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jaimebien

mes premiers émois sexuels partagés.

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Aujourd’hui, je vais vous parler de mes premiers émois sexuels partagés

Je me masturbais devant un ami à qui j’expliquais le plaisir procuré à caresser son sexe. Il voulu essayé, je l’invitais du geste à faire comme moi ; il était en érection, c’était super beau et se masturbait bien maladroitement, aussi très naturellement je me suis retrouvé avec sa verge touche tendue de désir dans ma main…

Ce contact d’un sexe masculin vibrant d’envie entre mes doigts fut une décharge d’adrénaline, il jouit entre mes doigts et je jouissais de cette situation pour le moins incongrue.

C’était d’autant plus super que tout cela était arrivé très naturellement et que nous bandions à regarder des filles superbes, nues et offertes dans des magazines. Et pourtant…

Pourtant ce jour fut pour moi le premier pas vers une bisexualité très active.

Faire jouir mon ami avait été un révélateur de pouvoir qui m’excitait d’autant plus que s’y ajoute la notion forte de donner du plaisir. J’aime associer l’idée de «pouvoir »tenue du bien dispensé.

Les quelques fois suivantes, souvent des mercredis après-midi, nous nous sommes masturbés ensemble, chacun « dans son coin », mais quand parfois j’allais vers lui pour caresser son sexe, il se laissait faire et alors nous jouissions extrêmement fort et vite, moi à le caresser et lui à se faire toucher…

Un après-midi où nous étions seuls quelques heures chez lui à regarder des revues de charme dans sa chambre, je me suis déshabillé, mis tout nu. Je bandais, me caressais. Il me regardait, j’ai vu ses yeux briller et sa verge se tendre, grossir entre ses doigts.

Je suis allé vers lui, tout proche, et je l’ai invité à se lever. Nous étions face à face, en érection, silencieux. J’ai pris sa bite dans ma main, je l’ai guidée vers ma queue, merveilleux premier contact que cette rencontre entre nos verges toutes pleines d’envie.

Mon prépuce embrassait le sien, mes mains sur ses hanches lentement caressait ses fesses, son ventre, tout son corps. Je sentais la chaleur de son sexe enlacé au mien et comprimé par nos ventres maintenant en contact. Je posais mes lèvres sur les siennes, il me serra dans ses bras, sa bouche s’entrouvrit et au contact mouillé de nos langues nous avons joui ensemble, enlacé l’un contre l’autre, debout.

Ivres de plaisir, tout chancelant de cet instant, nous nous sommes reculés l’un de l’autre pour bien nous regarder, comme pour comprendre ce qui nous arrivait… Alors et pour que cet événement soit plus qu’une passade, je me suis rapproché de lui, je l’ai serré dans mes bras et l’ai embrassé à pleine bouche, tendrement, puis passionnément, mes mains courant sur son corps. Je sentais son érection contre moi, je lui ai murmuré à l’oreille des mots d’amoureuse, « mon amour, je t’aime, tu es tellement beau, viens, laisse-toi aller, je suis ta femme, je fais la femme pour toi, je vais t’aimer comme une femme, mon beau chéri… ».

C’était lui l’homme, et pour finir de le conforter, je lui murmurais de me serrer fort dans ses bras, de m’embrasser, puis j’ai guidé sa main sur ma poitrine pour qu’il caresse mes tétons et j’ai gémi comme une femme. J’ai guidé sa main sur mes fesses cambrées, j’ai encore gémi comme une femme. « je vais t’aimer comme une femme mon beau chéri », ma bouche a quitté ses lèvres, ma langue a glissé sur son cou, son torse, joué avec son nombril…, je sentais l’odeur de son sexe excité. Je suis tombé à genoux devant lui, j’ai admiré sa verge, lécher sa hampe, son prépuce, et j’ai joui comme une chienne quand je l’ai pris dans ma bouche. C’était merveilleux, je jouissais comme jamais, lui aussi d’ailleurs. Cette fellation fut d’une rapidité foudroyante et tellement jouissive. Sublime !!!!!

Il s’est retiré de ma bouche, je goûtais avec délices ces quelques premières gouttes de sperme, j’ai trouvé ça super bon, je m’en délecte encore aujourd’hui avec le même appétit.

