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boo182

A l'auto-Ecole

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C’est un copain qui m’avait donné le tuyau.

J’avais 23 ans à l’époque, et je devais passer le permis. Du coup Rémi un bon copain de la Sorbonne, m’avait conseillé une petite école dans le 15ème.

« Tu verras Ben, la nana qui gère l’autoécole c’est une bombe ! »

Je suis du genre plutôt intello. Je n’aime pas vraiment qu’on m’assène une vision et en général quand on me dit qu’une fille est une bombe, je lui trouve tout un tas de défaut.

Bref, j’ai quelque économie, et avec un petit coup de pouce familial me voilà inscrit pour passer le permis.

Je me rends donc quasiment tous les jours au cours de code. Et je m’appliquais vraiment. Je ne voulais pas passer 6 mois à étudier le code de la route mais m’assoir derrière un volant et rouler tout mon soule.

La salle de code n’était pas très grande. Assez sombre avec un grand écran sur lequel défilaient les questions d’entrainement. Nous étions régulièrement 3 ou 4 personnes à venir et de temps en temps un nouveau visage arrivait

Je me souviens de la première fois ou je l’ai vue, j’étais seul dans la salle. Je devais somnoler car il faisait bien chaud. La séance de 20h n’était jamais très fréquentée.

Elle portait une petite jupe volante à rayure et un haut blanc plutôt serré. De jolis cheveux blond noué sur le sommet de sa tête et des yeux bleus. Je me suis réveillé d’un coup.

Elle me lance :

« Bonjour ! » avec un petit signe de la main.

« Salut ! »

Et elle s’assied devant moi. Je sens l’odeur de son parfum. Je ne suis pas tombé amoureux ce soir-là mais je crois qu’il s’en est fallu de peu.

Après notre heure de cours on est sorti tous les deux, et pendant que la gérante (plutôt jolie, je dois admettre) fermait le magasin, nous fumâmes une cigarette.

« Tu t’appelles comment ? Commençai-je 

-          Julie, et toi ?

-          Ben, tu viens de t’inscrire ? »

Notre conversation était des plus banales et nous nous séparâmes peu de temps après que la cigarette fut éteinte.

J’avais tout de même noté qu’elle ne viendrait jamais avant cette heure-ci de la journée, à cause de son boulot en pharmacie.

Il ne m’en fallait pas plus. Et me voici donc tous les soirs à 20h dans la salle à attendre la belle Julie.

J’ai cru qu’elle ne viendrait jamais. Mais finalement au bout de 3 jours la voilà qui se repointe ; encore en jupe.

Elle se met sur la même rangée que moi et me souris en me saluant. Je lui rends son sourire. Et nous voilà dans la séance. Mais je ne pouvais pas me concentrer avec elle à côté de moi.

Elle n’avait pas les jambes croisée, ce qui fit marcher mon imagination à plein régime.

Portait-elle une culotte ? Ou  un string ?

Rentrait-elle chez elle ? Chez son mec ?

J’en pouvais plus.

Les cours passèrent les uns après les autres, et plus le temps passait, plus nous nous rapprochions.

On parlait plus à la sortie, on s’échangeait des réponses, des clins d’œil, on allait même jusqu’à parler des nouvelles têtes qui se pointaient à la séance de 20h. Une sorte d’intimité s’est installée entre nous. Ce qui ne nous déplaisait pas.

Un jour en Julie arriva un poil en retard ce qui me surpris et m’angoissa un peu.

Nous n’avions pas échangé de numéros de téléphone ni adresse ni FB. Notre seule connexion était cette salle lugubre.

Et je crois que cette relation particulière nous allait parfaitement. Il y avait là-dedans un côté mystérieux.

Elle s’est donc assise derrière moi un peu en diagonale. Je n’avais pas besoin de me tourner entièrement pour la voir. Et devant moi un gros garçon de notre âge, était assis et absorbé par le cours.

Alors que je me retournai pour la 3ème fois pour parler avec Julie je remarquai qu’elle portait une jupe et que pour la première fois je pouvais donc jeter un œil entre ses jambes. Et ça n’a pas tardé à faire son effet. Même si je n’avais rien vu car elle tenait ses jambes serrées,  je me suis retrouvé avec une érection formidable. Je n’ai pas dû être discret, mais je n’ai pas pu m’empêcher de me retourner toute la séance, espérant secrètement apercevoir ce qui se cachait sous ses vêtements.

Et c’est à la fin du cours ou par un coup du sort, alors que je me retournais pour demander à Julie sa réponse que celle-ci au même instant décroisa largement ses deux jambes, et Ô miracle, je vis ce que tout homme rêve de voir, la petite culotte de Julie. Un poil transparent il me semble, rose. Quand je relevais la tête, elle riait discrètement.

