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AsMoth

La femme mariée...

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Hello,

Voici ma dernière petite composition. J'espère qu'elle vous plaira ;-) ; bonne lecture...

 

Durant les vacances de Pâques, comme chaque année, j'allais passer ces deux semaines chez mes grands-parents. C'était le plaisir de les retrouver, de passer du temps avec eux, mais aussi de me mettre un peu au vert en fuyant le bruit et la pollution de la capitale. L'Auvergne était en effet un peu comme un poumon pour moi, physiquement, mais aussi moralement. Presque coupé de tout, j'affectionnai cette période de l'année pour consacrer mon temps à moi, rien qu'à moi. Sorties vélo pour s'aérer l'esprit et prendre le large, et balades dans les petits marchés de village, histoire de s'imprégner de l'ambiance locale.

Repos du corps et paix de l'esprit vous dites ? ... pas tout à fait.

En effet, flânant entre les étales des petits marchés de village, cela faisait plusieurs fois que je croisais une belle blonde qui semblait avoir le même passe-temps que moi. Quand je dis belle-blonde, cette femme devait avoir la quarantaine alors que pour ma part, j'entrais tout juste dans la vie active. Mais son charme naturel associé à sa façon très coquette de s'habiller la faisait clairement sortir du décor très champêtre et populaire de ces marchés. On se croisa donc à plusieurs reprises, et la jolie blonde le remarqua également. Nous finîmes par nous dire bonjour et échanger sur notre activité commune, de manière très superficielle certes, mais le sourire de cette femme fit battre mon coeur très étrangement, au point d'y penser la nuit. Je lui dévoilai ma passion pour le vélo et à ma grande surprise, la belle m'avoua vouloir s'y remettre, mais que son vélo était en train de rouiller dans le garage. Prenant le sujet sur le ton de la dérision, je fus surpris quand elle me proposa de passer chez elle pour voir si son biclou était encore utilisable. La belle blonde "bcbg" ouvrit les yeux en grands avant de me lâcher un beau sourire quand je lui répondis "je sais où vous habitez". Phrase maladroitement échappé de ma bouche, tant je stressais rien qu'à l'idée dem e retrouver chez cette belle inconnue.

Je savais en effet qui elle était car il n'y a pas pas cent dix femmes aussi sexy dans les parages. Il s'agissait de la femme du notaire du coin, qui lui, avait la cinquantaine passée. J'appris par mes grands-parents qu'elle n'avait que ça à faire, flâner dans les marchés, vu qu'elle ne travaillait pas et vivait au crochet de son gentil mari. Mes grands-parents avaient des paroles âpres au sujet de cette femme qu'ils ne connaissaient que de vue, critiquant le fait qu'elle s'habillait trop chic afin de se faire remarquer et qu'elle ferait mieux de se faire plus discrète vu qu'elle n'occupait pas beaucoup son temps à travailler pour son couple. Sur ce point, ma grand-mère n'avait pas sa langue dans sa poche, allant jusqu'à dire que la fameuse "Sylvie" occupait son temps à faire du shopping, mais aussi avec les maris des autres femmes. Des paroles qui me surprirent tant je n'imaginais pas cela de cette femme de standing.

Bref, gardant l'invitation qu'elle m'avait proposée pour moi, je pris le chemin de sa grande demeure que j'avais repérée lors d'une sortie de vélo.

 

 

J'arrivai donc à l'heure fixée par Sylvie, sous les coups de quinze heures. J'avais également repéré que la jaguar vert anglais de son mari n'était pas là. Un hasard ?

 

Je n'eus pas à frapper à la porte que la belle blonde ouvrit la porte. Réflexe très mâle - ou très mal, allez savoir - je ne pus m'empêcher de la déshabiller du regard : Sylvie portait un gilet bleu très moulant mettant en valeur sa généreuse poitrine, une jupe de tailleur noire qui lui arrivait au genoux - un peu long pour son âge - et des collants noirs assortis à des talons-aiguilles. Je finissais de monter les escaliers menant à sa porte d'entrée quand le pressentiment que j'avais fut aussitôt confirmé.

 

- Salut me fit la belle avant de porter sa main droite à ma joue et m'embrasser sur l’autre.

 

Un contact de sa bouche sur mon visage au travers d’un long et savoureux baiser que je ne pus que rendre, alors que je me sentais soudain sur deux cent vingt volts et que mon coeur s'emballait dans ma poitrine.

