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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Guest Eva96

La coloc' !

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Guest Eva96

J’avais enfin trouvé la maison de mes rêves ! Spacieuce, située à proximité du centre ville de Toulouse, cette ancienne bâtisse possédait un véritable cachet : des murs en brique roses typiques de la région, un superbe plancher, des pièces d’une belle dimension et pour ne rien gâcher une magnifique cour intérieure dans laquelle trônait un jacuzzi ! Le pied ! Le tout pour un loyer très raisonnable. Compte tenu de la folie immobilière qui sévit dans la ville rose, c’était vraiment une affaire.

Il ne me restait plus qu’à convaincre le propriétaire ainsi que les actuels locataires que j’étais la PARFAITE colocataire. La tenante de l’agence immobilière m’informa d’ailleurs que ces derniers se montraient très exigeants, la place de locataire étant vacante depuis plusieurs semaines…

J’arrivais au rendez-vous avec une petite avance et une légère appréhension. De l’appartement, s’échappait une musique cubaine ensoleillée… Je sonnais, personne… j’insistais…aucune réponse, on ne devait pas m’entendre. La porte n’étant pas verrouillée, je me risquais alors à rentrer.

Et là, le choc ! Je me retrouvai face… à un bel Adonis...dans son plus simple appareil ! Oh my god ! Quel beau mec ! Un beau brun aux yeux bleus aciers…j’avoue que ce n’est pas ce que j’ai regardé en premier…Grand, athlétique, une peau dorée, des lèvres pleines, de belles mains. Hummm, il était vraiment sublime. Le souffle court, un long frisson descendit le long de ma colonne vertébrale et je sentis en même temps une douce chaleur humide envahir mon bas-ventre…Impossible de détacher mes yeux fixés sur son corps malgré cette situation pourtant très inconvenante.

- Mademoiselle Nayrac ? me souffla, interrogateur, mon bel Adonis

- Euh, oui, c’est moi, euh Mathilde, bon désolé, j’ai sonné, mais personne, alors je suis entrée, bredouillais-je, telle une naufragée qui vient de lâcher sa bouée.

- Enchanté, Mathilde. Moi c’est Pascal, le propriétaire du logement. Est-ce que tu as faim ?

Sa question me prit au dépourvu. Comment ça, j’ai faim ??

- Non, euh, non merci. C’est très gentil.

- Parce que tu me regardes comme si tu mourrais d’envie de me déguster à la petite cuillère… me dit-il les yeux pleins de malice.

Là, j’ai bien cru que ma mâchoire allait se décrocher. Le feu aux joues, je suis restée totalement stoïque. Ah pour une entrée en matière, c’était juste énorme, j’allais passer pour, pour…Oula.

- Je plaisante Mathilde, laisse-moi quelques minutes que j’enfile une tenue décente et que j’aille chercher les autres. Sers-toi un verre si tu veux, fais comme chez toi, met-toi à l’aise.

Le verre d’eau me fit le plus grand bien et peu à peu, je repris mes esprits. Les locataires étaient au nombre de trois : Raphaël, beau blond, au physique très agréable, la trentaine, en couple avec Sandra, une magnifique brune aux yeux félins et aux formes parfaites et puis Pascal, mon bel Adonis, désormais habillé pour mon plus grand regret.

Les habitants de cette maisonnée, ma foi, me semblaient très sympas. Passé les questions sur les formalités administratives, la conversation se détendit peu à peu et s’orienta sur des sujets plus personnels.

- Ah pour une fois, que cette agence immobilière nous envoie un joli brin de fille ! me lança taquin Raphaël. Tu es célibataire ?

- Vous organisez un casting pour le bachelor, c’est ça ? lui répondis-je du tac au tac.

Un bref silence s’installa que je décidais de rompre.

- Je n’ai personne en ce moment dans ma vie, mais je ne désespère pas, hein, dis-je en adressant mon plus beau sourire ultrabrite à Pascal qui se fit un plaisir d’y répondre.

- Par contre, on a un mode de vie un peu particulier ici, m’avertit Sandra. On n’est pas du genre pudique, il arrive qu’on se ballade nu dans l’appartement, on est très libéré par rapport à certaines choses... Bien sûr, tu n’es pas obligée d’en faire autant, mais nous, c’est notre façon de vivre. De plus, on n’envisage pas la coloc juste comme une formule « bed and breakfast « … Ici c’est une petite famille, on aime faire la fête et on a tous des liens forts… Tu comprends ?

- Ah ça, ça ne me pose vraiment aucun souci, répondis-je en me fendant d’un large sourire. Je serais ravie de faire partie des vôtres.

- Tu nous excuses deux secondes, on va se concerter, me lança Raphaël en me lançant un clin d’œil.

