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Someone

De l'utilité de ne pas être sourd

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            A cette époque, je vivais avec une femme divorcée et ses deux filles. J’avais laissé tomber depuis quelques semaines une femme plus âgée que moi que j’ai longuement regrettée et dont j’ai déjà parlé ici. De même âge que moi, ma nouvelle compagne était très satisfaisante au lit prenant de nombreuses et heureuses initiatives, mais au bout de quelque temps, c’était devenu un peu la routine. L’occasion s’étant présentée, j’eus une courte aventure avec une jeune femme de vingt-deux ans. Moi qui avais dix ans de plus, une fille jeune, bien faite, qui n’avait jamais connu la maternité, je n’ai pas pu résister et d’ailleurs je n’en avais pas envie.

 

            J’allais lui rendre visite le soir après le travail ; je finissais plus tard qu’elle et elle m’attendait chez elle. Il était bien entendu hors de question de se retrouver chez moi. Un soir donc, je frappe à sa porte, elle m’ouvre et je pénètre dans l’entrée. Mon amie ferme le verrou derrière moi et, violemment amoureux, nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre pour se rouler un patin qui n’en finissait pas. Toujours enlacés, en se déplaçant un peu comme si on dansait un slow, nous nous retrouvons dans la pièce principale de son studio qui lui servait également de chambre. Alors que nous étions toujours debouts, je commençais à la déshabiller en lui ôtant ses vêtements un à un sans cesser de l’embrasser. Par jeu, elle fit de même et au bout d’un certain temps nous nous retrouvâmes nus tous les deux, dans les bras l’un de l’autre. Le carrelage me faisait froid aux pieds. Nous nous sommes embrassés et caressés encore longuement. Mes mains parcouraient tendrement ses cheveux, son dos et ses fesses. Elle faisait de même sur ma personne, notre partie « face » était inaccessible à nos mains avides. Naturellement, je bandais comme un turc depuis longtemps, et mon sexe durci se frottait à la peau douce de son ventre.

 

            Je n’avais pas trop la notion du temps qui s’écoule, mais ceci dura bien plus de trois quarts d’heure. A un moment donné, dans le silence de la pièce seulement troublé par les bruits de succion de nos baisers trop passionnés, j’entendis un petit bruit que je n’identifiai pas immédiatement. Tout en répondant à ses baisers, je me demandais ce que cela pouvait être. On aurait dit le bruit que ferait de la salive que l’on laisse doucement tomber depuis la bouche. Ça a fait « Plic ! ». Je m’interrogeais encore une minute puis, tout à coup, la lumière jaillit en moi et je compris que ce n’était pas de la salive. C’était ma copine qui lubrifiait et ce n’était pas de sa bouche que cela tombait, mais de son sexe. L’image même de son sexe mouillé débordant de lubrifiant submergea mon esprit et n’en pouvant plus d’excitation, je la poussai vivement sur son petit lit d’une place. Je me suis vite inséré entre ses jambes sans trop de ménagement et la pénétrai d’un seul coup, presque sauvagement. Elle soupira quasi-immédiatement en proie à un orgasme longuement préparé, comme je ne l’avais jamais fait auparavant. En quelques va et vient je la rejoignis dans l’extase et, essoufflé, j’embrassai doucement son cou puis, immobile, posai une main sur son sein et mes lèvres sur l’autre.

 

            Nous ne sommes pas sortis ensemble très longtemps. Mon amie « officielle » ayant appris mon écart de conduite, j’ai préféré quitter ma petite aventure. Je n’ai pas eu le temps de lui apprendre à pratiquer une fellation complète ni à connaître les plaisirs de la sodomie mais j’ai d’excellents souvenirs de cette incartade. Quant à ma « régulière », nous nous sommes quittés quelques mois plus tard.

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