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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Abraxas

Guili, guili...

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Je sortais avec une amie dont le surnom était Samantha, enfin, c’était ses copines qui l’avaient baptisée comme ça. C’était à cause du nom de cette chanteuse qui avait des seins très très développés. Elle suivait les cours d’une école d’infirmière, les soirées n’étaient pas tristes dans le milieu médical.

Nous revenions de boite et nous allions chez elle pour prendre un dernier verre. Nous étions cinq, il y avait : Gaëlle, Mathias, Jérôme, Sam et moi.

Il était tard ou tôt, il devait être quatre heure où cinq heure du matin. Samantha s’était jetée sur le canapé.

D’un même élan, nous firent de même en nous précipitant sur Sam pour la taquiner. Seul Jérôme resta debout à nous regarder n’ayant pu trouver de place sur le convertible.

Imité par Gaëlle, je chatouillais Sam sous les côtes, elle se crispait et resserrait ses bras près de son corps, je dis à Mathias et à Jérôme de la tenir pour qu’elle ne se débatte point,. Je fis signe à Jérôme de passer derrière la banquette pour lui tirer les bras en arrière. Sam avait les bras levés tenus fermement aux poignets par Jérôme. Ce geste lui découvrait son ventre faisant remonter son chemisier vers le haut. Nos chatouillis étaient moins appuyés car certains étaient appliqués directement sur sa chair et nous ne voulions pas la faire trop souffrir étant donné qu’elle était à notre merci sans pouvoir se débattre.

Son corps s’épanouissait depuis ses hanches en courbes harmonieuses, son pantalon taille basse découvrait son nombril jusqu’aux limites de son pubis. Un bouton de son chemisier s’était défait dans la bataille livrant ses côtes à nos regards et nous pouvions presque apercevoir le haut de son soutien gorge.

Toute la moitié de son corps étaient dénudé, du bas du ventre jusqu’à ses seins. Gaëlle, Mathias et moi découvrions le velouté de sa peau, la douce texture de sa chair. Sous l’effet de l’alcool, nos chatouilles s’étaient muées en caresses, Sam s’était arrêté de rire. Je sentais dans son regard un reproche mêlé à un léger trouble.

Je crois bien que c'était cela qui m'excitait...

(a suivre?)

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:roll: et une fois de plus tu me laisses sur ma faim :P

vilain méchant !!!!! :(

aller s'il te plait la suite :twisted:

bisous ;-)

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Guest sphinx

Bien sûr ...... à suivre Abraxas :twisted:

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Merci pour vos encouragements à continuer..

je n'avais pas trop le temps cette semaine.

Mais voici une petite suite que je viens de terminer...

Je devinais le déchirement qui tourmentait son esprit, en ayant donné l’ordre aux deux autres garçons de la tenir, je libérais Sam de tout sentiment de culpabilité car j’avais pris le contrôle de la situation, j’avais pris la responsabilité de libérer son désir. Gaëlle semblait tout excitée de voir sa copine dans une telle situation, ses caresses étaient sans équivoque. Elle fixait Samantha dans les yeux, épiant le moindre changement d’expression.

Je déboutonnais le chemisier de Samantha, les mains de Gaëlle se faufilaient sous le tissu, elle semblait encore plus avide que moi. Le corsage de Sam était complètement ouvert sur son soutien gorge. Nous étions allés trop loin. Sam se cambrait, elle faisait mine d’éviter nos mains, Gaëlle palpait les énormes seins de Samantha sur le soutien gorge, je l’aidais dans sa concupiscence en faisant glisser une bretelle.

A deux, par nos pressions, nous étions arrivés à faire sortir un sein de son logement. C’était comme dans un rêve, tout cela ne pouvait pas être permis dans la réalité. Jérôme derrière elle, avait dégrafé son soutien gorge. Les beaux seins de Samantha étaient pressés par de multiples mains. Je voyais sa belle poitrine disparaître sous cette avalanche de caresses. J’essayais de la rassurer en lui caressant le cou les épaules et la joue comme pour lui dire de s’abandonner à notre jeu.

La situation était étrange, nous étions cinq et pourtant nous étions quatre à s’occuper essentiellement du corps de Samantha.

Par ses réactions, ses mouvements tantôt de refus, tantôt de soumission, par le froncement de ses sourcils, je devinais une lutte en elle.

Mais je la sentais céder et s’abandonner à nos mains sous l’embrasement de ses sens. Je voulais reculer ses limites, sentir ce déchirement qui la troublait si profondément.

Samantha était déboussolée d'avoir tant de mains qui la parcouraient, qui la fouillaient, qui la stimulaient. Quand il y en avait deux, il lui était facile de deviner où elles se dirigeaient, mais quatre, six, huit ! C’était délicieusement mystérieux. Qu'allions nous effleurer? Qu'allions-nous empoigner? Qu'allions-nous caresser?

Mais comme si ça ne suffisait pas, nous la parcourions de nos bouches, de nos langues. Tant de caresses à la fois, elle succombait de plaisir. Elle n’avait jamais connu de telles sensations simultanées.

