Aller au contenu

Faites des rencontres coquines près de chez vous

Abraxas

Captive volontaire

Recommended Posts

Voici l’expérience d’un de mes premiers trios, j'étais assez jeune, celui-ci a la particularité de m’avoir fait découvrir le goût de certaines sensations SM.

C’est une expérience vécue que j’ai modifiée car elle est assez personnelle, je la poste dans « Histoires érotiques» plutôt que dans « vos expériences ».

C’était la veille de l’enterrement d’un membre de ma famille, mon cousin était venu avec ses parents. Moi-même j’avais fait le déplacement, et ma mère nous avait loué une chambre à deux lits dans un hôtel de la ville. D’autres personnes de notre famille dont les parents de mon cousin logeaient dans d’autres chambres du même hôtel.

Ma mère nous avait donné quartier libre pour ne pas nous avoir dans les pattes et c’est vrai que chez elle il circulait beaucoup de monde. Nous étions jeunes mais assez vieux pour s’assumer seuls, elle nous avait donné une certaine somme d’argent qui devait pouvoir payer largement notre diner. Nous étions arrivés dans une crêperie après nous être arrêtés longuement dans un bar pour prendre un apéritif.

Je ne sais pas pourquoi, mais la peine que j’avais subie suite à la perte d’un de mes proches, s’était muée en énergie, il me semblait que rien pouvait me saouler, que je serai toujours là. Je pense que la douleur me faisait prendre du recul, les choses me paraissaient insignifiantes.

Cette crêperie était connue pour son atmosphère conviviale, il y avait quelques grandes tables, des banquettes et un juke-box. Mon cousin et moi siégions autour de la seule table ronde. En face de nous s’ébattaient plusieurs gens jeunes et gais autour d’une grande table rectangulaire. J’ai pu saisir des bribes de conversation, une fille belle assez extravertie mentionnait les folles nuits d’une soirée de cette ville.

Je n’arrêtais pas de la regarder, elle seule se démarquait de son groupe d’amis. Elle s’était approché du juke-box et avait programmé une chanson de Gainsbourg du genre : « je suis venu te dire que je m’en vais et … je viens entre tes reins »

C’était incroyable ! Et je déplore beaucoup que ce qui est arrivé ne puisse être possible à notre époque. Au même moment et comme nous avions échangé quelques regards furtifs, j’avais levé mon verre dans sa direction en lui souriant et en montrant mon approbation. Elle avait souri en retour, je m’étais levé d’un bond, j’étais venu à sa table et en m’imposant parmi ses amis quitte à la kidnapper, je lui avais dit de venir partager avec nous le bon mousseux du pays et de venir trinquer avec mon cousin à notre table.

Chose tout a fait improbable et assez fantastique, cette fille avait accepté et avait quitté son cercle d’amis. Elle était venu s’asseoir avec nous. Avec du recul je me demandais si d’une certaine manière, elle n’était pas subjuguée.

Nous avions bu au moins trois bonnes bouteilles de ce vin pétillant assez léger. Elle était resplendissante, bien que ses traits ne fussent pas tout à fait très fins, ses yeux bleus rayonnaient et éclairaient son visage.

Nous avions beaucoup plaisanté sur les paroles des chansons de Gainsbourg. Nous riions beaucoup. Nous nous approchions d’elle, j’avais posé ma main sur sa cuisse, elle n’avait rien dit et continuait à nous sourire comme pour nous inviter à être plus proche encore.

A la fermeture, après avoir payé nous nous dirigeâmes dans la rue, nous marchions tous les trois, elle était entre nous au milieu, nos bras étaient passés par dessus ses épaules. Marcher à deux n’est parfois pas facile, mais à trois ainsi enlacés après avoir un peu bu l’est encore moins. La rue en bas du restaurant menait à notre hôtel. Elle ne disait rien et nous suivait ou nous voulions aller.

Nous arrivâmes très rapidement à notre hôtel, nous avions la clé de la porte principale car la nuit il n’y avait pas de veilleur. En essayant de ne pas faire trop de bruit nous gravirent les escaliers qui menaient à notre chambre. Dès que la porte fut refermée, nous nous précipitâmes sur elle.

Tout fut très rapide, je brusquais un peu mes gestes et j’étais presque passé derrière elle. Je lui tenais les bras derrière le dos. Sitôt à l’intérieur nous avions adopté un autre jeu. Tout le long de notre rencontre, j’avais mené la danse, mon cousin me suivait. Comme pour lui offrir notre captive, je dis à mon cousin : « vas y déshabille là, elle ne peut pas bouger, je la tiens »

Partager ce message


Lien à poster

:D :D:D:aime: trop bien ! trop bien! trop bien ! :???::D:D:-D

la suite, la suite ....s'il te plaittttttttttttttttttttttttttttttttttttttttt :D :o

Partager ce message


Lien à poster

Merci Obsidienne, merci Alexi, ce texte je l'ai écrit assez vite en revenant de week end... et je dois dire une peu trop vite... Il y a de ces fautes ! j'ai honte :langue:

Si tu es captivée Alexi, je suis ravi :arrow: , ce qui veut dire à peu près la même chose dans son sens premier.

