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AsMoth

Sexe avec ma belle soeur un peu éméchée, abusée ?

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Je me présente : je m'appelle Thomas. J'avais dix neuf ans à l'époque des faits que je vais vous raconter. J'ai un demi-frère, Luc, qui a neuf ans de plus que moi. Nous n'avons pas la même mère. Cela dit, Luc a toujours mon frangin de coeur et s'est toujours occupé de moi comme un grand frère vis-à-vis de son cadet.

 

Luc était marié depuis quelques années déjà à une certaine Adeline. Adeline... comment en parler sans me donner le sourire aux lèvres. Du haut de ma fin d'adolescence, dans les recoins de ma timidité maladive avec la gente féminine, Adeline représentait pour moi la déesse de la beauté. Un corps svelte et musclé, une allure féline. Mon frangin avait tiré le gros lot, d'autant qu'elle était hyper sympa avec moi. J'en avais dix-neuf, elle en avait vingt huit. Une femme, une "vraie" à mes yeux, et pas une midinette de mon âge. Du haut de mes dix-neuf ans donc, j'étais encore puceau. Puceau et sensible à ses charmes... Et quelquechose me disait qu'Adeline le savait parfaitement. Il n'y avait qu'à voir comment mon coeur se mettait à battre en sa présence, à son contact. Son parfum m'enivrait, son regard de bouleversait. Je ne savais pas où me mettre.

 

Ce fameux été, Luc et Adeline m'avait proposé de passer quelques jours de vacances avec eux. Inutile de dire que je n'avais pas hésité longtemps avant d'accepter. Ils avaient loué un petit appartement dans une résidence de vacance dans les landes. J'étais donc de la partie. Tout allait pour le mieux les trois premiers jours, mais les sorties en boîte de nuits finissaient par apporter leur lot de fatigue, et le manque de patience qui allait de pair. Bref, Luc et Adeline se prenaient parfois un peu le bec.

 

Ce fameux soir, je m'étais résigné à ne pas aller en boîte avec eux, me disant que peut-être, le fait qu'ils se retrouvent vraiment qu'à deux leur ferait du bien. Je n'étais pas la source de leurs problèmes, mais j'étais tout de même triste et dérangé pour leurs prises de bec. J'étais parti de coucher depuis moins d'un quart quand je fus sorti brusquement de mon sommeil en attendant un violent coup dans la porte d'entrée, suivi de jurons. Des bruits dans la serrure, encore des jurons de femme. ça devait-être Adeline. J'entendis la porte s'ouvrir, puis claquer. Oups... ça n'allait pas l'air d'aller. Les talons-aiguilles d'Adeline résonnant sur le carrelage de l'entrée. Des clés qui claquent sur une table. Et un grand boum.

 

- Putain merde ! Fais chier !

 

Adeline...

 

Je sortis de mon lit, légèrement paniqué, le coeur se remettant en route alors que j'étais parti pour une bonne nuit de sommeil.

 

J'allumai la lumière du couloir. Où diable était-elle passée ? Tournant la tête à gauche, je la vis. Adeline était là, allongée sur le tapis du salon, sur le dos, complètement saoul.

 

- Bah, Adeu', qu'est-ce qui t'arrives ? T'es bourrée ?

 

- Je me suis disputée avec ton frère. C'est un sale con !

 

Mon début de nuit commençait mal. Je sentais que j'allais avoir droit aux doléances de ma belle-soeur...

 

- Bah pourquoi ? Qu'est-ce qu'il a fait ?

 

- Il est plus occupé à regarder les autres filles que moi ! parvint-elle à aligner, les yeux fermés, la tête titubant à gauche et à droite. Ce connard a même osé offrir un verre à l'une d'elle. Devant mes yeux !

 

Adeline était vraiment en sale état. Heureusement que la boîte de nuit était à un quart d'heure à pied.

