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ptitangecathy

Reunion avec ma boss

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Texte ecrit avec un ami qui aimerait un avis sur son ecriture .......

 

Réunion tardive

C'est en fin de journée que je reçois une notification sur ma boite mail m'invitant à une réunion avec ma chef de service. Femme d'un peu moins de 40 ans aimant les tailleurs cintré et le café corsé, elle est la terreur des stagiaires. Son ton est sec, ses remarques cinglantes et son parfum délicieux. Moi-même, j'éprouve pour cette femme un délicat mélange de terreur et d'admiration. 

Femme très réservée, dans le service nous ne connaissons rien de sa vie privée. Elle a su évoluer dans un monde d'homme et atteindre un important poste. Droguée du travail, elle ne compte pas ses heures. Enfin, elle est dotée d'une autorité naturelle que je n'ai jamais vu ailleurs : elle commande, nous agissons sans discuter.

Cela fait deux mois que je suis dans le service, et je la connait déjà trop bien pour ne pas appréhender cette rencontre tardive. Mentalement, je repasse mes derniers travaux afin de détecter une éventuelle erreurqui aurait pu causer cette invitation. 

A 19h, elle passe dans mon bureau et me demande si nous pouvons commencer. Fébrile, je lui répond que oui, et je la suis jusqu'à notre salle de réunion. Il s'agit d'une petite pièce, sans fenêtre dotée de quatre chaises et d'une table.

Fin de journée et j ai encore cette reunion avec ce jeune collaborateur .. franchement j espere qu il va etre compétent car je n ai pas envie de trainer .
 
Je passe dans son bureau , il est là a m attendre , il semble assez nerveux , vu ma réputation cela ne m etonne pas en meme temps .
 
Je le regarde et il est plutot mignon mais allez hop allons dans la salle de reunion .
Paul je vous ecoute exposé le dossier ... je me tiens face q lui et ne le quitte pas des yeux .
 
Il commence en bafouillant , je rie intérieurement de l effet que j ai sur lui mais je ne laisse rien paraitre .
Il se reprend et gere son dossier a la perfection .
 
Il est tard et nous n avons pas encore fini , je propose a.paul une pause repas , et il accepte . Nius commandons et mangeons en discutant .
 
On fini cette reunion et il est deja 23 h je me leve et m avance vers paul avec un air dominateur , j ai envie d en faire mon dessert ......
oufff, j'ai passé l'épreuve. J'ai pu faire ma présentation sans me ridiculiser. Je crois même l'avoir vu sourire un instant. Ce qui m'a le plus étonné, c'est qu'elle a souhaité déjeuner avec moi après cela. 
 
Nous étions fatigués et avons décidé de commander un japonnais. Depuis mon téléphone, je me connecte sur le site du livreur et lui présente la carte. C'est à ce moment, que je la sens venir derrière moi et passer satête au dessus de mon épaule. Elle est si penchée que j’aperçois une délicieuse dentelle dans l'échancrure de son décolleté. Elle m'indique un plat, je le commande. Ceci fait, je me tourne vers elle. Bizarrement, elle est resté à coté de moi et me regarde.
 
Faut-il des mots pour se comprendre, je ne le pense pas, surtout après cette soirée. 
L'attente est longue du fait de mon malaise, heureusement le livreur ne tarde pas. Nous dinons, assez rapidement, en échangeant quelques potins sur le nos collègues.
 
Il se fait tard, je la vois se lever, je pensais qu'elle voulait s'en aller. Erreur, elle fait le tour de la table et se dirige lentement vers moi. Ses talons claquent sur le sol, ses hanches ondulent au rythme de ses pas. Nos regards finissent par se croiser, puis elle se penche sur ma chaise, plaque ses mains sur les accoudoirs et m'embrasse.
 
Ce ne fut pas un simple baiser, c'était un ordre catégorique, une injonction sans conditions. Mon désir n'en était que plus grand, je voulais la satisfaire et me faire aimer d'elle.
Dans nos regards, nous nous étions compris. Elle posa un pied sur l’accoudoir et attira ma tête sous sa jupe. Un peu tremblant j'écartais délicatement la dentelle qui renfermait son sexe. Et du bout de la langue, je l'embrassa. Mon excitation était partager, après quelques secondes, elle était humide mais pas de ma salive. Enfin je cédais complètement et pressant ma langue sur elle et en elle, je l'attirais vers moi en la saisissant par les fesses et les cuisses.
A ma grande satisfaction, je l'entendis gémir alors qu'elle passait et repassait ses mains dans mes cheveux.
 

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Invité

Hummmm,  je pense qu'il faudrait avoir la suite... Faudrait pas donner un jugement hâtif... :bbl:

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Beau récit et un grand oui pour la suite

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Il y a 4 heures, B@bou a dit :

Hummmm,  je pense qu'il faudrait avoir la suite... Faudrait pas donner un jugement hâtif... :bbl:

je plussoie ! 

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Comment va-t-elle le manger...

 

On veut savoir

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Après quelques minutes son étreinte s'est renforcée. J'avais toujours la bouche collée à son clitoris. Je l'ai senti se raidir pendant plusieurs secondes. Sa façon de jouir était tout en retenu, à peine un léger gémissement.
 
Elle s'est alors détachée de moi en me fixant droit dans les yeux. Toujours sans dire un mot, elle a réajustée sa jupe et replacée une mèche de ses cheveux brun derrière son oreille. Mes joues étaient rouges et ma langue encore engourdie, c'est à ce moment que je prie conscience de mon énorme érection. Mon sexe compressé dans ce pantalon devenait presque douloureux. 
 
