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Caius et amici sui

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Monsieur et Madame, je les ai connus sur un site de cul. Forum intime que ça s'appelle. On y trouve toutes sortes de personnes bien sympathiques, qui sont là pour écrire, pour s'exhiber, pour rigoler, pour mater, pour fantasmer... chacun a ses propres envies, ses propres motivations. Mais une chose les rassemble : le cul !


 Monsieur et Madame (que j'appellerai dorénavant M&M's par fainéantise), sont inscrits sur ce site en tant que couple. J'ai fini par sympathiser avec eux. On s'est pas mal écrit, des échanges chauds, alimentant mutuellement nos fantasmes, par des mots, des photos, des récits de baise ou de masturbation sur ces mots et ces photos.


Et au détour d'un déplacement professionnel, d'une gentille invitation,  me voilà maintenant confortablement calé sur ce fauteuil, un verre de champ à la main. Jambes croisées. Nu. En face de moi, le lit de M&M's. Ils y sont allongés, on discute tous les trois, on déconne un peu, histoire de détendre l'atmosphère, Madame en jolie nuisette noire, une jambe entre celles de Monsieur, une main dans sa chemise ouverte, lui caressant négligemment le torse. De là où je suis, j'ai une vue imprenable sur son intimité. Je note aussi le sexe de Monsieur qui se dessine peu à peu dans son jean.


Madame : la quarantaine, sportive accomplie, sculpturale. Une jolie paire de seins (naturels), pas trop gros, visiblement bien fermes, de larges aréoles, des tétons déjà bien durs. Peau couleur miel, cheveux de jais. Un joli petit cul bien rebondi, tout rond, avec deux fossettes. Une chatte complètement épilée.
 

Monsieur : même âge, peu ou prou. Visiblement adepte des salles de fitness lui aussi. Epaules larges, muscles bien dessinés sans êtres trop imposants, taille fine. Un beau sexe, assez long en érection, relativement épais, joliment courbé. Je n'ai pas eu le plaisir de le voir réellement encore, mais en photo oui, sous toutes les coutures et en pleine action.

- Bon Caius, on va peut-être passer aux choses sérieuses ? 
- Pas de souci pour moi. Je vais juste vérifier le cadrage de la caméra de droite. 

Je me dirige vers ladite caméra. En passant à côté du lit, Madame pose de sa main une délicieuse caresse sur mon sexe à moitié gonflé. L'oeil dans le viseur, je prends mon temps pour faire le point et recadrer, profitant de ces doigts qui jouent avec mes couilles et ma queue qui se dresse peu à peu. Madame, gourmande, me suce un peu le gland.

- Quand vous voulez les jeunes ! Caméras fixes en place.


Madame me libère. J'attrape ma steadycam, pars à l'autre bout de la chambre, et filme à ras du sol en me dirigeant vers le lit. Je remonte le long de la couette qui coule du lit vers la moquette, continue le long d'une jambe de Madame, cheville, mollet, arrière de la cuisse,  survole sa petite chatte rosée, suis la raie de ses fesses, parcours son dos nuiseté, slalomant entre de magnifiques petits grains de beauté qui transparaissent sous la dentelle. J'arrive à la nuque, bifurque sur l'épaule, redescends le long du bras, et arrive à la main au moment où elle sort du pantalon de Monsieur un chibre turgescent, veines apparentes et goutelette séminale sur le sommet du gland. Dans le cadre, cette bite et la main qui le branle doucement. Dézoomage pour accueillir dans le champ cette bouche qui fond sur le fier membre. Langue qui lèche la petite goutte. 


Hmmm, délicieusement salé...

Je pose la steady sur la table de chevet, m'assurant du cadrage dans le moniteur. Et j'avale ce membre qui m'est offert. C'est la première fois que je suce. Je le fais donc comme j'aime qu'on me le fasse, jouant de ma langue sur le gland, léchant la queue sur toute sa longueur, léchant les doigts de Madame au passage, qui continue sa branlette régulière. Je lèche les couilles de Monsieur avec gourmandise. Elles sont complètement lisses, dures. 


Qui part à la chasse perd sa place ! Madame a englouti à son tour le sexe de son homme. Elle l'avale goulûment, et lorsque ses lèvres arrivent à la base, elles rencontrent les miennes qui s'occupent des deux boules de Monsieur, qui gémit de plaisir, et lèche consciencieusement le minou de Madame, qui s'était judicieusement positionnée, et qui gémit aussi, de petits bruits étouffés par la présence de l'engin, et qui de sa main libre caresse mes cheveux. Puis Madame remonte lentement pour libérer le sexe, qui ressort de ce  traitement (gorge profonde + aspiration de couilles) deux fois plus long qu'il n'y était entré, semble t-il. Je remonte moi aussi, suivant de mes lèvres celle de ma complice. Nous arrivons de part et d'autre du gland, et nous embrassons fougueusement, faisant glisser notre baiser le long de cette hampe ravie.