 

Adeline était là devant moi, allongée au beau milieu du salon. Saoul, mais belle. Infiniment belle, dans son top noir moulant et sa robe légère qui lui arrivait à la moitié des cuisses. Comment mon frangin pouvait-il diable oser la négliger à ce point là ?

 

- Et en plus, je me suis tordue la cheville. ça me fait un mal de chien !

 

J'étais là, en caleçon, au beau milieu de la nuit, en présence de ma belle-soeur. De cette déesse. Son parfum fleuri me montait déjà au nez et m'enivrait.

 

- Tu t'es fait mal ? Tu es tombée ? Quelle cheville ?

 

Trop de question à la fois pour elle, alors que mon coeur s'emballait, de la voir ainsi sans défense, démunie, telle une proie agonisante. Et quelque part, rien qu'à moi.

 

- La droite, je crois...

 

Me penchant en avant, je me mis à lui passer ma main sur l'endroit hasardeusement indiqué.

 

- Celle- là ?

 

- Oui... peina-t-elle à m'indiquer.

 

Adeline semblait comme prête à s'endormir à-même le tapis du salon. Sa tête allait à gauche, à droite. Sa cheville était si douce... M'accroupissant, je me mis à la lui masser. La lui caresser, tout en douceur. Noble privilège pour moi, qui n'avait jamais touché une fille. Encore moins une femme.

 

- Oh tu es trop gentil toi ! C'est toi que j'aurais dû épouser ! me lança-t-elle avec un sourire aux lèvres.

 

Mon ange, ma déesse, en cet instant si belle et si fragile...

 

Une femme plus âgée que moi de dix ans. Qu'étais-je réellement pour elle ? Un minet... Un gamin ?

 

ça me faisait tout drôle de masser la cheville de cette femme, allongée sur le sol.

 

- Et tu sais quoi ? m'interpella-t-elle soudain, me faisant sortir de ma torpeur.

 

- Non ?

 

- Il ne me baise même plus !

 

Je restai figé. Qu'avais-je entendu ? Etait-ce bien à moi qu'Adeline s'adressait ?

 

- Il ne me baise même plus t'entends ! Il a une maîtresse, J'en suis sûre !

 

La situation dérapait.  Que pouvais-je répondre à cela ? Mon frangin la trompait-elle ? Je n'étais pas au courant. Adeline portait-elle un soutif sous son top ? Celui-ci moulait si bien sa poitrine... Oups, je m'égarais...

 

Et là, sans crier gare, Adeline amena sa main entre ses cuisses pour se gratter, toujours d'un geste hasardeux. Si bien qu'en remontant sa main, sa jupe s'agrippa dans ses doigts. Je crus halluciner. Je crus halluciner... Adeline ne portait pas de petite culotte. Dans la pénombre ambiante du salon, la lumière du couloir mis en évidence le fin duvet de poils blonds de son pubis, les lèvres parfaitement lisses de son fruit.

 

A la vue de son sanctuaire d'amour, de son intimité interdite, je crus que mon coeur allait s'arrêter de battre.

 

- Et j'ai chaud en plus... lança-t-elle les yeux fermés dans le vide, sans doute à elle-même.

 

Moi aussi j'eus soudain très chaud alors que je sentais mon coeur s'emballer dans ma poitrine. Je manquai d'air. Une chaleur arrivant tout droit des enfers, faite de panique et d'excitation mêlées. Je sentis cette puissante vague brûlante de mon monter à la tête, faire battre mon coeur jusque dans mes tempes, à m'en rendre sourd. Adeline, en ce milieu de nuit, ne portait pas de culotte. Elle était bourrée, à moitié en dormie... La belle qui était allongée sur le dos, fléchit soudain ses jambes, ses talons au niveau de des fesses. Sa jupe se retroussa totalement, faisant apparaître ses charmes secrets. Elle se retrouva ainsi parfaitement offerte à mes yeux qui n'osaient regarder et qui pourtant, bravant les enfers de l'interdit, restaient figés sur cette belle chatte de femme.

 

Je manquai de tituber moi aussi tant le sang tambourinait dans ma tête.