Et je lui demandai avec un sourire en coin « Qu’est-ce qu’il y a ?

-          Tu es un peu voyeur non ?

J’étais gêné, et ne savais pas quoi répondre. Elle le comprit tout de suite et repartit de son doux rire.

-          Oui, certainement, excuses-moi.

Je n’étais pas du tout désolé, et je le fis savoir dans mon intonation. Elle redécroisa les jambes  rapidement avec un petit sourire. Merde j’en pouvais plus et le mec devant non plus, mais lui c’était des limitations de vitesses.

Elle tendit la main et repoussa me tête dans la direction de l’écran.

Ce contact me fit l’effet d’un taser électrique.

Le lendemain j’étais là avant elle et je me mis tout au fond de la classe. Dernier rang. Quand elle entra, elle ne me vit pas tout de suite, mais je soufflai son nom et elle se retourna.

« - Ha te voilà mon petit pervers » dit-elle avec un sourire

« De voyeur me voilà pervers ? » rétorquai-je

Et elle s’assit juste devant moi. Aujourd’hui elle portait un pantalon de toile blanc. Et surprise ! Tendue par la courbe de ses fesses assises devant moi, la toile de son pantalon avait tendance à devenir un peu transparent et je pus voir grâce au trou du dossier de la chaise son string rouge.

Et voilà que je bande. Je suis donc un pervers.

Deux personnes entrèrent dans la salle et se mirent un peu devant. Julie se retourna pour me demander comment j’allais et bien entendu comme moi la veille s’attarda sur mon entre-jambe. Et elle vit ce que je cherchais désespérément à cacher. La bosse de que faisait mon sexe ne faisait aucun doute. Et elle me sourit.

« Nous sommes deux voyeurs… » Soufflai-je

-          Oui je crois.

Pendant tous le cours je regardais ses fesses. Elle se tortillait sur sa chaise ce qui parfois tendait encore plus les mailles de son pantalon, livrant à mon regard au rouge éclatant de son string.

Elle se retourna plusieurs fois et ne cacha pas son regard en direction de ma braguette.

« Tu dois être bien serré là-dedans » Première pique de Julie. Les hostilités commencent.

-          Un peu oui, mais ce n’est pas avec la vue que j’ai que cela risque de se desserrer.

-          Tu veux dire mes fesses ?

Je hochai de la tête et elle se tordit un peu pour voir son arrière train, et de la main je lui retournai la tête dans la direction opposée, comme elle hier.

Elle déposa sa main sur la mienne et la fit glisser jusque dans son cou. Alors que devant les autres élèves roupillaient, j’attrapai délicatement son cou et administrai un petit massage, mon bras tendu ne me permettait pas de descendre jusqu’aux seins mais le contact de sa gorge et ses épaules m’offrait un plaisir dingue.

Elle poussa quelques soupirs. Et je continuai mon massage. J’approchai ma seconde main de sa nuque et avec mes pouces je massai sa nuque. Et doucement je me rapprochai. D’abord en me redressant puis avec mon siège. Elle continua de profiter de mon  massage.

Une de mes mains lui caressa le visage comme un aveugle ferait pour découvrir quelqu’un.

Puis cette main descendit doucement jusque dans son décolleté. Julie ne bronchait pas. Une de ses mains atterrit sur mon genou et commençait à masser l’intérieur de ma cuisse. Mais l’ange de son bras ne lui permettait pas d’aller plus haut.

Quand la mienne entrait sous son t-shirt je compris qu’elle ne portait pas de soutif. Et je pus aisément masser sa poitrine. Ses tétons étaient déjà tendus, et sa respiration s’accélérait. Je déposais alors un baiser dans son cou sous son oreille.

Je n’en pouvais plus, et elle non plus. Elle se retourna et m’embrasse fougueusement. Les couleurs lui étaient montées aux joues. La chaise nous empêchait de passer aux choses sérieuses. Et le temps aussi.

L’écran s’éteignit et l’atmosphère studieuse se dissipa soudain. Julie se leva en réajustant ses affaires et me regarda.

« Je n’ai pas le temps de boire un verre ce soir, est-ce que tu es là demain ? »

-          Je serai là demain crois-moi. »

Cette nuit-là je me suis branlé au moins trois fois pour faire partir la tension. Je priai corps et âmes pour que l’on soit seul dans la classe le lendemain.

Le lendemain elle était assise au fond de la classe quand je me pointais. Elle portait une jupe courte, parfaite en cas d’ébats, un haut serré sans soutien-gorge. Elle avait préparé le coup.

