Aller au contenu

Faites des rencontres coquines près de chez vous

AsMoth

Quand la mère de mon pote demande à se faire masser

Recommended Posts

A défaut de disposer de nombreux dons et atouts, j’en avais au moins un : celui de bien faire les massages.

 

J’avais vingt et un ans à l’époque, et malgré mon « jeune » âge, voici comment je me retrouvais embringué dans une expérience tant interdite qu’excitante…

 

Bien souvent, le vendredi soir, j’allais après les cours directement chez mon ami Nathan pour passer la soirée avec lui ainsi que la journée du samedi. Sauf que cette fois-ci, un imprévu le contraignit à rester sur Paris. Il me téléphona pour m’avertir que malheureusement, je devrais passer la soirée seul chez lui à l’attendre, mais que je pouvais me servir de son pc et de sa console de jeux vidéos pour me distraire.

 

Seul ? Non !

 

Nathan, toujours dans les études comme moi, habitait encore chez sa mère. Celle-ci avait divorcé de son mari cela depuis deux bonnes années à l’époque des faits. Laurence avait la quarantaine divine. C’était en effet une sublime femme brune dont les formes généreuses m’avaient toujours ému en cachette. De nombreuses fois, j’ose ici l’avouer, je m’étais aventuré à sentir l’odeur suave de sa chatte de « vraie » femme (et non de gamine) en aller chercher ses petites culottes dans le bac à linge sale. J’y trouvais mille et une merveilles, allant des strings ultra sexy jusqu’aux bas des plus somptueux. Malgré le fait que Laurence vivait officiellement seule, je ne pouvais que lui présumer multiples amants, ma suspicion étant souvent confirmée par le fait qu’elle rentrait parfois à des heures tardives et s’absentait même le samedi tout entier.

 

Ce fameux soir, alors que je sonnais à la porte de leur maison, Laurence m’offrit et me fit la bise, toujours aussi chaleureusement qu’à l’accoutumée. Car oui, Laurence m’appréciait beaucoup. Elle me soignait toujours aux petits oignons lorsque je venais chez eux. Elle me prenait pour son chouchou, ce qui n’était pas pour mettre mon pote Nathan parfois mal à l’aise. Souvent Laurence m’avait bander comme un âne, trainant dans leur demeure en tenue légère, que ce soit du soir ou du matin. Combien de fois m’avait –elle surpris avec la bosse au boxer, allant même jusqu’à me surprendre un soir en train de me masturber dans les toilettes alors que je pensais que tout le monde dormait à point nommé.

 

Laurence m’accueillit donc et me fit entrer, m’expliquant ce que Nathan m’avait déjà dit au téléphone. Elle était encore habillée en tenue de travail, un beau tailleur mettant en valeur ses formes parfaites. On se mit donc à discuter de choses et d’autres, jusqu’à ce qu’elle me confie qu’elle avait de terribles maux de dos ainsi qu’à la nuque. Cela venant donc dans la discussion, je sautais sur l’occasion, sans même de rendre compte, lui avouant que je massais terriblement bien…

 

-        Ah oui ? C’est vrai ? Tu sais que j’aurais besoin d’un bon massage ?

-        Oui ? Vous voulez que je vous masse ?

-        Ben, je t’avoue que ça me ferait le plus grand bien ! ça fait plusieurs semaines que je sens toute tendue… Un petit soin ne me ferait pas de mal. Mais je ne veux pas insister, ça serait mal poli ! me dit-elle en pouffant de rire, avec un large sourire et l’œil pétillant.

-        Oh mais vous plaisantez ! Vous me logez tous les vendredi soirs, je peux bien faire ça pour vous ! Mais c’est moi qui va avoir le trac maintenant ; j’espère que je vais assurer !

-        Mais oui Théo ! Je suis sûre que tu vas faire cela à merveille ! De toute façon, c’est bien toi qui a dit que tu te débrouillais à merveille… Alors à toi de le prouver !

-        Ok… répondis-je à la fois gêné et excité.

-        Ça t’occupera au moins une partie de la soirée ! C’est pas « cool » ça ?