 

- Aide-moi à retirer ma veste ! Je crève de chaud !

 

 

Adeline avait les petites lèvres de sa chatte qui dépassaient légèrement des grandes. Lisses et luisantes de mouille. Qu'est-ce qui m'arrivait ? Je sentais ma queue se mettre à gonfler et durcir à une vitesse folle dans mon caleçon. Je bandais si dur que j'en avais mal. Merde... Que devais-je faire ? Partir en courant et me réfugier sous mes draps ? Bien sûr que non !

 

 

- Aller ! me rappela-t-elle à mon devoir alors que j'avais yeux rivés sur son intimité. Heureusement qu'elle était trop bourrée pour s'en rendre compte !

 

Je m'exécutai. Sentant ma queue se raidir avec force dans mon caleçon, j'aidai ma belle-soeur à se mettre sur le flanc afin que je puisse dégager un premier bras de sa veste. Alors que je la manipulais avec difficulté, Adeline leva un genou. Je sentis le haut de son tibia me passer sur la queue.

 

J'hoquetai de surprise. De stupeur. De désir. Ce contact inopiné de son corps contre mes parties me fit bouillir intérieurement tant je bandai fort. Adeline Avait levé un genou qu'elle avait posé pour je ne sais quelle raison sur ma hanche. J'avais sous mon caleçon ma queue en érection totale d'adolescent encore puceau à quelques dizaines de centimètres de sa chatte de femme. Adeline bougea à nouveau sa cuisse. Celle-ci exerça une pression sur mon gland. Je bandais de plus en plus fort. Sa cuisse glissa sur ma queue à nouveau. Je sentis le premier tiers de mon chibre en érection sortir par la jambe droite de mon caleçon.

 

- Et de un ! dis-je de dégageant le bras gauche d'Adeline de sa manche de veste, tentant de reprendre mes esprits et faire comme si de rien n'était. De penser à autre chose. De regarder ailleurs. J'allais m'attaquer à l'autre. Adeline se retrouva à nouveau sur le dos, sa jupe toujours retroussée en haut de son pubis. Comment diable faire comme de si rien n'était ? D'autant que le trait de lumière provenant du couloir arrivait juste dessus. Je me mis à mater sa belle chatte, immobile, de longues secondes durant.

Adeline fut enfin dégagée de sa veste. Elle paraissait à moitié endormie, jambes fléchies, et écartées. Voir la chatte de ma belle-soeur, cette femme ultra sexy dont j'étais amoureux en secret, me bouleversait. Son fruit de femme, si généreusement offert. Passant ma main au-dessus de mon caleçon sans même y réfléchir, je sentis à quel point je bandais fort. C'était la première chatte que je voyais. Elle était là, à portée de doigts, à portée de bouche... Adeline avait les cuisses ouvertes. Je mourrais d'envie de sentir l'odeur de son fruit.

 

- Je t'enlève des chaussures si tu veux ? trouvai-je soudain comme prétexte pour rester là, à dévorer sa belle minette des yeux.

 

- Oui... répondit-elle fébrilement, visiblement sur le point de s'endormir.

 

J'étais là, à genoux en face des cuisses ouvertes de ma belle-soeur.

 

Si offerte, si accessible...

 

