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AsMoth

La responsable juridique

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Bonjour, je me présente : je m'appelle Thomas et j'ai vingt-six ans. Issu d'une école de commerce, j'ai fini par trouver un job de chargé d'affaires pour une grande entreprise du bâtiment. Des contrats conclus avec des professionnels, souvent de l'ordre du million d'euros. De beaux contrats "juteux" avec tous les risques qui vont avec...

 

Mon bureau était d'ailleurs situé non loin du service juridique, en charge de nous aider dans les risques de contentieux. A la tête de ce service : la belle Christine, quarante ans, mariée, mais encore sans enfants. Une juriste dans toute sa splendeur et un brin carriériste : droite, stricte, toujours tirée à quatre épingles... Mais divinement sexy. Il n'était pas facile de la faire rire -certains l'appelaient même Cruella - mais allez savoir pourquoi, le courant passait plutôt bien entre nous. Je n'étais pas au suivi des plus gros contrats de la boîte et mes problèmes juridiques n'étaient pas de grande importance. Peut-être était-ce pour cela qu'elle ne me voyait pas trop d'un mauvais oeil.

 

Jusqu'à ce fameux jour.

 

Le temps n'était plus aux sourires courtois et plaisanteries auxquelles elle s'efforçait de sourire. J'avais un gros souci sur l'un de mes contrats et le client commençait déjà à faire des siennes. Un rendez-vous avec Christine avait été programmé par sa secrétaire. Il était près de vingt heures quand la "belle Cruella" m'appela pour entrer. J'étais un peu blasé de devoir rester aussi tard, surtout que nous étions vendredi, la veille des congés scolaires, et qu'il n'y avait plus personne dans la boîte.

 

Christine me pria donc de m'assoir devant elle à son bureau après une poignée de main courtoise. A ma grande surprise, la juriste n'avait pas l'air excédée de devoir bosser si tard. La pression de relâchant à mon niveau, je remarquai qu'elle portait un chemisier mettant en valeur sa belle poitrine, lui valant aussi le surnom dans la boîte de "miss gros nibards". Un surnom salace propre au monde du BTP qui manqua de me faire rire nerveusement en les admirant.

 

La réunion entre Christine et moi suivait donc son cours mais plus les minutes avançaient, moins j'étais concentré sur ce qui se disait. Je trouvais la jolie rousse hyper belle, hyper sexy, et depuis plusieurs mois déjà, il me semblait avoir une sorte de trouble entre nous. Sa façon de me parler en me regardant dans les yeux, de m'écouter quand je parlais d'un air attentif, pour ne pas dire captivé. Oui, nous nous parlions, mais pour ma part, mon coeur battait fort dans ma poitrine. Et lorsque la belle quarantenaire me souriait, j'en perdais mes moyens, tant je la trouvais belle. Et plus que belle… Quelquechose dans son attitude, dans sa façon de se vêtir, de vous regarder, lui donnait un air de salope. Pas au sens péjoratif du terme ; cette femme avait quelquechose qui exacerbait votre libodo sur le champ, vous mettait de suite en tête des idées des plus salaces, une envie terrible de (la) baiser.

Le fil de nos échanges nous amena à devoir consulter le fameux contrat commercial.

 

- Il va falloir entrer dans les détails Thomas... dit-elle.

 

Constat qui me fit me lever de ma chaise pour contourner le bureau et la rejoindre. Je sentis immédiatement cette proximité pourtant nécessaire la troubler. Les effluves de son parfum fleuri me montèrent au nez.

 

- Il est chiant ce contrat, pas vrai ? dis-je pour détendre l'atmosphère.

 

Dans ma folie, je ne résistai pas à poser ma main sur l'épaule de Christine. Etait-ce un blasphème que d'avoir un contact physique, même si mineur avec notre responsable du service juridique ?