Je les regardais s’éloigner vers le patio, le stress au creux du ventre…Je venais juste de succomber à un coup de foudre amical… Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps. Au bout de quelques minutes, ils sont revenus la mine grave…

Sandra s’approcha de moi.

- Bon écoute chérie, je suis désolée, mais moi, le quotidien avec toi, je le sens pas … !

Le coup de massue ? ! je m’apprêtais à tourner sur mes talons, sur le point de partir. …quand je sentis deux mains fermes me saisir les hanches et me soulever dans les airs.

- Mais non, on te garde, bienvenue parmi nous, me lança en m’embrassant sur la joue Pascal.

Après une horde de bienvenues et d’embrassades de la part des colocataires, une joie immense m’envahit :

Une nouvelle parenthèse de ma vie allait s’ouvrir des plus prometteuses.

15 jours après ma première rencontre avec Pascal, Raphaël et Sandra, c’était le jour de mon déménagement. C’est fou tout ce qu’on peut accumuler dans une petite pièce. J’essayais de faire le tri mais les cartons continuaient à s’empiler. Heureusement, les garçons sont venus m’aider à porter les cartons les plus lourds, profitant de cette occasion pour jouer les gros bras. Malgré tout, j’étais épuisée par cette journée. C’était la fin de l’après-midi, il faisait chaud, j’avais quasiment terminé quand Sandra frappa à la porte de ma chambre.

- Coucou, je ne te dérange pas ?

- Non bien sûr que non. Je suis exténuée. Mais quelle chaleur aujourd’hui ? ! Pour les cartons, le plus gros est fait, je m’occuperai du déballage et du rangement demain. Désolé pour ce foutoir !

- T’inquiète, ça peut attendre ! Allez, viens ! me dit-elle en me prenant la main. J’ai quelque chose pour toi.

Elle m’emmena dans la salle de bain. Je découvrais un bon bain qui m’attendait éclairé par des bougies savamment posées de ci de là. Une odeur délicieuse s’exhalait de la baignoire.

- Relaxe-toi ma grande, fais-toi belle. Ce soir, on fête l’arrivée de notre nouvelle colocataire. Je t’apporte des fringues et une serviette, histoire que tu n’aies pas à tout déballer, me lança-t’elle avec un irrésistible sourire.

Je n’eus pas le temps de protester qu’elle était déjà partie. L’attention qu’elle avait eue était vraiment attendrissante. Je laissais glisser mon corps qui s’alanguissait peu à peu dans ce savoureux bain tiède. Dieu que c’était bon ! Je fermais les yeux, me laissant aller à la douce caresse provoquée par les remous de l’eau sur ma peau nue. La pointe d’un début de désir naissant apparut dans mon ventre quand je me remémorais les détails du corps si parfait de Pascal et notre première rencontre des plus atypiques. Jouait-il ? Certainement…Et est-ce que je l’attirais ? En tout cas, il semblait très sûr de lui…et terriblement sexy !!! A ce moment-là, j’ai du lutter pour me refuser les caresses que j’aimais me prodiguer. Depuis que je les connaissais, je me faisais l’impression d’un volcan qui se réveille et sent l’éruption menacer à tout instant. Je sortis du bain, examinant les vêtements généreusement prêtés par Sandra. Un string satinée de couleur noire et une micro-robe assortie, au décolleté large et fendue très haut sur un côté. That’s all !

Je me regardais dans le miroir sans arriver à reconnaitre l’image de la femme qui m’était renvoyée. Ma peau hâlée grâce à ce bel été, faisait ressortir mes yeux verts-eau. Mes cheveux blonds s’étalaient sur mes épaules dénudées. C’était vraiment une très belle robe mais d’une indécence ! Je sentais la fine étoffe glissait sur la peau nue de ma poitrine généreuse, la dévoilant plus qu’elle ne la cachait…

Prenant mon courage à deux mains, je me décidais à sortir de la salle de bain pour les rejoindre sur la terrasse.

- Désolé de m’être faite désirer ! lançais-je

- Ca valait le coup, murmura Sandra à mon oreille.

La tiédeur de son souffle caressa furtivement le creux de mon épaule me plongeant dans un trouble émoi…Les garçons étaient préposés aux grillades, une musique estivale emplissait l’air ambiant. Une bien belle soirée s’annonçait. Le repas fut léger et bien arrosé, nos éclats de rires fusaient dans le jardin par cette nuit tiède. Puis soudain, Raphaël se leva et commença à défaire avec méthode les boutons de sa chemise, dévoilant un torse musclé et imberbe.

- Allons nous détendre dans le jacuzzi… nous lança-t’il.

Il acheva de se déshabiller – vraiment un très bel homme – Sandra et Pascal lui emboitèrent immédiatement le pas.

- Allez, qu’est-ce que tu attends la miss ? Tu as peur qu’on te mange ? On sait se tenir, tu sais…me souffla Pascal, tandis que le couple avait déjà rejoint l’eau du jacuzzi.