« Merci mon amour » lui ai-je dit, « je suis ton amoureuse, je t’aime, c’est fou », et je me suis rhabillé, lui ai donné un tendre baiser sur la bouche, et suis parti tout troublé. Le soir dans mon lit, je bandais et me masturbais en pensant à lui, en pensant à cet après-midi d’amour et plaisirs partagés.

Cette expérience fut le révélateur de ma sexualité profonde, aimer comme une femme, jouir des mêmes plaisirs qu’une femme, et même si je bande, je mouille aussi de mon intimité anale qui fera office de puit d’amour pour mes amants futurs.

Le matin suivant l’après-midi révélatrice de ma sexualité profonde, et après une nuit entière à me caresser partout sur le corps comme une femme, à bander et jouir, je décidais d’aller prendre de la lingerie à mes sœurs.

Je me souviens très bien qu’en guise de lingerie, c’est une paire de collant nylon transparent que je trouvais et pris avec moi, ainsi qu’une culotte en coton.

Et c’est l’après-midi suivant, seul à la maison, tranquille dans ma chambre, que je passais à l’action. Je sortis la revue « Penthouse » que j’avais, et page après page admirait ces filles superbes, seules nues et offertes, ou entre elles qui se caressent et s’aiment, tout simplement heureuses. Bien sûr les regarder faisait tendre dans mon slip ma verge d’envie contenue, je regardais ces filles longuement, envieux de leur corps magnifique aux formes si parfaites. La revue posée sur le lit superposé du haut, je me suis déshabillé et nu en érection me suis placé au centre de la chambre bien en face du miroir de l’armoire qui était plus grand que moi, et j’ai passé un long moment à regarder mon reflet, je me trouvais super beau. J’ondulais sur place, lentement, testant des poses de déhanchées comme ces filles de Penthouse, de cambrure des reins, etc…

Mes mains se promenaient amoureusement sur mes hanches, mes fesses, je jouais avec mes tétons qui durcissaient, caressais mes couilles comme une femme caresse son sexe en s’écartant les lèvres de la chatte. Je sentais mon trou se dilater, s’humidifier, je découvris mon bouton d’amour à l’orée de mon intimité anale, je le titillais mais sentant l’éjaculation venir j’arrêtais pour faire durer le plaisir. Je me regardais maintenant allongé sur la moquette dans des poses de plus en plus osées, provocantes, jambes écartées à plat dos, ou au contraire à 4 pattes le cul bien cambré, fesses écartées, trou du cul offert, et encore et surtout le sexe disparu entre les jambes, nu comme une femme qui cache encore son intimité. C’est dans cette position que j’ai joui du contact de mes cuisses enserrant ma verge.

L’après-midi était encore longue, je faisais maintenant l’amour avec mon reflet, collé à ce miroir partenaire de mes séances amoureuses en solitaire, m’embrassant à pleine bouche pendant que ma queue allait et venait contre elle et qu’une deuxième fois je jouisse, contre mon reflet cette fois.

Quand j’ai repris mes esprits, ouvert les yeux et reculé du miroir, exténué mais heureux, j’ai vu la porte de ma chambre ouverte sur mon frère qui me regardait en se caressant l’entrejambe à travers son pantalon.

Nous nous sommes regardé sans un mot, je lui ai tendu le bras, il a saisi ma main, je l’ai attiré à moi, suis tombé à ses genoux et comme dans un rêve ouaté, tout en douceur et naturellement, j’ai baissé son pantalon, puis son slip d’où comme un ressort sa verge en érection a jailli face à mon visage.

Elle était super belle, bien raide, bien droite.

Je me suis enivré de son parfum musqué, j’ai léché ses couilles, sa hampe, embrassée son prépuce.

Je sentais son sexe se gonfler, se tendre davantage encore s’il était possible, je l’ai pris entre mes lèvres, il était en moi, ma bouche allait en venait sur son membre, je sentais qu’il allait venir, je l’ai aspiré plus fort encore, il a joui dans ma bouche, et là j’ai eu ma 1ère vrai rasade de sperme à déguster. Il s’est retiré et parti sans rien dire, quant à moi très tranquille maintenant je me rhabillais, je crois heureuse cette fois. Je me sentais femme d’avoir excité et donner du plaisir.

Les jours suivant se passèrent comme si rien ne s’était jamais passé, mais je rêvais de recommencer.