 

La belle éclata de rire face à mon manque d'envie de bosser ce maudit dossier, et garda un sourire nerveux alors que je m'asseyais sur le bord du bureau. J'étais là, juste à côté d'elle. Je me penchai pour regarder le document en papier censé être l'objet de toutes nos attentions. Je sentis surtout mon genou toucher le sein gauche de Christine. La belle rapprocha le contrat. Ce fut son coude qui se retrouva contre ma cuisse. Un coude qu'elle ne bougea pas de place... malgré ce contact "interdit" entre professionnels. Christine se mit à lire la partie litigieuse de ce fameux contrat. Je l'écoutais à peine. Si proche d'elle, je la dévorais des yeux, et quelquechose me disait qu'elle le savait. Bien que n'écoutant qu'un mot sur deux, je sentais bien que sa lecture n'était pas fluide. La belle rousse avait-elle le coeur qui battait aussi fort que le mien ? Mon coeur manqua subitement de l'arrêter de battre lorsque, croisant les jambes, Christine ne fit que retrousser sa jupe noire et ouvrir la fente de celle-ci. Je vis alors la lisière de son bas noir apparaître, et même une petite partie dénudée de sa cuisse. Je réalisai que cette bombe sexuelle portait des bas sous sa jupe et non des collants. Un élément de détail pour certain mais qui fût comme une révélation pour moi. Coquette certes, mais sexy, jusque dans sa lingerie.

Un élément de détail qui me fit bander sur le champ.

 

- On s'en fout de cette clause Christine ! dis-je alors en lui souriant et en la fixant dans les yeux.

 

La belle souffla...

 

- Ouais, je sais, tu as raison, il est chiant ce contrat, se relaxa-t-elle soudain en posant son coude sur ma jambe.

 

Je n'y croyais pas tant je ne m’attendais pas à tant de proximité vis-à-vis d’elle. Je commençais à paniquer. Quelle porte était-elle, étions-nous en train d’ouvrir, là, tous les deux seul à seule au bureau ?

 

- Tu as de jolies boucles d'oreilles lui dis-je en y portant mes doigts.

 

L’improvisation de la drague n’était pas mon fort, loin de là. Pour autant, la belle se laissa faire.

 

- Merci.

 

La façon dont nous nous dévorions l'un 'autre du regard fit le reste. Christine se mit à me parler des contraintes et des délais de ce maudit contrat en agitant les mains dans le vide, avant de poser sa main gauche à plat sur le dessus de ma cuisse.

 

Oui, à cet instant, mon coeur battait à tout rompre, et je sentais mon sexe durcir et gonfler d'excitation dans mon jean trop serré tant j'en avais mal au sexe.

 

Christine et moi nous mîmes à délirer sur les exigences de la direction, on se souriait bêtement. La main de la belle rousse glissa sur ma cuisse, remontant vers mon entrejambes, l'air de rien. Je posai ma main sur son épaule que je me mis à masser, caresser, au nom du non-stress au travail. Mes yeux fixait la cuisse à moitié dénudée de Christine, qui savait très bien où me regard était posé. Je sentis soudain le bout de ses doigts passer sur le bout de ma queue. La belle juriste avait-elle la confirmation de ce que j'éprouvais en cet instant pour elle ? Sauf qu'elle garda sa main sur mon sexe.

 

- Et en plus il fait chaud ici dis-je en passant le bout de mon index dans l'encolure de son chemisier entrouvert.

 

Nous échangeâmes un regard et un sourire complices. Il était tard, nous savions qu'il n'y avait plus personne depuis plus d'une heure. Pour autant, je fis semblant de regarder aux alentours. Christine en profita pour poser ma main sur mes parties gonflées d'excitation, me confirmer ainsi ce que nous voulions tous les deux.

 

- On dérape un peu là non ? me demanda-t-elle.

 

Pour seule réponse, je posai le bout de mes doigts sous son menton et me penchai pour l'embrasser. Un baiser que la belle me rendit, avec sa bouche, avec sa langue, accompagné d'un profond soupir.

 

- Mon dieu, qu'est-ce qu'on fait ? me demanda-t-elle entre deux baisers intenses.

 

Nous nous embrassions, toutes langues dehors. Je portai ma main gauche à ses seins, si généreux et galbés, sur lesquels je n'avais pu m'empêcher de lorgner.

 

- C'est si mal, si mal... dit-elle en commençant à déboutonner ma chemise.