J'enlevai ses chaussures une à une, lentement. Je baissai discrètement les yeux au niveau de mon entrejambes. Je bandais comme un âne. Dix neuf ans, mais une queue bien vaillante... Levant furtivement les yeux vers Adeline, je constatai qu'elle gardait les siens fermés. Toujours fermés. Elle voulait dormir, sans nul doute. Mon coeur se mit à frapper fort dans ma poitrine à la seule idée de me laisser tenter. Me laisser tenter à l'envie de passer ma queue et mes boules parla jambe droite de mon caleçon. Les libérer de cette prison qu'était mon caleçon. Analysant la situation, je devais quand même constater qu'Adeline devait bien savoir qu'elle ne portait pas de petite culotte. Qu'elle était en jupe. Et que j'étais là ! Bref, comment pouvait-elle, même bourrée, ne pas se rendre compte qu'elle m'offrait une vue directe sur son intimité ? Je me rappelai alors mes pires cuites et lui accorda, après réflexion, le bénéfice du doute. Un état de fébrilité de la belle Adeline que je me décidai à bafouer. J'osai. D'un geste précis et vif, je retroussai la courte jambe de mon caleçon, me trouvant la queue et les bourses à l'air. Une délivrance. Une délivrance certes, mais ô combien malsaine, et je le savais. Je bandais comme un bête en rut entre les cuisses de ma belle-soeur, bien trop ivre pour s'en rendre compte. Et si elle ouvrait les yeux ? Elle était tellement saoul qu'elle ne s'en souviendrait probablement pas me dis-je pour me rassurer.

 

Je trouvais Adeline si belle, si érotique, si femme...

 

Ainsi accroupi entre ses jambes, je ne résistai pas. Je pris mes vingt centimètres de chair dure à pleine main et osai me les pétrir, quelques secondes durant. Je sentis aussitôt une énergie bestiale monter en moi. Il n'y avait plus de doute : je voulais baiser ma belle soeur et je m'en sentais capable. Mon désir pour cette femme avait pris le dessus sur la morale, la raison.  Un seul point me chagrinait : mon frère. Je me retrouvais ainsi coincé dans une situation aussi délicate qu'infernale, tant pour le corps que pour l'esprit. Je sentais mon gland gonflé à bloc de désir, trempé de mouille. Torturé, je ne pouvais rester ainsi, je ne savais. Je tirai sur la jambe de mon caleçon pour y remballer mon membre en érection, mais elle était bien trop courte désormais. Il me fallait débander avant qu'Adeline ne remarque que je me tenais entre ses jambes en train de reluquer sa chatte comme un gros pervers, la queue bien dressée et à l'air.

 

Je ne sus ce qu'il me prit de dire cela. Sans réfléchir...

 

- Adeline, tu n'as pas mis de culotte.

 

... sans doute une façon de provoquer le destin, d'une façon ou d'une autre.

 

Ma belle-soeur pouffa de rire.

 

- Et alors ? Tu as envie de me lécher la chatte, c'est ça ?

 

Je restai sans voix. Tétanisé. Adeu' était vraiment pompette pour dire des choses pareilles. Et pourtant...

 

- Vas-y ! Ne te prive pas ! Je veux que tu me lèches la chatte ! Si ça te fait plaisir, ça m'en fera aussi !

 

Une fois de plus, mon instinct précéda mon intellect, et plus encore mon sens moral. Adeline avait les cuisses entrouverte. Je les agrippai, les écartai un peu plus et m'accroupis...

 

Ma tête plongea entre ses cuisses. En l'espace d'une seconde à pleine, j'avais ma langue plaquée contre sa chatte.

 

Adeline hoqueta de surprise et se mit à rire, à sourire.

 

- Hmmm... Petit coquin ! Toi au moins tu t'occupes de moi ! Hmmm...

 

Je me mis à dévorer la chatte de ma belle-soeur à pleine bouche, à pleine langue. Son fruit si doux, si lisse, si délicat et son pubis finement poilu qui me chatouillait le nez. Adeline laissa échapper un long soupir. Le lâcher-prise. Je me mis à embrasser langoureusement son minou, veillant à passer ma langue coquine un peu partout. Me retrouver avec la tête entre les cuisses de ma déesse me donnait une envie folle de la satisfaire. La belle se mit à onduler du bassin, à passer délicatement une main dans mes cheveux en gémissant. Ma langue passait sur sa vulve humide en surface, et je n'hésitai pas à la lui fourrer dans la chatte pour la faire fondre. Une chatte au goût divin.

 

- Oh bordel Thomas, où as-tu appris à faire tout ça ? C'est trop booon ! Continue !