Je m’assis à côté d’elle.

Quand les lumières s’éteignirent le feu d’artifice commença. Nous allions être seul ce soir. Elle retira son haut immédiatement et m’embrassa. J’avais déjà la main sous sa jupe. Je commençais à caresser l’intérieur de ses cuisses. Puis après quelque instant je m’approchais de son sexe. La chaleur qui émanait m’excita au plus haut point. Me voilà raide dans mon pantalon, et de ma main libre je défie les boutons. Je n’avais pas mis de caleçon et voilà que mon sexe jaillit telle une épée de son fourreau.

Je posais alors ma main sur son sexe et commençais à masturber Julie à travers sa culotte. Elle mouillait déjà. Au bout de quelque minutes j’écartais doucement sa culotte et put enfin toucher son entre-jambe, trempé. Je la branlai comme je pouvais, puis je me dis que tout cela serait plus simple si j’y allais avec la bouche.

Je me mis à genoux devant elle. En signe de d’allégeance elle écarta les jambes et remonta sa jupe. Je retirai sa culotte  et admirai sa fente et ses lèvres boursoufflées. Elle était épilée de près et sa peau luisait de mouille. On distinguait parfaitement les lèvres et son vagin. Elles étaient entrouvertes et de la mouille coulait un peu. Dans sa position, je pus aussi voir son petit trou du cul, tout aussi épilé et luisant. Elle avait certainement dû se passer de la crème. Je commençais à lécher son vagin puis son clitoris qui se cachait derrière les bourrelets de ses lèvres. Elles étaient plus sombres que le reste de sa peau. Ma langue fouillait, tournait, goutait son sexe. Juste au-dessus de ses lèvres il y avait des poils rasés courts qui couvrait une bonne partie de son pubis. Cette douce toison m’excitait aussi. Elle ne se rasait pas comme toutes les nanas que j’avais rencontrées et qui n’avais plus un poil. Elle au contraire laissait tout au naturel mais taillait proprement mon nez respirait l’odeur de son entre jambe. Mélange d’humeur corporelle, et de culotte propre. Ma bouche continuait de jouer avec sa chatte. Je mordillais ses lèvres, et je sentais que de son sexe ruisselait  sa mouille qui finissait sa course dans ses fesses, puis sur le siège. Ma langue pénétrait un peu sa fente au grand plaisir de Julie. Elle agrippait ma tête et l’écrasait sur son sexe béant. Elle gémissait doucement pour ne pas attirer la gérante. Une de mes mains se rapprochait de ses fesses et mon majeur commença à titiller l’autre orifice, qui luisait de mouille. Là encore elle me laissa faire. Quelque instant plus tard je pénétrais avec mon doigt sans son cul. Je l’enfonçais jusqu’à la phalange. Cette petite sodomie ne lui déplut pas.

« Oh ouiiiiiii vas-y continue » gémit-elle

Je m’appliquais donc à continuer cette masturbation anale et vaginale. Au bout d’un moment je risquai un deuxième doigt dans ses fesses. Il rentra facilement.

J’avais de la mouille sur le menton sur les doigts et je commençais à avoir mal dans cette position. Dans un ultime effort je terminais de branler son cul avec mes deux doigts tout en me relevant. Je la regardai dans les yeux, et je vis qu’elle prenait son pied. En me redressant j’avais une vue d’ensemble sur elle. Elle était allongée sur le siège, les jambes relevée me laissant admirer toute son intimité ruisselante de sueur et de mouille.

Mon sexe était tendu mais pas encore décalotté. Alors qu’elle l’agrippait avec sa main je lui murmurai :

« Attention il faut lubrifier d’abord » En effet l’action de me retirer la peau du gland pouvait me faire mal de temps en temps.

Elle mit sa main sur sa chatte et y introduis quelque doigts. Elle revint avec de la mouille et cracha dans sa main, et commença à me branler. Mon gland fut libéré bien vite. Elle put faire glisser la peau sur celui-ci dans un geste de va-et-vient, quand je fus bien dur elle mit mon gland dans sa bouche et commença à le lécher comme une glace. Puis enfin elle fit glisser sa bouche autour de ma bite. Le plus loin qu’elle put. Puis elle lâcha mon sexe et ma branla avec sa bouche seulement. Elle Jouait avec mon prépuce en le faisant remonter entièrement sur mon gland et le retirant. Je n’en pouvais plus.

Au bout de quelque minute je commençais à littéralement luis « baiser la bouche ». Mon bassin s’activait comme si je la pénétrais normalement.

Elle accentua le mouvement avec sa tête, j’entendis quelque bruit de gorge. Elle en avait les larmes aux yeux. Un  peu de bave avait coulé par terre. Je finis par sortir mon sexe de sa bouche. Il était luisant de bave.

