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AsMoth

Anaïs, la fille de mon ami d'enfance...

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Ce fut en allant boire le café un dimanche après-midi chez Philippe, mon ami d'enfance, que j'eus le plaisir de revoir sa fille Anaïs que je n'avais pas vue depuis belle lurette.

La jeune femme avait drôlement grandi du haut de ses vingt-deux ans, et n'avait plus rien d'une gamine. Elle devait faire pas moins d'un mètre soixante-quinze, avec de longs cheveux châtains, et surtout un corps d'une plastique superbe, pour ne pas dire parfaite. Revoir celle qui avait presque sauté sur mes genoux étant enfant me fila un sacré coup de vieux du haut de mes quarante-cinq ans. Divorcé depuis deux ans déjà, je ne sus dire si ce fut la beauté de cette jeune femme qui m'intimida ou non, mais mon regard se plaça immédiatement sur les courbes généreuses de son corps. Anaïs avait en effet une magnifique paire de seins et un cul à faire bander un moine. Bref, elle était de passage chez ses parents au moment où nous parlions du stress généré au boulot. Ce fut ainsi que sa mère, Catherine, me proposa de prendre rendez-vous auprès de sa fille pour un massage relaxant. J'appris à ma grande surprise qu'Anaïs tenait une enseigne à quelques kilomètres de là et qu'elle était spécialisée dans le massage. Quelle chance ! Anaïs n'avait en revanche pas changé sur une chose : sa timidité. Elle parlait peu mais sa douceur naturelle était tout bonnement charmeuse. Ce fut ainsi que je me retrouvai à son salon le samedi suivant. Un salon financé en grande partie par son papa adoré qui l'avait ainsi aidée à démarrer sa vie professionnelle.

 

Anaïs m'accueillit avec un sourire aux lèvres. J'étais le premier client de ce début d'après-midi. Elle m'invita à prendre place dans la salle de massage, faite de boiseries exotiques, de linge blanc et de lumière tamisée.

 

Je fus un peu surpris, pour ne pas dire déstabilisé, lorsque la fille de mon ami d'enfance m'indiqua qu'il fallait que je me mette complètement nu et que je m'allonge ensuite sur la table à plat ventre en mettant simplement une serviette autour de la taille.

 

Me retrouvant ainsi seul dans la pièce, je me déshabillai avec une drôle d'excitation naissante à mon entrejambes. L'idée de me retrouver nu sous une serviette éponge en présence d'une femme fit naître en moi un début d'érection, alors que je sentais mes boules tanguer, lourdes de sperme. Le célibat n'était en effet pas facile à gérer de ce côté là, malgré les conquêtes d'un soir ou deux depuis mon divorce. Je me demandais alors comment allait se passer ce massage si je me retrouvais ainsi nu, qui plus était le sexe à moitié gonflé d'excitation. Je finis par m'installer selon les consignes de la petite en prenant soin de poser une serviette éponge sur mes fesses, histoire de cacher un minimum mon intimité. En réalité, la serviette éponge était si large que même mes cuisses étaient également recouvertes. Cela me rassura. Je me voyais mal en effet présenter mon sexe en érection devant celle que j'avais vue enfant.