 

- Viens, entre... m'invita la belle blonde de trente-neuf ans aux cheveux longs, tout en me tenant la main.

 

Me tenant la main ! Etais-je en train de rêver ?

 

La belle me fit entrer chez elle. Dans sa luxueuse tanière.

 

- Viens, mais ne fais pas de bruit, le père de Jacques – son mari – dort à l’étage. Il est sourd comme un pot, mais très grincheux dès qu’on a le malheur d’interrompre sa sieste. Sylvie poussa la porte de celle-ci sans la fermer complètement, comme pour entendre les bruits animant la grande demeure, juste au cas où.

 

Je ne dis mot et me laissai conduire à la cuisine, toujours ma main dans la sienne. Je ne sus dire pourquoi, mais j’avais un drôle de pressentiment. Mon cœur battait avec force dans ma poitrine, comme une bête qu’on emmènerait à l’abattoir sans le lui dire.

 

-        Tu veux boire quelquechose ?

 

-        Non merci, ça va.

 

-        Parfait alors…

 

Sur ces paroles conclusives, je restai bouche bée quand cette femme divinement sexy vint se coller à moi pour m'embrasser. La pulsion du désir me prit au quart de tour. Sylvie était toute collée contre moi. Ses seins contre ma poitrine, sa cuisse contre mon entrejambes qui gonflait et durcissait déjà de désir. Alors que nous nous embrassions à pleine langue, déjà essoufflés par la force de l'interdit et cette pulsion animale, je plaquai cette femme mariée contre son plan de travail. Je n’aurais jamais cru avoir de telles ressources en moi. Cette femme mariée de mettait le feu. J'avais mes mains sur ses hanches et curieusement, je n'osais pas descendre plus bas. Qu'attendait-elle de moi exactement ?

 

- Déshabille-moi ! furent ses mots... très explicites !

 

Je n'eux aucun mal à déboutonner son gilet. Sylvie portait un magnifique soutien-gorge mauve en nylon, généreusement transparent, ses beaux nibards compressés à l'intérieur. Je me penchai pour les embrasser. Sylvie qui ne semblait pas encore totalement rassurée me regardait faire, tendant l'oreille et jetant un oeil dans la cour. Elle se laissait faire. Alors j'osai. Je sortis ses seins des bonnets de son soutif. Ses beaux mamelons bruns apparurent, leurs pointes déjà dardantes de désir. Il fallait dire que j'avais les mains un froides. Sylvie se retrouva ainsi les seins à l'air, parfaitement offerts. Je me mis à les caresser, à les embrasser. A pleine bouche, à pleine langue, lentement.

 

- Oh Sylvie...

 

La belle ne put s'empêcher de lâcher un petit gémissement de plaisir et passa sa main sur ma tête, m'invitant à poursuivre.

 

Je lui léchais et lui aspirais les seins. Ses beaux tétons s'allongeaient à vue d'oeil.

 

- Mon mari est parti faire une course en ville. On n'a pas trop de temps précisa la jolie mère de famille.

 

J'interprétai cette précision comme un signal : celui d'aller à l'essentiel.

 

Je bandais déjà fort dans mon pantalon. Ma main fouineuse s'empara alors de sa jupe que je retroussai. Mon coeur s'emballa quand je découvris que la belle blonde ne portait pas de collants mais bel et bien des bas. Des bas sexy avec une bandante autofixante en dentelle noire.

 

- Oh ma belle, tu es si sexy ! ne pus-je m'empêcher de constater.

 

Je devais avouer que les bas avaient tendance à me rendre dingue...

 

La belle ne bougeait pas et semblait attendre la suite. Une suite coquine que je devinais et dont la simple idée m'excitait tout autant qu'elle. Je me mis donc à genoux en retroussant sa jupe plus encore, y découvrant un string noir en nylon totalement transparent. Sylvie avait décidemment fait les choses en grand ! Comment résister ?! Je sentis à nouveau sa main se poser à l'arrière de ma tête, tant la belle semblait pressée de se sentir enfin soulagée. Histoire de la taquiner un peu et dans la limite de ce qu'elle me permettait de faire à appuyer ainsi sur mon crane, je me mis à lui lécher la chatte par-dessus son string. Cela suffit à la faire hoqueter de plaisir. Mais ainsi pris à mon propre piège, cela ne fut pas assez pour moi. Je sentais déjà le fumet de sa chatte chaude et humide me titiller le nez. Je ne pus résister une seconde de plus. Mettant son string sur le côté de sa minette, je me mis à lécher celle-ci en surface avec ma langue. Une belle chatte gonflée d'excitation et parfaitement lisse, et surtout déjà bien dégoulinante en son centre. Me retrouver la tête ainsi entre les cuisses de cette femme que je connaissais à peine me mit dans tous mes états. Je me mis à lui laper la langue avec fougue, au point d'en faire gémir sa propriétaire qui aussitôt se rattrapa en portant ses doigts à sa bouche. Mais il était trop tard. Sa respiration se faisait déjà très profonde tant le plaisir procuré semblait être délivrance pour son fruit chaud et humide.

