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didierot13

Récit érotique: L'enquêtrice

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Face à mon ordinateur, torse nu car la chaleur de cet été ressemblait à la température d'un four branché sur du courant continu, j'élaborais un texte érotique relatant mes envies sensuelles galopantes tel un cheval camarguais. J'étais un homme paradoxal tiré entre la sensualité, l'érotisme, le libertinage, la gourmandise d'amour et sa profonde sensibilité, son respect, son petit monde de bisounours abritant les douces émotions et les tendres sentiments. Toute cette salade promettait une œuvre totalement folle, un peu comme moi finalement ! Je décidais d'enlever mon short pour faire respirer mon sexe et pourquoi pas le faire bronzer ? Je dois avouer qu'à ce moment même j'avais plutôt envie de le caresser que de lui faire prendre un bain de soleil. Je commençais à aligner les premiers mots quand la sonnette de la maison retentit. Qui cela pouvait être ? J'entourais ma taille d'une serviette de bain et sortit.

 

Une charmante femme habillée d'un tailleur bleu qui tombait à mi cuisses, une chemise blanche que le soleil rendait transparente attendait devant le portail. Elle ne portait pas de soutien gorge et je devinais ses jolies seins aux tétons proéminents. Elle devait me faire un effet assez fort puisque la serviette formait une bosse entre mes cuisses.

 

C'était une enquêtrice qui passait des entretiens chez tous les gens de la ville pour établir le genre de population la plus représentée dans la municipalité.

Elle avançait vers moi, ses yeux rivés sur mon entre-cuisse qui ne dégonflait pas. Je discernais sur son visage un malaise mêlé d'intérêt ou de curiosité.

Je lui proposais un café. Assise devant moi, elle avait croisé les cuisses que je matais avec insistance. Le galbe de ses jambes m'hypnotisait. Ah ! que j'aurai aimé m'en faire un collier. Elle devait sûrement remarquer mon trouble insistant, puisque elle ne cessait de croiser et décroiser ses jambes. Toujours au garde à vous, mon sexe semblait vouloir repousser la serviette que d'ailleurs parfois je remontais car elle glissait. Devant mon ordinateur, pendant la préparation du café, elle lisait les quelques lignes que j'avais commencé à écrire. Ce fut d'ailleurs la raison de sa première question :

– Vous êtes écrivain ? Désolé pour mon indiscrétion mais c'est mon boulot, j'aime bien ce que vous avez écrit !

En lui servant sa tasse de café, je lui demandais si elle aimait le fond ou la forme de mon travail, si c'était l'histoire qu'elle appréciait ou le personnage . Elle me répondit que c'était les deux.
Je m'asseyais à ses côtés, lui tapotant sur la cuisse : « alors on est sur la même longueur d'onde. »
« Je pense en effet » répondit- elle.

Elle remonta légèrement sa jupe et poursuivit par une série de questions :

- Vivez vous seul ? Quelles sont vos passions ? Comment voyez vous la vie ? Que faîtes vous de votre temps libre ?

Je répondais le plus précisément possible. Plus elle s'apercevait que la plupart de mes réponses allaient dans le sens de la légèreté, des coquineries, plus elle voyait que mes priorités tournaient autour du sexe, du sans prise de tête, et aussi de l'éphémère de la vie, que nous devions profiter de tout dans le respect mais aussi sans tabous, plus elle passait sa langue sur ses lèvres. Plus sa langue caressait ses lèvres, plus mon entre jambe me signalait sa présence.

Je me levais pour lui servir un autre café quand ma serviette glissa, et je me retrouvai nu face à elle, le sexe au garde à vous. J'allais ramasser la serviette pour la remettre autour de ma taille quand elle me retint par le bras.
- Le paysage est charmant, pourquoi le cacher ? Puis, n'est-ce pas plus confortable sans rien ?

- Si cela ne vous dérange pas, pas de souci pour moi. Mais si vous vous mettiez à l'aise aussi, ce serait encore mieux, non ?

- Pourquoi pas ? fit elle.

Elle dégrafa sa chemise, ses petits seins étaient comme de jolies poires qui attendaient d'être déguster. Sous sa jupe qu'elle tomba apparut une petite culotte rouge en dentelle. Elle se rassit. Un peu frustré je lui lançai :

- Et la culotte ?

- J'attends que ce soit vous qui me donniez une raison de la retirer.

Je la regardais avec un sourire en coin, me disant qu'elle allait voir de quoi j'étais capable.

Je m'asseyais juste à ses côtés avec mon autre café à la main. A chaque fois qu'elle en buvait une gorgée, je me rapprochais d'elle, nos corps se touchant, je lui chuchotais au creux de l'oreille que je savourais ma chance d'être en sa présence, qu'elle illuminait ma matinée et qu'elle me donnait beaucoup d'inspiration pour mon texte érotique. Je posais ma main sur ses jambes. Puis, je lui déposais un bisou voyou dans le cou. Enfin, je la couvrais de louanges sur son corps de déesse qui me mettait dans un état de dépendance d'elle. Et je l'inondais de mon regard bleuté comme pour l'emmener surfer sur les vagues de l'ibis de mes yeux qui la baignait par vagues ouatés.