Vaincue, je me dévêtis lentement sous le feu du regard de Pascal. M’approchant du jacuzzi, j’ai cru déceler, ou était-ce mon imagination, l’insistance et le désir dans les yeux de Sandra et Raphaël…

Je me laissais aller dans ce bain bouillonnant. Moi-même, je bouillonnais à la vue de ces trois êtres splendides dans leur nudité. Je fermais les yeux pour éviter de perdre pied quand je sentis le doux contact d’une main sur ma cuisse. Cette main allait et venait de mon genou au haut de ma cuisse et glisser subrepticement vers l’intérieur de ma jambe. Je n’osais ouvrir les yeux de crainte de rompre le charme…Les doigts de cette main se mirent à galoper sur mes fesses, remontant le long de mon flan, puis la main se déplia prenant en coupe mon sein droit. Hummm, c’était si bon…Je renversais ma nuque, les lèvres entrouvertes, profitant pleinement de la caresse que me prodiguait cette main quand….STOP !!! Brusquement je repris mes esprits. Bordel ! Qu’est-ce que je fichais là à me faire dorloter dans un jacuzzi par une main inconnue et cela sous le regard complice de trois personnes !!!

Troublée et mal à l’aise, je prétextais une excuse pour m’éclipser. Isolée dans ma chambre, j’étais en proie à de nombreux doutes. Je me découvrais sous un jour nouveau : plus sensuelle, les sens en alerte mais plus fragile également. J’avais peur de briser les liens d’amitié récents mais forts qui s’étaient nouées dans cette maison. Entre craintes et désirs, je restais allongée de nombreuses heures sur mon lit, Morphée refusant de me prendre dans ses bras.

Je décidai alors de me lever et d’aller fumer une cigarette sur la terrasse. Une nuit calme et claire. Tout d’un coup, un petit bruit vint troubler ce silence…un langoureux soupir suivi d’un doux gémissement. Je tournais la tête vers les lauriers roses et j’aperçus Sandra allongée sur un transat, les jambes largement ouverte….La tête de Raphaël se recueillait entre ses cuisses galbées. Je la sentais frissonnante, ivre de plaisir sous les coups de langue experts de son compagnon. Je restais hypnotisée par la vision de Raphaël entrain de laper le bouton gonflé de désir de Sandra tandis que ses doigts glissaient dans son antre chaude dans un excitant bruit de clapotis humide. Sandra se cambrait, ondulant des hanches au fur et à mesure que ces gémissements s’amplifiaient pour devenir des cris de plaisir. A cette vue, mon pouls s’accéléra, je sentais mon intimité gonflée de désir comme un fruit mûr bien juteux. Je posai une main sur le tissu de mon string complètement trempé…Hummm ma main allait et venait sur mon petit bouton, essayant de se calquer sur le même rythme qu’imposait la langue de Raphaël sur l’intimité de Sandra.

Soudain, cette dernière se releva. M’avait-elle aperçu ? Je l’ignorais. De toute manière, il était impossible d’ arrêter de me caresser. Je n’étais plus que désir et plaisir. Je vis Sandra se positionner sur Raphaël telle une amazone lui tournant le dos, le regard fixé sur moi, un sourire coquin sur les lèvres. Elle m’avait vu. C’est avec une lenteur extrême à la limite du sadisme qu’elle entreprit de prendre le sexe de Raphaël en elle. Centimètre par centimètre, je voyais leurs sexes se rejoindre, s’emboitant parfaitement pour ne faire plus qu’un. Sandra braqua son regard sur mon sexe caressé.

L’étreignant solidement par les hanches, Raphaël lui imprimait un rythme de plus en plus cadencé. Le corps de Sandra tressautait sous les coups de butoir de son amant. De plus en plus cambrée, sans me lâcher du regard, sa main vint se poser sur son clitoris qu’elle malaxait avec insistance. Elle n’avait de cesse de se caresser. Je sentais que ma présence l’excitait et sciemment elle s’offrait à mon regard, belle et impudique. Dans un grand cri, les amants jouirent à l’unisson.

Je regagnais rapidement ma chambre afin de ne pas être aperçu et sombrait dans un sommeil profond et moite.

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:aime: Très beau texte ! J'ai éprouvé beaucoup de plaisir à sa lecture, tu as une très belle plume.

Mais j'imagine que tu as déjà une suite en tête...tu ne peux pas nous laisser comme ça !...:???:

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Une superbe histoire qui demande effectivement une suite.

Très belle plume

:aime::-D :???:

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Guest Eva96

Merci beaucoup pour vos compliments.... :-D

@ Damienl'68 : merci beaucoup pour le remerciement que tu m'as adressé, tu les inaugures ! Mais ce qui me touche encore plus que ton remerciement, c'est l'émotion que j'ai pu te faire passer à travers mon texte. C'est un réel plaisir de le savoir. :o

Effectivement une suite est prévue...là vous avez eu droit aux deux premières parties sur les 6 qui devraient composer ce récit...