La belle Anaïs ne tarda pas à arriver au bout de quelques minutes. Elle lança une musique douce et zen qui me détendit de suite. Anaïs était habillée tout en blanc : un body blanc très moulant qui mettait on ne put plus en valeur sa sacrée paire de seins, et une sorte de legging, blanc lui aussi, qui mettait en valeur les formes parfaites de son corps. Cela me fit alors tout drôle de me retrouver complètement à poil sous cette serviette en présence de la fille de mon ami, qui certes, n'avait plus rien de la petite fille que j'avais connu jadis. Ses mains douces se mirent à pétrir mes trapèzes, puis à glisser sur mon dos et à le masser. Dès les premiers instants, je me sentis bien. La tension que je portais en moi commençait déjà à s'évanouir. L'odeur des huiles de massage associées à cette musique enivrante me faisaient le plus grand bien. Cela m'émouvait presque de sentir les mains douces et avenantes d'une femme sur mon corps. Cela faisait si longtemps que je n'avais pas reçu de gestes délicats de la part d'une femme... Anaïs s'attaqua ensuite à mes chevilles, puis à mes mollets qu'elle se mit à masser en douceur. Le passage de ses mains s'apparentait plus à des caresses qu'à des pressions exerces avec force et douleur. La sensation de ses mains si douces me fit quelquechose, comme si je ressentais toute la douceur de cette femme d'un naturel très discret pénétrer en moi jusque dans mon coeur ; Dieu qu'elle me chouchoutait. Tant de douceur dans un monde si violent, cela me déphasait complètement. Je sentis qu'Anaïs devait être assise entre mes pieds. Ses mains se mirent lentement mais sûrement à remonter, passant la pliure de mes genoux et commençant à glisser sur mes cuisses. Me sentir nu en présence de cette femme délicate au corps de rêve associé à la sensation de ses mains remontant mes jambes écartées ne tarda pas à provoquer en moi une érection si fugace que puissante. Les alarmes de mon esprit de mirent dès lors à clignoter, tant je ne pouvais afficher un état d'excitation devant cette jeune femme, fille de mon meilleur ami. Une érection dont j'avais honte, tant j'avais peur qu'Anaïs la découvre, mais qui ne cessait de croître, encore et encore, à la sensation de ses mains douces et chaudes qui glissaient le long de mes cuisses, de plus en plus haut. J'avais la serviette éponge sur moi, mais les mains remontant le long de mes cuisses la retroussait de plus en plus. Je me retrouvais à bander comme un malheureux, quelque part malgré moi, pris au piège de mes pulsions, avec un massage qui se déroulait selon la volonté de la belle Anaïs. La rencontre des deux semblant devenir inévitable. Je sentais mon membre ne cesser de durcir et gonfler, s'allongeant dans la direction de la fille de mon meilleur ami. Et pour comble, je sentis les mains de la belle remonter jusqu'à la naissance de mes fesses en se faufilant sous la serviette. Mon coeur battait à la chamade, tant sous l'effet de la panique que sous l'effet d'une excitation profonde et incontrôlable. Je me disais qu'au pire, cela faisait sans doute partie du métier d'Anaïs que de voir des pénis d'homme, parfois en érection, du fait de la nudité parfaite du sujet sous sa serviette. Heureusement, Anaïs recentra ses attentions sur mes mollets. Avait-elle vu quelquechose ? Cela l'avait-il choquée ? Il ne fallut pas longtemps avant que je sente ses mains glisser tout le long de mes jambes et se concentrer directement sur l'intérieur de mes cuisses. Un frisson me parcourut le corps. Je sentis la seconde qui suivit une épaisse goutte de mouille couler de mon gland. Après un léger temps d'arrêt, Anaïs prit dès lors un malin plaisir à concentrer son massage à l'intérieur de mes cuisses, en faisant glisser lentement ses mains dessus, de bas en haut, en exerçant une légère pression. Sensation très agréable au demeurant, mais qui ne me fis que bander plus fort encore. Je sentais le sang affluer dans mon dard en érection totale. Les mains d'Anaïs se mirent à remonter de plus en plus haut, passant à quelques centimètres seulement de mon sexe et de mes boules bien pleines. Je sentais mon membre terriblement gros. Je bandais si fort que je sentais mon sang affluer et tambouriner à l’intérieur... Oui, si fort en présence de cette jolie jeune femme, que je sentis mon gland se décalotter en totalité. Mon dieu quelle honte de ne pouvoir se contenir en présence de la fille de mon meilleur ami ! Une vague de chaleur mon monta au visage. Que devait-elle penser de moi ? Je réalisai soudain que je n'avais plus de question à me poser lorsque je sentis ses mains si douces commencer à masser mes fesses, la serviette totalement repliée sur ma chute de rein. Cela signifiait qu'Anaïs avait une vue directe sur mes parties outrageusement offertes entre mes cuisses : mes boules rasées et bien pleines, et sur mon membre en rut duquel devait couler un filet de mouille épaisse. Après tout, il s’agissait de son métier tentais-je de me justifier, une partie de ma conscience n’étant pas tout à fait convaincue. Je ne crois pas en effet que son père aurait été content d’apprendre que je me retrouvai à présenter mes parties bien excitées aux yeux prudes de sa fille. Pour autant, ses mains qui massaient mes fesses finirent par redescendre en glissant entre mes cuisses, glissant sur mes boules et frôlant de peu mon dard épais. Je sentis un puissant frisson alors que mon coeur était sur le point d'exploser. J'en ouvris la bouche pour pouvoir respirer. C’était bien la première fois que quelqu’un passait ses mains là. Une zone si « érogène » comme ils disent… J’avais les cuisses entrouvertes, signifiant qu’Anaïs avait une vue directe sur mes parties d'homme en rut. La belle femme aux longs cheveux châtains osait-elle découvrir du regard cette queue bien épaisse ? Devais-je vraiment en avoir honte ? Certainement pas ! me dis-je, car n'ayant fait que suivre les consignes et m'être allongé sur cette table, dans cette ambiance très zen, sensuelle et reposante. Qu'avais-je à me reprocher ? N'était-ce pas là les élans de la nature ? Je sentais les mains d'Anaïs glisser et exercer une pression sur l'intérieur de mes cuisses, comme si elle cherchait à voir mieux encore ce que j'avais à lui offrir, m’obligeant quelque part à les écarter encore un peu plus, ce à quoi je consentis, toujours aussi honteux, mais de plus en plus excité. Ses mains finirent par se refermer sur l'intérieur de mes cuisses... Et je sentis le bout de ses doigts effleurer mon sexe, le temps d'un instant. Ne sachant pas ce qu'elle faisait derrière moi, je devenais fou. Je sentais les battements de mon coeur tambouriner dans ma verge, jusque dans mon gland totalement décalotté, offert aux yeux de la fille de mon ami.