Sous l'effet des bisous de Monsieur sur le minou de Madame, des bisous de Madame sur le zob de Monsieur, et sur ma langue à moi,   Madame mouille en veux-tu en voilà ! je m'en aperçois en jetant un regard, agrémenté d'un clin d'oeil, à Monsieur qui reprend son souffle un instant, et dont le visage luit de cyprine. Il me rend mon clin d'oeil, et retourne illico bouffer la chatte et le cul de sa douce compagne.

La soirée promet d'être passionnante...

Je suis Caius Erectus !
     

 

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Invité

La suite risque d être tout aussi passionnante..

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Guest FBAddict

Je laisse M&M's à leur joli 69, retourne à mon fauteuil et m'allume un des joints que j'avais préparés pour l'occasion. Mes hôtes ne partagent pas cette pratique. Dommage, ça va si bien avec le sexe... j'aspire donc de longue bouffées en observant religieusement les lèvres qui vont et viennent le long de ce sexe beau dressé et trempé de salive, le bassin de Madame qui ondule de plaisir sous les coups de langue savants. L'effet conjugué des plantes et du spectacle qui m'est offert me plonge dans un état d'excitation particulièrement prononcé. Le regard de Madame passe sans cesse de mes yeux à mon sexe bandé à l'extrême, et sa façon de sucer son compagnon est de plus en plus sensuelle, sophistiquée, gourmande.


Je reprends ma paluche en main et entame un petit tour du propriétaire : gros plan sur la bouche qui s'ouvre pour engloutir le gland, la langue qui lape le frein, puis les lèvres qui glissent jusqu'à la garde, restent ainsi quelques instants, puis remontent doucement, laissant un filet de sailve. Sur cette main qui malaxe les bourses. Je multiplie les cadrages audacieux, les angles de vue improbables. Passe derrière et observe de mon oeil électronique la langue de Monsieur qui s'appliquent à nettoyer conscienceusement petites et grandes lèvres,  ses lèvres qui aspirent le joli bouton tendu. J'en profite pour goûter au passage la jolie rosette qui me fait face. C'est exquis... j'y introduis un tout petit doigt, en guise d'éclaireur. Madame laisse son ouvrage un instant, me lance un regard malicieux par dessus son épaule :

 
- Caius, tu ne vas pas passer la soirée à filmer. Tu es acteur aussi, n'oublie pas ! Viens donc me faire goûter ta queue... 

- Avec joie !!


Je pose donc à nouveau la caméra, et viens poser mon séant entre les jambes de Monsieur. Nous voilà donc boules contre boules, sexe contre sexe.

Bourses contre vits.

C'est marrant, ils se ressemblent beaucoup. Leur taille est quasiment la même. Leur courbure identique fait que nos glands sont un peu écartés l'un de l'autre. Qu'à cela ne tienne : Madame saisit dans une main nos deux verges, juste en dessous des glands, rapprochant ainsi les deux bouts l'un de l'autre, et les enfourne dans sa bouche. Nous voilà donc tous les deux sucés et branlés d'un même élan. J'observe ce spectacle inédit avec incrédulité et une excitation terrible. Le contact des lèvres de Madame, de la queue de Monsieur contre la mienne... c'est divin. Madame nous suce à tour de rôle, puis ensemble, joue de sa main avec nos quatre couilles, les malaxe dans un même mouvement...


Je sens le plaisir monter, je dois me contrôler, la partie ne fait que commencer... Je rallume le bédot qui s'était éteint, tire une longue bouffée, passe de la position coudes à la position dos. Mon regard vient se poser sur le plafond. Mince, le miroir ! Je l'avais oublié...ce n'est pas pas ce que j'y vois qui va me faire redescendre... Je tourne la tête de côté et entreprends de compter les anneaux qui tiennent le rideau sur la tringle. Ah voilà, ça va mieux, je reprends le contrôle. Ca marche toujours ce truc ! Je peux profiter de cette toute première double pipe, qui est vraiment exquise, en finissant mon pétard, et en me promettant de bientôt m'occuper de celui de Madame.


Je suis Caius Anus !

 

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Invité

Quel dommage que ce Caius n'ait point eu l'Envie de terminer ce texte particulièrement excitant. Caius affiche une nonchalance qui le rend assez intrigant.

Je remonte ces lignes...et j'en profite pour embrasser cette courbe mon bel addict.

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