Bon la suite n'est pas encore écrite bien que j'ai une idée assez précise des événements torrides qui pourraient surgir dans la vie de cette si sage Mathilde. Rien que d'y penser...hummm :aime:

Si vous êtes bien sages, je peux envisager d'écrire et de poster la partie 3 et 4 d'ici samedi soir...Mais si vous êtes sages, hein ! :???:

Je m'excuse car, à la relecture, j'ai repéré quelques erreurs orthographiques qui trainent encore dans ce texte, et puis aussi par rapport à la mise en page que j'avais faite sur word mais qui n'est pas passée ici. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas trop rigueur, je vais faire mieux pour la suite.

Bisous et merci encore.

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Guest Anonymous

Quelle belle plume! Tu racontes très bien ton histoire, sans omettre le moindre détail.

C'est l'un des plus beaux textes qu'il m'ait été donné de lire sur ce forum.

Vivement la suite... :aime:

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:aime:

Merci pour cette introduction... quelques souvenirs me reviennent en mémoire avec tes belles lignes et tout le cœur que tu as mis pour nous faire plaisir.

Bisous

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Guest Eva96

[align=center]Tome 2 : suite des aventures de Mathilde en colocation...un tome 3 suivra peut-être.

Un remerciement particulier : strollbreath, Luigi78, damienl'68,piewy, Batroule, newwave, boubou993, Abraxas et Dianlouna2.[/align]

Après une nuit agréable, d’un sommeil lourd et sans rêve, malgré une certaine moiteur, je sortais lentement de ma douce torpeur. Étirant un à un mes muscles encore endormis, mon regard s’arrêta soudain sur une petite boîte inconnue en velours noir posée près de l’oreiller. Tiens donc…Je regardais plus attentivement et trouvais un mot : « au plaisir, à ton plaisir chère amie ». L’expéditeur ne s’était pas fait connaitre.

« Intéressant », pensai-je. Ma curiosité était piquée. Encore dans les limbes du sommeil, j’entrepris non sans mal d’ouvrir cette boîte très sobre. Et là…je fis une découverte des plus stupéfiantes !!! UN VIBROMASSEUR !!! Quelqu’un m’avait offert un VIBRO !!! Je fus prise d’un fou rire incontrôlable, visiblement, j’étais dans une maison de timbrés !!! Mais qui avait-eu cette idée à la con : Pascal ? Sandra ? Tous… ?... pour ne pas me rassurer, cette dernière option était largement envisageable au vu de la personnalité de mes colocs !!!

Peu à peu, mon rire s’estompa et ma curiosité s’éveilla. A vrai dire, jamais je n’avais utilisé de sextoys…J’examinais l’objet plus en détail. Il avait la forme d’un très beau phallus d’une vingtaine de centimètres, d’une texture très douce, mais il avait une particularité : une sorte d’excroissance sensée, j’imagine, stimuler le clitoris…Il y avait un interrupteur et un bouton pour régler la vitesse des vibrations. 1…2…3…4….5. J’appuyais sur l’interrupteur, une douce vibration mis en branle l’objet quelque peu bruyant. L’auteur du cadeau avait même pensé à fournir des piles ! Je stoppai net. Je me levais pour vérifier si l’appartement était vide, je croisai les doigts pour qu’il le soit, car j’étais bien déterminée à m’offrir une petite matinée des plus coquines…Et oui, je mourrais d’envie de tester ce petit objet qu’on m’avait si souvent vanté…Personne dans la maison ! Je rentrai dans ma chambre soulagée et surtout très impatiente…

Je me dévêtis avec hâte, je m’allongeais dans la pénombre de ma chambre, un cd de Barry White en fond sonore. Je ne sais pas pour vous, mais moi j’ai toujours été très sensible aux ambiances dégagées par les musiques. Je plaçais un coussin sous mes hanches. Je pris une profonde inspiration avant de partir dans l’exploration de tous les possibles de ce doux objet….non pas tout de suite hmmm…j’avais envie de prendre mon temps et de déguster cet instant prometteur. Je commençais par emmener mes mains en ballade de part mes monts et vallées. La température se réchauffait au fur et à mesure de ces douces caresses - ou devrais-je dire effleurements furtifs- que mes mains imposaient à mon corps encore alangui mais de plus en plus alerte.

Je décidais d’explorer plus attentivement mes seins, déjà gonflés face à la promesse du plaisir à venir. Je malaxais ma poitrine généreuse en la contournant, en l’englobant de mes mains. Puis, humectant mes doigts, je titillai mes tout petits têtons roses. Mmmm, la sensation était divine. La ballade de mes mains se poursuivit, s’aventurant vers le creux de mon ventre, toujours plus bas, encore plus bas… Mes doigts galopaient sur la fine toison que j’avais laissée sur mon mont de vénus faisant naître de doux frissons.

