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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Antoine220

Darkside #1 :Initiation à la soumission d'un jeune garçon.

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Ce que je vais vous raconter, je ne l'ai, évidement, jamais dit à personne et vous ne devrais jamais le répéter à personne. Je compte sur votre discrétion la plus absolue.

Je suis un jeune homme de 26 ans plutôt ordinaire. Je profite de mon célibat pour élargir mon expérience sur le plan sexuel au grès de quelques rencontres d'un soir ou deux. Je travaille comme informaticien dans une boîte de conseil et maintenance.

Il y a quelques mois, je me suis rendu chez un client pour un dépannage. L'homme, d'une cinquantaine d'années, semblait plein aux as. Son appartement, de type haussmannien, était richement décoré et son matériel informatique était de plus modernes. Pendant que je vérifiais la configuration du système, il resta début juste à côté de moi. Il me posait de questions très personnelles concernant ma vie privée et mes habitudes sexuelles. J'étais, évidement, très gêné et j'essayais d'échapper à la conversation.

Il était évident qu'il s'agissait d'une personne assez  excentrique mais c'était quand même un client, alors j'ai essayé de rester poli. L'homme ne cessait pas de parler et, au bout d'un moment, il aborda l'univers de la soumission comme si de rien était...Il avait une façon de parler très chaleureuse malgré la crudité des sujets abordés. Les récits qui partageait avec moi me troublaient au plus au point, m'excitaient même, jusqu'à me faire bander ostensiblement malgré moi.

Il m'assura que je n'avais pas à avoir honte, que c'était bien naturel pour un homme. En me raccompagnant à la porte me  tendu sa carte en me proposant de l’appeler pour en savoir plus sur le sujet. Je l'ai mis machinalement dans ma poche, assez pressé de partir et quitter cet homme si étrange...

Ce n'est que le soir, au calme chez moi,  que j'ai ré sorti la carte. Sur celle-ci il n'y avait de le mot "Maître" et un numéro de téléphone. Je n'arrivais plus à me sortir de la tête tous ces récits terriblement excitants qu'il avait partagé avec moi. J'étais toujours troublé par le sujet...l'univers de la soumission me faisait autant peur qu'envie..J'ai essayé de lutter contre mon envie de composer le numéro mais au bout de quatre jours j'ai fini par craquer.

L'homme au téléphone accueilli comme s'il s'agissait d'un vieil ami. Dès ce jour là, et pendant plusieurs semaines, il m'instruit sur l'univers de la soumission en sondage, au passage, au plus profond de mon âme...puis un jour, il me dit: "Tu es prêt" et il raccrocha aussitôt.

A partir de cet instant, il interrompu tout contact avec moi. même son numéro n'était plus en service. Et cela a duré encore quelques semaines, jusqu'à cette fameuse journée...

 

 

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Ça faisait à peine une demi-heure que j’étais retourné à mon poste de travail après le déjeuner, quand la fille de l’accueil toqua à ma porte pour me donner une enveloppe rouge que quelqu’un avait laissée pour moi. Il n’y avait rien d’écrit dessous, mais j’ai tout de suite su qu’il s’agissait d’une lettre du Maître.

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J’attendais ce moment depuis longtemps. J’avais même commencé à me dire qu’il ne m’écrirait jamais…Et voilà que je tenais enfin le fameux sésame entre mes doigts…

J’ai longuement regardé l’enveloppe sans oser l’ouvrir. Je trépignais pourtant d’impatience et d’excitation, mais je savais, en même temps, que ce qui contenait l’enveloppe allait changer ma vie…

D'autant plus que, selon mon mentor, pour devenir un Maître éclairé à mon tours, je devais commencer par connaître la soumission.

À l’intérieur de l’enveloppe se trouvait une carte de la même taille. Une écriture fine et élégante confirma ma première intuition, il s’agissait bien du Maître. Sa carte disait ceci :

« Voici arrivé le moment de faire vos preuves. Vous avez quarante-cinq minutes pour vous rendre à l’adresse indiquée au dos de cette carte. En arrivant à l’appartement, une personne viendra vous accueillir. Vous ne devrez l’adresser pas la parole sous aucun prétexte. Elle vous donnera la suite de mes instructions que vous devrez suivre à la lettre.

Si vous veniez à enfreindre une seule de ces règles, vous seriez immédiatement reconduit vers la sortie et vous n’étendrez plus parler de moi.

Montrez-vous à la hauteur et les portes d’un nouveau monde de jouissance s’ouvrira devant vous. »


Il n’avait même pas pris la peine de signer. C’était le Maître, un point c’est tout.

