Un plan à trois, ça peut très bien se passer

[Invité]

Comme il est bon de se rappeler de ces moments de liberté quand on est en couple. Car je commence à comprendre que cette nouvelle relation va durer. J'aurai d'ailleurs des choses à dire sur nous et je les dirai en temps voulus, peut-être quand le temps aura un peu coulé pour pouvoir saisir la substance de l'instant, le recul est toujours bon. Et le recul je l'ai pris sur une petite aventure de cet été. Peut-être est-ce le beau temps de ce long week-end, peut-être est-ce le retour de la solitude dû au départ de ma douce pour sa province familiale, peut-être juste qu'il me tardait de réécrire à nouveau, d'être lu à nouveau, d'inspirer à nouveau votre désir... car oui, j'ai de grande prétention...

Et le titre vous en dit déjà long sur le sujet à venir mais je ne suis ici que de passage et pour palier au manque de temps, je me résous à vous écrire de courtes pastilles pour vous narrer cette histoire... J'ai encore tant de choses à dire sur Pauline, mais ça viendra en son temps... Non aujourd'hui je vous introduis sur un modèle qui m'est bien familier cette petite anecdote.  le modèle en question : celui du film cochon. Celui du générique qui montre par montage épileptique les passages (souvent) les plus hard core histoire de saper toute idée de montage de mayonnaise érotique (la métaphore tu l'aimes ou tu la quittes... tout comme la mayonnaise, celle dont je parle... ou toute forme de mayonnaise d'ailleurs).

Ceux qui me lisent savent que le fameux plan à trois est une expérience pour moi vécue (et c'est déjà pas mal) mais une expérience mitigée. Je parle de faire l'amour à deux filles en même temps... D'un point de vue purement technique, c'est impossible de faire l'amour à deux personnes "en même temps" et je suppose que c'est bien ça le problème... Mais voilà j'ai donc eu une nouvelle fois cette expérience et ça s'est bien passé... Voici donc en guise d'introduction mon générique de récit cochon ou je vous dévoile avec des mots ce que vous allez déguster bande de coquins. C'est parti...

C'est déjà l'aube, l'aube estivale, toujours moite, toujours chaude, toujours enivrante ou alors c'est juste l'ivresse... et le désir... je marche aux côtés de deux filles, une à chaque bras... cliché ? oui... mais je ne boude pas mon plaisir. Chambre d'hôte, touristes, étrangères, le lendemains il ne me restera d'elles que des souvenirs... Je ne peux pas dire que les deux me plaisent, mais l'idée des deux... c'est ça qui me plait... Oh et puis je fais mon difficile parce que là devant moi, alors que les vêtements ce font rares, leurs corps m'inspirent visiblement, ostensiblement. Leurs caresses mutuelles, leurs baisers mutuels, leurs langues qui se déposent là où tout se joue quand on naît mec... Le jour se lève et la fatigue de la nuit se fait sentir,il va pourtant falloir que j'assure... Je trouverai un moyen... mais non... Merde... dur... enfin pas vraiment... Aller elles ne me tiennent pas rigueur... leurs peaux s'enchevêtrent, leurs cheveux s'enchevêtrent, leurs langues, leurs bras, leurs jambes, leurs doigts... je m'aventure une caresse... je ne sais plus qui je touche, qui j'embrasse, juste deux corps nus, sexe, pulsion, et l'ivresse qui m'empêche de décoller... vais-je seulement y arriver ? 

[balkaemma 64]

Vivement la suite

[Rei Angex 1,031]

Le désir monte !

[Invité]

Ivre, c'est l'état dans lequel je me suis retrouvé ce soir là, et celui honteusement, dans lequel votre serviteur ici présent derrière la plume, se retrouve au début de cette anecdote. C'est le milieu de la nuit, un bar de nuit, peut-être 2h du matin, sûrement plus tard encore et voilà. Elle est là, elle est assez petite, moi grand, elle parle anglais, mais ce n'est pas sa langue maternelle. Elle est en fait brésilienne. Petite donc, brune, les yeux clairs, verts dans mon souvenir embrumé et vêtue d'une robe noire un peu bouffante et qui dévoile une certaine profondeur entre deux seins qui se dessinent aisément dans mon esprit alors que je les fixe quand je lui parle... "Up here !" me dit-elle avec un joli sourire...

