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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Evano

Une nouvelle voisine

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Je rentre chez moi après une journée de boulot, les cinq étages sont toujours une torture en fin de journée. Arrivé au dernier étage, je remarque que la porte de l’autre appartement de mon palier est ouverte. J’entends de la musique et plusieurs voix à l’intérieur. Une silhouette se dessine dans l’embrasure de la porte et une jeune femme sort sur le palier.

  • "Heu... Bonjour, vous êtes mon voisin ?"

Un petit bout de femme brune environ un mètre soixante-cinq, les cheveux ondulés tombant sur ses épaules, de grands yeux noisettes, un très joli sourire qui me fait également sourire au moment de lui répondre. Un rapide coup d'oeil sur son corps me laisse juste apercevoir qu'elle semble sportive, assez fine et musclée pour une pratique hebdomadaire. Elle porte un short en jean et une chemisette bleu clair. Un poil trop maquillée, elle donne une impression de fille superficielle... vous savez la jeune parisienne qui se pense supérieure. 

  • "Oui, j'habite juste là" lui dis je en montrant ma porte
  • "Ah cool... On ferra surement pas mal de bruit demain avec les meubles, tous ça tous ça"
  • "Pas de soucis, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas"
  • "Ça marche, merci beaucoup"

On reste quelques secondes à se regarder sans trop savoir quoi se dire. Elle doit être aussi proche de la vingtaine que la trentaine comme moi, mais ça se voit qu'elle est plus proche du monde adulte que de l'adolescence. Elle finit par faire un pas en arrière puis à se retourner, retournant auprès de ses amis. Ca serait mentir de ne pas dire que j'en ai profité pour regarder son corps. Le mois de juillet est tellement agréable, surtout la vision d'un short mettant en valeur de jolies jambes musclées et un fessier. Je me tourne avant de me faire griller et retourne dans mon appartement. Je me dis que cela va être comme tous les voisins, au début, on espère faire connaissance, mais finalement chacun est pris dans le tourbillon de sa propre vie et ça finira par de simples bonjours et bonne journée en se croisant dans l'escalier. 

 


Le lendemain, en effet, ils font beaucoup de bruit et dès neuf heures du matin. De mauvaise humeur, je reste chez moi, ne proposant pas mon aide. En revenant chez moi en fin d'après-midi, après être sorti faire quelques courses, je croise ses amis s'apprêtant à monter le canapé. Je les devance et monte les cinq étages et tombe nez à nez avec ma voisine. À croire que ce n'est pas la même fille... Ses cheveux sont tirés en queue de cheval derrière sa tête, les contours de son visage sont bien dessinés, son maquillage bien plus léger que la veille. La chaleur et les efforts la rendent plus naturelle et je dirais même plus attirante. Quand j'arrive à notre étage, je remarque qu'elle porte un débardeur noir tout ce qu'il y a de plus basique, et un jogging noir également couvert de poussière, de peinture... Même comme ça, elle est attirante. Elle m'adresse un petit sourire en me voyant

  • "Bonjour..." me dit elle légèrement essoufflé.
  • "Bonjour, ça se passe bien ?"
  • "Oui, plus que le canapé et on aura fini avec les meubles, demain je m'occuperais de mes cartons toute seule, sans faire de bruit... Promis !"
  • "Je vous souhaite du courage alors"
  • "Merci" 

Je retourne dans mon appartement et vaque à mes occupations. Il est 21 heures et au moment de mettre mes chaussures pour rejoindre des amis pour boire un verre. Je sursaute en entendant ma sonnette de palier. J'ouvre la porte et reste sans voix. Ma voisine est toute rouge, osant à peine me regarder, ses mains tenant la serviette de bain dans laquelle elle est entourée cachant son corps, ses cheveux sont partiellement mouillés et sont rabattus sur une de ses épaules. 

  • "Vous allez trouver ça con, mais j'ai voulu prendre une douche, mais j'ai oublié d'allumer le chauffe-eau ce matin... Et du coup..."
  • "Vous n'avez que de l'eau froide..." 
  • "Oui... voilà et ça vous dérangerait si j'en prends une rapidement..." elle me regarde et voit que j'ai mis mes chaussures. "Oh, pardon... non bah c'est pas grave..."
  • "Non non entrez allez y, ce n'est pas grave ! Mes amis attendront !" 