Paniqué, j’ai regardé ma montre. Il ne me restait plus que trente-cinq minutes et je devais encore trouver une bonne excuse pour quitter mon boulot en pleine après-midi. J’ai dit à mon chef que j’avais oublié un rendez-vous chez le médecin pour un bilan de santé et que je n’avais pas pour longtemps. J’ai bien vu qu’il me croyait qu’à moitié mais il a consenti à me laisser partir.

Par chance, j’étais venu en scooter ce matin-là. J’ai enfourché mon bolide et chez suis parti plein gaz à l’adresse indiqué. À mon arrivée, je me suis garé devant le bâtiment en question. Il s’agissait d’un de ses magnifiques immeubles haussmanniens qui ornent les beaux quartiers de Paris.

 

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J’ai fait le code pour entrer et je me suis monté à pied au cinquième étage. Sur une des trois portes présentes sur le palier, un « M » doré attira tout de suite mon attention. Avant de sonner, je repris mon souffle. Mon cœur battait la charade et mes mains étaient toutes moites. Je me suis posé une dernière fois la question d’avoir envie de me lancer dans cette folle aventure…et j’ai sonné à la porte.

J’ai entendu, alors, le bruit de talons aiguilles venir du fond de l’appartement. La porte s’ouvrit et j’ai vu, pour la première fois « petite salope numéro 10 ». C’était une femme ravissante. Elle portait un ensemble de lingerie noire très raffiné : un body qui sculptait sa sublime poitrine, une toute petite culotte en dentelle et des bas clipsés au body. Autour de son coup, elle portait un fin collier noir à petits clous qu’indiquait clairement son rôle de  soumisse. En la voyant, si belle et désirable, j’ai sentie mon excitation monter d’un cran !
Attention ! - je me suis dit – Ce n’est pas le moment de déconner ! Garde les règles bien en tête.

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Elle m’invita à entrer d’un geste de la main. Je me suis introduit dans l’appartement et elle referma la porte derrière moi. Sans dire un mot elle emprunta le couloir qui menait au salon. Je l’ai suivie machinalement. Une délicieuse fragrance de « bois de Santal » flottait dans l’aire derrière elle. J’ai pris une grande inspiration pour m’enivrer de son parfum.

Arrivées au salon, elle me plaça près d’une des grandes fenêtres. Des fins rideaux blancs étaient tirés et la douce lumière du début du printemps tamisait la pièce. La décoration du salon était plutôt épurée. Une belle commode style Louis XV et quelques fauteuils assortis essayaient, en vain, d’occuper l’espace de ce vaste salon très haut de plafond.

Sally me tendu un nouveau carton où j’ai reconnu la belle écriture du Maître.

« Déshabillez-vous. Pliez vos vêtements et déposez les devant vous en faisant une pile. En suite, laissez-vous faire. »

J’ai regardé Sally qui restait muette et immobile. J’ai compris qu’elle ne partirait pas et que je devais me dénuder devant elle. C’était très gênant mais aussi très excitant. Je me suis exécuté. Sally ne me quittait pas des yeux et je pouvais sentir une certaine envie dans son regard. La situation m’excitait de plus en plus et j’ai commencé à bander sans rien pouvoir faire pour m’arrêter. J’ai plié délicatement le linge. Je l’ai posé par terre puis je me suis mis début derrière mon tas, nu comme un ver et avec ma verge en pleine érection !

C’est la dernière phrase du Maître qui m’inquiétait le plus : «  En suite, laissez-vous faire. »
Me sentir à sa merci me remplissait d’un sentiment de peur et, en même, temps d’excitation intense.

En attendant la suite des événements, je n’osais plus bouger. Sally pris mes affaires et les emportât en dehors de la pièce, avant de revenir avec un plateau dans lequel se trouvait la panoplie complète pour réaliser un rasage de près :des  petites ciseaux, de la mousse à raser, un rasoir, un gant, une serviette et un peu d’eau chaude. J’ai compris tout de suite quelle part de mon anatomie allait subir le toilettage. Sally posa le plateau sur un petit tabouret et se mit à genoux devant mon engin. Je bandais toujours et je n’étais pas près de m’arrêter au vu des événements. Ceci, allez faciliter grandement le travail de Sally.

Epilation.png.5ff5ad67e47884ac8f8ec2ce8b98bc09.png

Avant de commencer, elle observa longuement ma queue bien raide, en se passant plusieurs fois la langue entre ses lèvres. Puis elle se mit à l’ouvrage, consciencieusement, en s’appliquant pour me laisser les couilles plus lises que celle d’un nourrisson. Je sentais palpiter ma verge entre ses mains. À chaque coup de rasoir, une petite décharge électrique parcourait tout le long de mon dos. C’était aussi excitant qu’agréable…Une fois finie, elle passa le gant mouillé pour enlever le reste de la mousse. Mes couilles étaient dures et bien rondes. Après une dernière inspection, elle sorti un téléphone portable, pris une photo de près de la bête et l’envoya un MMS. J’ai compris qu’elle la envoyait au Maître pour lui montrer qu’elle avait bien fait son travail.