Plus bas encore…je chatouillais par de doux effleurements mon bouton de rose que je sentais déjà enflé par le plaisir. Encore plus bas, toujours plus bas…Mmm, je laissai glisser avec une étonnante fluidité mon index entre mes deux lèvres. Mmmm, oui, ce doigt vint s’insinuer dans mon puits empli d’une douce et tiède humidité ce qui m’arracha un langoureux soupir. Je continuai méthodiquement mon exploration, caressant les parois sensibles de mon intimité. Puis ce fut un ballet d’abord en solo, puis un second doigt accompagna le premier pour un duo parfaitement calibré... Mmmm que c’était bon !!! J’étais prête à aller plus loin…

Je saisis le vibromasseur.

Vitesse 1…

Je le posais sur mon petit bouton, ce contact m’électrisa, je n’avais rien ressenti de tel auparavant. J’entamais une ronde langoureuse tout au autour de ce petit organe dédié au plaisir. Mmmmm. Mes soupirs, peu à peu devinrent gémissements. Je dus me mordre les lèvres pour ne pas crier. Non pas maintenant, j’avais le temps…je décidais d’explorer une autre utilisation de cet objet. C’est ainsi que, mes cuisses largement ouvertes, j’entrepris de l’insinuer avec une lenteur intenable dans mon intimité. Que de douceur pour un simple objet en caoutchouc !

Déjà, je réactionnais les vibrations ! Mmmmm, je me sentais empli de cet objet. Les vibrations amplifiaient encore plus mon plaisir. Je plaçais l’excroissance de l’objet sur mon clitoris. La chaleur qui emplissait mon bas ventre était telle que je ne pouvais m’empêcher d’onduler sous l’action de ce sulfureux objet.

Vitesse 1…..

……2……Mmmm, c’était délicieux, j’accompagnais ces vibrations par de fermes va et viens…..

……3……Mmmmmmm, oui, encore !!!! Je n’étais plus que feu et lave, la raison m’abandonnait, je n’étais plus que désir et plaisir sous la complète emprise de cet objet fabuleux…

….. 4……Oh oui, mmmmmmm, je me cambrai de plus en plus, la caresse étant intenable

…..3…..je repris de lents va et viens, excitée, par le contact de cet objet qui frottait avec une douceur diabolique mes parois brulantes et bien lubrifiées……

…..4…..mon petit bouton semblait au bord de l’implosion mmmmm……..

…..5…..Mmmmmm oh oui, oui !!! mmmmm !!! Encore !!! Je jouissais dans un râle puissant, l’orgasme me laissant pantelante et essoufflée. Je n’avais jamais éprouvé rien de tel. Je mis quelques longues minutes pour reprendre mes esprits.

Je me levai, enfilai une nuisette, les joues en feu, les cheveux en bataille – tel un soldat qui revient du front – et me dirigeai vers la cuisine pour prendre un café. C’est là que j’aperçus Pascal assis au bar. Depuis combien de temps était-il là ? Apparemment assez longtemps pour afficher un sourire équivoque sur les lèvres. Son regard me détailla, sembla s’amuser du trouble que je sentais monter en moi.

- Alors bien dormi, Mathilde ? s’enquit-il

- Très bien…soufflais-je en tentant d’éviter son regard.

- C’est ce que je constate, souria - t’il, il me semble que ce fut une nuit…enfin une matinée très agréable pour toi.

- Oh, tu sais quand on a une literie neuve, euh, eh bien…

- Non, tu n’y es pas du tout et je pense que tu le sais sciemment d’ailleurs, me coupa-t’il en souriant. Ne t’inquiète pas ça restera entre nous. En tout cas, j’ai trouvé très agréable de t’entendre, tu sais…. C’était très excitant et sensuel tes gémissements mmm et tes cris, un régal…me souffla – t’il en plantant ses yeux lagons dans mon regard.

- Merci et désolée Pascal, bredouillais-je toute rougissante.

- Mais de rien ce fut un réel plaisir ! me lança –t’il d’un clin d’œil en m’embrassant sur le front.

Depuis le début, c’est homme me faisait perdre pied. Un seul de ses mots, un seul de ses regards et je chavirais tel un voilier en pleine tempête. Pour autant les tout premiers jours hormis cet événement, il ne se passa rien. Nous avions tous les deux beaucoup de travail et peu d’occasion pour se retrouver seuls. Au fil des jours, une forte complicité était née. J’ignore si je lui plaisais, peut-être avait-il peur, tout comme moi de faire le premier pas et de risquer de détruite notre amitié.

