Aller au contenu

Faites des rencontres coquines près de chez vous

araiquantum43

Des 40 ans qui dérapent...

Recommended Posts

L’histoire que je vais vous raconter est réelle, elle s’est passée en octobre 2008 et témoigne de la facilité avec laquelle un homme peut franchir l’interdit en matière d’adultère quand il est un peu éméché.

Pour des questions de confidentialité, les prénoms des personnes ne seront réduits qu’à leur initiale.

Je m’appelle J et suis marié depuis plusieurs années avec C. Nous avons 2 enfants et je dois dire que notre vie sexuelle est assez morne. Elle a changé du tout au tout depuis la naissance de notre second enfant et ce changement a été radical. Nous n’avions pas spécialement de tabous au lit et étions adeptes de toutes sortes de pratiques sexuelles comme la fellation, la sodomie, les sex toys, les mots crus ……

Aujourd’hui, nada, plus rien. Elle ne veut plus rien faire, ne prend plus d’initiative et je suis réduit à des rapports sexuels en missionnaire après des traditionnels préliminaires…..euh très traditionnels les préliminaires !!! En un mot, je m’ennuie ferme au lit avec mon épouse. Nous avons discuté assez ouvertement mais elle m’a dit qu’à 40 ans, elle souhaitait maintenant avoir une vie sexuelle plus tranquille et « normale ». Pourtant je ne trouvais pas notre vie sexuelle anormale. J’essaie de faire beaucoup d’efforts pour pimenter nos relations mais rien n’y fait. J’ai été très gâté par dame nature au niveau de la taille de mon sexe qui est assez long et très épais avec un gros gland, aussi je pensais que c’était à cause de cela mais non.

Nous habitons un petit village du sud de l’auvergne, un des ces villages où tout le monde se connaît et d’où est originaire ma femme. Nous sommes très amis avec 3 couples et notamment avec un couple dont la femme K est la meilleure amie et amie d’enfance de mon épouse. K est une superbe femme malgré ces 40 ans et ces 2 grossesses : 1m68, 58 kg, très mignonne, des jambes interminables, un ventre plat, des petits seins fermes et un cul à faire bander un âne. Infirmière libérale, elle est toujours très bien habillée, un peu bcbg qui lui donne cet aspect de sainte nitouche tout en laissant entrevoir un potentiel de bête de course au lit. Je m’entends très bien avec elle et ce qui me fait le plus rigoler, c’est qu’elle devient assez grasse dans ces propos dès qu’elle a un peu trop bu, propos qui bien entendu tournent toujours autour du sexe. J’ai toujours pensé que c’était une grande gueule, qu’elle en disait plus qu’elle en faisait mais……je me trompais fortement.

Cette année 2008 est une grande année car c’est l’année des 40 ans. En effet, C et K ont 40 ans ainsi que P le mari du troisième couple. Il a été décidé donc de faire une bringue d’anniversaire à trois, C, K et P. Nous avons loué la salle du gîte de groupe du village d’à côté et avons lancé les invitations pour une bringue déguisée en hippies (année 68 oblige).

Le jour J arrive, nous prenons possession de la salle. Le loueur, un copain, nous laisse avec, les cuisines, et tout le RDC de son bâtiment qui est très grand. Nous installons donc la déco et préparons tout pour le soir. J’étais préposé à la musique et je m’attendais à rester une grande partie de la soirée derrière mon portable à passer les titres pour faire danser les 75 invités. Il est 20h30, les invités arrivent par petits groupes ou par couples. A ma grande surprise, presque tous sont déguisés en hippies avec plus ou moins de réussite. La soirée se déroule sans accrocs, l’ambiance est très sympa, beaucoup dansent et sont gais, l’alcool coulant à flot. Je suis assis derrière mon pc à siroter mon énième verre de whisky coca quand K vient me voir pour me dire qu’il est l’heure d’aller se préparer pour le sketch. Nous avions préparé en secret un sketch pour mon épouse genre la roue de la fortune avec moi en Christophe Dechavanne et K en Victoria Silversedt. Je me rends compte en me levant que je suis déjà bien entamé par l’alcool, pas franchement saoul mais bien gai. Je la suis dans le couloir qui mène au petit salon du fond où nous avons caché les costumes et accessoires. Je fais attention que ma femme ne nous ai pas vu nous éclipser discrètement pour que l’effet de surprise soit totale ne me doutant pas que l’effet de surprise, c’est moi qui vais l’avoir….