Avec tout ça, une petite perle de jus transparent avait fini par faire son apparition au bout de mon gland. Sally, toujours à genoux devant moi, la remarqua aussi. Elle hésita un instant puis, de la pointe de son indexe, elle préleva la petite goutte et la porta à sa bouche gourmande en tirant un petit fil visqueux. Impossible de m’arrêter de bander dans ces conditions !

Elle ramassa les poils par terre et portât le plateau dans la pièce à côté. À son retour, elle pris dans la commode un collier tout simple, en chrome brillant. Deux menottes étaient reliées à celui-ci par une chaîne très fine. Sally se plaça devant moi, à quelques centimètres à peine, en me regardant fixement dans les yeux.

« On m'ordonne de te passer ce collier pour faire de toi la propriété de notre Maître »  .

Ça sera la seule phrase qu’elle m’adressera. Moi, je restais toujours immobile de peur de faire une impasse qui me mettrait dehors sans ménagement. J’ai senti la froideur du collier contre mon cou. Une nouvelle vague d’excitation ravagea mon corps. Je me sentais de plus en plus fébrile. Je commençais à transpirer sérieusement et j’avais l’impression de perdre pied, de rentrer dans une réalité parallèle. Elle m’attacha ensuite les mais dans le dos avec les menottes...

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waouhhh très excitant, j'adore :aime2:

un vrai roman comme j'aime lire...encore !!

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Beau récit très passionnant et agrémenter de belles photos

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Ça y est, j’étais fin prêt pour la suite du spectacle. « Qu’est-ce qui va se passer ensuite ? » Je n’ai pas tardé à le savoir. Sally enleva à son tour sa petite culotte et son body. La voir complètement nue me provoqua un sursaut d’excitation. Puis, à ma plus grande surprise, elle ouvra les rideaux, nous exposant du même coup au regard des habitants de l’immeuble d’en face. Il était évident que le Maître se trouvait dans le bâtiment voisin. Il nous observait sûrement avec des jumelles. Mais n’importe qui d’autre pouvait aussi nous voir, complètement nus, tout les deux !

J’avais l’impression que ma tête allait exploser. Sally ne semblait pas perturbée plus que ça par cette situation pour le moins inconfortable. J’essayais de me raisonner, j’étais allé trop loin pour laisser tomber maintenant ! Et, de toute façon, j’étais trop excité pour ne pas aller au bout. Ça faisait tellement longtemps que je bandais que je commençais a avoir mal à ma verge.

Sally se tenait à côté de moi en me regardant avec envie. Elle glissa une main entre ses cuisses et commença à se masturber.  Très vite j’ai vu ses jus gicler entre ses doigts. Elle mouillait comme une petite folle ! Ses tétons étaient durs et ses gémissements remplissaient la pièce.

J’aurais aimé en faire autant mais j’avais les mains entravés. Puis, d’un coup, Sally arrêta de se caresser. Sa main droite était trempée de sa mouille délicieuse qu’elle se mise à étaler sur ma queue en feu. C’était une sorte de lubrifiant naturelle…Ensuite, elle se mit à me branler vigoureusement ! Elle regardait furtivement vers le bâtiment d’en face.
Je pensais qu'avec un tel état d'excitation j'aurais joui dans les trente secondes...paradoxalement, et malgré l'acharnement de Sally, l'orgasme tardait à venir ! Néanmoins, plusieurs vagues d'un plaisir extrême ont parcouru mon corps à maintes reprises. Une fois passé le stress du premier temps, j'avais commencé à me laisser aller pour profiter de la fantastique branlette que Sally me prodiguait. J'ai fermé les yeux et j'ai enfin disfruté du moment présent.

J'ai fini par me détendre et laisser la main experte de Sally me donner tout le plaisir dont elle était capable. J'ai savouré ces derniers minutes de bonheur en laissant monter l'orgasme qui s'annonçait épique !

Tout à coup, j'ai senti mes couilles se contracter et ma verge se raidir comme jamais. Sally s'est rendu compte que ma délivrance était sur le point d'arriver, alors elle s''arrêta et dirigea ma queue vers le plafond. Le bout de ma bite s'est mis à jaillir d'énormes jets de foutre, un vraie feu d'artifice ! L'orgasme fut si intense que j'ai failli tomber dans les pommes ! Je tremblais de partout au point de défaillir et de tomber à genoux.

Après quelques minutes, Sally m'aida à me remettre début. Les rideaux étaient toujours ouverts et je me disais que le Maître n'avait pas dû en perdre une miette. J'espérais seulement qu'il aurait apprécié le spectacle.