Rapidement je l'approche, elle me rejette, je persiste, elle rit... mais me rejette... Puis je la croise au toilette... des hommes, elle me sourit, je l'embrasse et boum patatra ! la porte d'une cabine vérouillée, la main au paquet, je lui serre généreusement les fesses et je sens sa main dans mon boxer, ces doigts qui ceinturent, mon sang concentré en une partie longiligne de mon anatomie... et nos langues... et puis zut ! Mes doigts aussi aiment la chaleur et l'humidité et ma tendre interlocutrice qui veut qu'on la regarde dans les yeux non dans les seins, aime aussi qu'on la touche sur la chatte et non dans les yeux... Va et vient... elle descend et remonte, je bouscule et chatouille, elle serre puis caresse, je caresse puis je pénètre, elle gémit, je souffle comme un buffle, et bande comme un taureau... Puis elle s'arrête quand tremblante, un litre de mouille semble arroser ma paume... Elle sort, j'attend que le sang regagne le reste de mon corps... Se branler ainsi mutuellement dans les toilettes crasseuses d'un bouge au murs collants. Maintenant mes mains sente le sexe de ma partenaire que je ne pensais pas revoir au moment de me laver les mains... 

Mais elle est accoudée au bar pour commander deux verres... mojito... gin tonic... je ne sais plus trop mais je sais que je me dit "merde, elle n'est pas venue seule" puis je la vois, petite mais moins que l'autre, brune mais moins que l'autre, jolie... mais moins que l'autre... en revanche elle a des formes que mettent en valeur sa jupe verte et son haut blanc trop court et son nombril voyant... Je me dis "elle m'excite"... elle me dit : "So how was it like ?" Euh... pardon ? "How was my girlfriends' pussy ?"... Je me dis : "elles m'excitent"... puis elle se tourne vers l'autre brune (la plus brune des deux) "does he talk ?". Je souris, je suis ivre toujours et je danse avec elles et elle me colle et je bande à plus forte raison et mon sang chargé d'alcool cogne entre mes cuisses et en mes tempes... Il était temps qu'on s'arrache de là et de prendre le frais. La moins brune au bras gauche et aux yeux noirs, la plus petite au bras droit et à la chatte humide... je ne sais pas où on va... mais je me laisse volontiers porté...

[balkaemma 64]

Très très chaud

[conerequin 6]

Hummm cela est excitant 

[audreyede 569]

Moi, j'ai une préférence pour les plans avec deux mecs , pus jouissif pour moi et pour eux!!

mais pas mal quand même surtout pour toi!

[Invité]

Taxi. Une amante éméchée de chaque côté et un baiser pour la demoiselle dont le nectar qu'elle a produit à mon doigté expert a laisser son odeur sur ma main. Puis je tourne la tête et voilà que l'autre joint ses lèvres aux miennes et rapidement sa langue et rapidement sa main... vient joindre mon membre... celui qui pleure blanc quand on le presse trop fort... trop vite... Le chauffeur se rince l'oeil... mais, compétent, nous amène à destination...