 

Un compliment qui me donna un large sourire, avant de me remettre à la tâche. Je me mis à aspirer subtilement les petites lèvres de son fruit, à titiller son clito du bout de la langue.

 

- Ah bordel, oui !! s'écria Adeline qui semblait se dégriser de seconde en seconde.

 

La belle aimait tellement mes caresses qu'elle en leva les pieds au ciel.

 

- Espèce de sale petit coquin ! tu caches bien ton jeu toi avec des airs coincés !

 

Je ne savais pas si je devais prendre les paroles de cette jolie femme éméchée pour argent comptant... ni comme un compliment. Cela me donnait en tout cas l'envie de lui montrer la bête qui sommeillait en moi et qui attendait ce moment depuis très longtemps. Je me mis à la lui lécher la chatte avec plus de fougue encore, faisant clapoter ma langue agile en tous sens. Les chairs tendres et humides de son fruit me rendaient dingues de désir, avec cette envie de les faire fondre et mouiller toujours plus. C'était dingue à dire, mais la tête entre les cuisses de ma belle-soeur, je me sentais comme dans un sanctuaire. A l'abri du reste du monde. Au paradis. L'excitation avait ainsi envahie mon corps et mon esprit. Adeline était offerte à moi. Mes mains perverses se mirent à glisser sur sa poitrine. Je cherchais à lui pétrir les seins tout en lui léchant la chatte. Je voulais que le petit Thomas "coincé" se transforme en bête de sexe, rien que pour elle. Adeline était effectivement seins nus sous son top moulant. Je relevai la tête, la bouche et ses pourtours luisant de mouille divine pour lui baisser les bretelles de son haut et ainsi dénuder sa belle paire de seins. Leurs tétons dardaient déjà d'excitation. J'étais à quatre pattes au-dessus de ma belle-soeur, telle une bête féroce au-dessus de sa proie, agonisante, prête à être dévorée. A la différence près que je voulais dévorer la belle Adeline de désir et d'amour. Prenant son seins gauche à pleine paume, je me mis à lécher et en aspirer la pointe. Les soupirs discrets d'Adeline me laissaient comprendre qu'elle adorait ça.

 

Nous étions tous les deux dans une drôle de situation. Moi, accroupi sur ma belle-soeur à moitié dénudée au beau milieu du salon, anti-chambre de nos actes aussi fougueux que malsains. Sa pénombre ambiante et son halo de lumière en provenance du couloir, telle la lumière divine éclairant notre pécher. Je m'en moquais pas mal en cet instant, pris dans l'action, le corps et l'esprit animés et bouillant d'une énergie bestiale, issue tout droit des enfers. Le corps d'Adeline bouillait lui aussi de cette même énergie obscure et inavouable. Son corps transpirait de désir et s'ouvrait à moi. Le bout de mon membre en rut, si dangereusement dressé entre ses cuisses, glissait contre l'une d'elle. Oui, le petit Thomas était devenu bête prête à tout pour honorer et faire jouir cette belle proie qu'était sa belle-soeur. Une belle-soeur qui ne luttait plus contre ses désirs. Les quelques forces entreprises pour tenter de serrer les cuisses l'avaient abandonnée. Adeline avait les cuisses grandes ouvertes, sentant son fruit réclamer quelquechose de plus. Ma virilité peut-être ? Je n'osai le lui demander, pour autant, la nature se provoqua elle-même.

 

Je me redressai et me mis en position assise sur mes tibias. Adeline ouvrit les yeux et me regarda... en train de me pétrir le manche devant elle.

 

- Tu es si belle Adeline, si belle... lui avouai-je en dévorant ses seins et sa belle chatte du regard.

 

- Hmm... C'est une belle queue que tu as là me dit-elle. Tu es encore puceau Thomas ?

 

La question qui tue. Qui me pétrifia sur place.

 

- Oui...

 

- Et tu aurais envie de me baiser, pas vrai ?

 

- Oui...

 

Mon coeur s'accélérait à tout va.