Pieds


Sally ramena le téléphone portable et pris une photo de la flaque de sperme qui se trouvait à mes pieds, puis envoya un nouvel MMS. A peine le message parti, le téléphone s'est mis à sonner. Elle décrocha puis elle approcha l'appareil à mon oreille. J'ai entendu alors la voix du Maître:

" Vous avez relevé le défi haut la main. Nous allons sans doute nous revoir. Attendez mes instructions. "

Puis, il raccrocha. Sally tira les rideaux. Elle s'approcha de moi et elle parcouru mon corps nu du regard. Mon sexe avait complétement dégonflé mais une grosse goutte de sperme restait accroché au bout de mon gland. Sûrement trop appétissante pour la laisser passer, elle la préleva avec ses doigts qu'elle porta à sa bouche pour les sucer goulûment. Elle passa derrière moi pour me détacher et m'enlever le collier. Ensuite, elle me fit signe de la suivre. Je me suis retrouvé dans l'entrée de l'appartement. Elle me redonna mes vêtements puis elle me poussa dehors. La porte se referma et je me suis retrouvé à poil sur le palier. Sans doute une dernière fantaisie du Maître pour prolonger le frisson.

J'ai enfilé en vitesse mes fringues et je me suis empressé de retourner au boulot. J'ai essayé de reprendre normalement le cours de la journée mais, après ce qui venait de se passer, j'étais trop excité pour faire quoi que ce soit.

Le soir, dans mon lit, je me suis passé le film dans ma tête. J'étais à nouveau super excité et je n'ai pas résisté à me caresser en pensant à cette incroyable après-midi.

Et j'étais encore plus excité en imaginant tout ce que le Maître aurait envie de me faire faire...et j'attendais avec impatience notre prochain rendez-vous...

Pieds

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Mais encore...

Je m'en lasse pas...

Superbe, j'adore trop

:yahoo:

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La lecture de ce récit est  fort agréable, en attente de la suite.

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Une soumission totale.

Chapitre 1

 

Après trois longues semaines sans nouvelles, j’ai reçu un nouveau colis à mon travail. Encore une fois, pas de doute, c’était le Maître qui me l’avait envoyé !

 

Je frissonnais d’excitation en déballant le paquet. À l’intérieur, j’ai trouvé un téléphone portable sur lequel était fixé un post-it rouge qui m’indiquait le code « pins ». Un peu perplexe, j’ai décidé de l’allumer et de rentrer le code.

 

À peine allumé, il se mit à sonner. J’ai sursauté ! Avant de répondre j’ai vérifié autour de moi qu’il n’y avait personne susceptible d’entendre ma conversation…

 

J’ai décroché et attendu que la voix du Maître se fasse entendre :

 

-       « Ce premier rendez-vous de l’autre jour n’était qu’un petit amuse-bouche. Je voulais voir à quel point vous étiez docile et vous montrer également le puissant plaisir qui peut vous apporter la soumission. Si vous décidez de continuer l’aventure, vous devez être conscient que vous devrez complètement vous soumettre à ma volonté, vous deviendrez ma chose, ma propriété.

En échange, je m’engage à vous faire connaître une jouissance sans limites.

Prenez le temps de bien y réfléchir. Si vous acceptez votre initiation à venir, vous devrez prendre deux semaines de congé et m’envoyer les dates par SMS. Ensuite je vous donnerai les instructions à suivre.

Vous avez tout compris ? »

 

-       « Oui, Maître » - je répondis. Puis celui-ci raccrocha sans rajouter un mot.

 

La nuit qui s’en suivi fut très agité. Un sentiment de peur et d’excitation mélangée m’empêchait de trouver le sommeil…Je ne savais plus si j’étais prêt à m’engager dans cette aventure si incertaine. Et si je serais capable de me soumettre complètement. À vraie dire, je ne savais même pas en quoi devez consister cette soumission…Il n’y avait qu’une seule façon de le savoir : aller jusqu’au bout !

 

Cette idée m’attirait irrésistiblement et faisait remonter en moi le souvenir de ma première expérience dans la matière et tous les frisons qui allaient avec ce qui me faisait bander comme un fou ! Nu sur mon  lit, je me suis branlé de toutes mes forces en criant comme un sauvage ! Je pense que quelques-uns de mes voisins s’en souviennent encore…

 

La semaine suivante, j’ai posé deux semaines de congé et j’ai envoyé les dates au Maître.

Les jours passèrent et je n’avais toujours aucune nouvelle. J’ai compris que mon initiation avait déjà commencé. Je devais me tenir prêt à l’obéir. J’ai préparé mon sac de voyage qui ne me quitta plus.

 

La veille de mes congés, j’ai reçu un SMS m’indiquant une adresse où je devais me rendre juste après mon travail. À mon arrivée, j’ai été surpris de découvrir qu’il s’agissait  d’un institut de beauté. La salle d’attente se trouvait pleine de femmes de tout âge qui attendaient patiemment de se faire épiler. Une jeune femme très sexy s’avança vers moi :

 

-       « Je vous attendais. Veuillez me suivre. ». Je l’ai suivie, donc, pendant que les autres clientes commentaient amusés la raison de ma présence dans ce lieu.

La jeune fille me fit savoir qu’elle avait reçu des instructions du Maître pour s’occuper de moi. J’ai en déduit qu’elle était, elle aussi, soumisse.

 

 Elle me demanda de me déshabiller complètement.  Décidément, le Maître prenait un malin plaisir à m’exhiber nu à la moindre occasion devant des jolies filles très excitantes. Évidemment, tout ceci m’excitait terriblement. Difficile de cacher une érection quand on se retrouve nu comme un ver…L’esthéticienne me regardait ravie du spectacle mais sans lui donner plus d’importance que ça. Elle me demanda de m’allonger sur la table recouverte d’une serviette. Elle rapprocha l’appareil à cire et commença par m’épiler le torse et les aisselles. C’était la première fois que je subissais une épilation et ça me faisait très bizarre. Néanmoins, l’habileté de la jeune fille et sa grande dextérité suffirent à me rassurer.

 

Elle s’attaqua ensuite à épiler mon sexe. Elle manipulait ma verge dressée de façon à accéder tout autour de la zone concernée. Au bout de quelques minutes, c’était fini. Je venais de réaliser ma première épilation intégrale. Je me sentais tout bizarre, un peu plus léger et nettement plus sexy aussi.

 

La jeune fille me fit prendre une douche rapide pour enlever les restes de cire. Une fois sèche, elle me demanda de lui donner le portable que le Maître m’avait envoyé. J’ai dû poser alors pour qu’elle puisse envoyer quelques photos pour rendre compte de son travail. Alors que je pensais avoir fini, elle me demanda de me rallonger à nouveau.

 

Cette fois-ci, elle pris une petite bouteille d’huiles essentielles. Elle commença par me masser les épaules et le torse. Dans cette position, j’avais une vue plongeant sur son large décolleté qui me laissait voir une grande partie de seins nus sous la blouse. Autant dire que je n’étais pas près d’arrêter de bander !

 

Elle alla à l’autre bout de la table pour me masser les pieds et les jambes. La sensation était extrêmement agréable et très sensuelle aussi. Puis, peu à peu, ses mains se sont rapprochées de mon sexe en rut ! Elle pris ma queue entre ses doigts huilés et j’ai gémi de plaisir en ferment les yeux. Elle entama alors un massage torride en caressant lascivement mes couilles lises, en allant et venant le long de ma verge palpitante de désir, en malaxant habilement mon gros gland devenu complètement pourpre ! Elle me rendait dingue ! C’était la meilleure branlette de toute ma vie ! Je me croyais au paradis et je m’abandonnais volontiers à ces caresses en vue d’un orgasme cosmique !

 

C’est précisément au moment où j’allais jouir qu’elle s’arrêta net.

-       « Vous pouvez vous rhabiller. Une voiture vous attends à la sortie. Dépêchez-vous, elle sera parti dans deux minutes.» Puis elle sortit de la pièce.

 

Pas de temps pour me soulager moi-même ! Je me suis habillé à toute vitesse et je suis sortie en courant de l’institut. Devant la porte, une voiture m’attendait en effet, une grande berline métallisée dernier modèle avec de larges sièges en cuir noir.

A suivre...

 

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Une soumission totale.

Chapitre 2

Le chauffeur  était aussi une jolie fille habillée à la garçonne. Elle pris mon sac pour le mettre dans le coffre en me disant :

-       « Vous n’aurez pas besoin de ceci. Installez vous derrière. »

L’intérieur de la voiture était très luxueux. Il y avait même un mini-bar.

-       «  Servez-vous un verre si vous voulez . » - me proposa le chauffeur. Il est vrai qu’après les émotions que je venais de vivre j’aurais bien pris un bon whisky. Je me suis, donc, servi un, que j’ai pris le temps de déguster longuement en regardant le paysage défiler.

 Au bout de deux heures, la voiture quitta la route nationale pour s’enfoncer dans une voie annexe qui traversait une épaisse forêt. Au bout de quelques kilomètres, la jeune conductrice se gara sur une toute petite aire de sécurité. Elle me fit descendre et me demanda, une fois encore, de me déshabiller complètement. Et une fois encore, je me suis exécuté sans broncher. Elle ouvra le coffre et balança mes vêtements dedans.

 Elle alla chercher le même collier que j’avais porté la dernière fois. Elle l’attacha à mon cou. Sorti son téléphone et fit une nouvelle photo qu’elle envoya au Maître.

 La nuit commençait à tomber et l’air se faisait de plus en plus frais. Nu en pleine forêt, je commençais à frissonner de froid. Mes tétons sont devenus tout durs. Ma ravissante conductrice se mouilla les doigts avec sa langue et pressa mes mamelons avec envie. Puis elle me caressa tout le corps en explorant chaque centimètre de ma peau encore douce et huilée. Je n’ai pas pu m’empêcher de bander à nouveau. Elle me plaqua contre la voiture en frottant son pantalon lascivement contre mon sexe en érection. Puis, en coinçant ma tête entre ses mains, me roula un patin mémorable en mettant sa langue profondément dans ma bouche !

Ensuite, elle me retourna et m’attacha les mains derrière le dos. Elle m’obligea à m’allonger dans le coffre de la voiture et, après l’avoir fermé, elle repris la route.

 Je suis incapable de dire combien de temps s’est écoulé jusqu’à notre arrivée, mais ça dû être très long. Je me suis même assoupi au bout d’un moment. En me réveillant j’avais des fourmis par tout.

 Quand elle me fis sortir du coffre, il faisait déjà nuit. La voiture était garée devant un très beau manoir tout illuminé pour l’occasion. Mettant pied-à-terre, j’ai senti l’aspérité des gravillons sous mes pieds. En tirant sur ma laisse, elle me fit monter l’escalier et entrer dans le hall du bâtiment. Un petit comité m’attendait.

J’ai reconnu tout de suite le Maître, même si je ne l’avais jamais vu avant. Un bel homme, d’une quarantaine d’années, qui portait un smoking noir parfaitement repassé. Autour de lui, trois jolies soubrettes en minijupe et aux seins dénudés rigolaient entre elles en m’observant avec envie. À sa droite, j’ai reconnu Sally, la jeune femme qui m’avait reçu à Paris. Elle portait de très jolis sous-vêtements noirs, transparents, qui la rendaient particulièrement sexy. Un collier ornait également son cou et elle se tenait dans une position de soumission, tête baisée et les yeux rivés vers le sol. Les trois dernières personnes qui complétaient le groupe d’accueil étaient : la cuisinière, une femme assez corpulente d’une soixantaine d’années, le majordome, assez grand, la cinquantaine et qui n’avait pas l’air commode, et le jardinier, un vieux bonhomme aux cheveux blanc et légèrement voûté.

Me retrouver nu face à cette assemblé me rendait assez mal à laisse, voir carrément honteux. Je crois même que je suis devenu tout rouge.

  C’est plutôt un beau spécimen, n’est-ce pas, les filles ? »- dit le Maître en s’adressant à ses soubrettes. –« Allez Sally, fait-lui une petite pipe de bienvenue ! »- rajouta en poussant sa petite salope à mes pieds.

 Le chauffeur tenait fermement mon collier entre ses mains, m’obligeant à lever la tête et à me tenir bien droit. Malgré les caresses de Sally et ses petits coups de langue avisés, la situation m’avait rendu nerveux et je n’arrivais pas à bander…

-« Notre ami semble avoir un peu de mal à nous montrer sa belle queue en érection. Je le connaissais beaucoup moins timide…Allez l’aider les filles. »- ordonna le Maître à ses soubrettes, qui se sont roués sur moi comme un en sein d’oiseaux affamé. Leurs mains se sont mit à caresser tout mon corps, ses lèvres cherchaient les miens avec gourmandise…il y  a même une qui enfonça ses dents dans mon cou ! La sensation de cette multitude de caresses était extraordinaire ! J’avais la tête qui commençait à tourner quand je me suis rendu compte que Sally suçait avec en train ma grosse verge devenue toute dure !

 -« Voilà qui est mieux, jeune homme ! J’ai failli attendre. Profitez bien de cette petite gâterie, vous n’aurez pas d’autres avant bien longtemps ! »-lança le Maître en rigolant.

 A peine avait-il fini sa phrase, que j’ai joui copieusement dans la bouche de Sally ! Je ne l’ai même pas senti venir. J’imagine que le trop plein d’excitation de la journée m’a fait exploser plus vite que d’habitude. Et le pire, c’est que je n’avais même pas pris vraiment de plaisir !

-« Et bien voilà ! Amène-le dans sa cellule maintenant. J’arrive dans cinq minutes » - dit le Maître en s’adressant à son chauffeur. Celle-ci tira sur ma laisse pour m’obliger à la suivre pendant que le reste du groupe retournait à ses occupations.

A suivre...

 

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Une soumission totale.

Chapitre 3

Nous descendîmes dans le sous-sol. Au fond d’un long couloir sombre se trouvait ma cellule.  À ma grande surprise, même si elle était assez dépouillée, elle  avait toutes les commodités de la vie moderne : un wc, une petite douche dans un coin, deux petites couchettes et aussi une table et deux chaises. La pièce était chauffée et l’air filtré par un extracteur particulièrement silencieux. Sur les murs en pierre apparente, se trouvaient plusieurs anneaux installés à des hauteurs différentes. Une douce lumière chaude donnait au lieu une ambiance plutôt rassurante.

 Le chauffeur m’approcha du wc en me disant : -«   Après cette pipe savoureuse, tu dois avoir très envie de pisser ». – Ce qui étais vrai, mais j’avais toujours mes mains attachées dans le dos.-« Je vais t’aider »- Rajouta en prenant d’un coup mon pénis qu’elle dirigea vers la lunette des toilettes. J’avais trop envie pour faire mon difficile. Je n’avais pas pisé de la journée, alors j’ai dû évacuer au moins un demi-litre !

-« Tu avais vraiment très envie, mon cochon »- dit-elle en agitant ma verge  molle pour faire tomber les dernières gouttes.-«  Tu as une très belle queue, tu sais ? »-Me glissa en suite au creux de l’oreille d’une voix lascive.-« Elle n’est pas très longue, mais elle est bien grasse, comme je les aime ».-Continua à me provoquer tout en me branlant délicatement.-« Tu aimerais que je te fasse une gâterie moi aussi ? Je peux t’assurer que ma langue est bien plus experte que celle de cette petite pute de Sally. Je vais tellement te pomper, que je vais te vider les couilles pour un mois ! ».

 La salope avait réussi à me faire bander à nouveau ! Elle éclata de rire et elle me poussa contre un mur pour accrocher mon collier à un des anneaux . C’est à ce moment-là, que le Maître entra dans la cellule suivie de Sally. En voyant ma belle érection s’exclama :

-« Ah, je vois que vous avez retrouvé votre forme légendaire ! Je préfère la voir comme ça, fier et excité ! ». Il installa Sally face à moi à quelques centimètres à peine. Je pouvais sentir sa respiration sur mon visage et les bout de ses tétons tout durs sur mon torse.

 -« J’ai eu l’impression que la dernière fois, le courant été bien passé entre vous deux. Alors, Sally va te servir de binôme pendant ton petit séjour par mis nous. Quelques règles simples à retenir, néanmoins. Pour commencer, tu devras suivre toutes mes instructions à la lettre. La pièce est équipée de deux caméras et d’un interphone. Je serais tout le temps au courant de vos moindres faits et gestes. Tu as interdiction de jouir ou de te faire jouir sans mon autorisation. Tu ne parleras pas que pour répondre à une question posée. Et, bien entendu, à la moindre incartade tu seras expulsé dans la minute. Est-ce que je me suis bien fait comprendre ? »- Conclut-il d’un air assez sec.

-"Oui, Maître"-j'ai répondu.

-« Bonne nuit, alors, et soyez sages »-lança le Maître en quittant la pièce. Le chauffeur le suivit en fermant la porte à double tour derrière elle

 

Sally était restée à la même place, immobile. Elle s’adressa à moi dans en chuchotant : -« Tu dois être fatigué. La journée a été assez longue. Tu vas me déshabiller et nous allons essayer de dormir un peu ». Sa voix était très douce et bienveillante. En la déshabillant, j’ai pu contempler à nouveau son corps, si parfait et sensuel, qu’inspirait toujours en moi un puissant désir sexuel. La preuve, ma bite en érection qui mourrait d’envie de la posséder.

Une fois nue, elle m’aida à m’allonger sur ma couchette et m’embrassa tendrement sur la bouche. Puis elle s’allongea sur sa couchette à son tour. J’étais encore passablement excité en me repassant cette folle journée en revue. J’ai eu un peu de mal à m’endormir me la fatigue fini par l’emporter.

 

Quand j’ai ouvert les yeux le lendemain, j’ai vu Sally nue sur sa couchette, que me regardait avec envie. Je pense que ça faisait un petit moment qu’elle se rinçait l’œil et, j’imagine, qu’elle commençait à être bien excité.

 La voix du Maître retentit dans la pièce : -« Mettez-vous débout contre le mur. On va venir vous apporter le petit-déjeuner. Quoi qu’il arrive, laissez-vous faire ».

Nous entendîmes la clef de la cellule tourner dans la serrure, puis la vieille cuisinière entra dans la pièce. C’était une femme assez grassouillette qui n’avait pas l’air de prendre vraiment soin d’elle. Elle avait la carrure typique des femmes de la campagne, avec des grosses mains potelées. Tout le contraire d’un sexe-symbole !

 Elle posa sur la table un plateau bien garnit, qui dégageait une odeur de café frais délicieux.

