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Urban Angel

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C'était un de ces week-end où j'étais seul.
J'aimais bien ces moments, où je revivais un peu ma vie d'étudiant. Grasses matinées, glandouille gentille à la maison. Puis la nuit venue, sorties en solitaire.
J'avais repéré ce sound-system qui me semblait très prometteur. UK dub steppa, direct from London, dans la cave d'un bar sympa. Je devais avoir dans les 35 ans à l'époque. Je pouvais encore supporter les ambiances enfumées et pauvres en oxygène de ce genre d'événement.

Comment décrire cette fille ? Le choc qu'elle a provoqué en moi...
Je ne l'avais pas remarquée tout de suite. Elle était pourtant juste devant moi, en train de danser. Je dansais aussi, fermant les yeux, complètement pris dans le groove de la musique, et le coton de mon pétard.
Ce sont ses effluves qui m'ont tout d'abord alerté. Je n'avais jamais rien respiré de tel. C'était sucré, il y avait du poivre, de l'ylang ylang. Une touche musquée, de sueur féminine. De la fraîcheur et du piment mêlés. Il paraît que la mémoire olfactive est la plus précise à long terme. Je m'en souviens encore nettement dix ans après...comme j'ai été littéralement fauché par ce parfum inédit et incroyablement bon.
Alors j'ai ouvert les yeux...et j'ai vu la transposition physique de ces fragrances irréelles. J'ai senti à quel point ce que nous renvoient nos sens peut être en harmonie totale : ouïe, vue, odorat.
Elle devait avoir entre 25 et 30 ans, de taille moyenne, de fines dreads faites de ses cheveux de jais, une peau de cuivre. Un haut blanc, qui lui laissait les épaules nues, très échancré au niveau des bras, laissant deviner ses seins, de côté. Des seins ronds, fermes, pas très gros. Un pantalon style un peu hippie, écrin d'un cul à se damner, qui avait décidé de vivre sa propre vie en musique.
Sa peau brillait de mille gouttelettes de sueur. Elle était là, juste devant moi, et dansait sur les rythmes jamaïcains avec une grâce infinie, chaque mouvement m'envoyant des tourbillons de molécules subtiles que Dieu lui même avait ciselées spécialement pour moi...

Je ne pus que constater le mouvement de ma main, incroyablement lent. J'aurais eu mille fois le temps de l'interrompre, mais j'en étais totalement incapable. Et elle se posa doucement sur l'épaule de cet ange urbain, effleurant au passage quelques plumes de ses ailes. Ressentit la chaleur, la douceur, la moiteur délicieuses.
Elle ne sursauta pas, tourna lentement son visage vers moi, et voyant le sourire béat et un peu niais que j'arborais, éclata de rire.
Puis me fit face et le rire devint un sourire qui me fit chavirer. Il contenait des fleurs des champs, des fraises des bois, le soleil d'une fin d'après midi d'été.
Il n'était que campagne et nature, et pourtant en harmonie complète avec cette fille des villes. Mes yeux étaient plantés dans les siens. Elle approcha son verre de bière de mes lèvres. Je bus une gorgée sans la quitter des yeux. Puis elle approcha son visage de mon oreille, et je n'eus aucun mal à comprendre ses mots, malgré le boucan ambiant...

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Il manque un bout non... Et la suite ?

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Il manque un bout non... Et la suite ?

L'histoire est vraie. A l'exception de ma main qui ne bougea pas. Elle m'a quand même offert une bière (car elle en avait deux, happy hour oblige). Elle ne m'a rien dit à l'oreille. Pas besoin, je savais ses mots à l'avance. 

Donc  une suite serait forcément fantasmée...

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donc pas de suite réelle!

et bien vas-y pour ta suite à toi.:D

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Oui, pourquoi pas...

Mais tu sais, ce qu'elle m'a dit, c'est que les mortels sont rarement gagnants à fréquenter les déesses. J'ai vécu un instant suspendu à mi chemin entre le sol et le sommet du Mont Olympe. Et je ne veux pas en corrompre le souvenir. 

Alors si je suis vraiment inspiré un jour, peut être... ;)

 

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Oh, tu vas nous faire ça ?! ;) Tu nous appâtes, tu nous fait saliver et puis .... plus rien 8-0

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Ah oui en fait c'est plus l'histoire d'un râteau quoi ! 

Un beau râteau reamarque, j'en ai un paquet aussi en réserve :lol:

Ceci dit il est extrêmement bien raconté :good: 

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Ah oui en fait c'est plus l'histoire d'un râteau quoi ! 