Ce mercredi, j’étais affairée derrière les fourneaux, occupée à tenter de réaliser des brownies pour l’anniversaire d’une amie prévue pour le lendemain. Ce n’était pas une mince affaire, j’avais brûlé le beurre, perdu la recette. C’est à ce moment que Pascal arriva.

- Bonjour, toi, ma colocatrice préférée, me lança –t’il en m’embrassant goulûment sur la joue tout en m’enserrant de ses bras puissants.

Dos à lui, je trouvais la sensation de son corps collé contre le mien des plus exquises. Je n’osai rien dire par crainte de rompre ce charme. Pascal était coutumier de ce genre d’effusions, c’était quelqu’un de très tactile et il ne fallait pas y voir d’autres allusions…dommage !

- Bon, tu nous cuisines quoi, Maïté ?

- Quoi ? Maïté ? Mais ça va pas la tête ! Je suis consciente de ne pas être un topmodel mais merde, faut pas abuser non plus ! lui dis-je dans un grand rire en essayant de le frapper avec le torchon…

- Ouh la, la, mais c’est que c’est une panthère sauvage cette Maïté ! me dit-il en me saisissant, sans le lâcher, mon poignet qui tenait le torchon !

J’essayai de me débattre mais sans succès, plus je tentais de me dérober, plus il resserrait sa prise, me prenant en étau entre lui et le plan de travail, le contact avec son corps se faisant plus pressant…

- Non tu es très jolie, un diamant brut…Bon c’est clair, y’a quand même pas mal de boulot, mais….son doigt s’attarda à la commissure de mes lèvres, tu es délicieuse…et une sacrée gourmande…souffla – t’il en léchant le chocolat qu’il avait prélevé du bout de son doigt au coin de mes lèvres.

Le temps se figea, pendu seulement à son regard. J’attendais frémissante. Il se pencha vers mes lèvres pour y déposer un tendre baiser. Je sentais la pointe de sa langue courir sur mes lèvres.

- Mais, tu sais, c’est comme ça que je le préfère, là, le chocolat…me murmura –t’il taquin.

A ce moment là, Raphaël et Sandra passèrent le pas de la porte interrompant ce délicieux moment.

Suite à cet évènement, la vie repris son cours normal comme si cet instant magique n’avait jamais eu lieu. L’avais-je rêvé ? J’étais en proie à l’incertitude, il n’avait plus qu’à me cueillir, il le savait, qu’attendait-il ? Je repensais aux instants intimes qu’on avait échangés : la main dans le jacuzzi (peut-être la sienne), mes cris de plaisirs qu’il avait entendus et appréciés et surtout notre baiser envoûtant. Ces souvenirs comme toujours semaient un trouble diffus en moi…Sandra et Raphaël étaient partis quelques jours en vacances. Nous étions donc seuls et j’avais la ferme intention d’en profiter.

J’avais prévu ce soir de bousculer un peu Pascal mais j’étais terrifiée à l’idée de briser notre amitié. Je choisis ma tenue avec soin : une jupe courte en jeans, une chemise cintrée en coton blanc, des bottines à talon en daim marron. Pour les sous-vêtements, je choisis un ensemble en dentelle blanc tout en transparence, sait-on jamais. Je m’examinai dans le miroir, j’étais satisfaite de mon reflet ; une tenue soignée et sexy sans toutefois paraitre trop apprêtée. J’étais passée également chez le traiteur chercher un plateau de fruit de mer. La table dressée sur la terrasse éclairée ça et là de quelques bougies, il ne manquait plus que Pascal.

Après quelques minutes, Pascal fit son entrée exauçant mon vœu.

- Bonsoir ma coloc adorée, dis-il en m’embrassant sur la joue, on fête quelque chose de particulier ce soir ? me demanda – t’il en lançant un regard vers la terrasse.

- Et oui, mon coloc adoré, ce soir, on fête notre amitié, on fête la vie ! Ca te convient ?

- Si ca me convient ? j’adhère totalement, me dit-il en me prenant par la taille.

On s’installa en terrasse. J’avais pris soin de ne choisir que des plats qui se mangent à l’aide des doigts, ça lui donnerait peut-être des idées... Je sentais que l’ambiance se réchauffait malgré les petits frimas de la fin d’été. Parfois nos mains se frôlaient, le contact se prolongeait dans une fausse apparence d’innocence. Nos yeux brillants ne se quittaient plus. Qu’est-ce que j’avais envie de lui ! Le repas fini, Pascal me fit une surprenante proposition :

- Mathilde, pour te remercier de ton attention, ça te dis un massage ? C’est un de mes rares talents… Si tu n’aimes pas ou bien que tu te sens gêné, tu peux me le dire à tout moment et j’arrête ok ?

- Ah j’adorerai ça ! lui répondis-je ravie.

- Bon alors, allonge toi sur la table de la salle-manger ce sera plus pratique.