Je lui ouvre la porte et la fais entrer chez moi. Je referme la porte, elle regarde attentivement mon appartement. Je le range toujours parfaitement avant de sortir, on ne sait jamais si on va rentrer seul ou accompagné donc au cas où... tout est nickel ! Je lui montre la salle de bain en passant par ma chambre. 

  • "Promis, je me dépêche." Me dit-elle toute gêné. 
  • "Encore une fois, pas de problème... j'attends dans le salon !"

Je sors de la salle de bain et m'installe sur le canapé en allumant la télé. J'entends le bruit de l'eau couler.

  • "Au fait, c'est quoi votre prénom ?"
  • "Evano et vous ?"
  • "Camille... Ça fait longtemps que vous êtes là ?"
  • "Deux années et vous ? vous étiez ou avant ?"
  • "Chez mes parents en banlieue, j'en ai eu marre alors j'ai pris un appartement"

Je suis dans le salon face à la porte qui donne sur ma chambre, la porte de la salle de bain est dans ma chambre à droite. J'ai fermé les volets de ma chambre qui est donc plongée dans le noir seulement je devine que la porte de la salle de bain s'ouvre lentement, surement à cause de la vapeur et de la chaleur de l'eau. 

  • "Vous travaillez dans quoi ?"
  • "Ressources Humaines et vous ?"
  • "Audiovisuelle... Je travaille sur des productions de cinéma"

Elle commence à me poser des questions sur ce que je fais, je lui réponds mécaniquement, car mon esprit est occupé à autre chose. Mon esprit tente vainement d'ordonnée à mon corps d'arrêter de se rapprocher de la salle de bain. J'entre dans l'obscurité de ma chambre et me colle au mur à côté de la porte de la salle de bain. Soit elle a totalement tiré le rideau de la baignoire, soit je pourrais la voir dans le reflet du miroir. Je retiens ma respiration, et penche la tête dans la lumière de la salle de bain... Elle n'a pas totalement tiré le rideau. Je la vois de face, la tête penchée en arrière, les mains dans ses cheveux, m'offrant une vue imprenable sur sa peau dorée, les marques de bronzage bien visible. Une poitrine magnifique, des seins  en forme de volcans, de larges aréoles d'un rose pâle et des tétons. Camille baisse ses bras, laissant retomber sa poitrine. Mes yeux descendent le long de son ventre plat sur lequel se dessinent quelques abdos, une fine bande noire indique le chemin à suivre pour accéder à la zone de tous les plaisirs. Camille se retourne et se penche pour fermer l'eau. Le signal est donné pour retourner dans le salon sans qu'elle ne se doute de rien. 
Camille finit par ressortir de la salle de bain, le visage rayonnant de nouveau

  • "Merci, vous ne pouvez pas imaginer comment ça fait du bien..."
  • "Oui, enfin un peu et puis ça m'a fait plaisir de pouvoir vous aider"

Camille reste quelques instants à me regarder avant de se diriger vers la sortie, je l'accompagne. 

  • "Passez une bonne soirée" me dit-elle sur le palier.
  • "On pourrait peut-être se tutoyer... Généralement même, je le fais avant qu'une fille se douche chez moi"
  • "Oui, c'est une bonne idée... Alors passe une bonne soirée Evano"

Je descends les escaliers en la regardant, nos sourires se répondant l'un l'autre, je sais pourquoi moi je souris... La vision de son corps nu... Mais elle, pourquoi souriait-elle ?

 

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Ben mon cochon !! Tu peux pas nous donner la suite non ??

Grrr je ronge mon frein ;)

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Je ne vais pas être très original ... Je voudrais bien une suite ... de suite S.T.P !!!!