 

Quelques secondes se passèrent sans caresses quand soudain je sentis des gouttes couler sur mon sexe. Qu'était-ce donc ? me demandai-je, paniqué. Il ne pouvait d'agir que d'huile de mass...  et avant que je ne finisse ma déduction, je sentis une main se poser sur ma queue, prenant soin d'étaler la fameuse huile, avant que les doigts de la belle finisse par entourer mon chibre. J'en hoquetai de surprise. Je sentis la belle Anaïs se rapprocher de moi au contact de ces genoux contre l'intérieur des miens. Ses mains de fées se mirent dès lors à glisser sur mon membre en rut chacune leur tour, de haut en bas, glissant avec douceur sur mon chibre. De divines caresses qui m'arrachèrent un petit gémissement de plaisir, tant je cherchais à me contenir.

 

-        Anaïs, je…

 

Anaïs retira définitivement la serviette de sur mes fesses et arrêtant ces massages doux et coquins qui avaient duré que quelques instants... Une attention particulière qu'elle réservait seulement à ses meilleurs clients ?

 

Anaïs me demanda alors de me mettre sur le dos.

 

Je m'exécutai, avec un sourire gêné aux lèvres. Nos regards se croisèrent une fraction de seconde avant que je ne vois la belle river ses yeux sur mon membre épais et appliquer de l'huile de massage dans le creux de ses mains. Le feu de la gêne à moins que ce ne fût celui de l’excitation interdite me monta aux joues.

 

-        Anaïs, c’est normal si…

-        Allonge-toi bien, laisse-toi faire.

 

Je m'abandonnai pour autant à ses consignes, à la fois de bien-être en fermant les yeux, et honteux de présenter de la sorte à la fille de mon ami, qui certes n'était plus une gamine, mon état d'excitation avancé.

 

Je crus naturellement que la belle allait commencer par le bas de mes jambes... Je sentis surtout ses genoux pousser l'intérieur de mes cuisses avant qu'une main, puis l'autre, ne viennent glisser sur ma queue. Me caressant les boules d'une main, Anaïs agrippa mon sexe dur et épais de l'autre qu'elle positionna à la verticale et qu'elle se mit à pétrir tout doucement. Sentant que la belle commençait ainsi à me caresser très délicatement, mon coeur se mit à battre deux fois plus fort face à l'interdit de la situation et l'excitation procurée.

 

- Anaïs susurrai-je d'une voix devenant à peine audible...

 

Etais-je en enfer ou au paradis ?

 

[…]

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Et encore une fois tu t arrêté au meilleur moment grrrrr je te déteste lol

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ça me rappelle les massages que je faisais à mon ex ... ^_^ mais bon, lui il savait ce qui l' attendait !  :P

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Ha oui c sympa ce genre de massage !! Vivement la suite ;)

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bon bah... la suite alors ;-) !