Elle suivit mon regard vers mon entrejambe et me fit un merveilleux sourire. Je n'osais rien dire, rien faire de peur de rompre le charme et c'est donc immobile que je l'ai regardé prendre ses affaires sur la table, me tourner le dos et quitter la pièce.
 
Après cinq bonnes minutes d'attente, je devais bien l'admettre : elle était partie comme ça, sans dire un mot. Me laissant moi et mon érection fantastique le cul assis sur ma chaise. 
 
La nuit qui a suivi, elle celle d'après, je n'ai que difficilement trouvé le sommeil. Hanté par ce délicieux moment j'étais partagé entre le sentiment de m'être fait avoir, l'envie de la baiser et le besoin de recommencer.
 
Enfin, c'est vendredi que j'ai reçu un nouveau message de sa part. De mon coté, je n'avais pas osé lui écrire de peur qu'elle se moque de moi. Son message était court et plein de mystère : "rdv au parking à 17h30". La journée passa sans autres événements, mon attente était grande comme mon inquiétude.
 
Inutile de préciser que je suis arrivé à ce rendez-vous en avance. Le temps de regarder ma montre, je vis une voiture au bout de l'allée qui avait démarrée et qui me fit des appels de phares. Je me mis en marche verscette voiture, il s'agissait d'une sorte de 4x4 très large, cette voiture commença à se diriger lentement vers moi. Je ne pouvais pas voir le conducteur à cause des reflets sur le parebrise même si j'avais deviné que c'était elle. Effectivement, la vitre coté passager était baissée et je la vis me faire signe d'entrer. 
 
Sans plus d'explication, je m’engouffrais dans cette voiture. Nous échangeâmes quelques banalités et après ces quelques questions de politesse, je l’aperçu que je la vouvoyait toujours...
 
J'ai fini par lui demander où nous allions et elle m'a répondu très naturellement : "chez moi, ma colloc et moi avons prévu une petite soirée, ça te tente n'est-ce pas?". Et je m'entendis répondre : "oui, bien sûre!" 
 
Elle habitait dans une charmante résidence assez récente, je m'étonnais qu'à son âge elle vive encore en collocation. Elle me répondis que c'était plus convivial et qu'elle n'aimait pas vivre seule. Arrivé à l'intérieure,elle me présenta à son ami : "Paul, c'est Virginia. Virginia, c'est le mec dont je t'ai parlé en début de semaine.
- Comme ça, vous lui avez parlé de moi?
- Qu'en bien ne t’inquiétè pas", me dit Virginia avec un air joyeux. 
 
Cette femme était aussi sexy que ma boss : une métisse aux longues jambes qui étaient mises en valeur par un jeans moulant, une taille menue et enfin, une poitrine légère complétait son portrait.
 
Ma boss repris les choses en mains : "J'ai dit à Virginia comment tu t'étais occupé de moi l'autre soir et la façon dont tu t'es comporté les jours qui ont suivis. Et elle m'a dit "un gars comme ça, c'est rare" etc'est vrai que tu n'as pas fait d'histoire. Tu es resté sobre, tu as tenue ta langue sans mauvais jeux de mots, bref tu n'as rien gâché. Je voulais de récompenser et Virginia s'est proposée pour m'aider. Tu trouves ça étrange ?
- Euh, non... Je suis heureux que vous gardiez un bon souvenir de moi l'autre soir.
- Tu plaisantes? C'était divin! D'habitude, je n'aime pas prêter mes jouets mais pour toi je vais faire une exception. Tu en as envie...?"
 
Virginia avait délicatement pris ma veste et ma boss s'était déjà approchée de moi. Évidement que j'en avais envie mais les mots n'arrivais plus à sortir. Elle s'attaqua à ma ceinture pendant que Virginia m'embrassa dans le coup. Mon sexe déjà dure était dans sa main et du pouce elle me caressa le gland. Puis elle m'offrit un merveilleux baisé, celui qui m'avait tant manqué l'autre soir. Les yeux fermés par ce plaisir, je fus surpris de sentir une langue sur mon sexe. La douce Virginia s'était déjà emparée de moi.
 
C'est nu que je fis le trajet du salon jusqu'à la chambre : "allonge toi sur le dos!". Ma boss se déshabilla lentement de sorte que je puisse en profiter. En effet, son corps était au-delà de mes attentes! Elle se mit sur moi en amazone et commença à nous faire du bien. Virginia me regarda et me demanda : "je peux?
- oui, sans problèmes."
Ce n'est qu'après que j'ai compris ce qu'elle me demandait, elle fit glisser son jeans et son string en même temps et elle se mit face à ma boss, les jambes écartées. C'est comme cela qu'elle est venue placer sa chatte sur ma bouche (oui encore!).
 
"Tu avais raison, il sait se servir de sa langue.
- Je ne t'avais pas menti Ginia, et attend de sertir sa queue en toi! Elle est si dure!"
Elle se pencha en arrière et déplaçant ses mains qui étaient sur mon tors derrière elle, ses mouvements de bassins devinrent plus rapides.
 
Un petit cul léger sur ma bouche, et une amazone déchainée eurent vite raison de moi. La frustration accumulé pendant des jours se libéra en elle. Sous cette impulsion, elle aussi fut prise d'un orgasme.
 
Les corps en repos, Virginia s'adressa à elle : "tu penses que je pourrais essayer?
- Oui, c'est un p'tit jeune plein de ressources!! Hein Paul!!"

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L'homme objet c'est à la fois excitant et très troublant...vivement la suite

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