 

- Oh bordel ! Oui, c'est bon ! oui ! chuchota-t-elle, m'invitant ainsi à continuer.

 

A lui lécher et lui aspirer la chatte, la belle en avait les petites lèvres qui dépassaient généreusement des grandes, luisantes de salive et de cyprine. De belles petites lèvres brunâtres à la jonction desquelles un clito gonflé de désir pointait.

 

- Hmmmm tu as une si belle chatte ! me permis-je de commenter.

 

Le fumet et le goût de celle-ci me rendaient fou de désir.

 

Un brin voyeur, je me mis à la lui caresser du bout des doigts tout en la dévorant des yeux. Sylvie mouillait tellement que je n'eux aucun mal à y glisser mon index et mon majeur qui firent geindre la belle de plaisir. Un râle pas très discret qu'elle n'arriva pas à contenir.

 

- Regarde-moi cette belle chatte ! Tu mouilles tellement ma jolie ! commentai-je presque à moi-même, alors que Sylvie, bouche grande ouverte, retenait son souffle.

 

La femme mariée avait les seins qui pointaient à en percer un oeil tant ses tétons étaient longs et épais. Cela m'excitait terriblement de les voir pointer de la sorte, comme si le corps tout entier de la belle quarantenaire était à cet instant parcouru par un puissant courant électrique.

 

Sylvie reprit pour autant rapidement ses esprits en me plaquant la bouche contre ma chatte, me forçant ainsi à la lui lécher, comme si cela avait vraiment été nécessaire. Je ne pus m'empêcher de sourire à sentir à quel point la belle blonde et mère de famille avait besoin de se faire exploser la minette qui semblait sacrément la démanger. Pour preuve, et malgré ses consignes, Sylvie ne pouvait s'empêcher de gémir, ondulant son bassin pour accentuer sur sa fente la pression exercée par mes lèvres.

 

- Hmmm tu aimes ça te faire lécher la chatte, pas vrai ? parvins-je à lui demander en levant les yeux vers elle.

 

La belle ne me répondit pas, plus attachée à tenir son string bien à l'écart d'une main et caresser l'arrière de ma tête de l'autre, la tête penchée et le bassin tendu en avant pour ne rien manquer au moindre mouvement coquin de ma langue fouineuse.

 

Je me remis à lui doigter la chatte à deux doigts. Ceux-ci en ressortirent trempés de cyprine. Sylvie gémissait son plaisir sans plus s'en rendre compte, à m'en alerter moi-même. Moi, ce jeune homme rencontré xxx et qui se retrouvait à explorer ses parties intimes à pleine bouche. Comme quoi, la vie pouvait parfois être bien faite.

 

La chatte de la belle était maintenant bien humide et bien dilatée pour une suite logique que je ne savais comment amener. Sylvie attrapa ma main et enfourna dans sa bouche mes deux doigts luisant de mouille. De sa mouille, qu'elle suça les yeux fermés en gémissant. Quelquechose me disait que la belle ne devait pas mouiller autant tous les jours, promettant une suite très torride.

 

- Montre-moi ton cul ! lui ordonnai-je à mon tour, alors que je m'étais assis à-même le sol.

 

La belle me regarda, et excitée comme jamais, pivota sur elle-même, les fesses cambrées. Elle me laissa retrousser sa jupe alors que ses mains parcouraient déjà ses fesses de rêve. De belles fesses lisses et galbées, mises en valeur par ce string noir et ses bas assortis.

 

- Oh oui, quel cul !

 

J'attrapai son string entre les doigts. Sylvie se pencha en avant en appui sur le plan de travail pour bien s'offrir.

 

Je lui écartai les fesses à l'aide de mes mains pour découvrir sa jolie rondelle bien lisse que je me mis à lécher avec ma langue. La belle quarantenaire en hoqueta de plaisir, ses joues se mirent à rougir. Avait-elle honte de sentir ma langue titiller son petit trou interdit ou alors sentait-elle son excitation se décupler par cet acte aussi osé qu'interdit, aussi doux que divinement intense ?