Ce soir-là, la maison endormie, lorsqu’il a éteint sa lampe, nous dormions dans la même chambre, j’ai attendu quelques instants et sans un bruit me suis levé et je l’ai rejoint dans son lit. Il s’est poussé me laissant une place, j’étais tout nu, nous nous faisions face sur le côté, j’ai posé une main sur sa hanche, j’ai posé mes lèvres sur les siennes qui au bout d’un moment se sont entrouvertes, nos langues alors se sont mêlées et notre baiser est devenu d’amour, tendre, passionné, insatiable, plein de promesses d’avenir. Je sentais son érection contre mon sexe à travers son pyjama, je caressais sa poitrine, ses fesses, son ventre plat, je glissais ma main dans son pantalon et enserrait sa verge entre mes doigts. J’adore ce contact, j’adore sentir une belle érection dans ma main, ça me fait bander et envie de jouir, sentiment d’être femme et pleine de pouvoir.

J’ai roulé sur lui, corps à corps silencieux d’amants inexpérimentés. Sur lui je me suis relevé, j’ai baissé son pyjama, j’ai embrassé son sexe longuement et tendrement avant de lui donner une vraie et belle fellation, et cette fois j’ai arrêté avant qu’il jouisse. J’ai pris sa place dans le lit, bien au centre, sur le dos, j’ai ouvert mes jambes comme le ferait une femme et l’ai invité du geste à venir sur moi. J’ai senti son sexe sur le mien, merveilleuse impression, puis tout son corps, mes jambes se sont refermées sur ses fesses, j’ai tendu ma bouche vers la sienne, il a répondu à mon désir, nous nous sommes embrassés, enlacés au rythme de nos frottements d’amour et j’ai senti son foutre se répandre sur ma verge, sur mon ventre, tout chaud. Nous sommes restés longtemps ainsi, j’avais mes mains sur ses fesses que je malaxais. Quand il s’est relevé, dans le même mouvement je me suis redressé pour nettoyer avec ma bouche sa verge gluante de sperme, conséquence il a bandé aussitôt et je me suis régalé à le sucer cette fois longuement jusqu’à ce qu’à nouveau il éjacule, quelques gouttes à peine, mais quel bonheur.

Il croyait que j’allais partir, mais non je me suis blotti comme une amoureuse contre lui, et pour la première fois j’ai brisé le silence pour lui murmurer des mots tendres d’amour qu’une femme amoureuse réserve à son amant chéri.

Au matin je l’ai senti tout gêné, aussi l’ai-je simplement embrassé légèrement, baiser qu’il a accepté, et dit que « j’étais heureuse d’être sa femme ».

Et je me suis levé, m’étirant véritablement comme une chatte après un tendre moment. J’ai enfilé cette culotte très féminine volée à ma sœur en plaquant bien mon sexe entre mes jambes pour mettre en évidence à travers ce tissu de coton ma féminité, puis j’ai enfilé les collants, me suis admiré dans le miroir en cambrant mes fesses, et finis de m’habiller comme un mec normal, le tout devant lui. Et avant de descendre j’ai déposé un baiser furtif sur ses lèvres en flattant son érection de la main, et je suis parti. Je suis sûr qu’il s’est branlé en suivant.

Ces expériences m’ont rendu accro au sexe, j’avais toujours envie de jouir à faire jouir pour me sentir de plus en plus femme.

Quand je voyais mon ami à chaque fois je m’arrangeais pour même furtivement lui tailler une pipe, et quand possible, nus ensemble nous caresser longuement en nous embrassant. Souvent je dansais lascivement, nu devant lui pour l’exciter, me caressant, m’exhibant à son regard, et toujours le summum : la fellation. J’adore sucer tout nu, à genoux, les fesses bien en l’arrière. Son sexe en bouche je bande alors au moins aussi fort que lui et mon plaisir au même rythme que lui vient. Sans stimuler mon sexe, je jouis comme lui, en éjaculant du sperme par saccades.

Pendant quelques années, mes expériences sexuelles furent celles-ci ; caresses partagées entre garçons, tendres baisers sur la bouche, masturbation commune et partagée, caresses buccales, fellations. C’était l’époque « Penthouse » et « Club », l’époque « touche-pipi ».

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