-        Si si ! C’est super « cool » !

-        Bon, ben attends je vais me mettre à l’aise. Je t’appelle quand je suis prête. Tu viendras dans ma chambre ?

-        Euh… oui.

-        Ok. A tout de suite alors ! Profite-en pour en faire de même, c’est le week-end ! conclut-elle en me lâchant un clin d’œil.

-        D’accord. A tout de suite…

 

Oups. Putain de bordel. Qu’est-ce qui se passe ? me demandai-je.  Dans quoi je me lance, alors que Nathan n’est même pas là. Mille et une pensées s’entrechoquaient dans mon cerveau, allant de la plus morale à la plus obscène. Tous les indicateurs viraient au rouge et clignotaient dans mon esprit. Laurence me proposait d’aller dans sa chambre, donc de s’allonger sur le lit. Et pourquoi pas le canapé du salon ? Dans sa chambre ! Allongée ? SI oui, allait-elle se mettre en petite tenue ? Pfff… Je ne savais plus quoi penser. Mon cœur commençait déjà à s’emballer.

 

Suivant les conseils de la belle Laurence, et surtout dicté dans mes intentions par l’élan brûlant de mes fantasmes, je partis me « mettre à l’aise » dans la chambre d’ami qui m’était attribuée. Je me dévêtis totalement et je sentais déjà mon sexe à moitié dur et gonflé d’excitation tanguer entre mes jambes. Je ne m’étais pas fait jouir depuis plusieurs jours, je m’étais juste accordé quelques plaisirs sans aller jusqu’au bout, ce qui décuplait la sensibilité de mon sexe et mon envie de jouir envie pour me libérer de tout ce désir latent. J’en profitai pour me masturber à pleine main au beau milieu de la chambre, en imaginant la belle Laurence totalement nue et offerte à mes caresses. Car oui, j’avais bien pour objectif d’être doux et sensuel. Si elle l’acceptait, je n’hésiterais pas à aller jusqu’à la limite de ses volontés, tentant par tous les moyens de repousser celles-ci en lui donnant un maximum de confiance en moi et de satisfaction. Je pétrissais ainsi mon sexe qui était maintenant dur et épais, rempli de désir. Je sentais déjà mon gros gland se recouvrir de mouille épaisse. Pour autant, il fallait que je me calme. Je ne pouvais arriver dans un tel état d’excitation dans la chambre de Laurence, car elle se méfierait aussitôt de ma proposition. Je mis alors un tee-shirt blanc moulant et mon micro-short en nylon, sans rien en-dessous. Ainsi, en fonction de comment évolueraient les choses « sur le terrain », je n’hésiterai pas à venir caler mes parties intimes contre l’une de ses cuisses par exemple, et qui sait, me frotter délicatement et sournoisement contre elle en me rinçant l’œil…

 

Alors que je me dirigeai vers la chambre de Laurence, je l’entendis m’appeler

 

-        Théo, je suis prête, et toi ?

-        Oui, j’arrive Laurence ! répondis-je avec entrain, une partie de moi étant d’ores-et-déjà certaine que j’allais passer un moment très plaisant.

 

En effet, dans le pire des cas, pouvoir toucher et caresser cette femme sublime était déjà un honneur et un plaisir.

 

J’entrai donc dans la chambre de la mère de mon pote la queue quasi revenue à son état normal. Laurence se tenait debout là devant moi, à côté de son lit, vêtue d’un épais peignoir.

 

-        Bon, j’ai retrouvé quelques huiles essentielles dans la salle de bain. J’espère que ça t’ira.

 

-        Oui oui, ça m’a l’air parfait.

 

-        Bon, ben tu vas pouvoir t’occuper de moi et me prouver ce que tu sais faire !

 

-        Oui, vous aller voir, vous n’allez pas le regretter, je vous le promets ! répondis-je du tac-o-tac.

 

Laurence défit alors le nœud de la ceinture de son peignoir, lentement. J’avais l’impression que l’on ouvrait un emballage de cadeau. Etait-elle totalement nue en-dessous ?