Un beau râteau reamarque, j'en ai un paquet aussi en réserve :lol:

Ceci dit il est extrêmement bien raconté :good: 

Merci dédale  ! Pas vraiment un râteau parceque je n'ai rien tenté. Mais je me suis fait un film. Et j'ai longuement profité de sa danse sensuelle à 50 cm devant moi (elle me savait là) du musc délicieux de son parfum, du son, de mon pétard...

Un grand moment encore vivace 10 ans après... 

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Alors OK, je passe en mode j'aurai-bien-aimé-que ça-se-passe-comme-ça-mais-je-peux-toujours-fumer ;)

 

---

 

Elle m’avait sus-hurlé à l’oreille : « Danse avec moi ! », avait attrapé ma main, s’était retournée, collée à moi et l’avait posée sur son ventre. Le son avait viré dub, c’était idéal, bon gros groove, basse ronde et grasse à réveiller un mort. Le genre qui vient se coller direct à ton bassin et lui donne vie sans que tu n’aies rien demandé. Nos bassins se mirent donc à chalouper au même rythme. Ma main gauche, toujours plaquée sur le tissu blanc, se glissa sous le marcel, et du ventre éprouva la chaleur et la ferme douceur. De l’autre, je dégageai quelques dreads pour me ménager un espace dans son cou, y enfouis mon visage, et je partis pour un autre monde, dans lequel l’odorat, le toucher, l’ouïe et le goût avaient fusionné et déclenchaient une féeries sensuelle derrière mes yeux clos. Elle passa ses mains dans mes cheveux. J’en profitai pour longer son bras d’une caresse légère, de l’aisselle au poignet, dont même Patrick Swayze aurait été jaloux, tandis que mon autre main avait d’elle-même glissé vers le haut, sur une étendue plane de soie chaude et légèrement humide de sueur, à peine marquée par l’accident de côtes proéminant légèrement sous l’effet de la cambrure exagérée de mon ange de feu, et était venue se poser sur le galbe d’un sein qu’elle reconnut immédiatement comme LE sein parfait, théorique. L’idée du sein. Le concept du sein. Le sein platonicien, mais nullement platonique ! J’ouvris les yeux et me tordis un peu le cou pour profiter du spectacle de ma pauvre paluche sur cette épure.

On « dansa » un bon moment comme ça, en se caressant doucement. Je m’enhardissais parfois à glisser mes doigts sur son pubis, duveteux à souhaits, à descendre un peu le long de sa fente brûlante, glissante, sentant sous la pulpe de mes doigts le relief de sa perle. Elle, vérifiait régulièrement que je n’avais pas l’outrecuidance de ne pas l’honorer comme elle le méritait, mais semblait rassurée à chaque fois : j’avais la raideur et la déférence d’un garde de Buckingham à qui la Reine elle-même aurait adressé un signe.

Le son se mit à repartir sur des rythmes moins chaloupés, plus synthétiques, plus anglais. J’imprimai une légère rotation sur les épaules nues de ma belle inconnue, elle me fit face. On se regarda quelques instants en souriant, je pris ses joues dans mes paumes, et guidai son visage vers le mien. Nos lèvres s’entrouvrirent légèrement, et se posèrent les unes sur les autres avec la légèreté de plumes, restèrent ainsi un instant, puis s’ouvrirent un peu plus et nos langues vinrent se chercher, se trouvèrent et commencèrent à se caresser mutuellement, doucement. Et puis soudain, le même déclic, le même besoin impérieux, et le ballet devient furieux. Les bouches s’ouvrirent en grand, les lèvres se soudèrent, les langues furent prises d’une transe incontrôlable, les respirations s’accélérèrent. Nous nous aspirâmes. Nos corps se pressèrent l’un contre l’autre, et nos mains parcoururent nos dos, empoignèrent nos fesses, saisirent nos nuques. Nos bassins se collèrent l’un à l’autre, et je soulevai une de ses jambes, pour sentir encore mieux la pression de son sexe contre le mien.

Mais même au milieu d’une foule plutôt tolérante, plutôt concentrée sur le son et plutôt embrumée par diverses substances, notre étreinte commençait à ne vraiment pas passer inaperçue. Nous nous en rendîmes compte, innocemment, lors d’une pause respiration/sourire béat/contemplation incrédule. Beaucoup trop d’yeux posés sur nous. Beaucoup trop de choses à y lire, dont bien peu de bienveillantes.

J’attrapai mon ange par ses ailes, et nous suivîmes le panneau indicateur. Elle passa la première, s’assura que la voie était libre, et nous refermâmes la porte des toilettes sur nous, et sur des basses sourdes.

A suivre...