 

[…]

 

Tendant mon bassin en avant, je me laissai faire. Je m'abandonnai à ses doigts de fée. Ces derniers, associés à l'huile de massage, procuraient des sensations terribles. Anaïs me tendait le frein le plus possible d'une main et prenait soin à faire glisser l'autre autour de mon gland. La belle réussit à me faire bander comme un âne en un rien de temps. Ouvrant discrètement les paupières, je vis la belle Anaïs les yeux rivés sur mon membre en rut, la bouche entrouverte, visiblement émue le chibre du meilleur ami de son père entre ses doigts. Elle fit glisser ses mains de haut en bas, chacune leur tour sur mon sexe bien dur. Je ne pus plus retenir mes gémissements plus longtemps. Jamais de toute ma vie une femme n'avait su s'occuper de ma queue aussi bien. J'en fondais sur place. Anaïs agrippa ensuite ma queue à sa base d'une main et s'amusa à faire tournoyer l'autre dessus. Comment ne pas gémir de plaisir et frissonner ?!

 

- Oh oui Anaïs, tu fais ça si bien ! lui dis-je pour l'inviter à continuer. Tu crois qu’on a le droit ?

 

Nos regards se croisèrent à nouveau, un bref instant. La jeune femme timide de nature, n'osa rien dire. Voir cette petite jouer ma queue gonflée de désir m'excitait au plus haut point, tout comme la vue de ses gros nibards au galbe parfait, pris au piège de son body.

Anaïs s'attacha à me faire fondre le gland en passant ses doigts et le creux de sa main dessus, tenant mon dard en rut à sa base de l'autre main, la peau du frein toujours bien tendue. La coquine ne devait pas en être à sa première queue, tant elle savait drôlement bien y faire. Autre signe manifeste de son savoir, la belle se mit à passer son pouce sur mon frein, via de petits mouvement circulaires dessus, le tout en calant ma queue bien droite dans le creux de sa main. Vingt sur vingt, je n'aurais pas fait mieux.

 

J'étais plus gros et plus dur que jamais. Peu à peu, le fait que je connaissais Anaïs depuis des années prenait de moins en moins de poids dans les limbes de plus en plus lointains de ma bonne-conscience.

 

Anaïs relâcha soudain mon membre en rut. Elle sembla attendre que mes yeux s'ouvrent. Etait-ce déjà fini ? Et là, plongeant ses yeux dans les miens pour scruter ma réaction, Anaïs retira lentement son body. Sa divine paire de nibards m'apparut, me laissant sans mot. De beaux seins ronds, lourds et galbés. Une perfection ! Anaïs eut un sourire aux lèvres en voyant ma réaction dessinée sur mon visage. Sur ce, elle se mit à quatre pattes sur la table de massage. Les bouts de ses seins se mirent à pointer. La belle descendit de la table, et là encore, scrutant mes réactions, la belle passa ses pouces entre ses hanches et son legging et s'en sépara.

 

La belle était désormais toute aussi nue que moi. Elle reprit position entre mes jambes. Je la vis s'enduire les seins d'huile de massage en se les pétrissant devant moi. Je devenais fou à voir ses beaux nibards luire de la sorte, semblant durcir d'excitation.

 

- Tu aimes mes seins ? lls t'excitent pas vrai ? me demanda soudain Anaïs, sortant enfin de son mutisme.

- Oh oui Anaïs ! Ils sont si beaux, si parfaits !

- Tu aimerais les sentir contre ta belle queue toute dure ?

- Oh ma belle...

 

Anaïs, à la façon d'une panthère, se positionna à quatre pattes. Son visage, sa bouche frôla mon dard en en rut, avant que je ne sente ses seins et leurs pointes glisser contre le haut de ma cuisse et remonter le long de mon aine. Je sentis ma belle queue glisser entre ses seins qui me donnèrent un divin frisson à glisser de la sorte contre mon sexe et mon bas ventre. Me reprenant en main, Anaïs s'amusa à faire glisser ses seins sur ma queue, sur mon frein, les fesses que je devinais cambrées comme si elle était une vraie petite chatte en chaleur. Je ne reconnaissais plus du tout la belle et timide Anaïs, qui osait à peine dire bonjour tant elle était introvertie. J'étais ici dans son royaume, dans son monde... Sur son territoire. Celui de la sensualité et du bien-être, celui du désir inavouable.