 

Pour en avoir la réponse, je me mis à lui dévorer la chatte et le cul à pleine bouche, à pleine langue. Immobile, la belle se donna. Bouche grande ouverte, les yeux fermés, elle se mit à geindre de plaisir à sentir son entrecuisses, les parties les plus intimes de son anatomie ainsi prises d'assaut par une bouche et une langue plus coquines et invasives l'une que l'autre. Sur ce point, la belle blonde était bien tombée : j'adorais faire fondre les femmes en leur léchant les trous, à les en rendre folles. De la même façon qu'avant, la belle ne tarda pas à s'emparer de l'arrière de mon crane pour me coller la tête sur ses fesses et me forcer à lui brouter la chatte et son oeillet. Oui, j'en riais presque, tant la magie opérait à chaque fois. La belle en avait la rondelle entrouverte et luisante de salive. Je m'imaginais déjà y fourrer ma queue bien raide. Une langue vicieuse fourrée dans son cul, puis un bon coup de langue sur sa chatte chaude et humide et le tour était joué : la pauvre Sylvie fondait, gémissait sur place, offerte comme jamais, les joues rouge autant de honte que d'excitation. Le contact de ses fesses nues, de ses bas chauds me donnaient une envie terrible de la baiser. Ainsi offerte, Sylvie était plus femme et sexy que jamais. Son érotisme atteignait son apogée. La belle haletait profondément, bouche grande ouverte, pour pouvoir contenir une respiration qui s'emballait chaque seconde un peu plus. Son coeur devait au moins battre aussi fort que le mien en cet instant de plus plaisir. Ma tête dans ses fesses, si douces, si lisses, j'étais au paradis. Sa mouille me couvrait toute la mâchoire et j'adorais ça.

 Il fallait cependant avancer, le temps tournait... Alors, lentement, je lui retirai son string. A mon tour de lancer le signal de l'étape suivante...

 

[…]

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Chaud bouillant, mais t'es agaçant comme gars car tu nous laisses sur notre faim... :D

Diantre, la suite voyons !!

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Je suis d'accord quelle torture!!! 

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Elle est où l'étape suivante ?????

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la voici :-) :

 

[…]

 

Je me relevai et tapotai sa chatte du bout des doigts, sentant à quel point celle-ci était humide. Je me collai à la belle Sylvie qui se redressa à son tour. Celle-ci dut sentir ma queue bien raide encore emprisonnée dans mon pantalon contre ses fesses. Elle n'était pas la seule à mouiller. Je sentais moi aussi mon gland terriblement humide. Je lui pétrissais les seins à pleines paumes de mes mains qui avaient entre temps bien chauffé.

 

- J'ai envie de toi Sylvie lui susurrai-je à l'oreille.

 

La belle en gémit alors que je simulais de puissants coups de queue contre ses fesses.

 

Sylvie, toute essoufflée, se retourna pendant que je retirai mon sweat et mon tee-shirt et posa sa main sur la bosse énorme dessinée par mon membre en rut. Sentir ses doigts passer dessus me fit mouiller et bander plus fort encore. La belle finit par s'accroupir, cuisses écartées et défaire ma ceinture, puis déboutonnée ma braguette.

Je l'aidai à baisser mon pantalon et mon boxer d'une même traite, libérant ainsi et enfin mon membre en rut. Une queue bien grosse et bien raide que la mère de famille dévora des yeux avant d'en décalotter le gland pour la lécher, toute langue dehors sur tout son long. Je sentis le bout de celle-ci peser sur mon frein avant que Sylvie mette mon chibre en position horizontale. Je la vis alors ouvrir la bouche en grand et enfourner mon bonbon d'amour lisant de mouille.

 

Cette femme mariée se mit à me pomper le dard avec désir, prenant le soin de le lécher toute langue dehors avant de d'en faire fondre le gland entre ses lèvres.

 

- Oh bordel, oui ma belle ! Oui suce-moi ! C'est si bon !