 

Christine finit par se lever de sa chaise. Mes mains se posèrent sur ses fesses rebondies et remontèrent en retroussant sa jupe au passage. Christine me bloqua contre son bureau, levant son genou droit qu'elle posa dessus. La belle rousse semblait très excitée. Pour le moins impatiente, elle prit ma main pour venir la coller sur sa cuisse. Ses baisers devinrent fougueux. Son souffle chaud me caressait le visage. La juriste stricte et propre sur elle devenait une autre femme. Une femme remplie de désirs. La voyant ainsi excitée et semblant demander plus de mes mains timides, j'osai. Je fis glisser celles-ci sur ses fesses lisses, chaudes et rebondies. Sa jupe ainsi retroussée, la belle Christine en avait les fesses à l'air dans son propre bureau, mes mains coquines glissant dessus pour les lui caresser.

 

- Oh Christine... gémis-je alors que la belle ondulait son bassin pour frotter sa chatte contre mes parties.

 

La belle me sourit et ria de notre folie, avant de m'inviter à m'allonger sur son bureau.

 

Je n'y croyais pas. La "coinços sexy" devenait panthère, tigresse.

 

Christine déboutonna mon pantalon et baissant mon boxer juste ce qu'il fallait, elle en sortit mon membre en rut. Et là, sans avoir rien à demander - bien au contraire ! - la belle se  mit à me pétrir le manche avant de se pencher en avant  pour le prendre en bouche. Me caressant les boules d'une main, me tenant le manche de l'autre, la belle se mit à me pomper le dard en gémissant. J'arrivais à peine à croire que je me faisais sucer par la responsable juridique dans son bureau, et le pire était qu'elle semblait adorer ça. La belle se mit à lécher mes vingt centimètres de chair dure et gonflée sur toute leur longueur, avant de faire glisser mon gland en fusion dans sa bouche.

 

- Tu me rends folle Thomas, tu sais ça ? avoua-t-elle en me renvoyant la responsabilité de la situation infernale dans laquelle nous nous retrouvions.

 

En attentant, je n'avais pas eu grand chose à faire.

 

La belle se mit à me lécher et me sucer le sexe avec avidité. Le silence ambiant était bercé des gémissements et bruits de succion de la belle rousse en chaleur. JE sentais mon gland glisser entre ses lèvres sensuelles, le de sa langue, qu'elle n'hésitait pas à sortir de sa bouche pour me lécher le dard tout en me soutenant le regard. Non, je n'aurais jamais imaginé cela de notre responsable juridique. La belle Christine me suçait à merveille. Elle me faisait fondre la queue. Elle déboutonna son chemisier avec habilité tout en s'y employant, se retrouvant en soutif dans son bureau.

 

- Purée Thomas, ta belle queue m'excite ! On aurait dû se laisser tenter depuis si longtemps... avoua-t-elle avant de me reprendre en bouche.

 

- Viens, lève-toi me dit-elle en me tenant par la queue.

 

Nous fîmes le tour du bureau. Christine en profita pour se débarrasser de son chemisier et se mettant à genou devant moi, elle baissa mon pantalon et mon boxer jusqu'à mes chevilles, se retrouvant avec ma queue en en érection pile en face des yeux.

 

[…]

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ça arrive ça arrive :-D:-D:-D

 

[...]

 

La belle prit mon chibre en main et se remit à me sucer. J'avais une vue directe sur son décolleté, sur ses gros nibards encore emprisonné dans son soutien-gorge. Etant ainsi debout, je bandais plus gros, plus fort que jamais. Je remplissais la bouche goulue de la belle juriste qui m'avait fait tant fantasmer.

 

- Hmmmm Ta belle queue. Tu m'excites tellement Thomas. J'ai la chatte toute mouillée, tu le sais ça ? me demanda-t-elle avec ses mots pour le moins crus.

 

Je me mis à tapoter le bout de son nez avec mon gland, à le passer sur ses lèvres. Christine était plus chaude que jamais, continuant de me lécher la queue en me regardant et en se pétrissant les seins. Mon excitation monta soudain d'un cran quand je vis Christine dégrafer enfin son soutif. Sa belle paire de nibards m'apparût. Gros, parfaitement galbés, avec de gros et longs tétons témoignant de l'excitation de leur propriétaire. Dieu qu'il y aurait des collègues qui auraient aimé être à ma place en cet instant, ne serait-ce que pour regarder.

 

- Mes seins t'excitent, pas vrai ? me demanda-t-elle en se les pétrissant à pleines paumes devant moi, mon gland en fusion glissant sur ses lèvres.