 

- Alors viens mon beau. Viens fourrer ta belle queue dans ma chatte ! J'en meurs d'envie moi aussi.

 

A l'entente de ces mots, je crus rêver.

 

- Viens, viens en moi. Aller.

 

Comme hypnotisé par ses paroles, je m'approchai de ma belle-soeur, mon chibre en main. Je me mis à passer mon gland trempé de mouille sur sa minette. Mon coeur en cet instant précis battait à tout rompre. Et non, Adeline ne disait rien. Elle me laissait faire, je ne rêvais pas. Alors lentement, je le glissai en elle, sentant toute la chaleur de son fruit englober mon bonbon d'amour. Adeline se mit à grimacer, le bout de ses doigts sur son clito avant d'ouvrir la bouche en grand à la sensation de mon dard épais glissant en elle. Adeline se mit à grimacer, à gémir, sentant mon chibre dur et épais glisser en elle, investir ses chairs. Je me mis à bouger lentement en elle et ne résistai pas à l'envie de l'embrasser sur la bouche de désir. Un baiser intense qu'Adeline me renvoya. J'avais mon sexe en elle et je n'arrivais pas à y croire. Saisissant sa jmabe droite, je me mis à culbuter ma belle-soeur à pleine queue. La belle se mit à râler son plaisir. Ses seins tanguaient au rythme de mes assauts. Elle me donnait l'occasion de devenir un homme ; je voulais lui faire sentir tous les plaisirs de se sentir femme. Adeline avait la chatte chaude et trempée de mouille. Mon chibre épais lui écartelait les lèvres de sa belle chatte rose. Je n'arrivais pas à croire que je baisais ma déesse, celle dont j'étais éperdument amoureux en secret depuis le premier jour où je l'avais vue. La belle Adeline, si femme, si sensuelle, si douce et gentille. J'avais mon membre bien gros et bien dur en elle et je la faisais miauler de plaisir. Il y avait quelquechose que je voulais d'elle sans savoir trop comment m'y prendre : ses fesses. Je m'allongeai sur mon flanc droit de façon à ressentir le contact avec elles. Je sentais ses fesses douces et rebondies s'écraser contre mon bas ventre et ma cuisse droite à chaque coup de queue. Mon dieu quel pied ! La sensation des fesses d'Adeline m'électrisait le bassin tout entier à chaque pénétration. La sensation de ma queue glissant en elle, dans sa chatte si chaude et si humide ; la sensation de son cul de rêve s'écrasant et claquant contre moi.

 

- Oh oui tes fesses Adeline ! Oui ! ne pus-je m'empêcher de gémir entre les dents.

 

Bien que bourrée, la belle avait la présence d'esprit de se caresser le clito du bout des doigts. Ses tétons roses dardaient vers le ciel, longs et épais.

 

- Tu aimes mes fesses, pas vrai ?

 

Sa question me surprit.

 

- Oh oui ma belle...

 

- Tu t'es déjà branlé en pensant à elle ?

 

L'alcool qui circulait dans le cerveau de ma belle-soeur lui faisait poser de drôles de questions, pour le moins franches et directes.

 

- Oui fut ma réponse.

 

- Alors aide-moi à me relever. J'ai envie que tu me prennes en levrette.

 

Dieu, quel électrochoc !

 

J'aidai donc Adeline a se relever et l'approchai jusqu'à la chaise située derrière moi pour qu'elle s'y appuie. La belle se mit alors en position, sa jupe retroussée sur son dos, ses fesses de rêve délicieusement cambrées, prête à se faire prendre selon ses désirs. Je ne résistai pas à l'envie de lui coller un bisou sur son cul de déesse tout en me pétrissant de manche, excité à lidée de prendre ma belle-soeur de la sorte. Le buste sur l'assise de la chaise, Adeline se mit à se caresser la chatte du bout des doigts. Excité comme un diable, je me mis en position derrière elle et lentement, je glissai mon dard épais en elle. Nous nous mîmes tous les deux à gémir notre plaisir. Je me mis à culbuter ma belle-soeur à pleine queue. Ses fesses de rêve se mirent à claquer.