 

La ceinture tomba dans le vide, les mains de Laurence agrippèrent le vêtement éponge. Lentement, elle l’ouvrit…

 

Et je restai figé sur place.

 

Laurence avait ôté tous ses vêtements du haut et me présentait sa belle paire de nibards. Celle qui m’avait toujours fait autant fantasmer depuis le début ; celle sur laquelle je lorgnais tout le temps. Sans doute l’avait-elle remarqué auparavant. Un rictus de plaisir s’afficha sur ses lèvres lorsqu’elle leva les yeux vers moi pour lire sur mon visage toute ma surprise et mon émotion, alors que je déglutissais ma salive bruyamment et que mes yeux devaient êtres grands ouverts pour dévorer ses gros seins. Oui, elle avait fait mouche !

 

-        J’ai enlevé que le haut… J’ai surtout mal au dos et à la nuque, mais bon, après si tu veux faire le bas…

 

Ses seins étaient à la fois gros et divinement galbés. Les pointes longues et épaisses de ses seins dardaient en ma direction, un signe peut-être que le fait de se dévêtir de la sorte devant l’ami de son fils n’était pas sans la laisser indifférente non plus. Je n’arrivais pas à croire que la mère de mon pote se présentait à moi les seins à l’air, offerts de la sorte, rien que pour moi. Mon sexe ne tarda pas à se lever, gonfler et se tendre sous mon micro-short qui ne parvenait pas à le retenir. Une bosse généreuse se dressait devant moi, à mon entrejambes, ce qui me mit plus mal à l’aise encore. C’était la première fois en effet pou moi qu’une femme « mûre » me présentait ses seins de la sorte. Toute un symbole de la féminité, de la « puissance » maternelle avec cette magnifique paire de seins si galbée et généreuse…

 

Concernant le bas, Laurence avait gardé ses collants de couleur blanche. Je vis par transparence qu’elle portait une petite culotte en dentelle de la même couleur, et toujours par transparence je devinais la touffe de ses poils pubiens, aussi noirs que ses cheveux, mais joliment taillés en « ticket de métro ».

 

C’était beaucoup pour moi d’un coup. Une vague de chaud me monta subitement à la tête alors que mon cœur battait très fort. Laurence gardait ce léger sourire amusé aux lèvres, voyant sur moi toute ma gêne et mon émotion combinées. Elle jeta alors son peignoir sur la chaise située à côté d’elle…

 

Elle se tînt alors devant moi, les mains sur les hanches, sa belle poitrine fièrement dressée en avant. Ses yeux se posèrent un long moment sur ma queue qui tendait vers elle.

 

-        Bon, alors allons-y Théo !

 

Sur ces paroles, elle pivota sur elle-même…

[...]

Partager ce message


Lien à poster

La suite que diable !!

Quelle façon d'écrire ! Tu as une plume qui est plaisante ;)

 

Partager ce message


Lien à poster

On merci beaucoup les gars, ça fait plaisir ces retours de votre part. Donc, suite bien méritée ;-) - plaisir d'écrire, plaisir d'offrir !

[...]

Moi qui pensais qu’elle portait des collants normaux…

 

En fait, ceux-ci laissait une large ouverture, laissant à nu toute la moitié intérieure de ses fesses et donc son entrejambes… Pour couronner le tout, Laurence ne portait pas une « petite culotte » mais bien évidemment un string. En clair : elle avait la moitié de son cul à l’air et me le présentait sans pudeur réelle.

 

Je crus que mon cœur allait s’arrêter.

 

Loin de moi l’idée de voir un jour la mère de mon pote à moitié dénudée. Mais là, elle avait pour ainsi dire les seins et le cul à l’air devant moi, et s’apprêtait à s’offrir mes services pour son plus grand bien corporel.

 

Etais-je au paradis ? Une impression plus encore renforcée par la décoration de sa chambre dans les tons blanc et pastel.

 

Je fus tiré de ma torpeur lorsque Laurence se pencha soudain en avant…

 

-        Attends, j’ai plus qu’à enlever mes chaussures et c’est bon, je suis toute à toi !