 

Cuisses écartées, à genou sur le sol, la belle se mit à me sucer la queue ses deux mains dessus. Je bandais décidemment comme un âne après lui avoir léché la chatte comme pas permis et me faisant maintenant sucer et pétrir le manche. Ça me faisait très bizarre d'offrir ainsi ma queue à cette femme que je connaissais à peine. Mais voir celle-ci, si sexy, les seins à l'air et en jupe et bas noirs me mettait dans un tel état d'excitation que j'en oubliais tout le reste, à commencer par le fait qu'il s'agissait bien d'une femme mariée. Une femme mariée qui assumait ses actes, tant je la voyais lever les yeux vers moi et me soutenir le regard avec un sourire coquin au bord des lèvres.

 

- Hmmmm tu aimes me sucer.

 

- oui ! T'as une si belle bite !

 

Sylvie me suçait lascivement, prenant tout son temps, et fermant les yeux pour sentir cette belle queue bien dure et chaude fondre dans sa bouche. Cela m'excitait terriblement de voir cette femme et mère de famille se délecter à ce point d'avoir ma belle queue en bouche, comme si seule celle-ci n'existait plus qu'à ses yeux. Elle me la lapait sur tout son long. Je sentais alors son souffle chaud sur mon sexe. Elle me faisait ensuite délicieusement fondre le gland entre ses lèvres. Je sentais sa langue coquine glisser sur mon frein lorsqu'elle enfonçait mon dard long et épais jusqu'au fond. Mon membre épais d'homme en rut lui remplissait la bouche et la rendait érotiquement sage. Contentée. Rassasiée. Comme si une belle bite d'homme lui avait manqué durant bien trop longtemps. Je me faisais sucer la queue au beau milieu de la cuisine de cette jeune mère de famille, accroupie à mes pieds. J'étais comme une sorte de dieu ; j'en avais tout du moins toutes les faveurs. Mais j'en voulais plus. Toujours plus. Elle aussi ?

 

- Lève-toi ma belle, l'invitai en saisissant sa main.

 

Je la vis pivoter. Si je devais la baiser qu'une seule fois, cela ne pouvait être qu'en levrette. Bien offerte.

La belle s'exécuta. Je pris l'initiative de lever sa jambe droite. La pauvre Sylvie se retrouva ainsi les fesses grandes ouvertes, son genou droit posé sur le plan de travail sur lequel elle était affalée. Rien que cette position, cette façon de s'offrir comme une chienne en chaleur suffit à mettre la belle blonde en manque de sexe dans tous ses états. C'était à son tour d'être la proie. Histoire de l'exciter toujours plus et de la faire languir, je me mis à faire glisser mon gland chaud contre sa vulve luisante de cyprine. Divine torture. Et lorsque je finis par glisser mon gros gland dans sa fente, je fis Sylvie fermer les yeux et ouvrir la bouche en grand, pour lâcher un profond gémissement. Je me retrouvai avec une bonne moitié de mon membre en elle, dans sa bonne chatte divinement chaude et humide. Moi, ce jeune homme de vingt-sept ans avec mon dard enfoncé dans la chatte de cette femme si désirable. Je cherchai à fourrer mon membre plus profondément en elle mais je sentis la belle se crisper. Depuis combien de temps n'avait-elle pas reçu un chibre d'homme en elle ? C'était à se demander. Je me mis donc à bouger lentement en elle, tout en délicatesse. Sa chatte en était toute écartelée, sa rondelle à moitié entrouverte. Je me mis à aller et venir en elle, allongeant mes coups de rein au fur et à mesure. La belle qui gardait la bouche grande ouverte, finit par lâcher un cri. J'entrepris alors de sortir mon membre dur et épais de sa fente pour laisser à celle-ci un instant de répit. Je continuai de l'exciter en passant mon gland bien gonflé dessus, histoire de garder la belle quarantenaire bien excitée. Il n'y avait rien à faire : voir ses cuisses bronzées gantées de ses bas noirs m'excitait plus que tout. Comment diable son mari pouvait-il délaisser une femme aussi sexy ?! Histoire de l'exciter toujours plus, je m'amusai à coller mon bonbon d'amour sur sa rondelle. La réponse fut immédiate :

 

- Non ! pas par là !

 

- Tu m'excites tellement ma belle que je pourrais te prendre par tous les trous si tu me le demandais...

 

Ce brin de provocation ne fit qu'émoustiller la belle blonde encore un peu plus.

 

- Mets-là moi dans ma petite chatte. J'en mouille d'envie !

 

Je m'y attachai sans que la belle n'ait aucunement à insister.