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Je retrouve mes amis et passe une bonne soirée en leur compagnie dans un bar assez tranquille. Fini les sorties en boites ou dans des bars branchés de la capitale, maintenant c'est restaurant et un petit verre pour discuter entre adultes... Sacré coup de vieux quand même ! Je rentre chez moi seul et pars me coucher comme un tas dans mon lit impeccablement bien fait pour rien ! Le dimanche, on ne peut pas dire que je sois très productif, je reste à larver devant la télévision ou à jouer à des jeux vidéos en restant en pyjama ou plutôt torse nu avec un short assez large au vu de la chaleur. Au milieu de l'après-midi, j'entends frapper à la porte. Je vois à travers le judas qu'il s'agit de Camille, je décide de lui ouvrir torse nu alors qu'elle porte à nouveau un débardeur et un jogging recouvert de poussière.

  • "Bonjour, chère voisine." 

Je vois son regard se poser sur mon torse dénudé brièvement avant de retourner sur mon visage. Elle passe la main dans ses cheveux, caressant la queue de cheval posée sur son épaule.

  • "Heu... Salut, je ne te dérange pas ?"
  • "Non, je glandais. Tu as besoin d'aide pour défaire tes cartons ?"
  • "Non, ça ira. J'ai deux amies qui m'aident. Je voulais plutôt t'inviter à boire un verre chez moi ce soir pour te remercier pour hier soir"
  • "Pourquoi pas..."

J'ai du mal à ne pas sourire et surtout à ne pas me rappeler son corps nu sous la douche. Je me dis que je dois lui plaire pour qu'elle m'invite chez elle surtout pour boire un verre... On sait tous comment ça finit quand on prend un verre chez quelqu'un. Je me prépare donc m'habillant sans être trop habillé non plus. Je frappe à la porte, pour une fois fermé, de Camille. Je ne peux cacher ma surprise lorsqu'elle m'ouvre. Elle aussi s'est préparée pour ce soir. Elle s'est maquillée, faisant ressortir ses yeux noisettes et sa bouche avec un rouge à lèvres et elle a mis ses charmes en avant avec un haut décolleté, laissant voir la rondeur de ses seins et en bas une petite robe mi-cuisses.


On s'assoit sur son canapé, et on commence à faire connaissance en parlant de nos études, de nos métiers respectifs. On finit le premier verre de rosé en enchaînant sur un deuxième. C'est assez bizarre... On dirait un rencard, mais sans que cela en soit vraiment un, on se parle franchement sans hésiter à faire des blagues douteuses. Le feeling passe rapidement entre nous deux, on se lance dans des débats... Di Caprio mérite-t-il un oscar ou pas encore ? Y a-t-il plus de cintres ou d'arbres sur terre ? Qu'est-ce qui est le pire entre avoir un nez au niveau du trou du balle ou avoir une verge sur le front... Vous voyez le genre de conversation. Mais Camille finit par changer de conversation et ouvre les hostilités. Je finis par m’asseoir par terre en face d'elle, assisse sur le canapé, avec une vue sur ses cuisses croisées. 

  • "Je n’ai pas vu de photos dans ton appartement, tu es célibataire ?"
  • "Et donc pour toi, ça veut dire que je le suis ? Non parce que je peux aussi avoir une copine moche et donc je n'aurais aucune photo"
  • "Si tu trouves ta copine moche... pourquoi rester avec alors ?" Me sourit-elle
  • "Elle peut être très douée pour... pour... la cuisine ! On dit qu'un homme avec le ventre plein et un homme heureux"
  • "Bien sûr... la cuisine, moi je pense plutôt qu'un homme avec les couilles vides et un homme fidèle" Me dit elle avec un mélange d'aplomb et de gêne, ses joues déjà rouges par l'alcool le deviennent encore plus.
  • "Intéréssant ce proverbe, mais de toute façon, je suis célibataire..." Je lance un coup d'oeil autour de moi et je ne vois pas de photos "... Toi aussi ?"
  • "Pas vraiment, c'est compliqué" Camille boit une nouvelle gorgée de rosé 
  • "C'est compliqué genre tu vois un mec, mais c'est un con... ou c'est compliqué genre il est dans le coma ?"