 

- Oh oui ta queue ! oui ! Baise-moi comme ça, doucement...

 

La levrette était vraiment une sensation magique. Intense. Dans cette position, j'étais plus long et gros que jamais. Difficile pour ma première fois de baiser ma belle-soeur plus vite que je le faisais, au risque de lui éjaculer massivement dans la chatte. Adeline se redressa de sur sa chaise, y posant les avant-bras et cambrant ses fesses plus encore. Mes mains vinrent chercher ses beaux nibards. Je me mis à l'embrasser dans le cou. Ses seins étaient lourds de désir. J'avais les parties les plus intimes du corps de ma belle-soeur en contact avec moi. Je vivais comme une sorte de communion charnelle avec elle. Je sentais mon chibre glisser en elle, au plus profond, pour ne faire qu’un. Je me redressai et baissai les yeux pour admirer son cul de déesse. La vue de ma queue disparaissant entre ses fesses rebondies me rendait fou.

 

- Oh Adeline, j'aime tellement ta chatte... tes fesses !

 

- Hmmm oui. Baise-moi ! m'encouragea-t-elle.

 

 

 

Sauf que ça faisait beaucoup d'un coup pour moi...

 

Les fesses de ma belle-soeur, la sensation de celles-ci s'écrasant contre mon bas ventre et de ma queue glissant dans son antre d'amour... Les gémissements de plaisir d'Adeline en contradiction complète avec l'interdit que nous bravions ; que je bravais à la culbuter de la sorte. Oui, tout cela réunit faisait beaucoup pour le jeune puceau que j'étais. J'avais mes mains posées sur les fesses de ma déesse de belle-soeur et chaque pénétration me faisait fondre le gland de plus en plus. Je sentais que j'allais jouir, d'une seconde à l'autre. Jouir... Comment faire ? Comment la prévenir, l'en avertir ? Je ne pouvais valablement pas éjaculer dans la chatte de ma belle-soeur, son sanctuaire sacré, réservé à mon frère. Pourtant, dieu savait que j'en mourrais d'envie. Je gémissais et grimaçais mon plaisir, mon envie d'exploser. De faire de moi un homme. Adeline se contentait de fermer les yeux et de gémir, me sentant en elle plus gros et dur que jamais.

 

- Je vais jouir ! lâchai-je soudain.

 

- Jouis sur mon cul ! rétorqua la belle dans la foulée.

 

Oui, elle le savait. Elle me savait au bord de l'explosion. Pétrissant ses fesses de déesses tout en lui prodiguant mes ultimes coups de queue, je sentis soudain l'électrochoc de l'orgasme de faire disjoncter le gland. Je lâchai un cri. Je voulais tellement jouir en elle. Alors, mon chibre à moitié en elle, je me laissai éjaculer, à une ou deux reprises, avant de me retirer et de me pétrir le manche pour éjaculer à grands jets sur les fesses de ma déesse. Je me mis à râler mon plaisir comme une bête en rut et à arroser les fesses d'Adeline qui se mit à lâcher de longs soupirs à la sensation de mon sperme chaud giclant encore et encore sur son derrière.

 

Aussitôt mon orgasme terminé, Adeline passa sa main gauche sur ses fesses, comme pour constater à quel point j'avais pu être généreux.

 

- Adeline... C'était si bon.

 

- Oui Thomas...

 

Ma belle-soeur parvint alors à se lever. Nous ne sachions pas trop quoi nous dire. Adeline, les fesses encore couvertes de mon sperme, se contenta de me faire un baiser sur la joue et de me souhaiter bonne nuit, avant de filer dans sa chambre.

