Anonymous]

Coupler ébat torride et poème... Exercice périlleux neanmoins realiser d'une main de mettr bravo!!!

Bisous

[Khayman 24]

Coupler ébat torride et poème... Exercice périlleux neanmoins realiser d'une main de mettr bravo!!!

Bisous

Merkiii toi :D

[sweety-cacahuete 15]

Ca fait tout drôle de se relire...

:D

[Guest Charchacha]

Torride et :???:

[fanie 1,211]

Je ne m'en rappelai plus de celui-ci...

Toujours aussi plaisant à lire :???:

[Khayman 24]

Je ne m'en rappelai plus de celui-ci...

Toujours aussi plaisant à lire

Merci fanie, venant de toi ce compliment n'en est que plus touchant :-D