 

J'y allai en revanche plus franco et saisissant la belle par la taille, je me mis à lui pilonner la chatte. Toute excitée de recevoir une bonne queue en elle, Sylvie en oublia sa discrétion. Elle se mit à gémir sans aucune retenue, écartant même ses fesses à l'aide de sa main droite. Oui, la belle en voulait et en redemandait. Ma main droite sur le haut de sa cuisse, ma main gauche sur sa nuque, je me mis à pilonner la belle salope en chaleur. Ma queue était luisante de cyprine tant Sylvie mouillait. Arrivait-il à son mari de la baiser de la sorte dans la cuisine ? Quelquechose me dit que la mère de famille le fantasmait tant elle ne l'avait pas vécu depuis longtemps. Une bonne bite d'homme bien profond dans sa chatte bien offerte. LA belle hoquetait et gémissait, gardant ses fesses bien écartées à l'aide de sa main. Son oeillet en demeurait entrouvert. Je me mis à la culbuter avec force. Ses fesses rebondies claquaient contre mon bas ventre.

 

- Oui ! Baise-moi ! Oui ! Défonce-moi la chatte ! osa-t-elle proférer, oubliant toute notion de discrétion et de pudeur.

 

Oui, la belle Sylvie recherchait une queue bien raide pour assouvir son fantasme et elle vivait pleinement celui-ci. Je lui prodiguais donc de bons et longs coups de queue profonds et puissants à lui en défoncer la chatte et le cul à un rythme régulier, avant de me résigner à me retirer pour marquer une petite pause. Je vis pivoter Sylvie vers moi pour l'embrasser sur la bouche, y confondre nos langues, pour ensuite la déshabiller. La pauvre était toute en transpiration dans son maudit gilet. Ma queue blottie entre ses cuisses, je le lui retirai. J'eus l'agréable surprise de voir qu'elle ne portait rien en-dessous mis à part son soutif, preuve que la coquine avait déjà de la suite dans les idées. Je la fis à nouveau pivoter afin qu'elle me fasse dos et que je puisse dézipper sa jupe. La belle se retrouva avec son soutif sous les seins - ce qui ne faisait qu'améliorer leur galbe naturel - et seulement vêtue de ses bas noirs et talons-aiguilles. Sylvie ne chercha pas plus loin. En appui sur le plan de travail, elle me tendit à nouveau son cul pour que je lui fourre ma queue. La levrette semblait très bien lui convenir. A moi aussi, cela va sans dire. Je me mis à culbuter la belle blonde. Sa chatte n'avait cessé d'enduire mon membre dur et épais de cyprine. La chaleur de sa bonne chatte l'avait quant à elle dilaté à son maximum. J'avais mes mains posées sur son cul de rêve. Son cul de femme dans sa force de l'âge. Rien à voir avec les filles de mon âge, qui n'osaient généralement pas s'offrir de la sorte. Ma queue lui remplissait la chatte. Une chatte dont le goût et la beauté me manquaient déjà. Je fis assoir Sylvie sur son plan de travail, cuisses grandes ouvertes et m'accroupis pour lui dévorer la fente. Une bonne chatte plus moite que jamais, dilatée par mes coups de queue. Ma langue se s'en fit que plus fouineuse. La belle, les yeux fermés, se mit à gémir... gémir... Son corps se mit à onduler, de façon de plus en plus saccadée. Et là, celui-ci pris de violents spasmes, Sylvie se mit à jouir. Un cri puissant qu'elle ravala aussitôt en se mordant les lèvres, grimaçant de jouissance. La belle demeura toute essoufflée, ses tétons raids comme des piques, ses seins plus gonflés que jamais. Je la laissai reprendre un peu ses esprits, mais je voulais moi aussi ma part du gâteau. Je me redressai et fourrai mon dard en elle. Sylvie se mit à onduler du bassin comme elle pouvait. Sa cuisse gauche à l'horizontale, sa cheville droite sur mon épaule droite, la belle était bien obligée de me faire face. Elle finit par ouvrir les yeux, pour constater ce qu'elle voyait : plongeant tantôt ses yeux dans les miens, fixant ensuite de longues secondes durant cette belle queue luisante de mouille pilonnant et remplissant sa chatte, la belle Sylvie devait se rendre à l'évidence : elle, la mère de famille exemplaire qu'elle avait toujours veillé à être, venait de céder à ses pulsions, ses envies de femme. Elle était en train de se faire baiser à grands coups de queue dans sa propre cuisine, celle de sa famille, là où ils mangeaient matins, midis et soirs. Elle se faisait prendre par ce jeune homme qu'elle connaissait à peine mais qui l'avait déjà faite jouir. Depuis combien de semaines, combien de mois son mari ne s'y était pas attaché ?