Et Obsidienne je suis enchanté, le sens premier d'être enchanté vient d'enchantement... du genre philtre d'amour etc... :arrow:

Quant à la suite, elle est dans le chaudron mais pas encore tout a fait cuite.... :roll:

Partager ce message


Lien à poster

Il dégrafait les boutons de son corsage un à un, pendant ce temps, derrière elle, je mordillais toute la parcelle de sa peau qui était à découvert. D’une main j’avais fait sauter son soutien gorge, impatient, j’avais plongé ma main par-dessus son épaule pour saisir son sein magnifique. Que sa poitrine était belle et douce ! Sa chair était fine, ses deux seins ballotaient, ils paraissaient fragiles et vulnérables. Dans mon ardeur je les tourmentais un peu.

Mon cousin déboutonnait son jean et continuait à la déshabiller sans oser trop la caresser. Elle fut bientôt merveilleusement nue devant nous, grelottant presque. J’avais quitté mon T-shirt et d’un geste rapide, j’avais tiré ma ceinture des guides de mon pantalon. J’étais toujours derrière elle et je fis claquer cette lanière de cuir sur ses belles fesses. Instinctivement, elle s’était blottie dans les bras de mon cousin, c’était lui maintenant qui la tenait, mais il semblait la réconforter.

Il avait pris sa place dans le rôle du protecteur. Et cela l’excitait, sa tête était nichée dans le cou de notre captive, je ne comprenais pas ses paroles, il lui parlait doucement comme pour m’excuser de ma conduite, et ses mains caressaient les fruits lourds et profus qui étaient tendus dans sa direction.

Dans l’élan, je lui ai dit de se pencher un peu plus pour dégager son fessier et non pas de se blottir dans les bras de mon cousin. Tout en parlant, je me suis rendu compte que je devais agir sur l’emprise de l’alcool et je pense que nous devions tous être assez saouls. Moi en premier, pour me conduire de la sorte, en effet dans un trio quand on ne connaît pas les protagonistes, il faut bannir toutes sortes de violences, la fille est bien trop vulnérable, sans défense face à deux hommes. Ensuite, notre captive devait aussi être bien saoule pour se livrer ainsi à deux inconnus. Mais je crois bien qu’instinctivement nous avions tous trouvé notre place, c’était quelque chose de rare et même d’assez magique. Elle semblait même prendre beaucoup de gout à cette situation.

Je quittais mon pantalon et mon slip en même temps, mon cousin fit de même. Et nous décidâmes de nous asseoir sur le bord du lit. Mon cousin était toujours fasciné par les seins de la jeune femme, je m’avançais avec le bout de ma ceinture et je fis mine de la fouetter. Je dis à mon cousin : « présente moi bien ses seins, prends les par-dessous et fait saillir les bouts, que je puisse lui donner des coups ».

Je vis à sa mimique qu’il n’était pas très d’accord, mais il s’exécuta quand même. Je faisais vibrer le bout de cuir et donnais de très légers coups rapides, je retenais mes coups, je tapotais ces mamelons avec, puis de temps en temps, je la frappais plus durement, plus sèchement. Je lui arrachais de petits cris de douleur et de surprise. Je pense que certaines fois, je devais quand même lui faire un peu mal, car tout a coup, mon cousin brusquement couvrit ses tétons de ses mains. La ceinture s’abattit sur ses doigts… Il fit : « ouille »

Je lui dis : « viens, ne t’en fais pas, on va la consoler en lui faisant plein de bisous » Nous étions assis de chaque côté d’elle, ma langue parcourait sa poitrine et je léchais ses aréoles qui étaient toutes froncées soit de désir ou soit d’une légère douleur. Mon cousin faisait de même, de l’autre côté, il semblait prendre beaucoup de plaisir à parcourir le beau corps nu de notre captive.

Nous la léchions, nous la tétions, chacun un sein dans la bouche, elle était comme la louve romaine et nous étions ses Romulus et Remus… Sauf que nous n’étions pas très sages, mon autre main s’égarait dans le pli de son aine, sur ses hanches, ses cuisses. Je sentais sa peau frémir le long des chemins de nos caresses. Elle était palpée par quatre mains, sucée par deux bouches. De temps en temps nous remontions vers sa bouche tout en la caressant et nous échangions des baisers langoureux à trois, elle nous donnait sa langue tour à tour, nos mains couraient partout sur son corps.

Partager ce message


Lien à poster

:arrow: ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :langue:

d'une seule main :arrow:

encoreeeeee,, encoreeeeeeeeeeeee

Partager ce message


Lien à poster

d'une seule main :arrow:

j'allais le dire...

La suite, vite ! Quel talent :langue:

Partager ce message


Lien à poster

merci Obsidienne, merci Alexi

d'une seule main ! :lal::momotte::roll::roll:

eh ben ! puisque je sais cela, je le continuerai (j'avais pensé l'abandonner, vite écrit en revenant de bringue) mais pas avant ce WE....

Partager ce message


Lien à poster

×

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.