Mon amoureux, sa cousine et moi.

[Submarine 76]

Je me suis toujours très bien entendue avec la cousine lesbienne de mon chéri. Elle est drôle, intelligente et on partage de nombreuses passions, comme le cinéma par exemple. Ce soir-là, chéri l’avait invité à venir dîner à la maison. C’était chose courante et nous passions toujours d’excellents moments, entre deux verres de vins.

Pourtant, les choses semblaient légèrement différentes, ce jour-là. Il y avait une tension palpable à la table, à chaque fois que mon copain m’effleurait, je sentais mon string se mouiller de plus en plus. Quant à sa cousine, la belle Judith, elle semblait prendre peu à peu conscience de la tournure des choses.

Au fond de moi, j’ai toujours su que je plaisais à Judith, et malgré moi, elle me plaisait un peu. Sa silhouette fine et longue, ses seins rebondis, ses yeux de biche, son sourire un peu lubrique. Je n’avais jamais rien tenté avec une fille, mais si ça avait dû être le cas, je pense que ça aurait été avec elle.

A la fin du repas, quand nous avons débarrassé la table, Romain est parti fumer une cigarette dehors, tandis que Judith m’aidait à mettre les assiettes dans le lave-vaisselle. J’avais l’étrange sensation qu’elle tentait d’entrer en contact physique avec moi à la moindre occasion. D’abord sa main qui effleure la mienne, puis son pied se frottant au mien et bientôt, sa hanche bousculant la mienne.

J’étais de plus en plus excitée sous ma robe, et elle dut le sentir, car très vite, je la sentis se presser dans mon dos, collant sa poitrine généreuse entre mes omoplates.

—Ca va ? me murmura-t-elle à l’oreille.

Comme toute réponse, je me contentai de frotter mon dos contre elle, jusqu’à sentir son souffle s’accélérer. Si je n’étais pas une habituée aux pratiques lesbiennes, elle, en revanche, était bien rôdée à l’exercice. Elle remonta sa main et s’empoigna de mon sein avec fermeté, titillant mon téton à travers le tissu de ma robe.

—Ca faisait un moment que j’en avais envie, continua-t-elle en posant ses lèvres dans le creux de mon cou.

Je me liquéfiais sur place. Sa main n’en pouvait plus de me faire suffoquer, et je sentais ma moiteur se répondre le long de la ficelle de mon string. Ses baisers taquins le long de mon cou achevèrent de me convaincre de me laisser tenter.

De son autre main conquérante, Judith fit remonter ma robe et elle vint passer un doigt le long de mon string. D’abord derrière, juste au-dessus de mes fesses, puis glissa jusqu’à devant, caressant mon pubis totalement glabre. Sans vraiment m’en rendre compte, je me cambrai contre sa main, et je la sentis sourire dans mon cou. Cela sembla être le signal d’alerte, car sans prévenir, elle glissa un doigt habile le long de ma fente et vint chatouiller mon clitoris gonflé de désir.

Je me sentis gémir.

—Chuuuut, murmura-t-elle. C’est bon, hein ? Profite.

Son doigt allait et venait sur mon clitoris, l’encerclant, le cajolant, le chatouillant. Je sentais le plaisir monter à chacun de ses mouvements.

Au moment où je me sentis défaillir, un bruit se fit entendre derrière nous, et Romain entra dans la cuisine. Nous avions toutes les deux tournées la tête dans sa direction, confuse et un peu honteuse de nous faire prendre sur le fait accompli. Romain nous regarda, et je vis une lueur s’allumer dans ses yeux. Il nous adressa un petit sourire en coin et s’approcha de nous de sa démarche féline.

—Vous vous amusez bien ?

—Oui, murmurai-je en souriant.

—Je peux participer ?