 

Je me sentais tout con, debout au milieu du salon, les fesses à l'air, la queue entre les jambes. Un "coup vite fait" pour elle, ma première fois pour moi... Passant devant sa chambre dont la porte était restée entrouverte, j'y vis Adeline allongée au beau milieu, par-dessus les draps, les fesses dénudées. Elle ronflait déjà. Mon frangin la surprendrait donc dans cet état quand il rentrerait... A elle de gérer.

 

Le lendemain matin au petit-déjeuner, tout fut comme si de rien n'était pour Adeline. Elle ne me regardait pas différemment de l' "avant". Mon frangin non plus, tant vis-à-vis de moi que vis-à-vis d'elle. Le séjour se poursuivit et se termina dans une bonne ambiance. Adeline me sembla moins chiante avec mon frangin depuis qu'elle avait tiré un coup avec moi. Sans doute une idée de ma part...

 

Il n'y eu pas d'autres fois avec elle. Pas de remarques ou d'allusion de sa part. Une parenthèse temporelle... Qui savait... Peut-être se disait-elle avoir rêvé cette relation interdite ?

 

Pour ma part, je ne regardais plus tout à fait Adeline comme avant. Je la désirais toujours autant qu'avant, mais différemment. Pas comme un amoureux secret, mais comme un jeune homme ayant une envie terrible de la baiser à nouveau...

 

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Et bien il fait chaud 

J ai adoré ce récits 

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Elle n'écoute pas les conseils qu'on répète sans arrêt :

A consommer avec modération :good::clap:

 

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cette histoire-ci, c'est pareil ... ça ne peut pas en rester là. surtout si le frere ne s'occupe plus d'elle !!

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ouais t'as raison Mister_K ... quel con ce frangin alors !! :-D:-D:-D il a de la merde dans les yeux ma parole ! quelle feignasse ! hihihi !

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oh mais... maintenant que tu le dis... mais oui !! mais... tout s'explique !! les posters de freddy mercury dans sa chambre à l'époque, le canard vibrant dans la salle de bain... mes douleurs rectales au petit matin... diantre !! :-o

:-D

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il dommage d'arreter une histoire en si bon chemin ... je ne parle pas de tes douleurs rectales !!

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Très beau récit, qui met de bonne humeur en le lisant et je dois avouer avoir passer la main au sud... ;)

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Merci beaucoup ! Si ça t'a fait plaisir alors objectif atteint ! :-)

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Oui carrèment...

Petite question, ils sont toujours ensemble et il n'y a jamais eu d'autres occasions ou rapprochement ? :D

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Et non malheureusement. .. mon frère a changé de bord et préfère maintenant les poneys ... qu'il est con ce frangin. Quant à son  ex bah. .. choc psychologique se faisant, elle est devenue bonne soeur ! Hi hi hi ! :-D

(Je délire sorry ) :-)

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Ah ah !

Ma réplique favorite :  Et alors ? Tu as envie de me lécher la chatte, c'est ça ?

La Perspicacité même en étant ivre, c'est la classe !

Je vois que ça été posté un 1er avril... Fantasme ?

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Merci beaucoup Citrovert. Comme quoi on peut avoir des paroles sympas sans pour autant manquer de piquant ! ;-) :-D:-D:-D

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1er avril ou pas...  C'est une histoire bien raconter.  

J'ai apprécié la lire.  

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Merci Melia :-) n'est ce pas la le plus important ? Se laisser transporter...

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Invité

Beau texte et belle première fois. Abusé ? Peut-être mais circonstance atténuantes obliges et surtout ici, raconter l'interdit est recommandé.

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Abusée moi je trouve pas, saoule s'est  libérée je dirais, elle avait des envies qu'elle n'assouvissait plus et s'est juste laissée aller.

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n'en sommes nous tous et toutes pas réduits à cela... la lutte sans merci se tenant entre ce que nos corps réclament et ce que bride la raison...

bon, on n'est pas des zanimo non plus... sinon les zoo ressemblaient à des boîtes à partouze... :-D:-D:-D ... maaaaiiis... vous m'avez sans doute compris...

PS : vivement être réincarné en lapin... :-D

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