 

La juriste avait décidément le don de savoir mettre le feu.

 

- Oh oui, ils sont si beaux, si gros !

 

- Alors fourre-moi ta belle queue entre eux deux ! répondit-elle du tac-o-tac en laissant s'échapper un long filet de salive de sa bouche.

 

Je sentis ma queue fondre et bander à mort tout en même à la sensation de celle-ci emprisonnée entre les seins chauds de Christine. Ses tétons rose clair se mirent à darder plus encore, contrastant avec ses mamelons brunâtres. Je me mis à allonger de longs coups de rein entre les seins de la belle rousse qui se mit à gémir avant de tirer la langue pour me lécher le gland comme elle le pouvait. Une queue qui semblait la rendre folle et qui la conduisit à s'accroupir pour la reprendre en bouche le plus loin possible dans sa bouche. Oui, Christine était très excitée. Elle n'hésita pas à glisser sa main droite entre ses cuisses pour se caresser la minette tout en me suçant. Quel tableau de folie ! Jamais je ne me serais cru capable de mettre une femme dans un tel état d'excitation, a fortiori une si belle femme qui pouvait se payer tous les hommes du monde.

 

La rousse sexy finit par se relever, une lueur aussi vicieuse que déterminée dans

son regard.

 

- Tu vas me baiser maintenant que tu es bien dur ! me dit-elle.

 

Sur ces mots, je ne répondis pas. Je me contentai, sans même réfléchir, d'inviter Christine à pivoter sur elle-même et de se pencher en avant en prenant appui sur son bureau pour me présenter son cul. La belle me sourit en gémissant, façon de dire, "ah toi, tu sais déjà ce que tu veux...". Hypnotisé par ses charmes, je débarrassai la juriste de sa jupe, lui laissant son string violet assorti à son soutif.

 

- Oh mon dieu, quel cul ! me pus-je m'empêcher de jurer, ce qui fit rire la belle panthère.

 

Christine posa alors son genou gauche sur le bureau, m'offrant sa chatte et ses fesses, prête à me recevoir en elle. La salope tira son string sur le côté, tout en écartant les lèvres de sa chatte. Sa belle vulve rose et luisante m'apparût, de même que sa rondelle bien lisse. La nudité de son corps contrastait avec ses bas noirs, terriblement sexy. Mon chibre en rut bien en main, je vins coller mon gland en fusion contre sa vulve, si chaude, si humide. Nous sentîmes tous deux mon bonbon d'amour glisser en elle. Christine avait la tête posée sur le bureau, et le bout des doigts de sa main droite caressaient déjà son clito. Alors, lentement, je me glissai en elle, centimètre par centimètre. Ma queue bien grosse et bien dure vint remplir son antre. Christine grimaça et lâcha un profond gémissement. La belle se redressa, en appui sur son avant-bras, offerte comme une chienne en chaleur, chatte et fesses bien offertes. Je n'arrivais pas à croire ce qui était en train de se passer, là, sous mes yeux. J'étais bel et bien en train de culbuter la responsable juridique ultra sexy de la boîte. La belle se mit à miauler de plaisir. Ma queue luisait de mouille. Elle était en effet dans tous ses états. Je me mis à allonger mes coups de queue en pétrissant son nibard gauche. Baiser cette belle salope en levrette me faisait bander comme un âne.

 

- Oh oui, baise-moi mon beau ! Défonce-moi la chatte ! s'exclama-t-elle.

 

Je n'arrivais pas à croire que je défonçai la chatte de cette belle quarantenaire  à pleine queue et qu'elle me gémissait "baise-moi ! baise-moi !". Jambe droite tendue, genou gauche sur le bureau, la belle juriste était en effet plus offerte que jamais. Ses gros nibards tanguaient au rythme de mes coups de queue, que je voulais longs et profonds. Ses tétons étaient raids d'excitation, comme si ses seins étaient parcourus par un courant électrique permanent. Je n'arrivais pas à croire que cette belle salope qui nous faisait tous chier du matin au soir avec ses exigences était capable de s'offrir de la sorte, d'être aussi avide de baise.  La toute puissante Christine se prenait en tout cas mes puissants coups de queue dans la chatte, qui venaient la lui remplir. Et ce qui m'impressionnait encore plus était de voir la rondelle et la chatte toutes deux parfaitement lisses de notre responsable juridique. Coquette et sexy jusque dans les moindres détails. Baiser cette quarantenaire sexy en chaleur qui portait des bas était drôlement plus excitant que de coucher avec les midinettes de mon âge. Une bonne queue : voilà ce que notre responsable juridique recherchait.