Bonjour réceptionniste, il est tôt... ou tard... les clefs... la chambre... J'aime à décrire le mobilier mais cette fois c'est vraiment pas le propos. Quand l'une me m'embrasse, l'autre m'embrasse dans le cou. Quand je tiens par les hanches fermement la première, j'attrape le cul de la seconde, le malaxe... L'une me fait de l'effet  l'autre en profite... Et quand l'une défait ma chemise, l'autre défait mon pantalon... Et c'est celle qui ne me connaissait pas sous cet angle qui décide me mettre à nue la première et son premier geste est de se coller à la base de mon sexe, de le regarder dans sa longueur, de le branler délicatement et de s'écarter pour pouvoir enfin le sucer... Elle a du se mettre à genoux pour cela. Et l'autre, dont les émotions des toilettes des hommes gardent quelques conséquences à la forme que j'arbore dans la bouche de l'inconnue, est contre moi debout et admire comme moi le savoir faire de la miss quant à la prise en bouche de la virilité turgescente... J'en ai les genoux qui faiblissent... et je manque de gicler, trop ému... Et puis L'une s'écarte, l'autre prend sa respiration mais ne lâche pas la tige de chair dure, me la secoue vivement... genoux faible... pantalon à terre... 

Puis elle se lève, l'une embrasse l'autre... l'une déshabille l'autre... Je me déshabille, profite du spectacle, je me touche... Je me sens entre mes doigts dur comme un os puis... moi aussi nu... puis elle contre moi, baiser à trois, une langue, une autre, nos langues, nos mains... c'est confus... je suis ivre... quelle heure il est... je vais te mettre un doigt... touche moi... embrasse moi... c'est le jour qui se lève ? ... j'ai froid... cette sueure... c'est de la mouille... j'ai chaud... les genoux.... les frissons... j'ai envie de jouir... non pas tout de suite... merde.... J'ai perdu mon érection... je suis ivre... mes genoux vont mieux.... elles s'éloignent... 

Elles ne sont pas loin... sur le lit... j'ai perdu mon érection... je regarde un corps de femme à 4 mains, 4 seins, 2 culs, 2 chattes, 4 yeux, 2 langue... je vois double.. je suis ivre... je regarde cette masse informe... je ne vois plus le beau ni le sexy... j'ai sommeil qu'est-ce que je fous là... salle de bain... j'entend qu'elles miaulent... de l'eau sur le visage... de l'eau dans ma gorge... Je vais y arriver...

Les idées au clair, sans vigueur encore... Je contemple à mon retour que l'une se fait doigté par l'autre, l'autre qui s'applique garde une main pour elle même et sa langue caresse la cou de sa partenaire... les corps sont tordus... tant d'effort pour se donner du plaisir... ça doit être bon de se faire doigté ainsi... mais au prix de tant d'effort, pourquoi est-ce si compliqué...

Je m'allonge... de l'autre côté de celle qui reçoit les doigts... je pose une main sur son sein... je sens sa forme... je sens sa texture ferme et ballante... qui tremble sous l'effet "chatt'ouille"... Puis je caresse... puis me redresse... puis le ventre... puis quelques poils... puis un bouton caché sous un lambeau de chair, j'appuie.. elle crit... et me saisit... point serré sur ma queue.... elle trouve... une branche solide à laquelle s'agripper... C'est parti...

[Invité]

woow vivement la suite !

[Lasgards 15]

Très excitant. Vite la suite!

[Invité]

Je me dis j'aimerai être à sa place... deux mains qui la touchent, la caressent, la doigtent, pas les même propriétaires, les mains : la mienne et celle de sa camarade. Dans un poing serré sentir se tendre un rouleau de chair, un sexe d'homme qui se lève et gonfle de toute part entre ses doigts... Elle connait visiblement la marche à suivre... Le mouvement lui est familier... alors elle le presse, le secoue... elle le branle comme une déesse en mal de plaisir... et moi j'appuie de plus en plus ostensiblement sur son clitoris et j'embrasse aussi son cou...

Je sens la chair de ma partenaire changer de peau, une chair de poule pour une petite chatte, un sexe chaud dans tout nos doigts... et en remontant le long de son visage pour embrasser sa bouche... je croise l'autre bouche venu en faire de même les lèvres de chacune laisse émergé des langues et un entrelas de salive et de se dessine... Je suis ivre... elles sont ivres... mais je suis excité comme rarement je ne l'ai été...