- Je suppose que je dois me dévêtir ?

- Bien, écoute, c’est mieux mais après c’est toi qui vois.

- Alors c’est tout vu, lui répondis-je en faisant glisser le long de mes jambes ma jupe tout en lui faisant face.

Je déboutonnais lentement ma chemise sans le lâcher des yeux.

Je sentis Pascal se crisper légèrement mais il s’efforça de ne rien laisser paraitre. Seule la cadence élevée de son pouls le trahissait. Je m’allongeai sur le ventre, le contact froid du plateau en verre de la table me faisant frissonner.

Pascal releva mes cheveux sur ma tête à l’aide d’une pince afin de dégager ma nuque. Puis, il dégrafa mon soutien-gorge que je fis glisser à terre. Je sentis l’odeur gourmande, sucrée et vanillée de l’huile dont Pascal s’enduisait les mains. Quand il posa ses mains sur mon dos, je fus en proie à une vive émotion…que de douceur dans ses mains. Les doigts souples de Pascal galopaient le long de ma nuque vers le creux de mes épaules. La sensation était divine !

Il mit ses mains en aplat de part et d’autre de mes omoplates et commença par me masser langoureusement le dos m’arrachant des petits grognements de plaisirs. Ces caresses progressivement se firent plus fermes à mesure qu’il descendait vers le creux de mes reins. Puis ce fut au tour de mes pieds d’être choyés, remontant peu à peu par les chevilles puis mes mollets. Je sentis une vague de bien-être m’envahir.

Ses mains atteignaient maintenant mes cuisses roulant de part et d’autre de mes jambes. De plus en plus haut, je pouvais sentir à l’intérieur de mes cuisses la proximité de ses doigts qui s’agitaient et créaient un petit courant d’air sur ma culotte. L’excitation lentement mais surement montait crescendo. Je sentais mon clitoris déjà tout dur ainsi qu’une certaine humidité. J’espère qu’il ne se rendait pas compte du trouble que j’éprouvais ou plutôt si au contraire.

Ses mains remontèrent le long de mon flan, sur le coté à la limite de ma poitrine. Je sentais que le massage se muait en caresses beaucoup plus douces, l’air de rien… Un pur délice ! La caresse se délocalisa sur mes fesses rondes qu’il remontait par mouvement circulaire. A chaque fois qu’il faisait ce geste, l’excitation montait d’un cran, le tissu de ma culotte venant caresser mon petit bouton déjà tout excité…

Il me demanda de me retourner, ce que je fis de bonne grâce non sans une légère apréhension. Mon souffle était retenu dans l’attente de ses mains sur mon corps fievreux. Il reprit son massage, le débutant par mes tempes, il s’approcha de mon visage :

- « ca te plait ? », me dit-il dans un murmure

- « mmmm, c’est trop bon, fais attention tu vas me faire prendre de très mauvaises habitudes, tes mains c’est une véritable addiction ! », grognai-je de contentement tout en me cambrant et tendant ma poitrine vers lui.

- « mmmm, c’est moi qui risque d’être à accroc à ton corps… tu es bien sûre Mathilde ? m’interrogea-t’il.

Pour seule réponse, je saisis sa main pour la porter à ma poitrine. Il se pencha vers moi, prit mes lèvres tel un calice et m’embrasse de la plus tendre et sensuelle des manières. Je répondis à son baiser avec ardeur. Il me stoppa et continua son massage. Les mains prenant en coupe ma poitrine, sa bouche traçait un itinéraire sinueux de ma joue vers mon cou, mon oreille….mmmm, puis se fut au tour de ma poitrine.

Sa bouche se saisit d’un de mes petits têtons, le mordillant très doucement puis l’aspirant. Ses mains descendirent le long de mon flan tandis que sa bouche s’attardait sur mon nombril. Il enleva ma culotte, la découvrant toute mouillée…. »Hummm, on dirait que tu es très sensible, Mathilde….mmm j’aime trop ». Je rougis, heureuse. Ses doigts caressèrent doucement ma douce toison et s’enfoncèrent plus profondément au creux de mon intimité. Il m’infligea des caresses telle des ailes de papillon, caresses d’autant plus amplifiée que je sentais son souffle chaud à proximité de mon sexe, ce qui rendaient ses caresses démoniaques. Je me cambrais, j’en voulais plus, je le voulais. C’est alors que je sentis sa langue tournoyait tout autour de mon petit bouton tandis que deux de ses doigts s’enfonçaient profondément en moi dans un langoureux va et viens. Je ne pus supporter ce manège bien longtemps, déjà je jouissais dans de grands cris sous l’effet de sa langue conjugué à celui de ses doigts.