Elle sourit en levant les yeux au ciel, cherchant ses mots

  • "Du genre, après cinq ans de couple, il m'annonce qu'il se prend une année sabbatique pour partir en Australie, seul..." 
  • "Ah oui..."
  • "Et qu'il m'a promis de ne pas me tromper et qu'on continuera quand il rentrera"
  • "Bah bien sûr, et la marmotte elle met le papier d'alu dans le chocolat... heu..."
  • "Donc je suis persuadé qu'il me trompe avec une connasse blonde et bronzée alors que moi ça fait trois mois que je suis incapable de draguer ou d'accepter qu'un mec me drague."
  • "Peut-être, mais tu es aussi bronzée quand même..."
  • "Certes, mais ça reste une connasse..." Elle s'arrête quelques secondes puis sourit à pleines dents. "Comment tu sais que je suis bronzée... ?"

Je m'arrête de boire, je me fige totalement avant de tenter de rester naturel

  • "Heu... Bah ça se voit..."
  • "Tu m'as donc bien vu sous la douche hier soir, je n'en étais pas sur..."
  • "Ah parce que tu m'as vu ?"
  • "Non... mais j'ai vu la porte s'ouvrir, j'ai hésité à aller la fermer, mais je n'ai rien fait... Ça m'a un peu excité de savoir que tu pouvais me voir et puis après vu le sourire que tu avais, je me suis douté de quelque chose."
  • "Toi aussi, tu souriais après..."
  • "Je reconnais que ça m'a excité d'imaginer que tu m'as vu toute nue"

Je bois une nouvelle gorgée de vin également. Nos regards ne se quittent plus, j'ai l'impression de jouer une partie d'échecs ou chacun doit déplacer ses pions pour faire avancer la partie.

  • "Si ça t'a plus de te montrer, on pourrait recommencer..." 

À ce moment, Camille décroise ses cuisses, les laissant légèrement ouverte, mais la lumière tamisée ne me permet pas de voir ce qu'il y a dessous. Je relève les yeux vers ceux de Camille qui me fixe en souriant.

  • "Il y a une différence entre être surprise, ne pas savoir si cela va se passer et me déshabiller au milieu de mon salon... Il n'y aurait aucun plaisir"
  • "Ça dépend, tu es très agréable à regarder"
  • Elle sourit gênée de ce compliment direct sur son physique.
  • "On a fini la bouteille... La soirée est terminée, cher voisin."

On se lève et on se dirige en direction de la porte. J'ai très envie de la plaquer contre le mur, de l'embrasser, mais elle fuit mon regard, je sais que ça serait déplacé. Je rentre donc chez moi en lui faisant simplement la bise, une main placée sur le creux de ses reins. 


La semaine passe sans que je ne croise ma voisine. Le vendredi soir, alors que j'arrive sur le palier de notre étage. La porte de Camille s'ouvre ou plutôt se déverrouille, reste à peine ouverte. J'attends quelques secondes pour voir si Camille va en sortir, mais rien ne se passe. Je m'approche de la porte et l'ouvre en passant la tête dedans. Personne dans le salon ou la cuisine, mon coeur accélère en voyant de la lumière provenir de la chambre. J'entre dans son appartement sans faire de bruit et referme la porte derrière moi. Je me déplace comme un astronaute, lentement avec des gestes exagérés. Je m'approche de la porte de la chambre, elle aussi entre ouverte. 


Même si je m'en doutais, je reste sans voix en voyant Camille allongée sur son lit, les yeux fermés, le visage tourné vers la porte, une main empoignant l'un de ses seins, l'autre bras bien plus loin sans que je puisse le voir. Mon champ de vision ne permet de voir jusqu'à sa poitrine... Je la regarde devinant le mouvement de ses doigts sur une zone précise de son corps. Elle a toujours les yeux fermés et commence à gémir avec douceur.

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Super récit comme toujours et hâte d en lire la suite 

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Un délice à lire

 

Mais la suite derait l'être encore plus

 

Ne tarde pas d'entrer dans la chambre

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Il est dingue ce mec ??? Il s'arrête là ?