Je devinais tout cela en la culbutant à sa façon de me regarder, de prendre conscience de la situation. De sa situation. Elle avait besoin d'amour, elle avait besoin de sexe. La nature était ainsi faite et son mari ne répondait qu'à une partie des deux. Dans cette attente, cet illustre inconnu que la baisait plus que correctement et la faisait mouiller. La faisait vibrer et frissonner, se sentir femme. En cet instant précis, c'était tout ce que la belle Sylvie désirait, même au péril de son sens moral, de son statut d'épouse et de mère de famille. Etre femme, tout simplement.

Sa belle lingerie, sa façon de s'offrir sans condition, de mon point de vue, cette belle quarantenaire ne soupçonnait pas tout l'érotisme qui se dégageait d'elle. A la prendre de la sorte dans sa demeure, une once de moi était tâchée de culpabilité. Je savais qu'in fine, ce qu'on faisait n'était pas bien du tout. Mais à voir ses tétons nourriciers raids comme des piques et ma queue luisante de sa mouille, au final, notre partie de baise était-elle quelquechose de si mal ? Sylvie était une superbe belle femme qui avait droit au bonheur comme toutes les autres femmes. Et la baiser, là, sur son plan de travail, était pour moi un honneur. J'osais juste espérer qu'elle en avait bien conscience et qu'elle ne se "bradait" pas en écartant les cuisses pour moi, moi, ce "premier venu". Une forme d'émotion sourde baignait ainsi dans ses yeux, dans les miens aussi, sans doute. Quelle situation étrange... Partie sous les feux de l'enfer et les chardons ardents de corps chargés de désirs inassouvis, la situation virait à l'émotion. Une certaine pureté. Une "envie de l'autre" qui me donna envie de jouir. DE jouir en elle, de communier avec elle et en elle, ce désir. Non l'excitation de la baiser, de baiser cette femme en chaleur, mais plutôt de jouir en elle, en toi Sylvie, cette femme qui m'émouvait en secret. Etions-nous finalement plus en train de faire l'amour ? Je ne sus répondre mais mon instinct m'amena à l'embrasser sur la bouche. Non par excitation, mais par un cri du coeur.

 

- Tu es si belle Sylvie...

 

Un baiser qu'elle me rendit en calant sa main sur ma nuque pour m'embrasser avec fougue. Etions-nous l'un comme l'autre en manque d'amour plus qu'en manque de sexe ?

 

Je continuais d'aller et venir en elle, plus gros et plus dur que jamais. Sylvie le sentait. Je n'allais pas tarder à jouir. Nous étions tous deux essoufflés, nos souffles chauds caressant mutuellement nos visages. Je ne savais si je devais me retirer ou non. Souiller le vagin d'une femme qui n'était pas la mienne ou l'inonder de mon désir, de cette sorte d'amour naissant que je ressentais pour elle.

 

- Oh Sylvie, oui ! grimaçai-je, gémis-je implorant de cette femme et mère de famille la réponse à cette question.

 

Alors que je commençais à m e reculer, Sylvie, en appui sur ses mains, ramena sa chatte vers mon chibre, les fesses dans le vide. 

 

Comprit-elle mon hésitation, mon doute ?

 

- Jouis en moi ! Jouis en moi ! implora-t-elle en me regardant droit dans les yeux, ses joues rouge de honte, ou de désir, allez savoir.

 

Je me mis à la pénétrer à nouveau profondément, toute la sensibilité de mon corps tendu de désir concentrée sur mon gland que je sentais glisser et s'écraser jusqu'au fond de sa bonne chatte chaude et humide de femme.

 

- Je vais jouir... prévins-je une dernière fois.

 

- Oui ! me confirma-t-elle.

 

Je n'arrivais à y croire. Ejaculer dans cette femme aux cuisses gantées de bas noirs, si sexy...

 

Je sentis mon bonbon d'amour soudain s'électrocuter au fond de son antre. Je me mis à crier.

 

- Oui mon beau ! Jouis ! Jouis ! m'invita la belle.