Je me relevai assise sur la table face à mon bel Adonis. Me jetant à son cou, je l’embrassai à mon tour passionnément, mes mains découvrant son corps que j’avais tant désiré. Des épaules larges, une peau dorée…Dans l’excitation, je n’avais pas vu qu’il s’était débarrassé de son t-shirt dévoilant un torse superbe. Mes mains emprisonnaient sa nuque, glissaient sur ses épaules, son dos, le creux de ses reins, ses fesses bombés. A ce contact, Pascal se pressa contre moi me faisant découvrir son désir impérieux. En effet, je sentais une bosse dure se frotter contre moi.

Je décidai de le libérer…debout face à lui, je fis glisser son jeans et son boxer le long de ses jambes. Devant moi, pointait l’objet de mon désir. Ce bel organe d’une taille généreuse semblait déjà bien irrigué. Je ne pus m’empêcher de le caresser de ma main. Quelle douceur !!! La pointe de ma langue décida de pousser l’exploration un peu plus loin. Je goutais son extrémité sur laquelle perlaient quelques gouttes de désir. Ma langue se promenait, lui arrachant quelques petits soupirs. Je l’enfonçais dans ma bouche tiède tandis que ma langue n’avait de cesse de le lécher. Pascal accompagnait mon mouvement par des vas et viens. Mmmm, c’était un régal de voir le pouvoir que j’avais sur lui grâce à ma bouche.

Il me stoppa n’y tenant plus, m’assis sur le rebord de la table. Tout en m’embrassant goulument, il enfila un préservatif et présenta son sexe à l’entrée de mon lotus. Me regardant fixement afin de guetter mon approbation, il était en attente….« Tu…. ». « Chut » lui dis-je en plaçant mon doigt sur sa bouche. Faisant glisser mon corps, je m’empalais sur lui, lui donnant la réponse qu’il attendait. Mmmmm, il souleva un peu mes fesses et m’infligea les plus exquises des sensations. Son sexe allait et venait en moi avec des va et viens d’une extrême lenteur et fermeté. Il accéléra peu à peu la cadence tout en caressant mes seins et en venant titiller mon clitoris. Dieu que c’était bon. Il me souleva et ainsi enlacée, me porta vers sa chambre. Il vint s’allonger au dessus de moi tandis qu’il plaçait mes chevilles derrière ses épaules. En complète extension, la croupe offerte, il allait et venait encore plus profondément en moi…Mmmmm, chaque va et viens s’accompagnait de soubresauts quand son ventre venait toucher mon petit bouton affolé. Nous étions unis sur le même rythme de l’amour. Je sentais l’orgasme tout proche. Il me pilonna alors avec puissance de coups de reins rapides. Mmmmmm !!!!! encore !!!! encore !!!! oui !!!! oh oui !!!!oui !!!!!!!

Nous nous endormîmes blottis l’un contre l’autre , amants heureux, dévastés par la puissance de cet orgasme ravageur.

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Quelle belle plume alerte, te découvrant peu à peu timide, le désir présent mais que tu ne veux laisser paraître, de peur de te livrer... puis peu à peu... tu te laisses aller... à ton corps, les plaisirs adviennent, s'amplifient... s'expriment... se partagent enfin...

tu fais de nous des voyeurs, nous prenant par la main pour t'accompagner sur les chemins de tes plaisirs assouvis...

Merci Mademoiselle,

Ô plaisirs de lire à nouveau, encore, encore... l'épanouissement de tes sens...

:aime::???: :-D

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Guest Anonymous

Vaincre sa timidité pour faire place au désir. C'est trop bon de se laisser aller...

Quel magnifique récit et quelle belle plume! Ca vaut bien un grand remerciement. :aime:

J'espère qu'il y aura un troisième tome.

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Guest decibel

:D :D:aime: Je ne peux que m'associer aux compliments de ton fan-club : superbe narration dans un style très agréable à lire et un souci précis des détails tout en sensualité allant crescendo :D:???::-D

:D J'en redemande aussi ! :o

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Superbe récité, très belle narration et les sensations de plaisir sont très palpables :aime:

La suiiiite ! :???: :-D

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Guest Anonymous

Voila une magnifique histoire, sans vulgarité, très bien écrite, bref un régal pour l'esprit !

Bravo et merci :aime:

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Guest Meph

j'aime bien la vie en société

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Une suite qui ne fait qu'attiser encore plus notre plaisir.

Ne t'arrête surtout pas en si bon chemin. :aime:

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Guest Yeho

Moi j'ai bcp aimer découvrir ce texte avec cette colocation ;)

Merci Eva !! Un petit commentaire pour t'encourager a écrire la suite. Ptet que d'autres seront d'accord avec moi :P

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Guest Eva96

Bonjour à tous et à toutes :)

Une suite de ce texte, ça vous plairait ? :roll:

Je compte sur vos avis ! Et même peut-être vos idées ! ;-)...si ça vous interesse hein :)...

Bises et bonne journée à tous et à toutes :-)

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