 

La belle Anaïs, métamorphosée, lançait dans mes yeux un regard félin qui m'hypnotisait. Je sentais ses tétons plus dur que jamais glisser contre ma peau.

 

- Tu as une si belle queue ! me dit-elle soudain tout de go en la faisant glisser dans sa vallée mammaire. Ça m’excite tellement de caresser une queue d’homme.

 

Anaïs finit par se relever et par m'enjamber. Je me retrouvai avec sa jolie chatte totalement lisse blottie contre la base de mon sexe en érection totale. Anaïs, qui me chevauchait, se mit à frotter sa jeune chatte contre mon membre d'homme. Son fruit d'amour, totalement dépourvu de poil, s'en retrouvait fendu en deux. Anaïs faisait glisser lascivement son clito et sa vulve le long de ma queue enduite d'huile. Anaïs me regardait dans les yeux, scrutant mes réactions, avant de se confier :

 

- Je suis toute excitée... C'est la première fois que je vois une aussi belle queue, enfin je veux dire… aussi grosse.

 

Je sentais ses fesses rebondies s'écraser contre mes cuisses au rythme de ses mouvements lascifs. Anaïs prit le dernier tiers de ma queue dans sa main, continuant de se frotter la chatte contre sa base. La belle ne tarda pas à gémir de plus en plus fort, le coeur battant, imaginant très certainement ce chibre dur et épais glisser et remplir sa belle petite chatte. La sensation de sa main pétrissant mon chibre et celle de sa jolie chatte frottant dessus me donna une terrible envie, en cet instant magique, hors du monde, de baiser la fille de mon meilleur ami...

La belle Anaïs se pencha sur moi, et continuant de se frotter la minette sur mon membre en rut, me demanda :

 

- Tu crois qu'elle arriverait à entrer dans ma petite chatte ?

 

Une suggestion qui me figea le cœur. Les choses allaient décidemment très loin. Trop loin peut-être, mais comment résister ? N’étais-je pas pris au piège au sein de ce paradis infernal ?

 

Anaïs, qui tenait ma queue dans sa main, commença à la lever de mon ventre. La belle fille aux longs cheveux châtains remonta de quelques centimètres et commença à frotter mon gland en fusion contre sa vulve. J'avais le visage et le souffle de la belle juste en face de moi. Ses seins lourds glissaient contre ma poitrine. Ainsi enjambé par elle, j'étais son objet. Anaïs pouvait faire de moi tout ce dont elle avait envie. Je sentais ses doigts coquins exciter ma queue tout en la faisant glisser contre sa chatte. La belle nous faisait terriblement languir. Anaïs travaillait l'entrée de sa jolie chatte en douceur, en délicatesse, la préparant à me recevoir en entier, jusqu'au moment où, se sentant prête, je sentis la main d'Anaïs serrer fortement mon manche déjà bien dur et mon gland en fusion s'écraser contre l'entrée de sa fente. Anaïs me regardait en cet instant droit dans les yeux. J'étais hypnotisé, sur une autre planète. Nous sentîmes alors mon gros gland forcer les chairs chaudes et humide d'Anaïs et glisser en elle, nous arrachant un profond gémissement de plaisir au même moment. Je croyais en cet instant que mon coeur allait exploser. Puis, lentement, de façon presque imperceptible, Anaïs s'aidant du poids de son corps, la belle parvint à faire glisser mon dard dur et épais dans sa chatte serrée. Douce, chaude et étroite à m'en tendre le frein, malgré l’huile de massage. Anaïs remonta légèrement, avant de redescendre lentement, glissant cette fois-ci avec plus de facilité sur mon membre en rut. La jolie jeune femme se mit dès lors à monter et descendre très lentement sur ma queue, retenant ses petits gémissements aigus. Sa chatte, son ventre, ses seins, je sentais son corps parfait contre le mien. J'étais au paradis, pour la première fois le plus détendu de toute la journée. La belle parvint au bout de quelques minutes à glisser sur ma queue lentement de tout son long, en une seule traite, ses jolies fesses bien offertes, gémissante de plaisir. La belle devait se sentir plus que jamais comblée avec cette belle queue d'homme calée au fond de son intimité. La belle remuait sur mon membre en rut avec de plus en plus de facilité, faisant glisser ses seins contre ma poitrine. Sa bonne chatte désormais bien dilatée, la belle se mit à gémir de plus en plus. Son visage commença à se marquer des signes du plaisir intense et pur. La belle ne tarda pas  à se redresser, le buste bien droit, pour venir s'empaler sur ma queue avec plus d'intensité. Ses beaux nibards se mirent à tanguer au rythme de ses assauts sur ma queue qui se montrèrent de plus en plus rapides. Cela me faisait bander à mort de voir cette déesse prendre son pied comme pas permis en s'empaler sur mon dard bien gros et bien dur. A la place de gémir, la belle Anaïs se mit à hoqueter de plaisir. La belle n'allait pas tarder à jouir, et cela me rendait fier de faire exploser cette belle petite de bonheur. Ses mains étaient posées à plat sur mon buste et Anaïs bougeait sur ma queue dure et épaisse par saccades, via de petits coups de rein. La belle finit par jouir, s'empalant le plus profondément possible sur mon sexe puissant, avant de s'affaler sur moi, gémissante, la chatte remplie par mon dard épais. Je sentais sa chatte chaude m'englober le sexe et ses gros seins compressés contre ma poitrine. Front contre front, la belle me regarda droit dans les yeux, gémissant son plaisir. Lentement, elle se redressa. Les pointes de ses seins étaient longues et dures. La belle se recula, je sentis ma queue quitter sa chatte chaude et humide. Anaïs s'assît sur mes cuisses, et prenant mon chibre à pleine main, la belle me fit exploser à mon tour, pétrissant mon chibre jusqu'à l'orgasme. La belle finit son "soin" par de douces caresses de sa poitrine généreuse contre mon torse et ma queue, sensation à jamais gravée dans ma mémoire.

