Le raccourci...

[NileFloyd 1]

Il était près d’une heure le matin un soir chaud de juillet. Marie revenait d’un petit bar du bas de la ville où elle avait fêtée toute la soirée avec des amis. Un de ses amis, particulièrement charmant avec ses cheveux noirs, ses yeux vert pâles et ses larges épaules, était descendu au même arrêt quelle puisqu’il habitait dans le bloc voisin du sien. Ils discutaient en marchant de tout et de rien. Pour se rendre à leur appartement, la route la plus courte passait par un raccourci dans un boisé. Mais ils s’immobilisèrent avant d’y pénétrer, tous deux avaient entendu des voix provenant du boisé. Elle lui chuchota : « Allons-y, on dirait une voix de femme, probablement des marcheurs comme nous. » Il lui montra son accord en s’enfonçant dans le passage feuillu.

On n’y voyait pas grand-chose le jour, alors la nuit ce n’était pas évident du tout. Mais leurs oreilles leur en apprenaient beaucoup tandis que leurs pas les menaient plus loin dans le raccourci. Ils s’immobilisèrent tous les deux à nouveau, sans rien dire, tandis que deux voix leur parvenait maintenant clairement. Une féminine et l’autre masculine. Femme haletante : « aaah oui… plus vite !! aaaahhhhh » Homme : « t’aimes ca ? t’en veux plus ? » Femme : « ouiiii! ». Elle distinguait même les deux corps nus à travers les branches. Un homme grand au teint basané, cheveux courts, fesses musclées qui prenait par derrière une belle petite blonde aux petits seins et aux hanches courbes; ses mains sur les hanches de la jeunes blonde, il la pénétrait avec force.

L’image aurait peut-être du l’embarrasser ou la gêner, mais elle en était plutôt hypnotisée par la scène. Durant plusieurs secondes elle fixa les deux corps haletants se fondre l’un dans l’autre. Puis elle prit conscience de la présence de l’homme sexy qui se tenait près d’elle et qui ne disait rien. Le rouge lui monta aux joues tout comme l’excitation subite lui fit durcir les mamelons et mouiller l’entre-jambe. Elle resta immobile plusieurs moments, sans rien dire, puis, sans en avoir réellement conscience, sa main se mit à bouger et alla se placer entre ses cuisses, sous sa jupe mauve et directement sur sa peau nue. Le plaisir de se simple geste l’encouragea et elle entreprit de se caresser doucement le clitoris tandis qu’elle fixait les deux êtres nus en ébats. Elle eut conscience d’un mouvement à côté d’elle et se retourna pour voir une main masculine caresser un membre lui aussi bien masculin et surtout très droit. De très bonne dimension également, la main allait et venait sur cet organe désirable d’une manière des plus excitantes. Sans en avoir le complet contrôle, sa main quitta son entre-jambe chaud pour aller se poser audacieusement sur le sexe durcit.

Comme si rien n’était plus normal, elle imita les gestes d’aller et de retour que son ami semblait apprécié. Elle s’aperçu rapidement qu’elle ne le dérangeait pas, ses mouvements tirant de légers gémissements de la gorge du propriétaire du gland en question. Gardant ses yeux fixés sur le couple en action, elle masturbait fermement cet objet de désir gonflé à bloc, alternant entre des mouvements rapides et lents, imaginant qu’elle était à la place de la blonde devant elle; son ami gémissait silencieusement sous ses mouvements. Après quelques minutes, il aventura une de ses mains sous sa camisole noire et son soutien-gorge mauve et prit son sein dans sa main, tous deux appréciant la chaleur du corps de l’autre. Il pinça gentiment son mamelon déjà dur et elle renforça sa poigne sur le membre.

L’autre couple avait changea de position, l’homme sur le dos, la femme suçait son sexe avidement tandis qu’il insérait un puis deux doigts dans la fente de la blonde. Cela inspira Marie qui attira son ami en-dehors de la route en le tenant par le gland. Elle se mit à genoux sur le sol pleins de feuilles mortes et avala goulument le sexe qui se présentait à elle. Les gémissements s’intensifièrent rapidement et lorsqu’elle s’arrêta quelques secondes, son ami se mit à genoux derrière elle, remonta la jupe mauve et caressa ses fesses avec son gland, ce qui la fit gémir d’anticipation : « aahhahhh… vas-y, baise-moi ! » dit-elle en se mettant à quatre pattes.

Ce dernier ne se fit pas prier, remontant la jupe sur le dos de Marie, il la pénétra avec l’énergie d’un assoiffé. Lui tenant les hanches fortement, il faisait des allers-retours profonds dans sa chatte mouillée de plaisir. Marie laissa échapper un cri lorsqu’il la pénétra, puis elle gémit longuement sous les mouvements de bassins tandis qu’elle grattait la terre et les feuilles mortes de ses mains. L’autre couple entendit le premier cri et se retourna nerveusement, le spectacle de Marie se faisant prendre par derrière avec sa jupe sur le dos les rassura et la femme arrêta de sucer son homme pour monter sur lui et faire la cow-girl.

De son côté, Marie les avait complètement oublié dès qu’elle s’était retrouvé comblée par le membre qui continuait toujours ses allers-retours délicieusement jouissif. Seul ce sexe et ces mains existaient pour elle, mains qu’elle sentait maintenant sur ses seins nus puisque son ami avait descendu les bretelles de sa camisole au niveau de son ventre et libéré ses seins. Un de ceux-ci allait librement selon le rythme de la pénétration tandis que l’autre était prisonnier d’une main très affectueuse. Elle releva la tête un instant et aperçu la jeune blonde qui s’emballait sur le membre, elle faisait glisser son clitoris sur le ventre de l’homme tendis que le sexe disparaissait entièrement entre ses jambes. Se faisant prendre de plus en plus intensément, Marie observa la jeune femme se cabrer sous l’effet de puissant orgasme et entendit l’homme gémir alors qu’il répandait son plaisir en elle.

Cette image déclencha une montée de chaleur dans son bas-ventre qu’elle exprima par des coups de bassin violents vers l’arrière et des gémissements encore plus forts. Son ami accéléra également ses mouvements, la pénétrant de plus en plus rapidement vers un point de non-retour. Puis, il laissa son plaisir prendre le dessus et gémit sous la puissance de son orgasme, les derniers mouvements la poussèrent également dans cette direction et elle s’y abandonna entièrement. Après que son ami l’ait embrassé sur la nuque, ils s’aperçurent tous deux de la situation dans laquelle ils étaient et s’habillèrent rapidement. Le couple inconnu était déjà disparu et ils s’empressèrent de sortir du boisé et de rejoindre son appartement pour terminer la soirée.[align=justify][/align]

[mysterya 8]

Nile, ça faisait quelques temps déjà que je n'avais pas eu une de tes histoires sous les yeux, mais là... Quelle coup de chaud en quelques secondes!!!

Je suis toujours ta fan number one

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[manao 150]

récit... CHAUUUUD !!! ça donne terriblement envie de se retrouver seul tard le soir en bonne compagnie !

[Laurrine 3]

Bravo trés excitante ton histoire...

Je t'ai lu avec beaucoup de plaisir...

Hum j'aimerais me retrouver en pareille situation :langue: