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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Antoine220

Le journal d'Antoine #2 : La fonte des glaces.

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Je suis rentré en 3ème bien décidé à me trouver une petite copine. Mais j’ai très vite compris que je n’étais absolument pas douée pour draguer.

Ma timidité était mon plus gros handicap. J’étais jaloux de ces garçons, si sûrs d’eux, qui ne doutaient pas à faire du gringue à toutes les filles qu’ils croisaient. Je n’ai compris que bien plus tard que j’avais autant de chance que les autres, il me manquait simplement le courage d’aller vers elles.

Je n’étais pas malheureux pour autant. Cette question ne m’obsédait pas plus que ça. La masturbation, que je maîtrisais de mieux en mieux, me permettait largement  soulager les tensions sexuelles qui me provoquaient de plus en plus les fantasmes que je projetais sur les filles qui me faisaient le plus envie.


Pour le moment, mes fantasmes étaient plutôt softs et un peu « fleur bleue ». Je rêvais d’avoir une copine que j’aurais pu embrasser et peloter à volonté. J’essayais, le plus souvent, de les imaginer nues, en essayant de deviner la grosseur de leur seins, la rondeur de leur fesses, la chaleur de leurs cuisses… Mais rien de sexuelle, par contre…ou, tout au plus, fantasmer sur la possibilité qu’elles me masturbent, et déjà là, je mourait de honte et de culpabilité ( même si l’idée m’excitait terriblement ! ).

Une fois par semaine, ma mère passait son après-midi à jouer au bridge avec ses copines. C’est jour-là, j’avais la maison pour moi tout seul. Bravant l’interdit, je profitais pour me mettre tout nu dans le salon semant mes vêtements un peu partout autour de moi. J’adorais m’installer confortablement au fond du canapé pour me branler, les jambes bien écartées. Être à poil au milieu du salon était pour moi extrêmement excitant !

Tout d’abord, je me caressant sans quitter des yeux ma verge qui s’allongeait de plus en plus. Une fois en pleine érection, j’avais par habitude de repousser le prépuce pour dégager mon gland rond et gonflé. Je trouvais mon organe sexuel assez beau et le voir ainsi me remplissais d’une certaine fierté.

Ensuite, j’essayais de me détendre pour diriger ma pensée vers une des filles qui me plaisaient en ce moment. J’essayais de l’imaginer nue…coquine…complice…je fantasmais sur le fait qu’elle voudrait de moi…Encore une fois, je n’associais aucune image d’acte sexuelle à mon délire puisque je ne connaissais rien.

Je me donnais ainsi du plaisir en me caressant les testicules et en me branlant avec envie…jusqu’à jouir dans un râle d’adolescent encore pas trop sûr de lui. Je laissais les quelques giclés de foutre, qui jaillissaient du bout de mon gland, se rependre sur le parquet du salon…

Après cet instant de plaisir intense, j’avais, tout de suite, un sentiment de culpabilité qui me laissait un arrière-goût un peu amer…J’ai toujours détesté ça.

Une fois encore, une rencontre improbable allez m’ouvrir un peu plus à la sexualité. Pour les vacances d’hiver, ma mère s’était trouvé une copine pour partir au ski. Son amie avait deux filles, Pauline et Stéphanie, à-peu-près de mon âge. Bien sûr, on ne se connaissait pas et ma timidité refit surface en me pétrifiant à nouveau. Nous partagions deux chambres à l’hôtel, une pour les mères et l’autre pour les enfants. Faut dire a quel point je devais leur sembler "asexué" à leurs yeux…De toute façon, ce n’est pas moi qui aurais fait des vagues en ayant un comportement déplacé.

Les deux filles étaient plutôt mignonnes, blondes comme le blé avec des petites taches de rousseur autour du nez. Par contre, elles n’arrêtaient pas de se prendre la tête, pour tout et pour rien ! Étant moi-même fils unique, je n’avais pas l’habitude de ce type d’affrontement permanent. Je dois dire que, parfois, ça me prenait vraiment la tête. Au bout d’une semaine et demie, j’avais hâte que ça se finisse…

Un matin, pendant qu’on se préparait pour descendre prendre notre petit-déjeuner, Stéphanie est rentrée dans la chambre en sous-vêtement. J’avoue l’avoir regardé discrètement, il n’y avait pas de raison de ne pas me rincer l’œil. Quand sa sœur s’est aperçue, elle s’est empressée d’aller faire un rapport à sa mère ! Voilà encore un drame qui éclate. Pauline accusait sa sœur de vouloir m’aguicher honteusement…Stéphanie se défendait en criant au scandale…et leur mère tentait en vain de calmer tout le monde. L’incident avait bien fait rigoler nos mères qui trouvaient la situation cocasse mais  complètement inoffensive. Quoi qu’il en soit, l’incident avait jeté un froid et l’ambiance était devenue glaciale.

C’est alors que je me suis mis à réfléchir. Est-ce que derrière son geste, Stéphanie n’essayez pas quand même de m’aguicher un peu ou, du moins, d’attirer mon attention…Maintenant que j’y pense, elle était la plus gentille des deux avec moi…elle me souriait souvent…et, même,elle insistait pour se mettre à côté de moi à table…

Tout à coup, je me suis dit qu’elle devez me trouver vraiment con de ne pas avoir repéré tous les petits signes qu’elle avait faits vers moi. Et je dois dire que moi aussi je me sentais très con.

Je ne savais pas comment lui dire que j’avais enfin compris. C’était sans doute trop tard surtout que, très vexée, Stéphanie s’était refermé comme une huître. Elle faisait carrément la gueule et je savais, à présent, que j’y étais pour quelque chose dans son esprit.

La veille de notre départ semblait bien morose. Cette nuit-là je n’arrivais pas à dormir et ce n’était pas à cause du léger ronflement des Pauline qui dormait dans le lit superposé au-dessus de sa sœur. Un autre bruit, un peu plus éteint, attira mon attention. Stéphanie, tournée en boule contre le mur, semblait sangloter. L’entendre pleurer m’a rendu très triste et après avoir longuement hésité je me suis levé pour essayer de la consoler. Je l’ai rejoint dans son lit pour la prendre dans mes bras ( je n’aurais jamais pensé oser faire ça ) et un petit – « Pardonne-moi » est sortie de ma bouche…

Stéphanie s’est alors retournée tout doucement en essuyant ses larmes avec la manche de sa chemise de nuit.

-« Embrasse-moi »- me supplia t-elle. J’ai posé mes lèvres sur les siens presque machinalement. J’ai trouvé qu’elle embrassait très bien, avec une grande douceur. Elle se retourna complètement pour se plaquer contre moi en quête d’un nouveau baiser…À ce moment précis, j’étais extrêmement heureux.

On se bécotait amoureusement entrelacés l’un à l’autre. Une fois encore, j’ai senti l’excitation dresser mon sexe sous mon pyjama mais c’est la réaction de Stéphanie qui m’a le plus surpris…Elle prit ma main et la glissa sous sa robe de nuit. Elle ne portait pas de culotte. Les bouts de mes doigts tremblants vinent effleurer son sexe légèrement humide…c’était chaud et doux à la fois. À mon contact, j’ai senti Stéphanie frissonner…Je n’avais aucune idée de quoi faire même si je comprenais bien qu’elle attendait de moi que je lui donne du plaisir…

Elle reprit ma main et la frotta contre son sexe gonflé de désir en gémissant de bonheur…J’ai ensuite continué tout seul…Elle écarta les draps pour soulever sa chemise de nuit et ouvrir un peu plus ses cuisses à fin de me faciliter la tâche. Je pouvais voir à présent la petite touffe des poils blonds qui ornait son petit mont de venus. Mes doigts, trempés de cyprine, glissaient entre ses lèvres s’enfonçant tout doucement dans sa fente…Je comprenais maintenant que je pouvais introduire mes doigts en elle.

Stéphanie était devenue rouge d’excitation. Elle s’agrippait d’une main à mon pyjama le déformant complètement. La branler de la sorte me fascinait presque autant que ça m’excitait ! Je bandais comme un âne ( un jeune âne tout de même ) mais je ne pensais même pas à me soulager. C’est Stéphanie que, voyant ma bosse, elle tira sur mon bas de pyjama pour la libérer. Je pouvais voir dans ses yeux la même fascination que moi je ressentais face à la découverte de son "puits magique". Elle ne la quittait pas du regard mais elle ne semble pas mieux se prendre que moi tout à l’heure…

Pour l’heure, je n’avais pas le temps de m’occuper de lui en donner une leçon, je pensais avoir trouvé une bonne vitesse de croisière et sa petite chatte coulait littéralement de bonheur ! Elle s’accrocha d’une main à mes cheveux et j’ai compris qu’elle était en train de jouir ! La voir ainsi…me rendre compte que c’était moi qui l’avait fait jubiler…m’a tellement excité que j’ai joui à mon tour !

Je ne pensais pas qu’on pouvait jouir comme ça, sans la moindre stimulation…J’étais vraiment surpris…mais pas autant que Stéphanie en voyant l’état de ses draps.

Pour le coup, j’étais hyper gêné ! J’ai attrapé un mouchoir en papier pour tenter de nettoyer mes dégâts. Je dois avouer que c’était un peu la panique. Nous étions pratiquement dans le noir et nous avions très peur de réveiller Pauline.

Nous avons regagné nos lits le plus vite possible en essayant de trouver le sommeil sans dire un mot de plus. Je pense qu’aucun de nous deux n’a réussi à s’endormir avant un bon moment. Je repassais dans ma tête, une fois de plus, tout ce qui venait de se passer. J’étais excité et heureux en même temps. J’avais même l’impression d’avoir grandi d’un coup.

Au petit matin, c’était le « branle-bas de combat ». Il fallait boucler les valises pour rentrer chez nous. Avec Stéphanie, on se croisait des regards complices pendant les préparatifs, ce qui agaçait profondément sa sœur. Le retour est passé en un claquement des doigts et je me suis retrouvé tout seul assis sur mon lit.

Cette fois-ci je ne me suis pas fait d’illusions, j’étais presque sûr que je ne la reverrais jamais. Ça devenait frustrant à force…

Je me suis consolé en me remémorant le délicieux moment que nous avions partagé ensemble…Je n’ai pas tardé à ressentir l’agréable sensation de mon appendice qui grossissait à l’intérieur de mon jeans…

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Bad boy

 

Mes années lycées ne furent pas très heureuses. Mes parents ont divorcé et je me suis retrouvé à vivre avec ma mère dans un petit appartement dans une banlieue pas trop recommandable.

En pleine adolescence, la séparation de mes parents me fit péter un plomb. Je me suis mis en « mode contestataire », pour tout et pour rien. Je me suis marginalisé en traînant avec d’autres ados aussi mal dans leur peau que moi. J’ai laissé pousser mes cheveux, je portais des fringues trouées et je me suis mis à boire et à fumer en cachette.

Bien sûr, ma mère me sermonnait tout le temps. Quant à mon père, il était devenu injoignable, en toi cas pour moi.

Pour tenter d’échapper à mon sentiment d’abandon, je me suis mis à sortir de plus en plus. Ce n’est pas pour autant que j’arrivais à lier des vrais liens d’amitié avec les jeunes appartenant à cette étrange faune que j’ai fréquenté à l’époque. Je pense que, certains, ils étaient encore plus pommés que moi…à la seule exception de Sofia.

C’était une fille à fleur de peau en pleine recherche de repaires et d’identité. Née de l’union d’un marocain et d’une française, elle avait perdue sa mère deux ans au paravent et son père semblait complètement dépassé  dans son rôle d’éducateur. Comme le mien, il était souvent absent. C’est peut-être ça qui nous a rapprochés…

Son allure gothique, ses piercings au nez et à la langue et son maquillage surdosé, m’attiraient autant qu’ils m’effrayaient. De toute façon, c’est elle qui décida un jour que j’étais devenu son petit copain. Je me rends compte aujourd’hui à quel point j’étais naïf et « bonne pâte » à l’époque. Évidemment, j’étais flatté par son initiative, même si ce n’était pas facile tous les jours. Elle n’était pas tendre avec moi. Elle me surnommait « le bourgeois », ce qui m’agaçais prodigieusement et je devais la suive par tout.

Bien sûr, il n’y avait pas que de mauvais côtés. On passait aussi pas mal de temps à s’embraser fougueusement derrière le lycée ou dans un coin sombre d’un café sur fond d’hard rock…Elle adorait mettre la langue et se laissait peloter sans problème. Les hormones aidant, j’ étais de plus en plus chaud et j’avais très envie de la sauter…mais comme j’étais encore puceau, j’angoissais aussi à mort !

Avec l’arrivée de l’hiver, c’était plus compliqué de traîner dehors et ont n’avait pas toujours d’argent pour se mettre au chaud régulièrement dans un café. Sofia insista alors pour qu’on aille chez moi. Moi je n’avais pas trop envie que ma mère se mêle de mes affaires ni qu’elle rencontre ma copine, mais elle ne m’as pas tellement laissé le choix. Sachant à quel point nous avons une bite à la place du cerveau, elle m’a motivé en me promettant d’aller un peu plus loin que nos baisers lubriques.

Une après-midi où nous  sommes sortis plus tôt que prévu, j’ai  saisi l’occasion pour filer avec elle à la maison. Ma mère ne rentrait jamais de son boulot avant 19 heures. En arrivant , Sofia passa l’appartement en revue, en ouvrant placards et tiroirs à sa guise. Une fois encore, son côté « sans gêne » me dérangea énormément. Puis elle rentra dans ma chambre…

-« C’est ça ta piaule ? »- lança t-elle sans attendre une réponse de ma part. Elle fouilla un peu part tout poursuivant son inspection.
-« Finalement, vous êtes bien ici »-rajouta en s’asseyant sur la chaise de mon bureau.
-« Ça peut aller »-j’ai répondu pour faire la conversation.
-« Tu n’as pas quelque chose à boire »-demanda Sofia.
-« Pas d’alcool en tout cas. Je crois qu’il reste une canette de coca »- j’ai dit en allant la chercher.

En revenant, Sofia s’était mise à laisse. Elle avait enlevé sa veste et son pull. Son chemisier noir sans manches était  presque transparent me laissant apercevoir enfin ses petits seins nus sous le maigre tissu. J’ai profité du fait qu’elle était en train de trier mes CD pour bien me rincer l’œil. Je lui ai tendu la canette qu’elle prit sans même tourner la tête. Elle avala une grosse gorgée avant de me la repasser. J’ai bu à mon tour en m’asseyant sur le lit. Pendant qu’elle choisissait la musique qu’elle voulait écouter, je la dévorais des yeux dans sa tenue hyper sexy. Elle choisit un classique, « Hurricane Rock » des Scorpions. Elle monta le son qui envahit la pièce et se leva en s’étirant sensuellement, dévoilant un troisième piercing accroché à son nombril.

Elle s’essaya à califourchon sur moi et me roula une pelle endiablée. Croyant « le grand moment » arrivée, je me suis mis à bander comme un fou. Pendant qu’on s’embrassait de plus belles, j’ai glissé mes mains sous son chemisier pour venir caresser sa poitrine. Elle n’avait pas grande chose mais assez pour les tenir dans la pomme de mes mains. Sentir ses tétons tout durs entre mes doigts me faisaient tourner la tête…

-« Alors toi, tu ne perds pas le temps  ! »- exclama Sofia.-«Tu as des capotes au moins ? »
-« Euh…non »-j’ai répondu en devenant tout rouge. Vraiment le « bleu-bite » dans toute sa splendeur !
-« Si tu veux tirer un coup, il va falloir que tu en achètes ! Moi je ne fournis pas la marchandise ! »-déclara Sofia d’un air revendicatif.

-« Désolé »-j’ai bafouillé sans rien trouver d’autre à dire.

-« Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te laisser comme ça »-rajouta t-elle en se levant, le regard posé sur la bosse de mon pantalon.-« Voyons à quoi ressemble cette grosse quéquette ! »

Sans plus de ménagements, elle déboutonna mon pantalon et prenant mon caleçon en même temps, elle les descendu jusqu’à mes chevilles. Avec ma queue à l’air en pleine érection, un mélange de honte et d’intense excitation faisait frissonner tout mon être.

-« Belle bête !»- s’exclama, un peu moqueuse. Elle regarda quelque temps ma verge sans dire un  mot avant de l’explorer avec ses doigts. À chaque nouvelle caresse, ma queue palpitait de désir. Bientôt, une petite perle transparente apparu au bout de mon gland gonflé. Elle remonta le long de mon membre en traçant un trait droit avec l’ongle bien affûté de son index en passant par le frein pour venir accueillir cette petite goutte qui s’allongea dans un long fil visqueux.

Sofia se tenait maintenant à genoux devant moi. Elle regardait ma bite avec envie prête à s’en servir comme un jouet longtemps désiré. Je voyais dans ses gestes savants et précis que ce n’était pas la première fois qu’elle branlait un garçon.

Elle commença par masser le bout de mon gland plusieurs fois avec son pouce avant de venir cracher abondement sur celui-ci en guise de lubrifiant. Elle laissa la salive glisser le long de mon sexe avant de le prendre en main pour commencer à me branler…doucement d’abord, en mesurant l’épaisseur de ma verge pour obtenir une meilleur prise en main. Moi, je gémissais déjà de plaisir. Elle me regarda, un grand sourire aux lèvres, fière du pouvoir qu’elle exerçait sur moi. Avec une certaine perversité, elle augmenta le rythme en me caressant les testicules de l’autre main. Mon excitation ne faisait qu’augmenter…ma respiration était de plus en plus saccadé…et j’avais même un peu de bave aux coins des lèvres…

Plus elle m’astiquait et plus je m’affalais sur le lit. Ma queue luisante de sa salive glissait entre ses doigts agiles me portant jusqu’aux portes de l’extase. Je m’agrippais à ma couette, tous les muscles en tension, en couinant de plaisir comme un petit animal apeuré…Me voyant aussi excité et, surtout,  à sa merci, elle prenait un malin plaisir à faire durer la chose…

Mon plaisir étais si intense que j’avais presque mal. Mon envie d’atteindre l’orgasme se faisait de plus en plus pressante ! Sentant qu’elle n’arriverait plus à empêcher l’inévitable, elle augmenta une fois encore la cadence en serrant bien fort mes couilles en même temps !

Dans un râle libérateur qui se mélangea à la musique de Scorpions, je me suis mis à jouir des plus belles. Mon corps tout entier s’arqua d’un coup !  Au même moment, Sofia lâcha mon sexe devenu écarlate sous son étreinte. Libéré de son emprise, ma queue se mit à jaillir de grosses giclées de foutre un peu partout ! Totalement épuisé, je me suis laissé tomber sur le lit. J’avais la tête qui tournait et le cœur qui battait la chamade…

Sofia s’était rhabillée et je l’ai entendue au loin qu’elle me disait « au revoir et bon courage » en riant puis elle claqua la porte. Avec la fin du CD le silence était revenu dans l’appartement. Je suis resté allongé un bon moment.

Puis, peu à peu, je repris conscience de mon corps au, plutôt, de l’état dans lequel je me trouvais. Sofia m’avait planté là et j’avais toujours mon froc aux chevilles et ma queue à l’air, ce que, vu de l’extérieur, devait sembler assez ridicule, mais, en plus, j’avais aspergé de sperme ma couette, mes vêtements, mon sac et un peu tout ce qui se trouvait dans un rayon d’un mètre autour de moi.

-« Merde ! »-je me suis exclamé toute en regardant machinalement l’heure sur mon réveil…18 heures 45. Ma mère était sur le point de rentrer !

-« Merde, merde, merde »-j’ai crié en me levant d’un coup complètement paniqué pour essayer par tous les moyens de cacher mon forfait.

-« Elle doit bien rigoler »-je me suis dis en pensant à Sofia assez énervé, mais, d’un autre côté, elle venait de m’offrir la meilleur branlette de toute ma vie…

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Invité

Et bien merci pour ce partage !!! J'aime beaucoup ta façon de nous décrire cette expérience et de faire monter la pression :wink:

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Merci à toi d'avoir pris le temps de me lire et de m'encourager. :roll: J'espère que tu passeras à nouveau me lire...Moi je retournerai volontiers m'enivrer dans ta jolie galerie...

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Pas de bières, alors ? Merde, ça craint.. Nan, j'déconne, t'inquiète pas.

Y'avait quoi comme groupes dans tes Cd's, à part Scorpions ??

Chouettes histoires que tu nous as écrites là, avec des expressions qui font mouches. Du moins, en ce qui me concerne. Ouais, je suis d'accord avec Kalinda, j'aime bien ton style détaché et humoristique, mêlant aussi douceur et une certaine naïveté. T'as tenté des trucs que j'aurai jamais osé tenter, alors chapeau à toi. Ca doit jouer pour l'estime de soi, ça.

Bref, t'embête pas à me remercier via un statut. fi est un  site de partage et tu partages avec nous de jolis récits, alors c'est cool.

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Invité
Il y a 3 heures, Antoine220 a dit :

Merci à toi d'avoir pris le temps de me lire et de m'encourager. :roll: J'espère que tu passeras à nouveau me lire...Moi je retournerai volontiers m'enivrer dans ta jolie galerie...

Tu peux aussi me lire :D

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Il y a 13 heures, kalinda a dit :

Tu peux aussi me lire :D

Je n'y manquerai pas ! :)

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Sympa cette suite, les souvenirs de l'adolescence et la dévouverte des corps de l'autre est un bon moment.

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Devenir un homme

Le lendemain, Sofia n’a même pas mentionné une seule fois ce qui s'était passé la veille, comme si ce n’était jamais arrivée. Moi, qui n’étais pas trop fier non plus, je n’ai pas parlé davantage. En attendant, j’ai échangé trois capotes à un pote contre un paquet de cigarettes. Je ne me voyais pas rentrer dans une pharmacie pour en acheter…

Les deux semaines suivantes ne furent pas de tout repos. Sofia était d’une humeur exécrable et elle commençait à me taper sérieusement sur les nerfs ! Régulièrement j’avais envie de me casser et de la planter là, mais, je ne sais pas pourquoi, finalement je finissais par rester en me disant que ça finirait par s’arranger…

Puis un jour, en sortant du lycée elle me lança :
Alors, tu as acheté des capotes ? »

Une fois encore son franc parlé me laissa bouche bée !

Oui.. »-j’ai bredouillé encore.

Alors on va chez moi. Mon vieux est parti au Maroc. »

Nous avons fait le trajet sans dire un mot. Elle habitait dans une tour de 20 étages. L’appartement était assez chargé en décoration, on se croirait à Marrakech. Il y avait des poufs, des cousins, des tapis, de la vaisselle et plein d’autres trucs un peu partout. Sofia n’a pas pris la peine de me faire visiter et m’amena directement dans sa chambre. Évidemment, chez elle, la décoration était tout autre. Elle avait tapissé les murs avec des affiches de groupes Hard Rock ! Sur son minuscule bureau s’entassait un bordel sans nom et ses fringues étaient dispersées aux quatre coins de la chambre.

Elle commença à se déshabiller comme si elle était tout seule dans son appartement. Elle enleva son pull et son t-shirt, ainsi que ses bottes et son pantalon. Moi je la regardais faire un peu gêné mais, surtout, sans savoir réellement quoi faire…C’est alors qu’elle se tourna vers moi en me disant :


Tu attends quoi pour te désaper ? Tu es genre timide avec les filles ? »- dit-elle avec un certain dédain.

Elle enleva sa culotte et se glissa dans le lit. Elle avait le chic pour me mettre mal à laisse, alors je me suis dépêché d’enlever mes fringues. Une fois à poil, je me suis rendu compte que l’appartement était à peine chauffé.

« Dépêche-toi. Tu vas attraper la mort. »-me lança Sofia avec, pour une fois, une voix pleine de tendresse.

Je la rejoignis sous la couette. J’ai tout de suite senti la chaleur de son corps contre le mien. Ses mains caressaient ma peau en explorant mon anatomie. Je fis de même. C’était un moment très agréable…Puis sa bouche attrapa la mienne, avec sa langue toujours avide de luxure. Elle monta sur moi en m’embrassant furieusement, tout en frottant son pubis contre ma verge pour la faire grossir…Puis elle porta ses petits seins, tremblotants d’excitation, à ma bouche.  Je dois dire que je les ai léchés avec envie et que j’ai pris mon pied en lui suçant ses magnifiques tétons bruns…J’étais de plus en plus excité et je bandais déjà comme un cerf !

Sofia s’allongea sur le dos en s’adressant à moi : -« Branle-moi ».

À ce moment-là, je me suis rappelé  de mon aventure avec Stéphanie et j’ai glissé ma main entre ses cuises, en espérant retrouver les gestes que j’avais pratiqués avec elle.

Apparemment, je ne me débrouillais pas trop mal. Son corps ondulait de plaisir sous mes caresses. Mes doigts trempés de cyprine allaient et venaient de plus en plus loin dans son vagin. Sofia écarta ses jambes un peu plus en m’agrippant par les cheveux pour m’indiquer d’aller plus fort. Je dois dire que la voir jouir ainsi m’excitait terriblement ! Elle gémissait de plaisir de plus en plus fort, ses doigts toujours visés à mon cuir chevelu…Pour mieux la branler je me suis mis à genoux, le nez plongé dans sa petite chatte trempée…Je bandais toujours autant en frissonnant de partout !

Sentant son premier orgasme arriver, Sofia approcha sa main pour me caresser la verge. Mon excitation était si grande que, le simple fait de sentir ses doigts sur mon sexe, me fis jouir aussi sec !

En me voyant gicler de plus belles, Sofia eut un mouvement de recul en jurant comme à son habitude. Moi j’étais hyper gêné et je ne savais plus où me mettre.

Attrape la boîte à mouchoirs. Il faut nettoyer tout ça avant que le matelas soit tout trempée ! »-me cria t-elle.

Moi, je saute hors du lit et je reviens avec plusieurs mouchoirs pour effacer mon accident. Je suis tout penaud et rouge de honte…

Une fois encore, Sofia s’adressa à moi avec une extrême douceur : -« Ce n’est pas grave. Je m’en doutais bien que tu étais encore puceau… ».

Je n’osais pas la regarder.

Viens. »-dit-elle en me prenant par le bras-« Maintenant c’est moi qui vais s’occuper de toi ».

Elle m’allongea sur le lit en se collant contre moi. Elle  m’embrassa en me caressant le torse et le ventre. Puis elle glissa sa main pour accéder à mon sexe complètement mou. Ses doigts experts se sont mis à le caresser pour essayer de le faire grossir. Intérieurement, j’étais très angoissé, sachant qu’après avoir joui une première fois, je mettais un certain temps avant de bander à nouveau…

Détende-toi. »-me dit-elle-« Embrasse-moi et ne pense plus à rien. »-rajouta en plongeant sa langue au fond de ma bouche. Son élan passionné me redonna de la confiance et je me suis mis à la caresser à mon tour. Au bout de quelque temps, je me suis rendu compte que son insistance avait fini par me faire bander à nouveau. Ma verge bien en main, elle me branla jusqu’à obtenir une taille et une dureté qui lui semblèrent satisfaisantes.


Elle attrapa ensuite un préservatif, déchira l’emballage et l’approcha de ma verge, à nouveau palpitante de désir.

-« Je m’occupe de tout. »- lança Sofia en déroulant la capote sur ma queue. La sensation était étrange…décidément, c’était « la journée des premières fois ».-« Ne t’inquiète pas, je vais te guider. »-rajouta en s’allongeant sur le lit. « Viens sur moi. »- m'invita en ajoutant le geste à la parole.

Encore très nerveux, je me suis installé entre ses cuisses. D’une main ferme, elle dirigea mon dard vers l’entrée de son sexe. Elle glissa le bout de ma verge enrobé de latex entre ses lèvres juteuses avant de se laisser aller dans une injection de plus lascives…-« Vas-y ! »
Comprenant enfin la chance d’être à ma place, j’ai poussé de toutes mes forces pour venir la rejoindre. Dans un long râle de plaisir, Sofia s’enroula autour de moi comme un python autour de sa proie…Instinctivement, j’ai commencé à faire les mouvements des va et viens qui sont de rigueur dans une telle situation ! Mon plaisir était double, physique tout d’abord, en goûtant enfin à la jouissance de la pénétration dans ma bien aimée, mais aussi celle d’une immense fierté de prendre conscience qu’avec ce premier acte d’amour charnel j’étais devenu « un homme » ! J’avais l’impression de flotter sur un petit nuage…

Les ongles de Sofia s’enfonçant dans ma peau me firent revenir tout de suite à la réalité. Elle était très excitée et mes coups de reins ne semblaient pas lui suffire. Elle serrait les muscles de son vagin autour de ma queue ce qui rendait la pénétration plus difficile mais, surtout, plus intense ! Sofia me poussait à pomper de plus en plus vite dans une frénésie presque démente ! On gémissait tous les deux brouillement, impatients d’atteindre à nouveau l’orgasme ! On était en nage et tout collants, ce qui rajoutait à notre excitation.

Après avoir éjaculé aussi vite tout à l’heure, je me trouvais maintenant dans la situation inverse ! Malgré une excitation indéniable, j’avais l’impression que je n’arriverais pas à jouir à nouveau. J’ai redoublé mes efforts en pompant  jusqu’à la limite de l’épuisement !

Vas-y ! Vas-y »- cria Sofia en m’arrachant une touffe de cheveux !

Dans une explosion extraordinaire, j’ai senti l’orgasme m’envahir tout entier ! Je beuglais comme un âne, complètement crispé, pendant que je jouissais à nouveau ! Plusieurs décharges électriques parcoururent ma colonne vertébrale pendant que dans ma tête résonnaient les coups précipités de mon cœur…

Épuisé,  je me suis laissé tomber sur le côté. Allongés sur le dos, nous regardions le plafond en reprenant notre souffle. J’ai senti alors sa main se poser sur la mienne…

Eh ben toi, tu caches bien ton jeu. »-dit-elle ravie.

Je ne suis pour rien. C’était vraiment ma première fois.»-j’ai répondu d’un air modeste.

Alors ne change rien »-rajouta en se marrant. Elle enfila un pull et sorti de la chambre. Pendant ce temps, moi je me battais pour enlever mon préservatif avec plus ou moins de réussite…J’ai fait attention de rien renverser et je l’ai enveloppée dans plusieurs mouchoirs en papier.

Sofia est revenue avec plein des gâteaux orientaux et une bière.

Tu as faim. Vas-y, sert-toi. »-me proposa. Effectivement, toutes ces émotions m’avaient ouvert l’appétit. Après manger nous avons longuement parlé, de tout et de rien, mais, pour la première fois, je sentais une vraie complicité s’installer entre nous.

En regardant par la fenêtre, je me suis aperçu qu’il faisait déjà nuit et que j’allais me faire passer une soufflante par ma mère. Je suis parti un peu en catastrophe après un dernier bisou « d’amour »…

Dans le bus qui me ramenait chez moi, j’affichais un large sourire qui contrastait avec les mines bien grises des autres passagers…

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Joli récit agréable à lire!!

quelle coquine cette Sofia ;)

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Invité

Toute première fois, toutoute première fois.... Cette touche de naïveté et maladresse donne un côté charmant à ton histoire.

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Cela nous rappelle nos première fois, ha nostalgie...bon souvenirs merci.

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