Allongeant mes coups de queue, celle-ci sortit de la chatte de Christine par inadvertance.

 

- Oups... Tu mouilles tellement qu'elle a glissé.

 

- Ah oui ?

 

Christine en profita pour s'accroupir et prendre ma queue luisante de cyprine dans sa main, avant de la prendre en bouche. La belle rousse lâcha un profond gémissement de plaisir.

 

- Hmmm... J'adore le goût de ma chatte !

 

Je n'en revenais pas. N'avait-elle aucune limite.

 

La belle rousse me pompa la queue quelques instants, avant de se relever.

 

- Remets la moi maintenant !

 

Christine en profita pour laisser descendre son string jusqu'en bas de ses chevilles, et penchée en avant, accoudée sur le bureau, elle me présenta son cul à nouveau, cette fois-ci les cuisses serrées. Ses belles "grosses" fesses rebondies, si généreusement offertes... Hmmm... J'enfournai mon dard dur et épais en elle et posant mes mains sur son cul, je me mis à le lui pilonner. Je me mis à baiser ma collègue le plus en profondeur possible. Je sentais ses fesses rebondies s'écraser contre le haut de mes cuisses. Ainsi offerte, la belle juriste en prenait plein la chatte. Ses seins frottaient contre le bureau. La belle miaulait et mouillait de plus belle tant ma queue ressortait toute luisante de mouille de sa belle chatte.

 

- Oh bordel oui ! C'est bon ! Continue ! 

 

Je sentais mon gland en fusion percuter le fond de sa bonne chatte si chaude, tendre. A quarante ans, la belle rousse savait bien s'offrir. Elle en avait la rondelle à moitié dilatée. Je bandais comme un âne à défoncer la chatte de cette responsable de service réputée pour emmerder son monde. Elle était pourtant plus femme que jamais à l'offrir de la sorte, ne portant plus que ses bas et talons-aiguilles noirs.

 

Décidé à la baiser dans un maximum de positions, je me retirai et l'invitai à s'allonger sur son bureau. La belle se laissa guider ma décida elle-même de s'y positionner sur le flanc gauche, en chien de fusil, sa chatte et son cul au bord du bureau. Toujours aussi excitée, Christine écartait ses fesses d'une main. Elle m'offrait une vue directe sur sa rondelle, là où beaucoup de filles de mon âge se seraient montrées plus pudiques. Alors que je me pétrissais le manche en attendant de le lui enfourner à nouveau, je me demandai sérieusement si la belle juriste ne voulait pas sans oser le demander explicitement que je lui fourre ma queue dans son petit trou. J'étais si excité que cette façon de s'offrir à ma queue sema le doute en moi. Je n'avais jamais pratiqué la sodomie, et faisant glisser mon gros gland luisant de mouille sur sa rondelle, j'eus un moment de doute avant de le diriger à nouveau vers son beau macaron chaud et humide. Un contact interdit de mon gland sur sa rondelle qui fit hoqueter Christine. Levant mes yeux vers elle, je la vis rougir sur le champ.

 

- Tu aimes aussi mon cul, pas vrai ?

 

- Oh oui ma belle, tes fesses m'excitent tellement.

 

Une main agrippée sur l'une d'elle, je me mis à pilonner la chatte de la belle quarantenaire sexy. Dans cette position, les cuisses ainsi serrées, je sentais ma queue bien gonflée et bien dure lui ramoner la fente. Ses fesses tendres s'écrasaient contre  le haut de mes cuisses et mon bas ventre à chaque pénétration profonde. La belle hoquetait, gémissait de plaisir. Je regardais ses gros nibards tanguer à chacun de mes puissants coups de buttoir. Ses fesses se mirent à claquer dans un bruit sec et sourd. Christine se les caressait d'une main et ses seins de l'autre.

 

- Oh oui ! Bais-moi fort comme ça ! oui ! J'aime ça !  me lança-t-elle en serrant les dents et soutenant mon regard.