 

Et comment !

 

La belle femme brune se pencha et, gardant les cuisses serrées, elle m’offrit son beau cul de salope à hauteur de queue, cambrant légèrement celui-ci. La vision qu’elle m’offrait – comme m’invitant à la prendre en levrette – couplée à celle de ses dernières paroles  me fit bander si fort que je sentis une épaisse goutte de mouille couler de mon gland. Mon sang affluait dans mon sexe et le faisait tanguer. Mes yeux étaient rivés sur ses belles fesses rondes et charnues, entre lesquelles se tendait et disparaissait la ficelle de son string. Malicieusement et avec agilité, Laurence se tourna légèrement pour voir sur mon visage et sur mon corps tous les effets de son petit jeu. Pour ne pas qu’elle voit mon état d’excitation, je m’approchai d’un pas ou deux de façon à me retrouver de nouveau dans son angle mort. Je me retrouvais ainsi pile dans l’axe de son cul, de sa chatte… son string, si fin, arrivait tout juste à recouvrir celle-ci. Déjà, la forme bombée des deux lèvres de son fruit de femme dévoilait la moiteur de celui-ci, tant le tissu épousait parfaitement les formes de son sexe.

Je me tenais là, debout, gêné… et terriblement excité de voir cette femme, cette « vraie » femme comme j’aimais le dire, quasi nue devant moi ; à quelques dizaines de centimètres de moi et du bout de mon sexe qui, instinctivement, réclamait déjà de s’introduire en elle… Dans ce corps de femme, de « vraie » femme.

 

Laurence coupa court à ce jeu de cache-cache en montant sur son lit à quatre pattes, son cul de rêve excessivement cambré. Elle écartait ainsi outrageusement les fesses au point que la ficelle de son string ne masqua qu’en partie sa jolie rondelle. Moi, je n’en pouvais plus. je devenais dingue. Je sentais mon sexe ruisseler de mouille. J’avais le gland trempé et celui-ci clamait l’envie d’être caressé. J’étais tellement hypnotisé par le cul et la chatte de Laurence que je m’approchais d’elle en m’agenouillant sur lit, toujours par instinct, m’imaginant que j’allais la prendre en levrette. L’envie de poser mes mains sur son cul si outrageusement et généreusement offert devenait envahissante, mais je réussis à me contrôler tant bien que mal pour ne pas céder à cette tentation qui m’aurait très certainement valu une claque dans la figure.

 

Laurence finit donc par s’allonger au bout de plusieurs secondes interminables et paradisiaques durant lesquelles elle s’était offerte à moi outrageusement positionnée comme pour être prise en levrette.

 

Les choses sérieuses commencèrent donc à partir de ce moment.

 

Laurence s’allongea sur le ventre alors que j’enduisais mes mains d’huile de massage. Elle était accoudée et mes yeux coquins lorgnaient sur ses gros nibards qui pendaient délicieusement, tels de beaux fruits, entre ses bras. Je me plaçai finalement de l’autre côté du lit, de façon à être le genou gauche sur le lit, et le pied droit posé à terre. Laurence se mit à gémir au contact de mes mains chaudes sur son dos. Je me mis à pétrir lentement celui-ci. Toucher la peau nue de la belle Laurence était pour moi un acte incroyable et très sensuel.

 

-        Huuummm… Oui Théo ! Tu fais ça si bien !

-        Merci Laurence…

 

Mes yeux dévoraient son corps. Je profitais d’avoir ma tête dans son angle mort pour dévorer ses belles fesses galbées du regard. Je bandais toujours aussi fort. Ma queue était tendue dans la jambe droite de mon shorty. Je craignais que le bout de mon sexe n’en dépasse. Je sentais pour le moment mon gland glisser délicieusement sur le nylon de mon short, au point que cette sensation de fraîcheur si atypique ne trahisse le fait que j’étais en train de le tremper de mouille. Je vis alors Laurence tourner la tête vers mon entrejambes qu’elle ne lâcha plus du regard. Je compris son insistance à regarder en direction de mon sexe lorsque je vis que le premier tiers de celui-ci était sorti de la jambe de mon micro-short et s’offrait, juteux de mouille, aux yeux inquisiteurs de la mère de mon ami.