Nous arrivons devant la porte du salon, je bloque K et lui dis à l’oreille que je suis un peu saoul et que le sketch va être difficile à assurer, elle me prend la nuque, m’attire à elle et me susurre « c’est pas grave, je vais te sucer avant, ça va te détendre », je lui rétorque illico presto « t’as que de la gueule ». Je me dis que, elle aussi, commence à être bien gaie. Nous entrons, la pièce est sombre, K referme la porte à clé et allume une espèce de petite lampe posée sur un guéridon. Je fais le tour visuel de la pièce, elle n’est pas très grande, une sorte de clic-clac est contre le mur du fond, à coté une étagère avec des vieux livres et des prospectus des activités à faire dans la région. A l’opposé, un vieux fauteuil style club est posé à coté du guéridon au pied duquel il y a les sacs des costumes. K plonge dans les sacs, je suis derrière elle et ai une vue plongeante sur son magnifique cul, elle porte une espèce de robe longue avec des motifs des années 70. La robe est dans une matière contemporaine, elle l’a moule, la lumière traverse la robe, je vois tout à travers comme des ombres chinoises et je commence à surchauffer quand je me demande ce qu’elle porte en dessous, visiblement ce n’est pas une grosse culotte. Elle reste comme ça un bon moment remuant son fessier devant mon nez, j’ai de plus en plus de mal à me contrôler : elle est entrain de m’allumer grave….

Elle se retourne, me tend un pantalon et une chemise, je prend le tout et me rend au fond de la pièce afin de me changer, j’ai la tête qui tourne un peu mais j’assure bien que j’ai encore l’image de son cul dans ma tête. Je commence à me déshabiller en me tournant du coté du mur pour lui permettre de se changer. Je suis à présent en boxer, toujours dos à elle. Je l’entends qui m’appelle, je me retourne et là, je la vois en lingerie, me faisant face au bout de la pièce, elle porte un string ficelle noir, un joli soutien gorge de la même couleur et des escarpins à talon aiguilles. Elle tient dans chacune de ses mains 1 robe sur cintre et me demande en s’avançant vers moi laquelle elle devait mettre pour faire Victoria Silversedt. J’essaie de me concentrer pour ne pas bander mais je sens irrémédiablement mon sexe se durcir et cela va se remarquer à coup sur. Elle continue d’avancer et se tenant face à moi, m’agrippe par la nuque et me dit tout bas à l’oreille « il parait que tu as une grosse queue, j’aimerai bien la tester » puis descend sa main le long de mon torse et va presser mon sexe avec sa main à travers mon boxer. Je suis terriblement excité, mon sexe est dur comme une barre de fer, mon boxer a du mal à le contenir, ma tête me joue des tours, j’entends au loin la musique de la bringue, c’est comme si je ne suis plus là. Je ne pense plus qu’à une seule chose : la baiser comme une bête là maintenant, tout de suite, je ne tiens plus.

Elle m’entraîne vers le clic-clac en me tenant par la queue et s’assied face à moi. D’un geste rapide et précis, elle libère mon sexe et je me retrouve nu devant elle, le boxer au pied et ma verge devant son visage. Avec beaucoup de délicatesse, elle commence à me branler, sa main n’en fait pas le tour. Elle donne quelques coups de langue pour bien mouiller le gland, monte et descend le long de ma hampe, me suce les boules. Elle me dit « alors c’était bien vrai, elle est vraiment grosse » et sur ces mots, la met en bouche. Je n’y crois pas, je suis entrain de me faire sucer par la meilleure amie de ma femme et toute sorte de pensée se bousculent dans ma tête, je suis entrain de faire une énorme boulette, peut être la plus grosse de toute ma vie, mais je ne peux résister à la superbe fellation qu’elle est entrain de me faire. De plus, je me dis que je vais lui donner ce qu’elle est venue chercher, qu’elle va vraiment ramasser cette cochonne. Le bruit de succion qu’elle fait m’excite de plus en plus, elle me branle, rentre ma bite dans sa bouche, l’a ressort, la rerentre etc.…et bizarrement, je suis bien, je n’ais pas envie d’éjaculer….sûrement à cause de l’alcool car, franchement, la fellation qu’elle me fait m’aurait fait jouir en moins d’1 minute habituellement.