Lâchez les chiens !!!!!!!!!!!!

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Faut oser de rentrer, mais ça doit être existant.

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On est tous impatient de savoir comment ca va evoluer...

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Je reste sans voix derrière la porte de la chambre de Camille. La lumière du soleil couchant sur son corps nu, ses doigts se resserrant sur sa poitrine dont le téton pointe entre deux doigts. Ses yeux restent fermés, je peux deviner un sourire se dessiner sur sa bouche ouverte. De discrets gémissements me font deviner son état d'excitation. Le mien ne tarde pas non plus à s'élever, me sentant de plus en plus à l'étroit dans mon pantalon. La jeune femme finit par ouvrir doucement les yeux, elle s’arrête net en me voyant derrière l'embrasure de la porte. Mon sang se fige même si je sais que c'est elle qui a ouvert sa porte. Puis elle se remet doucement à caresser sa poitrine en la bombant légèrement, je pousse doucement la porte pour l'ouvrir un peu plus. A ce moment, elle referme ses yeux et recommence à gémir. Je découvre sa main posée sur son pubis, apercevant ses doigts entre ses cuisses sans en voir plus, son corps se trémoussant délicatement. 


Je ne peux plus tenir, j'ouvre mon pantalon et glisse ma main sur ma verge déjà  bien gonflée. Je la libère et commence à me branler, là entre son salon et sa chambre. Je la vois ouvrir à nouveau les yeux en ma direction, sur mon sexe. Elle referme les yeux en se mordant la lèvre, se doigtant de plus belle, passant sa main à plat sur chacun de ses seins. Mon membre s'est totalement endurci, ma main le parcourant avec vigueur. J'ai envie de toucher son corps, de le parcourir et de la sentir bouger ainsi sur mon sexe, mais je sais que pour l'instant, la limite est le toucher... Je me branle de plus en plus vite, mes muscles se raidissent, je tente de contrôler ma respiration, mais je sais que je vais jouir devant elle. Ses gémissements s'intensifient, son visage se tend, ses sourcils se froncent, elle est tellement belle ! Je range soudainement mon sexe dans mon caleçon, j'attrape le cadre de la porte sur le mur, je le serre et je ferme les yeux au moment de mon orgasme. Je pense qu'elle n'a pas loupé une seule miette des contractions de mon sexe moulé dans mon caleçon, car en ouvrant les yeux, je vois qu'elle me regarde en souriant, son regard pétillant. 
Le temps me parait suspendu.


La sensation de mon sperme dans mon caleçon me fait revenir à la réalité. Camille se déplace au bord de son lit, toujours de profil à moi. Elle saisit un peignoir posé sur sa chaise de bureau. Je referme mon pantalon alors qu'elle se lève pour enfiler le peignoir, j'ai juste le temps d'apercevoir la fine bande de poil surmontant son sexe. Elle ne cache pas son sourire.

  • "Bonsoir" - me dit-il la voix tremblante
  • "Bonsoir" - dis je en étant totalement essoufflé

Nous sommes à quelques centimètres l'un de l'autre.

  • "Je suis contente que ça t'ait plu..." 
  • "Qui te dit que ça m'a plu ?" 
  • "Ce n'est pas le cas... ?" - me dit elle avec appréhension
  • "Si, évidemment... Tu es magnifique ! Mais frustré de ne pas avoir été plus loin..."
  • "Ça viendra, laisse-moi un peu de temps."

Je meurs d'envie de l'embrasser, mais je me retiens.

  • "Tu rentres souvent à cette heure-ci ?"
  • "Oui... tous les jours, quasiment à cette heure-ci."
  • "Très bien, pense à regarder ma porte quand tu rentres alors..."

