Elle s'appelait Angélique

[didierot13 21]

Je l’accueillais chez moi après de longs et savoureux échanges par sms. J’avais préparé un bon café chaud avec deux chocolats comme je lui avais promis. Comme je lui avais promis, elle bouleversait mes émotions, titillait mes envies, je la trouvais tellement charmante ! Elle ne voulait pas y croire mais son esprit, son cœur embellissait son corps qu’elle refusait énergiquement. Pourtant, de toutes les femmes, c’est avec elle que je voulais faire l’amour sans m’arrêter. Mais nous n’en étions pas à ce stade.
Elle goutait à son café et savourait ses chocolats pendant que je lui parlais en caressant sa main. J’aimais ce contact qui nous rapprochait. Ma main allait et venait de la pointe de ses doigts jusqu’à son bras pour finir sur ses épaules. Je lui massais le cou, elle avait l’air d’apprécier, cela la détendait. J’aimais lui faire plaisir. Je posai ma bouche sur son cou affriolant, l’invitant dans ma chambre pour la relaxer.
Je la déshabillai doucement pour ne pas perdre du regard une seule parcelle de sa peau. Elle m’avait averti de ses varices, de ses imperfections qui pour moi la rendaient davantage belle.
Je dégrafais son soutien gorge, en léchant la pointe de ses tétons, je lui descendais la culotte admirant sa toison touffue.
Je lui demandai de s’allonger tranquillement sur le ventre pour la masser. Ce qu’elle fît sans souci. Je goûtai aux plaisirs de son corps en l’embrassant de la tête aux pieds, promenant ma langue sur la moindre parcelle de son corps.
J’enduisis ensuite mes mains d’huiles essentielles. Je la caressai, la massai doucement, la baignant dans une détente complète. Je frôlai son entre jambe, titillant ses poils et son clitoris, continuant ma découverte sur ses jambes galbées…Hum ! Que c’était délicieux, à mon avis, le plaisir était partagé.
Je sentais un peu d’humidité entre ses cuisses écartées. Une fois le massage du dos effectué, je lui chuchotai de se retourner afin de la masser aussi de l’autre côté
Je commençai à l’embrasser sur le lobe de l’oreille, descendant peu à peu pour frôler ses lèvres, atteindre ses seins dont les tétons durcissaient, parcourant l’ensemble de son ventre pour lécher sa fente mouillée, continuer sur ses jambes. J’huilais à nouveau mes mains pour la masser totalement, parcourant son anatomie si attirante et découvrant ses points sensibles.
Le massage alors terminé, nous continuâmes à nous offrir plaisirs et sensualités que je ne raconterai pas. A vous, à elle d’imaginer ce qu’une femme et un homme complices font dans le cas où le désir rencontre l’envie pour se mélanger avec le plaisir de s’abandonner.