 

Je quittai le salon le sourire aux lèvres avec un baiser d'Anaïs au bord des miennes.

 

- A bientôt Thomas me dit-elle alors que sa main glissait sur mon bras puissant.

- Viens boire un café à l'appart' à l'occasion, si tu as le temps osai-je lui proposer, comme pour jouer au mec pas dégonflé.

- Ok, avec plaisir ! me rétorqua-t-elle avec le plus grand sérieux et surtout le plus large sourire.

 

J’étais pas dans la merde…

 

Une fois dans ma voiture, je fis le point. Il ne faisait aucun doute qu'Anaïs souhaitait me revoir. J’étais de vingt ans son aîné et je me demandais déjà dans quel pétrin je venais de me fourrer. Où diable cette relation pour le moins malsaine allait-elle nous conduire…

 

Le rendez-vous fut pris chez moi le dimanche suivant. Toute la semaine durant, je ne fis que penser et repenser à ce qu'Anaïs et moi avions vécu au salon de massage ; à son corps de rêve ; à sa façon de me pétrir le manche avec envie, et de bouger sur moi. Je m'impatientais déjà à l'idée de la revoir, mettant mes pensées pour Philippe de côté. S'il savait que j'allais de nouveau baiser sa fille...

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Une bien jolie plume, on est avec vous lorsqu'on lit ton texte, la pression à son comble !

Ouah !!!

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Merci :-):-):-) c'est bien la ce que je recherche : la description du plaisir des sens certes, mais aussi la complexité morale / mentale associée à ce genre de situation. Cet éreintement quasi permanent de se situer entre les deux concepts que sont le bien et le mal, n'est ce pas la le propre de l'Homme, alors qu'à contrario, ses pulsions, ses désirs sont bel et bien d'ordre animal... délicieuse mais acide bataille qui ronge cette tare appelée Conscience ; une plaie qui au mieux bride des expériences et qui au pire vous fait passer à côté de celles-ci ...

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Je suis d accord avec new on ressent chaque sensation que tu fait passer dans ton texte 

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c'est juste excellent! improbable mais tellement bon!

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alors comme le dit si bien Mr Drucker : vivement dimanche !

 

(ou dix manches pour les gourmandes, :arrow: )

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Merci pour cette belle suite et fin ;)

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Invité

Je remonte ce texte, hummm "plaisir des sens"  c'est ce qu'on ressent en te lisant. 

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