 

Peinant à lui prodiguer d'ultimes coups de queue tant je sentais mon corps tout entier sous électrochocs, je me mis à éjaculer en elle. En elle. J'en serrai les paupières tant cet orgasme fut puissant. Lorsque je les rouvris, Sylvie se mit à grimacer elle aussi, et à jouir. Ses yeux restèrent dans les miens ; les miens restèrent dans les siens. Moi en elle, jouissant communément, nous ne formions plus qu'un. Une parenthèse d'amour de quelques secondes à l'état brut. Oui, il y a de la beauté parfois dans la baise... Sentant mon sperme chaud gicler et se déverser en elle, ce membre bien raid de jeune homme en elle, Sylvie ne put que se laisser emporter à nouveau par les douces faveurs de l'orgasme. La belle se mit à gémir, soupirer, alors que je demeurais en elle, au plus profond. Son corps tremblait, vibrait, était parcouru de spasmes saccadés. La belle blonde quarantenaire était prise de multiples sensations et d'émotions. Chaud, froid, sérénité, bien-être. Un bouleversement, une révolution par rapport à la monotonie de sa vie sexuelle de ces dernières années. Je la sentais bizarre. Je l'embrassai sur la bouche avant de me retirer. J'étais là, debout, ma queue encore raide et gonflée d'excitation. Sylvie descendit du plan de travail à la vitesse de l'éclair et m'accroupit à mes genoux pour prendre à nouveau ma queue en main et en bouche. Comme si elle ne voulait pas voir cette queue partir. Comme si elle voulait garder à jamais en mémoire la sensation de cette queue dans sa bouche, dans sa main, le goût de mon sperme.

 

- Sylvie...

 

Sylvie avait les paupières fermées. Je vis soudain des larmes en couler.

 

- Ma belle, qu'est-ce qu'il y a ? demandai-je, ne pouvant faire comme si je n'avais rien vu.

 

Voir pleurer cette jolie femme finalement plus sensible que baiseuse me tordit le coeur.

 

- Qu'est-ce qu'il y a ma belle ?

 

- Rien... répondit-elle en se relevant et en me serrant dans ses bras.

 

J'avais ma queue contre son ventre chaud. Son ventre de femme, qui avait hébergé la vie. Et moi, ce jeune homme, contre elle. Sylvie n'osait me regarder. Je me reculai pour parvenir à lui faire face.

 

- Je ne regrette pas, rassure-toi. J'en avais besoin, c'est tout.

 

Son air résigné me brisait le coeur.

 

- Tu es en manque d'amour, c'est ça ?

 

La belle Sylvie éclata en sanglots.

 

- Oui...

 

Je la pris dans mes bras pour tenter de la consoler, tout en sachant que le mal était trop profond pour y parvenir. Je ne savais quoi dire, et moi, jeune homme, ne pouvait être une solution pour elle.

 

- Je ne peux plus continuer comme ça, c'est tout, se confia Sylvie.

 

La belle se dégagea doucement de mon étreinte pour me regarder et m'embrasser du bout des lèvres.

 

Son mascara coulait sur le bord extérieur de cet ange nommé Sylvie. Et quand les anges pleurent, moi aussi.

 

- Tu es un jeune homme bien Thomas. Je ne veux pas t'emmener dans mes problèmes. Tu comprends ?

 

J'avais confirmation à ses paroles de la réciprocité de nos émotions. Il s'agissait bien d'un amour naissant...

 

Je ne sus quoi répondre à cette réponse. Sylvie, les yeux baissés, m'embrassa une dernière fois et relâcha son étreinte.

 

La belle avait mon sperme qui coulait entre ses cuisses, le long de ses bas. Ses seins, ses fesses, sa beauté, tant extérieure qu'intérieure... Comment diable pouvait-on rendre un ange pareil si malheureux ? Le poids des ans et de la vie de couple ?

 

- Aller, rhabille-toi maintenant, mon mari ne devrait plus tarder.

 

- On se reverra m'osai-je à demander ?

 

- Je ne pense pas fut, sa première réponse. On verra... fut la seconde, moins glaçante que la première.

 

Je quittai le domicile de Sylvie dans un dernier baiser, tout juste un "au revoir", la belle ayant sans doute en tête un adieu.

 

J'en restai bouleversé des jours et des nuits durant. Je n'avais plus d'appétit face à la tristesse de la vie. De sa vie. Je n'osai aller au marché durant des mois, de peur de croiser ce bel ange à nouveau. Un ange si beau pour les yeux mais faisant si mal dans le coeur... J'appris, plusieurs mois après, que Sylvie avait finalement divorcé et quitté la région. Un bien pour elle. Un ange libéré de ses démons osai-je penser...

 

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