Après un temps que je ne peux quantifier, je la redresse pour l’embrasser, nos 2 langues se sont trouvées, se cherchent, les baisers sont fougueux, je dégrafe son soutien gorge pour libérer sa petite poitrine dont les tétons sont déjà très durs, je commence à descendre l’embrassant dans le cou, sur la poitrine, mordillant les tétons, prenant ces seins dans mes mains puis je passe ma main sous le string et commence à lui titiller le clitoris, son sexe est rasé mais pas entièrement, juste les lèvres et le maillot semble être fait avec précision. Elle gémis et son string est tout trempe, j’introduis 1 doigt puis 2 facilement et lui masse sa petite rondelle avec mon autre main.

Je la couche ensuite sur le clic clac et m’applique à lui faire un beau cunnilingus pour lui rendre sa superbe fellation et là elle explose, elle gémis de plus en plus fort et sa cyprine commence à couler sur mon visage. Elle a un goût merveilleux, entre le sucré et l’acide comme un bonbon haribo acidulé. Je crois qu’elle est entrain de jouir tant sa respiration se saccade et elle mouille abondamment. D’un coup, elle se tourne et se met à 4 pattes me présentant son cul en me disant « prends moi en levrette, j’en peux plus ». Je ne mets pas longtemps pour exécuter ses souhaits, je prend ma queue dans une main et la présente à l’entrée de sa chatte tout en écartant le string ficelle. Je pousse et la pénètre jusqu'à la garde avec une grande facilité tellement elle mouille. J’entame des va et viens assez lents pour ne pas lui faire mal avec mon pénis mais elle prend vite les choses en main et au bout de 15 sec, c’est elle qui se pilonne elle-même sur ma queue. Je ne maîtrise rien, j’agrippe ces hanches mais ce n’est pas moi qui donne le rythme et elle le veut fort le rythme. La cochonne aime le sexe, cela se voit. Cette femme transpire le cul. Elle commence à faire beaucoup de bruit, heureusement que la musique dans la salle de bringue est forte. Je me surprend à parler de manière cru genre « t’aimes ça le cul hein petite cochonne, tu vas ramasser » et elle me rétorque « va s’y, fais moi plaisir, défonces moi». Puis elle jouit d’un coup sans prévenir, elle arrête de se pilonner, ses jambes se mettent à trembler. A ce moment là, je retire ma queue de sa chatte et un flot de cyprine se met à couler, attention pas comme dans les films où il y a des jets, mais il y en a quand même partout, sur moi, sur le clic clac, par terre… Mon sexe est trempé de cyprine mais je n’ai toujours pas jouis. Elle est toujours à 4 pattes alors j’entreprends de lui caresser le clitoris de nouveau et la cyprine coule toujours. J’en prend sur mes doigts et commence à lui masturber sérieusement la rondelle avec. Apparemment, ça lui plait alors j’introduis un doigt puis deux tout en continuant de lui caresser le clito et de recueillir la cyprine pour lubrifier. Je lui montre ce que je veux, la posséder par le cul en espérant qu’elle réponde positivement à mon invitation. Cela ne tarde pas à arriver, elle prend le coussin qui est sur le clic-clac, le met sous elle et me dit « Allez, bourre moi le cul, encule-moi ». Je n’en crois pas mes oreilles. Elle met ses 2 mains sur ses fesses et s’écarte la raie pour me montrer le chemin. Je présente mon gland à l’entrée, j’ai peur que ça ne rentre pas mais au fur et à mesure que je pousse, je vois disparaître ma bite dans son petit trou. Quand les 2 tiers sont rentrés, je commence les vas et viens tout doucement, elle gémit et se caresse frénétiquement le clitoris en même temps. Toujours agrippé aux hanches, mes vas et viens se font plus forts, cette fois c’est moi qui imprime le rythme et j’accélère jusqu’à la pénétrer bien à fond. Je la pilonne comme un forcené, je sors toujours ces phrases crues, cela fait longtemps que je n’ai pas eu de relations sexuelles comme ça, aussi bestiales. J’entends le claquement de nos corps à chaque coup de butoir que je lui donne. J’ai l’impression qu’elle en veut toujours plus. Sa tête est enfouie dans l’autre coussin du canapé car, maintenant elle le mord pour ne pas hurler son plaisir. Je suis en sueur, ma tête ne me tourne plus mais j’ai très chaud et je souffle comme un taureau en furie. Je sens alors un liquide chaud me coulant le long des jambes, elle est entrain de jouir et de nouveau beaucoup de cyprine coule de son sexe en même temps que ces jambes se mettent à trembler. Je me retire alors, le sexe toujours tendu comme un piquet de tente. Je suis mort, assis sur le canapé, je colle de sueur et de cyprine, le canapé est une vraie piscine et si quelqu’un entre à ce moment là, il va sans doute reconnaître immédiatement l’odeur de sexe qui émane de cette pièce. A ce moment, elle vient m’embrasser sur le front et me dit « j’ai pris mon pied comme rarement mais toi tu n’as pas jouis ». Je lui réponds « c’est pas grave ça veut pas le faire aujourd’hui ». En se levant elle me dit « ne bouge pas, je ne peux pas te laisser comme ça ». Elle farfouille dans les sacs, revient avec un paquet de lingettes et commence à me nettoyer la queue qui bande maintenant moue. Ces caresses sont tellement bonnes que je redurcis de plus belle et une fois bien nettoyer, elle se remet à me sucer comme au début. Bien évidemment, ce coup ci, la fellation ne dure pas longtemps, je sens rapidement le plaisir monter en moi et j’attrape sa tête pour la prévenir que je vais jouir mais elle ne veut pas s’enlever et j’éjacule tout mon sperme dans sa bouche. Il doit y en avoir une bonne dose tellement j’ai des spasmes et mal aux testicules. Elle avale tout et nettoie mon sexe avec sa langue, n’en laissant pas une goutte.