Je me redresse... me lève même... je savoure l'instant et le souvenir tout frais... tout chaud de ce baiser à trois... et voilà la première qui, assise sur le lit maintenant, entreprend la tâche délicieuse de goûter à ma branche devenue dure comme du bois, chaud comme de la braise et humide comme la sève des arbres... Elle passe une langue le long de ma queue et la lèche puis la gobe puis la dévore... je gémis et je frémis... la seconde qui avait nos doigts en elle se remet de ses émotions et comme elle se trouve sous sa partenaire, elle la contemple dans son dévouement à Eros... Quand elle me suce et que l'autre nous regarde...

Et puis elle sort ma verge de sa gorge engluée, prend une longue respiration et la voilà qui dit "I love this cock so fucking much !" puis elle temps mon sexe en direction de sa partenaire et dis quelque chose en portugais... l'autre, la petite brune donc, se redresse prend mon gland entre ses lèvres pendant que celle qui me suçait jusque là me masturbe... et sourit.. et me regarde... et se caresse... l'autre aussi se caresse mais ferme les yeux... maintenant on me suce avec ferveur et on me masturbe avec fermeté... j'ai envie de jouir mais il ne faut pas... il fait jour... je regarde vers la fenêtre... chambre d'hôte... chaos des nuits blanches... débâcle de luxure... Je vais vous baiser toute les deux.... hmmmmm deux paires de lèvres, deux langues autour de mon pénis gonflé à bloque et deux bouches dans lequel se succède ma vigueur...

[Lasgards 15]

Vite la suite!

[Invité]

La plus grande des deux s'allonge en prenant soin d'écarter très largement ses jambes, je sors mon sexe de la bouche de sa camarade pour venir m'allonger au dessus de ma proie, la petite semble déçu et ma caresse sur la visage ne lui suffira pas... tant pis... je n'ai qu'une bite... et je la plonge dans le corps de celle qui m'est offerte...

La baise que je lui propose est vive et profonde... son souffle n'a pas de cohérence et mes coups de queues sont intenses... Mais cette configuration est classique et c'est seulement quand la petite brune ronchonne vient posé ses mains sur mon corps que je commence à avoir une très très très forte envie de jouir... Ma tête me tourne et les mains de la partenaire que je pénètre sont figées sur mon torse... la petite brune elle commence à me caresser le cul puis descend sur mes couilles qui se balancent au gré de mes mouvement, sondant la chatte de mon mas pénétrant du plus profond que mon anatomie me permet d'aller... Et c'est grandiose.... Puis elle se colle à moi et voilà bien une chose qui m'excite... Je lui dis en français "tu veux goûter la mouille de ta copine ?" elle fronce les sourcils... je sors ma queue et me redresse pour la plonger dans le visage de sa copine... J'appuie sa tête, elle me suce et absorbe par voie orale toute la cyprine délaisser par ma camarade aux jambes écartées... puis j'y retourne tel un soldat... J'ai adorer sa ferveur lorsqu'elle a pris mon sexe dur et luisant, long et large, gonflé et fier pour me prodiguer caresses et m'absorber jusqu'à la garde...

Je m'ennuie maintenant et l'alcool ne m'aide aucunement à me garder concentrer... La petite brune se tient désormais à 4 pattes et me dévoile sa croupe... je sors d'une chatte pour en baiser une autre. Mains sur son cul... mon pieu s'enfonce en elle et je l'entend crier... Je lui donne la même punition qu'à l'autre seulement plus fort et plus gourmande, une pénétration mais c'est elle qui me dévore... son cul me bouffe littéralement la verge jusqu'à sa base... et l'autre se teint au dessus à nous regarder et à se caresser... Je crois que je désire toujours plus celle qui regarde, qui s'impatiente, c'est frustrant... Mais mon pouce enfoncer dans son cul, ma camarade de jeu d'alors se met à jouir de pleine poitrine et jela récupère dos contre mon torse se tordant de toute sa souplesse sous mes assauts... Tu as eu ton compte... Elle s'allonge sur le ventre et laisse ma queue pointé vers le plafond au dehors... Pas question d'en rester là.