 

Très gêné, mais odieusement excité, je m’en pouvais plus de supporter cette torture. Je bandais comme un âne et ne pouvais ne soulager de quelque manière que ce soit. Laurence matait ma queue et moi j’en faisais de même avec ses seins. Bref, la situation était explosive. Je l’invitai alors à s’allonger complètement sur le lit en allongeant ses bras le long de son corps. Elle tourna alors la tête de l’autre côté. Un pas vers la délivrance !

 

Alors que je passait mes mains enduites d’huile sur ses hanches, j’en profitai pour reluquer son cul, et plus précisément encore sa raie culière et la beauté des formes de sa chatte de femme. La ficelle de son string était si fine que sa rondelle m’apparaissait. Laurence gémissait à mes massages qui lui détendaient le dos. Sa peau était si douce. Son corps de femme de rendait dingue.

 

Je finis pas m’agenouiller complètement sur le lit pour pouvoir descendre sur la partie basse de son dos… Je bandais toujours aussi fort. Ne faisant pas attention, je sentis soudain le bout trempé de mouille de mon sexe frotter contre quelque chose. C’était la main de Laurence ! Je sentis en effet ses doigts glisser contre ma queue et me caresser le gland, me faisant hoqueter de surprise.

 

-        Tu peux me masser le bas du dos et les fesses ? J’ai mal aussi à ce niveau là…

-        Oui…

 

(!!!)

 

Les doigts coquins de Laurence semblaient chercher insidieusement mon membre. En effet, plutôt que d’être posés à plat, ils étaient rétractés vers le haut et la main droite de Laurence était anormalement décollée de son corps… cherchant plutôt le mien.

 

Répondant à ses ordres, je me mis à lui masser le bas du dos… et j’osai poser mes mains sur ses fesses.

 

-        Oh oui c’est bon Théo ! ça fait tellement de bien ! Descends le long de mes jambes, ça va me faire du bien !

 

Mon cœur battait à se rompre tant je ne savais pas jusqu’où la mère de mon ami voulait que j’aille… Posant ma main droite sur son cul pour prendre appui, le pouce outrageusement proche de sa rondelle, je fis glisser ma main gauche le long de sa cuisse. Hummm, sa cuisse de femme. Si sensuelle. Je sentis soudain ses doigts effleurer de nouveau mon sexe humide. Je me laissai faire. Mon gland vint glisser dans le creux de sa main.

 

Mon cœur battait de plus en plus vite. Ma queue était dans le creux de la main de la mère de mon pote, qui n’osait cependant pas la refermer dessus…

 

-        Par contre, je veux bien que tu m’enlèves mon string, car il me rentre dans les fesses et c’est très désagréable…

-         !!!

 

Je ne répondis rien.

 

Je m’exécutai.

 

Attrapant son string au niveau de ses hanches, je commençai à tirer lentement dessus. Laurence cambra son bassin pour m’aider à le retirer. Elle m’offrit son cul, sa rondelle et sa chatte… J’en laissai son string au niveau de ses genoux.

 

-        Je… je vais remettre de l’huile…

 

La seconde qui suivit, je profitai de cet interlude pour sortir ma queue et mes boules complètement par la jambe droite de mon micro-short. je ne pus résister à l’envie de me palucher discrètement un bon coup. Je bandais maintenant à fond, mon membre en rut était tendu et gonflé entre mes cuisses. Je devenais fou. Je bravais les interdits. Mais comment faire autrement pour ne pas souffrir. Mes mains vinrent se poser sur les fesses complètement nues de Laurence. Je me mis à les masser délicatement à lui ouvrir la rondelle. Elle se mit à gémir de plaisir. Mon gros gland venait percuter sa cuisse. Je passai ma main à l’intérieur de son maudit collant, et… osai passer ma main toute entière sur sa belle chatte lisse, pour étaler l’huile essentielle comme il fallait. Je touchai pour la première fois la chatte de la mère de mon pote ! Inimaginable ! La belle se retint de gémir, mais pour réaction, elle cambra de nouveau son bassin en arrière, comme pour m’offrir sa chatte. Je m’attaquai à son autre fesse, écartant un instant celle-ci. Je dévorais sa chatte et sa rondelle du regard, les yeux ébahis et le nez à quelques dizaines de centimètres à peine des parties les plus intimes de son anatomie. Je fis de nouveau passer ma main sur sa fente, et cette fois-ci Laurence lâcha un rire d’amusement.