Elle m’embrasse et me dit qu’il faut peut être qu’on aille assurer le sketch. Nous nous sommes habillés, avons ouvert la fenêtre pour l’odeur et j’ai super bien assuré au sketch.

Depuis il ne s’est plus rien passé et nous faisons comme si il ne s’était rien passé. Je vis avec le remord d’avoir trompé mon épouse que j’aime de tout mon cœur mais fantasme encore sur cet intermède sexuel. Le pire…..c’est que je me dis que si le contexte se reproduit, je n’hésiterai pas une seule seconde……

Partager ce message


Lien à poster
Guest decibel

:sorry: :oups: Je pense que c'est un doublon avec ton texte posté ici :clap:

-> http://www.forum-intime.com/confession_intime/des-40-ans-qui-derapent-t18571.html

non ??? :bisou:

Partager ce message


Lien à poster

Doublon ou pas, restons courtois;-)

Quoi qu'il en soit, j'ai adoré. Et même si la morale et tes sentiments pour ton épouse le réprouvent je te comprends mille fois.

Partager ce message


Lien à poster
Guest fooki

sacrée histoire, ça c'est du sexe!!! :twisted:

Partager ce message


Lien à poster

je te comprend , n'aie pas de remords si elle ne te donne pas ceque tu as besoin l'important c'est que tu l aime

Partager ce message


Lien à poster

Hou là là quelle situation !

La chair est faible et bien des hommes auraient failli de la même façon que toi

surtout en étant plus ou moins délaissé par leur épouse.

En tout cas c'était très imagé comme récit et communicatif dans les envies :D

Partager ce message


Lien à poster
Guest aniscanelle

Situation hélas classique pour le contexte... Après j'apprécie la narration, c'est très bien raconté.

Pour le "sommeil" sexuel de ton épouse, tu as trouvé une solution?

Partager ce message


Lien à poster

Pas évident à trouver la solution à ce genre de chose ... à part l'extérieur ... :wink:

Partager ce message


Lien à poster
Guest aniscanelle

Et la ramener sur le chemin du plaisir, non? Lui faire réaliser qu'il n'y a pas de "normalité" dans le sexe... ?

Partager ce message


Lien à poster

Ce n'est pas la première fois que je le lis ce texte, et il me plait toujours autant.