Sans attendre notre avis, Romain se glissa devant moi, si bien que je me retrouvée coincée entre la poitrine de Judith et l’érection naissante de Romain. Sa cousine n’avait pas retiré sa main de mon string, et Romain ne sembla pas s’en formaliser. Au contraire, il fit remonter ma robe jusqu’à la retirer entièrement, me laissant en sous-vêtements au milieu de la cuisine. Il ne tarda pas à me retirer mon soutien-gorge en dentelle rouge et à me laisser pantelante, moite et en string.

—Continue, dit-il à l’attention de sa cousine.

Cette dernière ne se le fit pas dire deux fois. Son doigt passa à nouveau la barrière de ma fente et s’enfonça doucement dans mon vagin humide. Romain, quant à lui, se frotta contre la main de sa cousine, tandis que ses mains venaient caresser mes fesses.

Le doigt de Judith en moi me rendait folle, et bientôt, sa seconde main glissa dans mon string pour venir s’occuper de mon clitoris. Romain me voyait de face et savait à quel point j’appréciais. Mais il me connaissait encore mieux que quiconque, et bientôt, je sentis son indexe glisser le long de mes fesses pour venir titiller mon anus.

J’adorai ça. J’aimais être comblée par tous les endroits possibles. Le doigt de Judith me faisait mouiller d’avantage et Romain se servit de ma cyprine pour humidifier mon anus et le pénétrer lentement.

Il n’en fallut pas plus pour me faire jouir. Je sentis mon jus glisser le long de mes cuisses et mon vagin se contracta autour du doigt de Judith qui continuait aussi de me malaxer le clitoris. Mes jambes ne me portèrent plus très longtemps et Romain du me porter pour que je ne m’effondre pas sur le sol.

—Allons dans la chambre, proposa-t-il.

Judith lui adressa un petit sourire charmant et tous deux m’entraînèrent dans notre chambre à coucher…

 

 

 

Voilà, alors qu'en avez-vous pensé? La suite peut-être?

 

[Invité]

Excité... La suite certainement oui ! J'en suis tout retourné....

[Submarine 76]

Je suis ravie que ça t'ai plu voici la suite:

 

Dans la chambre, Romain m’allongea sur le lit et retira rapidement mon string. J’étais à présent nue sous le regard lubrique de mon amant et de sa cousine. Joueuse, j’écartai doucement les cuisses pour leur offrir mon intimité. Judith se lécha doucement les lèvres, tandis que Roman commençait à se déshabiller.

—Déshabille toi, murmurai-je à l’attention de Judith.

Cette dernière ne se fit pas prier et fit lentement descendre son pantalon le long de ses cuisses, avant d’ôter son haut bustier. Elle ne portait aucun sous-vêtement et la vision de son corps complètement nu affola davantage mes sens. Romain s’était un peu mis à l’écart, comme pour me laisser profiter du spectacle. Il se caresser le sexe lentement, faisait durer le plaisir.

Judith s’avança et monta à son tour sur le lit. La voir s’avancer à la manière d’un félin m’excita encore plus et je me surpris à penser que je voulais lui rendre la pareille. Elle avait su me caresser et je voulais qu’elle en profite à son tour. J’étais intimidée, mais l’excitation désinhibait mes sens.

—Monte sur moi, lui dis-je en douceur.

Judith m’adressa un petit sourire amusé et s’exécuta. Elle grimpa sur moi, et à l’aide de mes mains je la fis remonter jusqu’à ma tête, où je positionnai sa vulve bien au-dessus de ma bouche. Judith sembla surprise mais heureuse. Elle posa ses deux mains sur la tête de lit pour se cramponner, et descendit doucement sur ma bouche.

Je sortis ma langue et commençai à la lécher doucement. Elle avait un goût de sel, un délicieux goût de sel. Ma langue partit à la découverte de sa vulve. D’abord ses grandes lèvres, puis son clitoris que je titillais avec délice. Et puis son vagin, que j’explorai autant que possible. C’était délicieux, et j’étais de plus en plus excitée.