 

-        Hummm… ça fait du bien, mais ça chatouille !

-        Oh pardon…

 

Au même moment, je sentis sa main saisir le bout de mon sexe avant de le relâcher.

 

La chatte de Laurence était maintenant dilatée, ouverte, pleine de désir. Les petites lèvres brunâtres apparaissaient, et luisaient de mouille, plissées d’excitation. Je ne pus m’empêcher de passer mes mains sur ses fesses. Mes massages s’apparentaient plus à un pelotage de cul. Je devenais fou, alors que mon gland si sensible et à moitié décalotté, frottait délicieusement dans le creux de la main de Laurence. Je massais ses fesses et laissais ma main glisser entre ses cuisses. Laurence finit par gémir. Voyant qu’elle me laissait toucher sa chatte, je réitérai l’opération, laissant glisser mes doigts jusqu’à son pubis pour ensuite revenir lentement.

 

-        ça vous plait ?

-        Huummm Oui…. Ça détend tellement ! tu fais ça si bien !

 

Au même moment, ses doigts se refermèrent sur mon membre épais.

 

-        Tu as l’air d’apprécier toi aussi ! me dit-elle sur un ton amusé.

 

Face à mon mutisme et ma gêne mêlée de désir profond, elle poursuivit :

 

-        C’est la première fois que tu vois une femme nue ?

-        Une vraie femme, oui ! lui répondis-je alors que mes main lui écartaient les fesses et lui ouvrait la chatte.

 

La belle cambrait de plus en plus son bassin, le cul en l’air, pour m’offrir sa fente au regard et au toucher. Je ne m’en privais plus. Je sentais sa main douce et experte me pétrir le membre, me caresser le gland. Laurence m’excitait comme jamais et je me laissais faire.

 

-        Tu n’as pas de petite copine en ce moment Théo ?

-        Non.

-        C’est dommage. Mais je comprends mieux maintenant… Tu as l’air si dur ! Si… gros !

-        C’est parce que vous m’excitez Laurence !

-        Je t’excite ? rétorqua-t-elle d’un ton sournois et amusé,

-        Oui. Ça me fait tout drôle de vous caresser les fesses et la minette…

-        Pourquoi, tu ne masses pas comme ça d’habitude ?

-        Euh… non !

-        Pourtant tu fais ça bien ! Tu as des doigts divins Théo ! Tu m’excites beaucoup toi aussi tu sais !

-        Oui, je le vois. Votre minette est toute mouillée…

-        Ma « minette »… ! Hihi ! Aller, ne dis pas ces mots d’enfant… Dis-le ! Dis le mot qui t’excites !

 

-        Votre… chatte !

-        Hummmm… oui Théo ! J’aime quand tu parles de ma chatte ! Caresse-là moi ! Fais-moi mouiller !

 

Les propos quelque peu crus pour ne pas dire obscènes de Laurence m’excitaient plus encore. Sa main pétrissait mon membre avec de plus en plus d’intensité.

 

-        On fait le devant maintenant Théo?

-        … ok !

 

Laurence pivota sur elle-même. Ses yeux se rivèrent sur ma queue que je laissai volontairement dressée et nue devant moi.

 

-        Je vous enlève votre string ?

-        Oui…

 

J’ôtai définitivement le string ses cuisses de la mère de mon pote !

 

Enduisant de nouveau mes mains d’huile de massage, je m’approchai d’elle pour caresser ses obus. En effet, ceux-ci traduisaient toute l’excitation de Laurence à se faire masser de façon si intime, tant ils étaient durs et gonflés de désir.  Laurence me présentait aussi sa belle chatte et son pubis de rêve, écartant les cuisses comme si elle n’attendait plus qu’une caresse à sa jolie fente.