Tout allait très vite maintenant, Mathias avait fait glisser le pantalon de Sam emportant sa culotte dans le mouvement libérant à notre vue son petit triangle châtain.

(a suivre?)

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Guest sphinx

oui Abraxas bien sûr mais j'ai été obligé de relire le premier épisode pour me rappeler l'histoire dans son ensemble.

T'en supplie, n'en fait pas 10 épisodes hein ! :roll:

Sinon, chapeau ! Excellente écriture et l'histoire, n'en parlons pas :twisted: :wink:

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Merci Sphinx pour tes compliments. :twisted:

Voici la suite et fin....

Ce qui m'intéressait dans ce texte, c'était surtout le glissement dans l'interdit : comment un jeu de chatouilles peut se changer en partouze... :wink:

Ce fut en quelque sorte comme un signal de départ, pendant ce temps Gaëlle s’était vite retrouvée nue bientôt imitée par nous tous. Gaëlle toujours fascinée par Sam notre captive, faisait glisser son corps contre le sien, tétons contre tétons, seins contre ventre, elle se frottait à elle. Mathias et Jérôme étaient situés de chaque côté et touchaient tour à tour les poitrines des deux filles.

Moi, j’étais derrière Gaëlle, et je regardais sa croupe se dandiner. J’explorais les monts et le vallon caché, descendais sur ses cuisses, remontais sur ses fesses.que je saisissais, les écartant un peu pour mieux découvrir la ravine amie. Je pressais les doux renflements de chaque côté de son sillon. Deux de mes doigts glissaient le long de son huis que je sentais déjà perler de plaisir.

Mathias et Jérôme bandaient gros et forts et présentaient leurs mandrins de chaque côté de la poitrine de Sam qui n’avaient pas été bien longue à s’en emparer.

D’abord timidement, elle papillonna de l’un à l’autre les butinant du bout des lèvres avant de les prendre tour à tour goulument dans sa bouche.

Gaëlle était accroupie entre les jambes de Sam. Elle approchait son visage du petit promontoire de Vénus. J’avais l’impression qu’elle la humait. Je vis la belle bouche de Sam dessiner un oh de surprise quand la langue de Gaëlle vint câliner les grandes et les petites ailes du papillon de feu qui se cachait là, surprise bien vite remplacée par une belle expression de joie et de plaisir.

.

Elle reprit de plus belle les mandrins turgides des deux hommes qui se trouvaient de chaque côté d’elle. J’avançais doucement mon gland à l’orée de l’antre brulant de Gaëlle qui se cambrait pour montrer son accord. Je pris Gaëlle par les hanches et tandis que je la pénétrais, je ne quittais pas Sam des yeux, elle échangeait avec moi un regard souriant et complice.

Sam tressaillait sous les coups de langue de Gaëlle, caressant les membres généreux de Jérôme et de Mathias, elle imposait à ses mains un rythme plus rapide. Ses seins voluptueux se tendaient presque pour aller à la rencontre des beaux glands luisants.

Sam n’étais que chair affolée, toutes les parcelles de sa peau étaient éveillées, attentives aux plus infimes frémissements de plaisir que nous lui procurions.

Je suivais la cadence qu’imposait Sam, J’alternais les mouvements doux et lents avec d’autres plus énergiques qui laissaient dans le corps de Gaëlle des impressions plus durables. Sam jouissait sans arrêt sous la langue de Gaëlle qui se délectait des secousses que je lui infligeais. Les filles faisaient entendre des plaintes lascives qui nous embrasaient le sang. Puis nous fûmes tempêtes et éruptions volcaniques, Mathias et Jérôme inondaient les mamelons de Sam sous des jets de sperme, la croupe de Gaëlle était collée à mon ventre, elle me serrait, j’éclatais en elle dans un embrasement ultime.

(fin)

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:twisted: :wink::roll: wow trop bien !!!! :D

bravo l'artiste !

encore un texte magnifique de sensualité et de délicatesse, vraiment je suis FAN !!!

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Très belle mise en mots :twisted:

J'aime beaucoup le soin avec lequel tu choisis chaque mots... et bien évidemment, le résultat s'en ressent. Tu as un style de narration bien à toi. :wink:

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Merci Fanie, merci Obsidienne

:twisted:

Content que mes mots vous touchent :wink:

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Merci Leona89 :wink:

Bien content de savoir que ce récit fut excitant !

:roll:

:twisted:

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Guest sphinx

:twisted: abraxas !

Un cheminement et une fin qui donne des sueurs chaudes de plaisirs partagés :roll:

Merci :wink:

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Aaaargh ! voilà ce qui arrive quand je ne me connecte pas !

Partie deux jours et voilà ce que je manque !

:lal: magnifique :lal: :lal:

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c'est vrai Alexi... mais toi tu n'a pas souffert de devoir attendre LA SUITE, tu as eu droit à tout le texte en une seule fois :lal:

chanceuse va !!! :lal:

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