Romain devait l’être aussi car je le sentis s’approcher et monter lui aussi sur le lit.

—Continue, m’ordonna-t-il.

Je m’exécutai, passant ma langue le long de la fente de Judith, allant parfois jusqu’à titiller l’entrée de son anus complètement glabre. J’avais déjà pratiqué l’annulingus sur Romain, qui avait un fession viril et légèrement poilu, mais c’était encore plus agréable de goûter aux joies de l’annulingus sans poil. 

Romain n’était pas en reste. Il se plaça juste derrière Judith, dans la position qu’elle, posant son sexe dur entre mes seins. Il se frotta contre moi, tandis que, sous mes yeux ébahis, il posait deux mains dominantes sur les seins de sa cousine. Il les malaxa, pinça les tétons, les malmena un peu, et il semblait que ça plaisait à Judith qui se secouait encore plus au-dessus de ma bouche.

J’avais l’impression de servir d’objet et pour une fois j’aimais terriblement ça. Mes seins frottaient la queue de Romain, ma langue s’activait sur la vulve de Judith, il ne me restait plus que mes mains. A mon tour je vins toucher les seins de Judith, ils me donnaient terriblement envie depuis de longues minutes. Je les découvris fermes et doux, si doux que j’eu immédiatement envie de les cajoler.

Bientôt, Romain s’empara de mes mains et les fit glisser sur ses fesses, me demandant, que dis-je, me suppliant de m’occuper un peu de lui. Tout en suçotant le clitoris de Judith, je glissais un doigt puis deux dans l’anus de Romain qui ne tarda pas à jouir entre mes seins.

Judith le suivit rapidement, et je sentis ma bouche se remplir davantage encore de sa cyprine goûteuse. Mes deux amants du soir se retirèrent et s’allongèrent sur le lit, de chaque côté de mon corps.

Judith semblait insatiable. Tout juste s’était-elle remise de son orgasme que déjà, elle me retourna sur le ventre et me fit m’installer en levrette… Je n’étais pas sûre de savoir à quoi m’attendre…

 

[Invité]

Bande de coquins.... C'est très bon tout ça.... La suite...

[Miel Manara 1,903]

Il en faut pas s'arrêter en si bon chemin (d'écriture) la suite ?

[NewPkoiPas 244]

Ah oui la suite !!

[goots 230]

Vite une suite!!!!

[piloteur 6]

Vite la suite!!!

[Rei Angex 1,031]

Vraiment torride ! J'attends la suite avec excitation.

[conerequin 6]

whaaaaa trop bon j'aimerais tellement être a la place de romain

[piewy 1,376]

Un vrai régal à lire

[citrovert 3,067]

et la suite alors?

[Submarine 76]

A quatre pattes sur le lit, les fesses et la vulve bien en évidence, je sentis le regard de Judith parcourir mon corps. Je ne la voyais pas, si bien que je fus surprise quand je la sentis m’assener une claque sur le cul. Ce n’était pas douloureux, juste ce qu’il fallait pour m’exciter davantage – si c’était possible.

A côté de moi, Romain se remettait de son orgasme et regardait sa cousine avec un sourire en coin. J’étais la seule à ne pas savoir ce qui m’attendait, et j’adorai ça. Soudain, Judith se pencha légèrement sur moi et vint donner un coup de langue à l’entrée de mon vagin, remontant toujours plus haut, autour de mon petit trou.

Sans m’en rendre compte, je contractai légèrement.

–Laisse toi faire, murmura Judith.

A ces mots, elle glissa un doigt dans ma fente et vint caresser mon clitoris en douceur. Celui-ci, gonflé de plaisir, se remettait tout juste de son précédent orgasme, mais ne demandait rien d’autre que de se faire cajoler. En même temps, Judith glissa un autre doigt dans mon vagin, chatouillant mon point G comme jamais personne ne l’avait fait auparavant, puis termina par apposer sa langue sur mon anus qu’elle suçotant langoureusement.

