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didierot13

Un rêve!

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Devant mon écran d'ordinateur, j'alignais des mots, des phrases, mes fantasmes en noir et blanc qui vivaient sur une page à défaut de réalité...Je savais qui j'étais, ce que je voulais, ce que je ne voulais pas, je savais l'essentiel de la vie, non, plutôt l'essentiel de ma vie ! C'était déjà une bonne chose. La sensualité s'alternait avec des sentiments passionnés succédés de suite après par de l'érotisme sans tabous. Quand je relisais, je découvrais finalement que mon récit était juste l'histoire de mes souhaits, je me suis mis à sourire tendrement.

Elle arrivait. Le top du top, elle portait un ensemble chic et choc, un tailleur noir qui me montrait ses formes harmonieuses. Je devinais sous son chemisier transparent qu'elle ne portait pas de soutien gorge, ses tétons poussant le tissu avec force. Son large sourire m'illumina. Je lui proposais un café, nous n'avons pas bavardé longtemps car nous savions tout l'un de l'autre, nos longs mails avaient permis de nous mettre à poil totalement. Nos regards complices suffisaient pour savoir que nous étions sur la même longueur d'onde sans interférence. Comme moi, elle était gourmande de sensualité sans tabous, dans le respect et la folie de s'abandonner. Comme moi elle abordait la vie comme une récréation. Comme moi, elle était quelqu'un de paroles, avec un profond respect, de la tolérance, de la compréhension chevillés au coeur et la cerise sur le gâteau, elle était ouverte extra large comme moi, ce qui ouvrait un horizon large de liberté et de possibilité de plaisirs intenses et illimités. Au passage, nos mains s'étaient effleurées et j'avais senti ce frisson que l'on ne rencontre que dans les films romantiques. Nous nous embrassions à pleine bouche maintenant, sa langue valsait avec la mienne au même rythme intense que le mien. Je promenais ma main le long de tout son corps, je voulais la chauffer de désirs mais était il bien utile ? Elle même me caressait le torse, descendant sur mes jambes, perdant sa main entre mes cuisses, montant et descendant sur ma tige devenue raide d'envie. Le désir n'a aucune limite et aucune frontière, il se vit sans retenu. Je l'emmenais dans la chambre, mes doigts la conservant dans des états fiévreux qui la faisaient pousser des soupirs. Je sentais sous sa jupe les bas et porte jarretelles qui l'enveloppaient comme dans la photo qu'elle m'avait adressé. Sur le lit allongés, je l'a déshabillai petit à petit commençant par son chemisier. Je perdis ma langue un moment sur ses petits seins qui arboraient des tétons durs que ma bouche aspirait. En même temps, je glissais mes mains le long de ses jambes qu'elle écartait. Des soupirs de part et d'autres donnaient la cadence à nos chaudes pulsions. Elle m'avait enlevé ma chemise et s'amusait à goûter à mon torse viril. Couché sur elle, je me frottais afin qu'elle sente entre mes cuisses la gourmandise qui l'attendait. Mais avant, je voulais qu'elle apprécie ma chaleur, nos corps à corps dans la sensualité et dans la tendresse, prémices aux flammes du volcan qui était en moi. Quelle osmose parfaite nos ondulations mêlées à nos gémissements ! Que la vie est belle quand deux êtres s'abandonnent corps et âmes dans l'érotisme plus que parfait car sans contrainte, sans limite et sans durée !

J'enlevais délicatement sa culotte en dentelle noire transparente pour placer entre ses cuisses ma bouche gourmande et ma langue agile qui la léchait goulûment. A chaque va et vient, elle se tordait de délices accompagnant ses gestes de murmures savamment dosés. Je voulais devenir son Dieu de l'amour, elle me l'inspirait tant. Je me mettais en quatre pour écouter son corps, pour combler le moindre de ses désirs. Je prenais un plaisir immense en cherchant toutes les sources de son excitation. Entièrement trempée, je buvais sa source intime comme le meilleur des liquides que je pouvais trouver. Ma queue dans sa bouche, la mienne sur sa chatte mouillée, nous savourions ensemble le moment partagé dans une légère folie qui mettait nos corps en transe. En même temps que je suçais son clitoris, je glissais deux de mes doigts en elle. Ses jambes pliées, elle les dépliait et les repliait pour se cambrer comme une jument fougueuse. L'ambiance nous brûlait les tripes. C'est ce que nous voulions. Elle se mit à quatre pattes, me demandant avec force de la pénétrer sans pudeur et avec toute l'intensité qu'elle m'inspirait. Elle voulait sentir la force de mon désir pour elle. Alors, j'enfilai mon sexe raide dans son trou béant, allant et venant, lui doigtant l'anus en même temps. Elle semblait apprécier. Alors, j'alternais mes va et vient entre son sexe à la toison soyeuse et sa petite rondelle accueillante. Quand ma liqueur était prête à gicler, elle se retourna et ouvrit sa bouche pour le recueillir.

Je m'allongeai à ses côtés, prenant sa tête sur mon épaule. Nous bavardâmes de nos projets libertins, riions de tout et de rien. Quant à nos ébats futurs, ils vinrent de suite après nous être promis loyauté et confiance, tout étant permis et rien obligatoire. Elle avait allumée la caméra de son portable pour mettre en boîte tous nos moments de volupté.

La sonnerie de la porte de ma maison me sortit de mes songes. Mon ordinateur était allumé, je lisais les premiers mots : «  devant mon écran d'ordinateur, j'alignais des mots, des phrases » mais j'étais seul face à moi-même, cette histoire n'était pas vraie, je l'avais rêvée !

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