 

Avec son plus grand naturel, Laurence s’emparait de mon membre épais à pleine main et se mit à me masturber en tirant sur la peau pour me décalotter le gland. Ses caresses m’arrachèrent un gémissement de plaisir.

 

-        ça ne te dérange pas si je te masturbe pendant que tu me masses les seins ?

-        Oh non, bien au contraire ! Vous faites ça si bien !

-        Tu aimes ?

-        Oh oui !

 

Son clitoris dépassait des petites lèvres, gonflés et luisant de mouille. Je me mis à lui masser le ventre, puis à lui masser ses gros nibards. Laurence se mit aussitôt à gémir de plaisir.

 

-        Vous avez de merveilleux seins !

-        Hummm. Oui ? Tu les aimes ?

-        Oui, ils sont si gros, si beaux ! lui confiai-je, comme si j’étais un jeune garçon face à sa première paire de sein. Chose qu’elle s’empressa de se faire confirmer…

-        ça te change des midinettes de ton âge, c'est ca ?

-        Oui ! Mais ca fait bizarre de caresser les seins de la mère de mon ami !

-        ça te gêne ou ca t'excite ?

-        les deux !

-        Alors caresse-les doucement, j’aime tellement ça !

 

Laurence se laissait masser ses beaux nibards. Ils luisaient d'huile essentielle. Le fait de les caresser les avait fait gonfler et durcir un peu plus. Leurs pointes dardaient vers le ciel.

 

Et là, je sentis la main gauche de Laurence se saisir de mon sexe si généreusement offert.

 

 

-        Hummmm…

 

Et elle commença à me masturber lentement, avec délicatesse.

 

Je réalisai à ce moment là qu’un pas était franchi. Je massais les seins de la mère de mon pote qui n’était ni plus ni moins en train de me branler. Tout était désormais possible, même les pires folies.

 

Cela me faisait en effet une drôle d'impression de sentir cette main "étrangère" agrippée autour de mon membre dur et épais. Surtout lorsque je me disais qu'il s'agissait de la main de la mère de mon ami ! Jamais je n'aurais cru susciter chez Laurence Un désir tel qu'elle sente l'envie de caresser ma queue. Sa main glissait délicieusement le long de celle-ci, partant de mon gland tendre et gonfle d'excitation et glissant jusqu'a la base, tendant divinement mon frein. Sa main remontait ensuite et plissait celui-ci, le tour avec la fermeté nécessaire a me sentir le sexe pris par cette femme pas prête du tout à le relâcher. Mes boules tanguaient au rythme de ses caresses et venaient parfois frotter contre son poignet. Quel bonheur !

 

Baissant les yeux sur mon sexe, le fait de voir la main de cette femme mûre le saisir et le pétrir me faisait réaliser toute l’intensité de la situation. Alors, désireux d’assurer le coup, continuant de peloter ses gros nibards d’une main, je lui mis l’autre à la chatte.

 

Laurence écarta les cuisses aussitôt en lâchant un gémissement non retenu de plaisir.

 

-        Huuuum ! Oui ! Caresse-moi ! Tu m’excites tant !

 

J’osais tout. Tout !

 

Lui excitant le clito du bout du majeur, je ne pus résister à l’envie de goûter son fruit. Sentant soudain ma langue caresser sa chatte, Laurence releva la tête, avant de gémir de jouissance.

 

-        Ooohh ! Théo !

 

Cuisses amplement écartées, la mère de mon pote se laissait faire, profitant de la situation pour pétrir mon membre épais avec toujours plus d’envie.

Sa chatte suave et humide m’excitait plus que tout. Elle sentait « la femme ». La vraie. Les seins de Laurence étaient gonflés d’excitation à exploser, tout comme son clito. Je me mis à le lui lécher et à le lui caresser du bout des doigts avec précision. Laurence gémissait et râlait son plaisir, et me masturbait avec de plus en plus d’entrain, se rapprochant de l’orgasme. Et moi aussi par la même occasion, tant ses caresses sur mon membre épais traduisaient sa folle envie de jouir.