 

Et comme si cela ne suffisait pas, comme si j'étais en perpétuelle recherche d'une façon de baiser la belle Christine toujours plus en profondeur,  je levai mon pied droit pour le poser à-même le bureau, cuisses ouvertes, histoire de fourrer mon membre en rut le plus loin possible dans la chatte de Christine. La belle quarantenaire ainsi culbutée et chevauchée se mit à lâcher des râles de plaisir. Ses tétons dardaient comme des pis. Dans cette position, ma queue était plus longue, grosse et dure que jamais. Je pilonnais les chairs tendres et humides de la bonne chatte de Christine qui accompagnait les allers-retours de mon dard en elle, en particulier mon gland, plus gonflé que jamais.

 

- Oh oui continue ! Comme ça ! Je vais jouir ! je vais jouir ! gémit-elle entre ses dents, telle une proie à l'agonie.

 

Son cul, sa chatte, ses seins, tout était à ma disposition, à la portée de mes doigts. Dans sa chatte, sur les parties les plus intimes de son corps, Christine pouvait me sentir partout. Elle se mit soudain à crier, à jouir, ma queue profondément enfouie dans sa chatte. Je ne cessai pas de la lui pilonner pour autant, je me contentai juste d'en réduire la fréquence, privilégiant de lourds et longs coups de rein. La belle qui avait les joues rouge cramoisi se mit à éclater de rire :

 

- Putain de bordel de merde, c'est trop bon ! Hmmmm

 

Un langage pour le moins familier auquel je n'étais pas habitué venant d'elle, mais qui témoignait de l'intensité de son plaisir, de son orgasme dont les bienfaits se répandaient désormais dans son corps tout entier, y compris dans sa tête.

 

Lentement, je retirai mon membre luisant de mouille de sa bonne chatte, mais la belle quarantenaire ne semblait pas en avoir fini avec moi. Christine se mit en effet sur le dos, cuisses écartées, n'attendant plus qu'une chose : que je la prenne en levrette. Mais sur le dos, la belle avait ses nibards bien galbés, gonflés d'excitation.

 

- Aller mon beau, je veux que tu me baises encore ! ça m'excite tellement de me faire prendre là, sur mon bureau ! Fourre-moi ta belle queue !

 

J'avais cette déesse bien offerte juste devant moi, ses tétons raids comme des piques, seulement vêtue de ses bas noirs et de ses talons aiguilles. Je me mis en position entre ses cuisses et glissai à nouveau mon chibre en elle, d'une seule traite. Je me mis à baiser la belle responsable à pleine queue. Je lui pilonnais la chatte de tout le long de mon chibre tout en lui pétrissant les seins. Christine continuait de miauler son plaisir.

 

- Oh bordel ! oui ! C'est trop bon !

 

Cuisses grandes ouvertes, la belle se donnait comme jamais à moi, ce jeune homme de vingt-six ans... Je sortis ma queue de sa fente pour venir titiller sa vulve et son clito à l'aide de mon gland en secouant mon chibre énergiquement dessus. Une petite caresse qui fit fondre et râler la belle panthère plus encore de plaisir. J'étais sacrément fier de la mettre dans cet état là. Caresser la chatte de la belle en surface avec le bout de ma queue me donnait l'impression de l'avoir à ma disposition, à ma merci, ma proie gémissante au bout de mon fusil. Je me remis à la culbuter de plus belle en la tenant par les cuisses histoire d'avoir une bonne accroche. Je sentais mon gland s'écraser contre le fond de sa bonne chatte et devenir de plus en plus sensible. La chatte de cette femme de quarante ans était si douce, si chaude, si humide... Christine, notre Christine, notre "Cruella" me regardait droit dans les yeux, gémissant son plaisir, surveillant surtout le moment où j'allais enfin jouir. Car elle le savait, elle le sentait. Il fallait dire que je faisais de moins en moins le malin, tant je sentais mon sexe au bord de l'explosion.

 

- Oh oui mon beau, tu me baises si bien, oui ! m'encouragea-t-elle à poursuivre.

 

Sa bonne chatte clapotait de mouille à chacune de mes pénétrations.

 

- Je vais jouir Christine la prévins-je alors simplement.

 

La belle ne me dit rien. Pas de consigne particulière. Que devais-je faire ?