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Belle écriture! :good:

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Merci :)

 

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La suiiiiiiiiiite =)

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Oui. Dès que possible  ;)

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A peine la porte refermée sur nous, nous reprîmes là où nous nous étions arrêtés. Sa langue était douce et chaude, un peu sucrée. Je la léchais et l’aspirais goulûment, tandis que mes doigts caressaient sa nuque,  plongeaient dans les racines de ses cheveux, redescendaient le long de son dos, que mes mains malaxaient ses fesses, se posaient sur sa hanche, remontaient le long de son flanc, venaient soupeser un sein. Elle, pétrissait mon torse, saisissait un biceps, écrémait mon ventre, coulissait sur la bosse de mon désir, partait loin entre mes jambes.

Elle décolla ses lèvres des miennes, planta ses yeux dans les miens et me dit : « Mange-moi ! », et joignant le geste à la parole, plaqua ses mains contre le mur, écarta les jambes et tendit son cul dans ma direction, comme une junkie de L.A. qu’un cop s’apprêterait à fouiller - ce que je m’apprêtais à faire également ceci dit. Je donnai un petit coup de pied dans sa cheville afin qu’elle écartât un peu plus les jambes en chewing-gumant un « Don’t  you make a fucking move bitch ! You’re under arrest ! ». Elle me lança un sourire par-dessus son épaule et je tombai lourdement à genoux, comme une bigotte qui viendrait d’apercevoir la Vierge (ce qu’elle n’était pas, à coup sûr), me niquant à moitié les rotules au passage, baissai son pantalon autant que l’écartement des jambes me le permettait, découvrit un string de dentelle noire aussi charmant que minuscule, saisis ses fesses à pleines mains, crochetai du majeur la ficelle au passage, admirai un instant la petite étoile rose qui s’entrouvrait un peu, un peu plus bas le départ des lèvres, encore serrées l’une contre l’autre, comme pour se protéger, défendre un accès dont je devinais l’ouverture, mais déjà perlées d’éclats de lumière, et partant se refermer hors de ma vue, autour d’un clitoris que j’étais impatient de découvrir, puis se rouvrir en corolle en une rase et douce toison pubienne. Je m’enivrai de l’odeur du sexe de mon petit ange, à l’avenant du reste, sucré, épicé, un peu musqué. Puis je me mis à donner de petits coups de langues sur la petite rondelle, y insinuai la pointe de ma langue, en dégustai le goût légèrement amer,  descendis entre les lèvres aussi loin que la posture et la souplesse de mon cou me le permettaient. Et je fus comme pris de folie. Il me fallait ce cul et ce sexe entièrement, il fallait que je les mange, comme elle me l’avait demandé. Je léchais comme un forcené, aspirais les lèvres, me contorsionnais pour les atteindre par en-dessous, pour atteindre le petit bouton de chair, pénétrais son cul et son sexe de ma langue, de mes doigts et de mon nez, me shootais aux odeurs de sexe et de cul, de vanille musquée et de coriandre au miel, me shootais à la cyprine, aux gémissements et aux mouvements de bassin de mon amante, joue, avant-bras et poitrine écrasés contre le carrelage froid.

Je réalisai d’un seul coup avec effroi que je n’avais pas de capote, puis me rappelai avoir vu un distributeur à l’entrée des chiottes, et me mis à prier pour qu’il ne fût pas vide. Je me redressai, vins me coller dans son dos, une main effectuant des cercles sur le haut de son sexe, l’autre avant-bras relevant ses seins, ma bouche dans son cou et mon bassin essayant d’entrer dans le sien, et je lui susurrai : « T’as pas de capote ? Sinon j’ai vu un distributeur », puis « Bouge pas » après qu’elle m’ait répondu d’un signe de tête et d’un petit soupir.

Je sortis précautionneusement du toilette, la voie était libre, puis des toilettes elles-mêmes, croisai une fille qui y entrait et me jeta une regard interloqué et défoncé, fouillai mes poches à la recherche d’une pièce de 2€, en trouvai une juste à côté de mon sexe indécemment dur, introduisis, tournai, priai…et récupérai bien vite mon achat. La fille n’était pas aux lavabos, chouette. Je toquai à la porte. Elle était nue. Elle m’ouvrit et se jeta sur ma braguette, en défit les boutons, et alla chercher mon membre qui jaillit comme un beau diable, et qu’elle engloutit sans attendre avec gourmandise. Elle me suça de mille façons délicieuses, n’oubliant rien de mon anatomie. J’avais descendu mon pantalon et mon boxer afin qu’elle pût accéder plus facilement à quelque partie de l’engin qu’elle désirât. Elle savait alterner les caresses de ses lèvres et celles de ses langues (car elle me semblait bien en être pourvue de plus d’une tant les caresses prodiguées par elle(s) étaient d’une complexité et d’un raffinement incroyables). Elle savait aspirer, humecter, serrer quand il fallait serrer, effleurer quand il fallait effleurer, titiller le frein, la couronne et le méat jusqu’à me rendre fou, et juste au bon moment me libérer en engloutissant le membre en entier. Accroupie, elle gardait l’équilibre accrochée de la main et de la bouche à mon sexe, le plus heureux des sexes à cet instant, et de l’autre fouillait rageusement son intimité indécemment offerte à ma vue.