Toutes ces émotions me faisaient trembler, tant je me sentais défaillir sous le plaisir. Ses doigts experts cumulées à sa langue coquine n’en pouvaient plus de me faire couiner contre le coussin. A côté, Romain avait recommencé à se masturber en nous regardant toutes les deux.

–Viens, Romain, murmura Judith à son cousin, le spectacle est encore plus beau d’où je me trouve.

Romain se redressa et alla la rejoindre derrière moi. Sans crier gare, il enfonça son pénis dans mon vagin en un coup de rein. Curieuse, je tournai légèrement la tête et découvris un spectacle délicieux. Romain me prenait en levrette, tandis que Judith, qui s’était déplacée sur le côté, continuai de me titiller le clitoris avec ses doigts, et l’anus avec sa langue. J’entrevis aussi son autre main malaxer les bourses de Roman qui semblait prendre son pied comme jamais.

C’était la première fois que je participai à un plan à trois. Et jusqu’ici, j’aurai sans doute refuser que cela se fasse avec une autre femme. Pourtant, j’étais aussi excitée par Judith que par Romain, et je savais que les deux n’avaient d’yeux que pour moi. J’adorai ça.

Romain éjacula plus rapidement que prévu, si bien que je n’atteignis pas l’orgasme tant recherché. Légèrement déçue, je le laissai se retirer sous les yeux amusés de Judith qui avait parfaitement compris ma frustration. Elle ne me laissa pas toute seule bien longtemps.

–Mets-toi sur le dos, m’ordonna-t-elle d’une voix rendue rauque par le plaisir.

Je m’exécutai immédiatement. Elle s’installa sur moi, et vint doucement me mordiller les tétons. Elle était si habile que j’aurai sans doute pu jouir de cette seule manière, mais elle ne l’entendait pas ici.

–Tu as un sex-toy ?

–Dans le tiroir, murmurai-je en désignant ma table de chevet.

Elle ouvrit la commode et tomba sur un jouet vibrant et un simple god que je n’avais pas utilisé depuis des années. A ma grande surprise, c’est le god qu’elle choisit. Elle le porta à ses lèvres et le lécha si sensuellement que je regrettai qu’il ne s’agisse pas de mon clitoris. Et puis, doucement, elle le descendit jusqu’à mon vagin qu’elle pénétra en douceur.

Elle descendit à son tour, et se positionna à quatre pattes juste au-dessus de mon intimité qu’elle recommença à lécher.

Romain était de nouveau d’aplomb, et bientôt, il se glissa jusque derrière elle, et lui réserva le même sort qu’il m’avait fait subir quelques secondes plus tôt. Il la pénétra lentement, et la pilonna au même rythme qu’elle entrait et sortait le god en moi. Je n’avais absolument rien à faire si ce ne fut regarder mon copain prendre sa cousine, et Judith qui me titiller de plus en plus vite et de plus en plus fort.

Je grimpai de plus en plus jusqu’à atteindre le plus grand orgasme de ma vie, quand elle glissa deux doigts d’un coup dans mon petit trou. J’étais absolument comblée, et à quelques secondes près, nous atteignirent l’orgasme tous en même temps.

[Rei Angex 1,031]

Un très beau récit qui donne bien des envies

[citrovert 3,067]

ah oui comme tu dis qui donne envie.....

beau récit

[Body love 77]

Recit plus qu excitant, sensuelle, alors vite la suite.

[Evano 3,360]

Un magnifique récit très excitant, qui m'a bien réveillé...

[Miel Manara 1,903]

oh joli ! il est performant le Romain
en tous cas, ça réveille !!

[Invité]

très sympathique ce récit....

[Invité]

Super récit .. J'ai adoré du début a la fin... Ça avait vraiment l'air super excitant comme expérience

[jip 120]

Superbe ce jeux à trois!. Vous en avez profités!