 

Dans le doute, je me retirai.

 

- Viens, viens à ma place me dit-elle en se levant du bureau sur lequel je m'allongeai à nouveau.

 

La belle m'enjamba pour un beau soixante-neuf.

 

N'avait-elle pas compris que j'allais jouir.

 

La belle, très judicieuse, me prit en bouche pour me sucer la queue à pleine bouche, histoire de recueillir dans celle-ci le goût de sa chatte et ne tarda pas à se redresser. Prisonnier de la belle juriste, je me retrouvai contraint et forcé de lui lécher la chatte, la tête bloquée entre ses cuisses et le bureau.

 

- Hmmmm, oui lèche-moi bien la chatte mon beau parvins-je à entendre, allongé sous le capot de cette furie.

 

Je lui lapai la vulve à pleine langue, fourrais celle-ci à l'intérieur de sa chatte qui ne cessait de mouiller. Et comme si cela ne suffisait pas, Christine ondulait du bassin. Bordel que j'étais excité là-dessous. J'avais la tête dans son cul, contre sa chatte. La belle juriste gémissait.

 

- Oh oui mon beau ! Lèche-moi comme ça ! Oui ! Ouiiii !

 

Quel tableau cela devait être vu de l'extérieur ! Cette responsable de service enfourchant le jeune homme que j'étais, tous deux sur son bureau. Elle, le buste droit et les fesses cambrées, telle une guerrière mettant en joue son assaillant à la queue gonflée et raide de désir. Mes mains sur ses hanches, je me mis à lui lécher la chatte à pleine langue à un rythme régulier. La belle guerrière du sexe se mit à gémir bouche grande ouverte avant de se saisir de mon chibre et de le prendre à pleine bouche. Cette petite pause m'avait permis de faire redescendre la pression et la bouche de ma partenaire était la bienvenue. Je sentis de la mouille couler de mon gland tant la bouche délicate de Christine me faisait fondre le bonbon. La belle se redressa à nouveau, je la sentis serrer mon bras avec force dans l'une de ses mains, et soudain, ondulant du bassin avec fermeté, de façon saccadée, la belle se mit à exploser de jouissance une seconde fois. Christine se mit à se frotter la chatte contre ma bouche et mon nez comme une furie, râlant son plaisir à en faire trembler les murs. Une énergie libérée, une puissance insoupçonnée, comme contenue en elle depuis bien trop longtemps. Le fruit doux, chaud et humide de ma partenaire, ses cris de jouissance... Je me mis à sourire en lui léchant la chatte, tant j'étais heureux en cet instant : situé au paradis du plaisir, dans l'enfer des chaleurs de son corps, je prenais un pied énorme à faire jouir cette femme ultra sexy sur qui en réalité un bon nombre d'hommes de la boîte fantasmaient. Et c'était moi, Thomas, le jeune commercial, qui faisait miauler cette déesse du sexe. Quel pied ! Mes mains coquines vinrent glisser le long de son ventre pour se saisir de ses gros nibards, lourds et gonflés de plaisir. Je ne m'y trompai pas : leurs pointes dardaient avec force, parcourus par le courant électrique de l'orgasme. Aussitôt celui-ci achevé, Christine releva les fesses et me prit en bouche, visiblement décidée à me rendre la pareille.

 

Sa bouche se fit goulue et terriblement efficace.

 

- Je vais jouir Christine ! Je vais jouir !

 

La belle descendit du bureau avec une agilité féline.

 

- Viens ! Viens !

 

Je suivis le courant...

 

Christine s'accroupit à mes genoux en tenant ses gros seins à pleines paumes, bouche grande ouverte. Je n'eus pas grand chose à faire. Me pétrissant le manche, je me mis à éjaculer avec force dans sa bouche. La belle me regardait droit dans les yeux. Mon sperme chaud coulait le long de ses lèvres et terminait sa course sur sa poitrine. Je croyais à peine ce que je voyais. A peine mon éjaculation fut-elle terminée que Christine prit ma belle queue en main et mon gland en bouche, léchant celui-ci très délicatement pour en recueillir les dernières gouttes de sperme.

 

- Oh Christine punaise ! Que c'était bon ! exultai-je.

 

La belle se contenta d'acquiescer par des gémissements, tant elle avait la bouche pleine.