Son regard est un feu dans lequel on a envie de se bruler. Je finis par ressortir, traverser le palier et retourner chez moi. Direction la douche directement ! Les jours passent et je ne peux me retenir de lancer un regard sur la porte de ma voisine, mais elle reste fermée tout le week-end. Parfois je l'entends s'ouvrir, mais j'entends ses pas dans l'escalier. Ce n'est que le mercredi suivant que la porte de Camille s'ouvre au moment où j'arrive sur notre palier. J'attends quelques secondes voyant si c'est le bon signal... Personne ne sort, j'approche lentement, m'imaginant Camille se mettre sur son lit et commencer avant que j'arrive. Je n’entre dans son appartement, comme la semaine dernière, aucun bruit, aucun mouvement. Je referme la porte m'assurant qu'elle l'entende quand même. Puis m'approche de la porte de la chambre, plus ouverte que vendredi dernier. Camille est dans la même position, je ne perds pas une seconde pour ouvrir mon pantalon et faire glisser ma main sur mon membre, tout en l'observant. Elle ouvre plus régulièrement les yeux, son corps se libère plus, cambrant son bassin. Elle n'est pas allée jusqu'au bout la dernière fois, je devine qu'elle veut me montrer son orgasme cette fois. Je perds toute notion du temps et finit par sentir ma jouissance monter, je range à nouveau mon sexe et jouis une nouvelle fois dans mon caleçon. Je la vois me regarder en souriant.

Deux jours plus tard, à nouveau la porte qui s'ouvre comme une invitation. Cette fois, Camille est positionnée différemment... Pour mon plus grand plaisir, ses cuisses sont écartées de part et d'autre d'un oreiller, ses petites fesses rondes bien ouvertes, son dos allongé vers un amas de coussin et d'oreiller dans lequel sa tête est plongée. Mon regard retourne sur ses fesses, je peux voir le détail de son sexe, ses grandes lèvres épaisses et charnues, des petites lèvres fines cachant l'ouverture de son antre. Je vois le bout de ses doigts se glisser sous son corps, venir caresser le bas de sa fente, à la recherche de son bouton. Bien à plat dessus, je la vois se caresser avec énergie, bougeant son cul de bas en haut, le frottant sur le coussin. Les muscles de ses cuisses et de ses fesses se contractent. Sans m'en rendre compte, je me branle déjà, gémissant en écho avec elle. Camille lance un coup d'oeil par-dessus son épaule, s'assurant que je la regarde avec envie avant de gémir et de replonger sa tête dans les oreillers. Elle m'hypnotise littéralement, les mouvements de son fessier, la vue de son sexe humide ouvert devant moi, ses doigts s'agitant frénétiquement. Je ne contrôle plus mon corps et c'est au moment de jouir que je me rends compte que je suis au pied du lit... Mais avant que je ne jouisse, j'admire l'orgasme de Camille. Son corps est parcouru de spasmes, de tremblements, sa respiration s'est bloquée... Je ne tarde pas à exploser, me lâchant sur son corps devant moi... 

 

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:good: Je t'encourage a continuer  Evano, vu qu'il y a de moins en moins d'auteurs en ce moment et aussi de moins en moins de lecteurs par conséquence !

Pourtant il y avait de bonnes plumes ici il n'y a pas si longtemps...

Les histoires érotiques, confessions,  étaient les poumons de ce forum !

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excellente histoire!

Je trouve malgré tout dommage de finir dans son caleçon autant de fois!

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Belle façon de nous narrer cette aventure palpitante !!

Un seul mot de plus:

Encore !!

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excellente histoire!

Je trouve malgré tout dommage de finir dans son caleçon autant de fois!

:lal: j'y ai pensé aussi :bbl:

j'espère que tu nous concocte une suite ;-) 

 

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Le matelas contre les tibias, je suis au plus près du lit. Ma main sur l'arme du délit, encore tremblante. Les fesses blanches de Camille tendues sous ma verge, recouvertes de quelques giclées de mon sperme. Ma voisine se redresse, sortant sa tête qu'elle avait enfouie dans ses oreillers au moment de son orgasme. Une de ses mains se pose sur ses fesses comme pour vérifier que j'ai bien fait ce qu'elle pense...

  • "Je suis désolé, j'ai été pris dans le moment..."

Camille se redresse face à moi, mes yeux ne résistent pas à l'envie de regarder sa magnifique poitrine, ses tetons pointent au milieu de ses cercles rose pâle, ses seins retombent magnifiquement, ni trop gros, ni trop petits, laissant un espace entre eux sans partir aux extrêmes... Je relève les yeux vers les siens, alors qu'elle aussi en profiter pour mieux me regarder.