Pour ce qui est de la morale, je te comprends, je suis dans la même situation, ou plutôt devrais appeler ça une impasse.

Qu'importe, le mal est fait, le mieux est de vivre avec et de ne pas regretter.

Partager ce message


Lien à poster
Guest egan

:wink: araiquantum43

Très impressionnant !!! je dirais surtout ton innocence parce que je trouve que tu mets du temps a y croire …

Je ne suis pas sûr que ce fût le cas de ta partenaire …

Qui avait sans doute de longue date prémédité un contact rapproché avec ton impressionnant attribut…

Pour ce qui est du sommeil sexuel de ta femme sache que les femmes changent

et de la même façon radical qu’elle s’est éteinte un jour,

Elle se réveillera un autre jour avec une sexualité inconnue et des envies fluctuantes difficiles à gérer

Face un homme a qui elle aura si souvent dit « non »

Quand elle ne saura pas si c’est juste une envie de folie

Et combien de temps elle l’assumera dans le temps ( si jamais ça repartais comme c’est venu ???)

Ça serai cruel de lui faire une fausse joie…

De même … de ne pas être celle qu’elle a était …ou au contraire d’être tellement une autre…

… qu’un inconnu ferai mieux l’affaire pour évaluer la nouvelle femme qui émerge

Il y a tant d’enjeux dans un couple !!!

Sans compter la culpabilité,… que je pense beaucoup de femme nourricent

sans surtout jamais l’avouer

d’avoir frustré leur homme !!!

C’est hormonale je pense… mais comment le justifier

Comment assumer ce qu’on sait faire subir à nos conjoint… longtemps compréhensifs

Mais pas pour autan idem de réaction négatives multiples… et donc culpabilisantes !!!

Cela peut vraiment faire de nous des menteuses celle qui ne savent pas ce quelle veulent

Un tel changement ! Sachant que la mère est toujours dans nos tête

et que savoir redevenir une amante déchaîner dont ont a, à découvrir l’amplitude

Avec le père de nos enfants qui lui est resté toujours beaucoup plus l’homme sexué

Mais aussi tellement moins attentionné !!!

Tellement moins empressé !!!

Il ne croit plus en nous

On a peur d’avoir l’air déplacé… mal perçu …

On peut alors avoir des envies qui se manifestent maladroitement… trop indirectement …

Ou de façons si abstruses, que vous ne les percevrez jamais

Et qui sait, si, quand madame se réveille…

Monsieur est peut être a l’aube de s’endormir…

Ou de ne plus s’emballer à l’appétit naissant de madame … le drame d’une vie …

Ils faudrait des médiateurs traducteur et psychologue pour ces virages de vie

Désolé encore trop long

Partager ce message


Lien à poster
Guest aniscanelle

Oh non, non, c'est si bien dit! A mon "réveil" mon homme était un peu amer, il a râlé de ses années d'efforts, car lui n'avait plus autant envie...

Et puis un équilibre s'est fait entre mes envies et les siennes.

Partager ce message


Lien à poster

mooi je n'ai pas encore trouver cet équilibre.

Moi je suis du genre à avoir tout le temps envi, n'importe ou, n'importe quand.

Partager ce message


Lien à poster

Superbe histoire !

Même si on peut discuter de sa moralité, j'ai quand même senti une bosse dans mon caleçon...

Partager ce message


Lien à poster

Salut araiquantum43, tu vois voici une chose qui m'as toujours surpris et interrogé, je reste persuadé que les femmes ont des désirs plus fort et plus grands que les hommes, pourtant combien de fois j'ai observé qu'elles étaient capables ensuite d'arrêter tout alors que rien n'empêche de continuer.

Elles sont capables de beaucoup de choses, et justement dans le même temps quand elles le décident elles supporterons l'insupportable alors que nous..... :) Très bon texte qui met en émois merci.

Partager ce message


Lien à poster

Eh bien ! Quelle aventure !

J'ai bien aimé le :

"je bloque K et lui dis à l’oreille que je suis un peu saoul et que le sketch va être difficile à assurer,

elle me prend la nuque, m’attire à elle et me susurre "c’est pas grave, je vais te sucer avant, ça va te détendre »"

:)

Partager ce message


Lien à poster

×

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.