J'attrape l'autre et l'allonge sur le ventre et sur le dos de sa complice... Je me plonge dans sa chatte, son cul à ma merci et son dos, sa chevelure comme spectacle... Je baise l'une avec l'autre immoblisée en dessous... Je la baise encore plus fort, je sens le feu entre ses cuisses... J'ai envie de jouir... Ta ta... pas tout de suite... Je me délecte de la vibration de ces corps qui me sont soumis....

[Aleph 11]

Vivement la suite

[Invité]

Celle qui que je pénètre est en train de masser gentiment la chatte de sa camarade, sous le poids de nos deux corps, cette dernière ne peut pas bouger... Ma partenaire peine à jouir plus que l'autre, une solution s'offre à moi.... je plonge un doigt dans sa bouge puis une fois la salive de cette inconnue bien déposer sur mon doigt, je le dirige vers un coin plus sombre... Je touche son cul, son petit trou et pendant que je me sens surexcité par ce que je suis en train de faire, je la sens s'agiter et virevolter... Je lui masse l'anus puis enfin je plonge mon doigt prenant soin de le lui écarter gentiment.... Elle gémit mais ne jouit pas... Je la doigte et ma queue continue d'explorer sa chatte sans discontinuer... Elle se tord... ondule... c'est très bon et je dois me retenir à grand renfort de cris bestiaux pour ne pas exploser en mille jets dans son con... Mais elle ne jouit pas...

Le jour perce la pièce comme j'ai percé leurs entre cuisses à toutes les deux... Je constate sous cette nouvelle lumière qu'à force d'y glisser mon doigt et de lui  trifouiller le cul, son trou s'est largement dilater... Je me retire de sa chatte... Et mon doigt avec... Je sens ma queue vibrer au rythme des battements de mon coeur et regarde l'amas de corps qu'elles forment par mon action.... Je suis ivre, incontrôlable, je colle mon gland sur son trou et l'effet est immédiat... elle retient son souffle sans chercher à m'en empêcher... Je voit que sa main se crispe sur le sexe de sa camarade et je vois que cette dernière étouffe... Je pénètre à petits coups de reins mais c'est très facile... voilà... je suis au fond de son cul, du moins du plus profond que me permet mon anatomie, son cul me serre et lui aussi s'écarte du plus large que me permet mon anatomie... et c'est bon pour moi, tellement bon que je la défonce allègrement et maintenant elle crie... et maintenant elle jouit... Je l'ai eu... "tu aimes te faire enculée !" je hurle... elle ne comprend pas...

Je ralentis... Je me repose sur elles puis m'écarte, allongé près d'elles... c'était court finalement comme un spasme mais c'était bon... je suis à bout... Une main me saisie par la tige... elle me la secoue, c'est la main qui m'a saisie la première fois... Les deux corps se défont, l'une m'embrasse le torse et l'autre me branle penché sur ma grande queue qui brille de l'éclat de leurs mouilles... Elle me secoue si fort que je lui gicle au visage et à l'instant du second jet de sperme blanc et chaud, elle se rue sur mon gland pour le sucer... à mon tour de hurler... elle continue ses secousses et mon sexe se gonfle et expulse tout ce qu'il peut pour lui emplir la bouche... Et je sens les lèvres de sa copine sur le miennes et celles de l'autre sur mon gland lisse...

Je m'assoupis...

 

 

A mon réveil, elles avaient mis leurs vêtements et étaient prêtes à partir... Je revois leurs corps dans leurs habits, et leurs derniers sourires pour me saluer... Et voilà. Plus jamais revu et un mal de tête commence à poindre pour m'accompagner dans cette journée qui s'annonce inutile. Je suis resté au lit, et je me suis masturber en repensant à la nuit que je venais de passer... et j'ai reproduis cela maintes et maintes fois depuis

[Rei Angex 1,031]

Magnifique.

[pitchoune82 928]

Ouah!  Très excitant!  

[sansuke 728]

J ai beaucoup aimé