Puis, sans cesser de me sucer et de se masturber,  elle prit le préservatif dans ma main, ce qui me surprit un peu, car j’avais oublié sa présence à cet endroit, puis interrompit ses activités, l’ouvrit, le positionna au sommet de mon gland, l’y déroula un peu, puis referma ses lèvres sur mon sexe ainsi chapeauté et descendit lentement le long de ma verge, jusqu’à sa base. Puis elle remonta lentement, découvrant la colonne de chair, turgescente et  gainée de latex, déposa un petit bisou en me souriant droit dans les yeux, pas peu fière de son petit tour de passe-passe,  puis reprit sa position de délinquante californienne. Je m’approchai d’elle, précédé de quelques centimètres de mon membre que je maintenais d’une main ferme à l’horizontale, le serrant à la base pour y emprisonner un peu de sang afin qu’il gagnât un peu en volume, et posai mon gland plastifié à l’entrée de son sexe juvénile. Elle posa une main sur mon ventre pour m’arrêter et dit : « Non, encule-moi »

A suivre…

 

A suivre…

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Invité

Voila qui promet une suite des plus intéressante, j'attends avec impatience ^^

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Guest FBAddict

Je ne me fis pas prier !

Je ne regrettais pas de m’être attardé sur le petit orifice, de l’avoir consciencieusement humecté, assoupli de mes doigts et de ma langue. J’y ajoutai néanmoins encore un peu de salive et y introduisis deux doigts pour m’assurer que la chose se ferait sans douleur, puis remontai mon gland de quelques centimètres, le positionnai à l’entrée de l’antre de Sodome, attrapai une fesse dans chaque main et les écartai autant que possible pour mieux jouir du spectacle. Puis je poussai légèrement, juste un peu plus que la légère résistance, regardant l’anus s’ouvrir lentement, puis le gland disparaître d’un seul coup. Elle poussa un léger cri. Je restai immobile un instant, puis repris ma progression au sein de ses entrailles, jusqu’à ce que je sente mes couilles caressées par son sexe. Je l’attrapai alors par les hanches et entamai une danse du piston crescendo, comme une vieille loco quittant le quai, bielle et manivelle bien huilées coulissant de plus en plus vite, se gorgeant d’énergie cinétique, d’énergie érotique. Elle se tenait d’une main au mur poussant ses fesses contre moi lorsque j’arrivais au plus profond d’elle, et de l’autre fouillait son sexe. Je posai ma main sur la sienne et introduisis un doigt dans son vagin parmi les siens, saisis et malaxai ses seins à tour de rôle, dévorai son cou et mangeai ses oreilles, tout en la besognant frénétiquement. Mon sexe aux anges dans son étau de velours, mon nez tout entier envahi par les fragrances délicates et indécentes d’un paradis de sexe, ma langue encore étourdie de cyprine et goûtant maintenant le poivre de sa sueur sur son dos…

Nos corps et nos cris nous échappaient. On entendait des filles entrer et sortir, aller et venir, pouffer, nous lancer des vannes, mais on s’en foutait. J’allais et venais moi aussi, et il n’était pas né celui qui m’aurait délogé de là à cet instant précis.

Je l’avertis de l’imminence de mon orgasme, elle me répondit qu’elle était prête, alors je laissai la vague déferler sur moi, et m’abandonnai en elle, tandis qu’elle se cambrait un peu plus, que ses doigts avaient cessé leurs mouvements en elle et appuyaient maintenant fortement sur son clitoris, qu’elle poussait son bassin contre le mien pour mieux aspirer le sperme que je sentais littéralement parcourir ma verge en longues saccades, que nos cerveaux étaient simultanément inondés du même cocktail chimique divinement démoniaque, cause et remède de tous les maux sur cette putain de planète. On cria du même cri millénaire,  et on retomba pantins.

Je me retirai, fis le nœud de rigueur et envoyai la relique de ce moment unique directement dans la cuvette. Puis je pris son corps nu dans mes bras et le cajolai tendrement. On se caressa un moment comme cela, on se rhabilla et on sortit. Elle passa comme une reine devant deux filles en train de se remaquiller, je leur fis un clin d’œil dans le miroir .

Elle me prit par la main et on alla se poser au bar, pour boire un coup bienvenu, continuer à s'embrasser, à se caresser, apprendre à se connaître maintenant, discuter de tout, de rien.

Du sexe des anges.

                                     

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