  • "Ce n’est pas désagréable et puis c'est mieux que de finir dans ton caleçon, non ?"

Je réponds à son sourire.

  • "Ça ne te gêne pas ?"
  • "Non, j'vais juste aller prendre une douche avant de me rhabiller..."

Mon sexe ayant perdu toute sa vigueur, rentre dans sa prison de soie. Je laisse échapper un petit sourire en voyant un tel corps juste sous mes yeux.

  • "A très bientôt" Me dit elle en souriant, apparemment satisfaite de l'état dans lequel elle me met.

Tout le lendemain, je ne pense qu'à une chose, qu'à cette porte qui s'ouvrira à son arrivée. Je l'imagine cachée derrière sa porte à regarder par le judas, entièrement nue et déjà excitée par son exhibition à venir. Et je ne suis pas décu en arrivant, le déclic du verrou qui s'ouvre et juste un petit mouvement qui me montre que la porte n'est plus qu'à pousser. Je la retrouve dans la même position que la veille. Dos à l'entrée, assise sur un coussin, les cuisses ouvertes et le cul bombé, bougeant son bassin d'avant en arrière sur ses doigts placés sur son clitoris et ses lèvres. J'ouvre sans perdre une seconde mon pantalon et commence à me branler. Mon sexe se raidit rapidement, je peux voir de temps en temps le regard de Camille se poser dessus par-dessus son épaule. Chacun augmente le volume de ses gémissements en réponse à l'autre. Le jeu a changé, elle ne cherche plus à se faire regarder, elle se montre et moi je ne cherche plus à me cacher... 


Mes doigts serrent ma verge et vont de plus en plus vite. Voir Camille sous cet angle est une chose magnifique, les muscles de son dos se dessinant, ses hanches marquées, ses fesses bombées et ouvertes, cette fente du plaisir que ces doigts parcourent, ces deux doigts qui se glissent rapidement en elle, son anus sur lequel je vais jouir... J'ai envie de la pénétrer, de la faire crier , rien qu’y penser me fait jouir... Mes gémissements s'arrêtent, ma respiration se bloque, mes muscles se raidissent et je finis par exploser dans un râle de plaisir. Mon sperme giclant sur son cul. Elle se contorsionne pour bien voir ma jouissance. Je reprends calmement ma respiration, caressant mon sexe avec douceur. Camille n'a pas encore joui, elle a repris de plus belle ses caresses. Je me recule pour mieux voir, mais elle me devance en comprenant ma volonté.

 

Elle se retourne, les jambes grandes ouvertes, les pieds posés au bord du lit, le buste relevé en appuie avec une main. Elle m'offre la vue la plus directe sur son intimité, sa fente humide, ses lèvres gonflées, je peux voir l'entrée de sa chatte en bas de sa fente... Très vite, ses doigts reprennent le contrôle de la zone, caressant son clito, passant sur ses lèvres, s'enfonçant en elle. Je me remets à me branler. Je peux deviner son sourire malgré sa bouche grande ouverte, elle se doigte de plus en plus vite. Je me rends compte que si je jouis maintenant... Cela tombera sur sa poitrine qui ne cesse de frétiller au rythme de ses mouvements. Ma queue est redevenue droite, je sens que je vais jouir rapidement. Nos regards se croisent, ses sourcils sont froncés, son visage déformé par le plaisir, sa bouche grande ouverte prenant de grandes respirations. Camille s'allonge entièrement, soulevant son bassin, les cuisses tremblantes, ses gémissements devenant un long cri étouffé. Je jouis dans la seconde qui suit, ne contrôlant pas la direction ni la puissance, mon sperme recouvert le ventre de ma partenaire qui est encore au septième ciel.

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Pfiou c'est chaud là. ..

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c'est excellent et j'en redemande encore!

et tu l'étudie en profondeur quand?

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La torture !!!! Il fait exprès de nous faire languir ou quoi ??

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