 

Christine ouvrit alors la bouche et me tendit sa langue pour me montrer qu'elle avait bien recueillit ma semence. Et là, soutenant mon regard, la responsable du service juridique reprit le contrôle de son corps et de son esprit :

 

- Pas un mot à propos de ça, ok ?

 

Je fus glacé par son pragmatisme.

 

- Non, bien sûr que non... répondis-je en la regardant, en matant sa belle paire de nibards que je savais d'ores-et-déjà reluquer pour la dernière fois.

 

Christine reprit une dernière fois mon gland en bouche avant de se relever.

 

Nous nous rhabillâmes dans un silence de mort. La belle juriste ne prit même pas la peine d'essuyer mon sperme qui maculait son corps. J'en déduisis par ailleurs qu'elle avait dû avaler mon sperme.

 

- Tu prévois quoi de beau ce week-end ? me demanda-t-elle soudain pour rompre ce silence pesant.

 

Je lui répondis simplement par mon programme : sport et cinéma.

 

- Et tu as une petite amie Thomas ?

 

Je fus surpris de son intérêt soudain pour ma vie sentimentale.

 

- Non, pas pour le moment...

 

- Ah...

 

Comme elle disait : ah...

 

- Et ça te dirait qu'on remette ça de temps en temps, je veux dire, à l'hôtel, pas ici.

 

Ma proposition me fit sursauter le coeur.

 

- Euh...

 

- Tu préfères peut-être les femmes de ton âge...

 

La juriste me pressait habilement le pas.

 

- Non non, pas du tout, je...

 

- Alors ?

 

- Oui, avec grand plaisir !

 

- Tu as aimé notre petit atelier de travail ? poursuivit-elle en finissant de boutonner son chemisier.

 

- Oui, c'était top ! Tu es géniale tu sais !

 

- Tu sais, avec mon mari, on ne baise plus. C'est sans doute comme ça dans tous les couples, mais moi, ça me désole. J'ai envie de m'éclater tu comprends, de profiter de la vie. Et j'ai pas envie de finir mal ou non baisée, ça me rendrait conne au travail, tu comprends ?

 

- Oui oui, je comprends...

 

Au nom du climat de travail au sein de la boîte, j'acceptai de me dévouer. Je n'en revenais pas.

 

- Il faut juste qu'on soit sérieux et qu'on fasse la part des choses. Tu m'as l'air sérieux. Mais je te préviens : pas de sentiments entre nous et pas d'allusion sur ça durant le travail. Ok ?

 

- Ok ! répondis-je avec entrain.

 

- Top là !

 

Je frappai sa main pour conclure le deal.

 

- Voilà qui est bien. Je n'en ai pas l'air comme ça, mais j'adore le sexe, crois-moi.

 

- Oh mais je te crois !

 

- Et ta belle jeune queue me rend folle ! Je mouillerais en y pensant mon beau !

 

Je ne sus quoi répondre.

 

Nous quittâmes le boulot l'un après l'autre afin de ne pas nous faire repérer par le vigile à l'accueil. Dans la voiture, je réalisais à peine ce qui venait de m'arriver, et encore moins ce qui allait m'arriver. J'avais une putain de maîtresse au sein de ma boîte. La bombe sexuelle inaccessible sur laquelle tous les mecs fantasmaient. Et j'étais son plan cul secret. Sans doute avais-je fait bonne impression durant cette bonne heure de baise. Je revoyais encore Christine là, nue, ses beaux nibards à l'air, dans ses bas et ses talons-aiguilles. Moi, je jeune commercial, allais devenir le plan cul de la belle Christine ! Une fois cela bel et bien constaté dans mon esprit, je mis la musique à fond et me mis à chanter et rire de joie. J'avais encore le goût de sa chatte dans la bouche. Je sentais encore ses fesses frotter et s'écraser contre mon front. Dieu que j'aimais lui lécher la chatte ! Christine à moi, rien qu'à moi... Vivement qu'elle m'appelle...

 

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"Au nom du climat de travail au sein de la boîte, j'acceptai de me dévouer." Héhé, pragmatique le Thomas ! :D

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en attendant, le fameux Thomas a bénéficié d'une augmentation l'année suivante et les félicitation de son responsable ! ... il ne perd pas le Nord le Thomas !!! hihihi !

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