Je pensais qu’elle serait parti aussi vite qu’elle était rentrée mais j’allais apprendre à mes dépens que le Maître avait mis un protocole particulier pour démarrer la journée. La cuisinière enfila un gant en latex, prit un petit verre à pied et se mit à m’astiquer le poireau comme s’il s’agissait de celui d’un vulgaire dindon ! La scène était surréaliste ! Il n’y avait rien d’excitant là-dedans ! Pourtant, pour éviter de me faire arracher la bite, j’ai regardé Sally en m’efforçant d’imaginer toutes les cochonneries que j’avais envie de lui faire. Non sans peine, j’ai enfin réussi à éjaculer dans le verre prévu à cet effet. La bougresse m’avait complètement crevé. C’est à peine si je tenais débout.

Elle donna ensuite le verre à Sally. Avant de boire mon sperme, elle me jeta un regard complice, comme pour m'indiquer qu'elle adorait ça comme s'il s'agissait du meilleur nectar du monde ! Elle prit jusqu'à la dernière goutte, en se léchant les babines avec satisfaction. j'étais, tout à coup, très excité à nouveau.

Sans dire un mot, la cuisinière sortit de la pièce en nous enfermant à nouveau.

-« Allez, viens manger » -me dit-elle avec un grand sourire. Nous mangeons d’un bon appétit. Il y a du fromage, du pain et des croissants, de la bonne confiture fait maison, des fruits…Pendant le repas, Sally n’arrête pas de jouer les charmeuses, de me caresser les jambes avec ses pieds. Elle est encore plus belle et désirable que la veille et je bande sous la table !

Après le petit-déjeuner, c’est l’heure de la toilette. D’abord cette elle qui me savonne le corps. Ses mains ne peuvent pas s’empêcher de s’attarder un peu sur mon sexe en érection pour quelques caresses furtives. Une fois rincé, c’est à mon tour de la laver. Caresser son corps me rend dingue, je bande comme un cerf en bavant d’envie. Puis, je dois l’habiller aussi, avec de la lingerie rose cette fois-ci, toute en dentelle.

La journée se poursuivit gentiment entre nous. Elle m'avoua à quel point me trouvait désirable. Combien elle avait adoré notre première rencontre et tout le plaisir qu'elle avait pris en suçant ma queue. Elle me demanda ensuite de lui dire les parties de son corps qui m'excitaient le plus, c'est que j'aimerais lui faire, etc. Nous avons parlé sexe une bonne partie de la journée ce qui me maintenait dans une excitation permanente qui me faisait bander depuis des heures au point d'en avoir mal.

Puis la voix du Maître résonna à nouveau : « -Mettez-vous débout contre le mur ! ».

 Cette fois, ce sont deux soubrettes qui sont rentrées. Il se sont, d’abord, occupé de moi. Elles m’ont attaché les mains en l’air et elle m’ont posé sur la bouche un bâillon en latex en forme d’os à chien.

Puis elles ont déshabillé Sally et se sont mises à lui lécher les seins et à la caresser partout. Là, c’est sûr, je n’étais pas prêt de m’arrêter de bander !

Ensuite elles ont installé un « colt » en cuire noir, une sorte de banc sur lequel elles ont allongée Sally les fesses en l’air, en attachant ensuite ses mains et ses pieds aux barres du meuble. Les deux petites salopes s’amusaient à écarter la chatte trempée de Sally pour me donner encore plus envie.

C’est à ce moment-là, que le majordome est rentré dans la pièce sans me jeter le moindre coup d’œil. Il n’était venu que pour une seule chose, baiser Sally vite fait bien fait ! Il enfourna sa grosse bite dans sa chatte et il commença à la pomper vigoureusement ! Dans un état second, elle insultait Sally de tous les noms. Celle-ci, elle criait de toutes ses forces en demandant encore et encore !

Moi je n’en pouvais plus ! L’extrême excitation qui parcourait mon corps tout entier me faisait transpirer comme un bœuf et ma grosse queue, plus gonflée que jamais, était devenu complètement écarlate ! Les deux petites putes qui assistaient à la scène rigolaient en s’amusant de ma frustration ! Je serrais les dents de toutes mes forces sur l’os en latex de pure impuissance ! Sally rugissait de plaisir et ses cris de joie me rendaient encore plus dingue !

Pour finir, le majordome, sentant venir l'orgasme, se retira pour venir jouir sur ma bite ! Après m'avoir bien souillé, il étala son sperme avec sa queue encore raide, pénis contre pénis.

Ensuite, tout ce beau monde est parti en nous laissant une bonne heure dans notre jus...

 

 

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Invité

Oh là....c'est chaud par ici !!!!!

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Il y a 5 heures, south a dit :

Dommage pas de suite

Ça va venir...encore un peu de patience...;)

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