« J’aimerai bien te prendre »

Elle me regarda comme si je lui retirai son jouet, mais souris et se retourna. Ses genoux sur le siège.

Je pus voir son anus et sa fente ouverte prête à recevoir mon sexe. Elle fouilla dans son sac et me tendis un préservatif que j’enfilais ni une ni deux.

Je vérifiais bien si son sexe mouillait encore et approcha mon gland de l’orifice. A leur contact mutuel, nous eûmes tous les deux une petit décharge. Je la pénétrais enfin. Doucement et profondément. J’émis un grognement profond et elle un long soupir que se finit dans un gémissement.

Je commençais mes mouvements, et elle m’accompagna des siens. Ses fesses tapaient contre mon bassin, et à cause de la sueur émettait un petit bruit de clapotis. Mon pouce s’approchait de son cul et finit par s’introduire dedans. Je la branlais frénétiquement en même temps que nous nous activions. Je mis un pied sur la chaise d’à côté pour pouvoir la pénétrer plus en profondeur.

Je ressortis mon pouce de son cul et lui fit lécher. Elle le bouffa carrément.

Alors je sortis mon chibre se sa fente et provoquant chez elle un soubresaut. Surprise elle tourna la tête et me regarda interrogatrice. Mais elle connaissait mon intention. Elle hésita un peu. Puis se cambra m’invitant à enfoncer mon sexe dans son anus que j’avais déjà  bien entamé.

Le sexe en main je posais le gland sur son anus et appuyai. Au bout d’un instant il pénétra son cul, mais je ressorti pour le lui lubrifier un peu plus. J’appliquais de la salive, mais elle me tendit un flacon d’huile de massage. Je fus très surpris, mais elle me dit

« Faisons avec ce que nous  avons. » Merde alors,

J’ouvris le flacon et fit couler de l’huile. C’était une huile de massage pharmaceutique à ce que je pouvais voir. Rien à voir avec un lubrifiant. Mais elle fit l’affaire.

J’en mis une grosse dose dans la fente de ses fesses et plongea mon sexe dedans. Une fois enduits d’huile je renouvelai la pénétration qui s’avéra beaucoup plus facile et moins douloureuse.

J’enculais Julie jusqu’à la garde, et lui attrapai les cheveux. Je la tenais, mais cette vision parfaite de mon sexe dans ses fesses et de sa tête en arrière tirée par ses cheveux me fit presque jouir. Elle sut le sentir car elle calma mes ardeurs en mettant une main sur ma cuisse. Je ralentis donc la cadence.

Julie imposa le rythme. Je pouvais voir son anus dilaté qui se repliait et se dépliait au passage de mon gland.

Au bout de quelque minute, elle me demanda de la masturber en même temps. Je m’exécutai docilement et la fit jouir rapidement.

J’accélérai mon mouvement de va et vient dans son cul, et finit par éjaculer lourdement. J’aurai aimé ne pas porter de capote et pouvoir finir dans ses fesses et retirer mon sexe, voir couler le sperme le long de ses cuisses, mais je laisse ça à mon imagination. Je m’affalai sur elle et sorti mon sexe. Je retirai le préservatif plein de sperme. Elle était restée dans sa position mais s’était recroquevillée pour plus de confort. Elle me regardait et pris la capote du  bout des doigts. J’étais assis à côté d’elle avec mon sexe dans les mains en finissant de me branler pour en extraire tout le sperme ; elle mer regardait faire. Et mis sa main sur ma bite elle la tint un instant. Mon sexe repris sa taille initiale.

Elle me tendit sa culotte et me demanda d’essuyer mes dégâts avec un petit sourire. Je m’exécutai. Elle voulait peut être redescendre en douceur avec un dernier massage vaginal.

Je m’appliquai alors qu’elle était toujours à quatre pattes sur la chaise.

Enfin elle se retourna et remis son t-shirt et sa jupe. J’essuyai mon sexe avec sa culotte. Et remis mon pantalon. Elle m’embrassa à pleine bouche et le reste de la séance nous nous collâmes l’un à l’autre.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Dans une minuscule salle de code avec juste la monitrice ce récit devrait se trouver dans la section fantasme car je n'y crois pas du tout.

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Dans une minuscule salle de code avec juste la monitrice ce récit devrait se trouver dans la section fantasme car je n'y crois pas du tout.

Après, on n'y était pas ;)

Belle histoire en tout cas!

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j'ai beaucoup aimé ton histoire. elle est un peu surréaliste car si la gérante était à côté, c'est difficile de mener tout ça sans se faire gauler!

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