Je pense qu'elle avait cerné la lumière qu'elle avait déclenchée dans mon regard pétillant puisque elle s'est levée, a tombé sa jupe et m'a embrassé à pleine bouche. Nos langues tournaient dans une lente cadence qui donnait le tournis. Elle me passait la main sur mon torse pendant que je lui caressais les seins. Elle vibrait sous ma main qui se promenait le long de son corps jusqu'à l'entrée de sa grotte brune. Comme si je demandais un droit d'accès, je lui titillais le clitoris doucement, glissais un doigt fin dans son antre que je sentais humide. Plus elle mouillait, plus elle m'excitait. Nous étions brûlants l'un et l'autre. Elle m'entraîna dans la chambre.

Sur le lit, je lui proposai un massage avant tout. J'avais des huiles essentielles à plusieurs parfums. Elle choisit la vanille. Je laissais tomber une goutte sur son cou, sur le milieu de son dos et sur ses jambes. Puis, j'éparpillerais le liquide avec mes mains, la frictionnant doucement et lentement. Mes doigts effleuraient son sexe en évitant le contact direct. Ensuite, elle se retourna. Mes mains huileuses tournaient autour de ses seins, glissaient sur son ventre, évitant son mont de vénus pour atteindre directement ses jambes et ses pieds.

Nous nous embrassâmes ensuite à pleine bouche, ma langue flirtant avec la sienne,puis lui léchant le pourtour des lèvres, descendant sur ses joues, son menton. Ma main sur sa chatte toute mouillée, mon majeur pressant de façon saccadée sur son joli clitoris. Ma bouche alors sur son ventre, puis son nombril, sur ses jambes et sur ses pieds. Son corps ondulait et elle gémissait doucement. A point pour se faire lécher, je me posais entre ses jambes et lui dévorait le minou, tout en introduisant mes doigts dans son four accueillant. J'aspirais son clitoris, quand de la main elle me fit signe de remonter et de prendre sa place. Elle me caressa le corps entier, puis passa sa langue de mon front jusqu'à mes pieds. Le drapeau de mes envies dressé, elle l'engouffra dans sa bouche. Au début, elle suçait juste mon gland, puis lentement descendit la bouche, la remonta, la descendit davantage jusqu'à mes couilles. Elle allait et venait lentement comme si elle suçait un sucre d'orge et qu'elle voulait en retenir le goût. Puis, elle me caressa les bourses, les lécha aussi. Je n'avais jamais rencontré une femme aussi gourmande. Un moment, elle leva la tête, planta ses yeux dans les miens et me demanda : « tu aimes ? »

Que répondre à cette question sinon lui faire signe de remonter et l'embrasser avec passion. Je n'avais pas envie de la faire mienne, non, juste tenter de devenir son Dieu, l'homme qui faisait l'exception parmi tous les autres qu'elles avaient pu rencontrer. Je savais que c'était possible. Sans aucune prétention mais en sachant le volcan qui végétait en moi, en sachant qu'il était capable de cracher des flammes aussi brûlantes que celle d'un dragon. Puis, mon tempérament de fou gentil couronnait le tout. Si je ne lui donnais pas le meilleur à elle, c'est que je n'avais rien compris à la vie.

Je m'appliquais à lui baiser chaque parcelle de peau, millimètre par millimètre ma bouche suçait son corps, ma langue la savourait comme sa meilleure gourmandise. D'une main, je massais ses seins, mordillait ses tétons, de l'autre main, je faisais briller son diamant intime, m'évertuant à titiller son clitoris et en même temps glisser un doigt dans sa chatte ouverte. J'aurais voulu arrêter le temps, faire de ce moment magique, l'unique et le dernier de toute ma vie tellement mon désir d'elle était grand. Quand j'entrais en elle, nos soupirs se rejoignirent. Mon sexe contre sa paroi tapait doucement, j'allais et venais tendrement et surtout lentement. Notre orgasme arriva simultanément. Je n'avais pas le coeur à m'arrêter. Son regard m'en donnait l'approbation. Je poursuivis la promenade de ma langue sur le paysage de son corps si alléchant. J'aimais l'entendre me dire « oh oui.. » Elle m'emplissait de bien-être. Elle se recroquevilla sur moi, me déposa des baisers dans le cou pour repartir sur mon torse, atteindre mon pénis encore raide et l'avaler. Ensuite, elle me chevaucha, une chevauchée qui n'avait pas de fin car entre elle et moi, je sus que l'éternité en était le lien. Elle passa la nuit avec moi. Le lendemain matin, après de longs et chauds câlins, je commençais une autre nouvelle érotique qui débutait par : «  L'imprévu t'a menée vers moi. Je salue le hasard au passage, malgré tout, il n'existe pas que des mauvaises surprises. Je suppose que sur terre aussi, il est permis de parler de « paradis » car depuis hier j'ai vraiment l'impression que d'avoir découvert avec ta présence un univers qui n'existait que dans mon imagination... »

Je ne pus terminer mon paragraphe sur l'instant,elle était derrière moi, toute nue, et s'évertuait à me déposer ses caresses buccales partout sur mon corps !

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