 

Je finis par faire jouir la mère de mon pote avec mes caresses, lui arrachant un orgasme dévastateur qui fit tanguer et vibrer son corps tout entier au rythme des spasmes qui faisaient onduler celui-ci , et accompagné d’un long râle de jouissance.la plongea aussitôt après dans une profonde léthargie de bien-être.

 

-        Oh bordel, c’est si bon ! Tu me rends folle Théo !

-        Vous aussi ! lui répondis-je, alors que je sentis sa main experte serrer de nouveau mon membre qui ne demandait plus qu’à exploser lui aussi.

 

Reprenant peu à peu ses esprits, Laurence réalisait que je n’avais pas joui. Pour autant, je le méritais…

 

-        Viens, approche ! J’ai envie de te faire gicler sur mes seins !

 

Je m’exécutai, offrant fièrement mon membre épais à Laurence. Continuant de me masturber, elle se mit à me passer le frein sur ses tétons bien durs. Hummmm, un délice !

 

-        Hummm oui ! T’as une si belle queue ! J’ai trop envie que tu me gicles dessus ! Je veux ton sperme chaud sur mes seins !

-        Oui madame ! Je ne vais pas tarder à jouir !

 

Et comment ! Laurence faisait glisser mon gland en fusion contre ses seins pour en me masturbant, bien décider à parvenir à ses fins.  C’était la première fois qu’on me faisait cela, la sensation était exquise et très excitante.

 

-        Aller ! Vide tes belles couilles sur mes seins !

 

Le ton direct et presque direct de Laurence me donnait envie de lui couvrir les seins de foutre ! Quelle belle salope en rut ! Voilà une femme accomplie et qui s’assume ! me dis-je intérieurement.

 

En proie à ses multiples caresses de femme experte, je ne pus me retenir plus longtemps.

 

-        Je vais jouir ! Je vais jouir ! la prévins-je…

 

Laurence accéléra le mouvement de sa main sur mon chibre et là, criant mon plaisir, je me mis à éjaculer une longue traînée de sperme épais qui vint gicler sur ses deux seins. Un autre jet, puis encore un autre, et encore un, vinrent gicler avec force sur les nibards de rêve de Laurence qui obtint par mon orgasme ce qu’elle voulait plus que tout : du sperme bien chaud et épais sur sa poitrine si généreusement offerte et accessible.

 

Aussitôt mon éjaculation terminée, Laurence s’empressa de se masser les seins en étalant mon sperme dessus. Elle semblait adorer ça, au point qu’elle se mit à en gémir. Moi, j’étais k.o.. Je ne savais plus quoi faire, ni quoi penser. Que s’était-il passé, là, moi et la mère de mon ami ? Nous venions bien d’avoir une relation sexuelle ensemble, non ? Oui, on pouvait le dire, même si nos sexes ne s’étaient pas entremêlés.

C’était tout simplement hallucinant. Une fois rassasiée, Laurence se leva du lit et prenant une serviette de bain, elle partit à la salle de bain en me disant « bon, je vais prendre une bonne douche maintenant », et elle disparut aussi simplement de mon champ de vision, sans mot dire.

 

Je me sentais bête. Je me demandais si j’avais commis une erreur. Mais comment aurais-je pu résister à la vue d’une telle paire de seins si généreusement offerte ? Mon sexe la désirait tant…

 

Partager ce message


Lien à poster

Tres bien raconté je suis fan de tes recits!!!

Partager ce message


Lien à poster

Très bien raconte et excitant

Partager ce message


Lien à poster

Merci beaucoup ! ça me fait super plaisir :-)  . ça motive ++ de si gentils commentaires :-) Je ne manquerai pas de vous faire partager d'autres de mes compositions coquines ;-)

Partager ce message


Lien à poster

Y a t il une suite ? ...

Parce qu avec une telle experience la mere de ton pote ne peut vouloir se contenter de si peu

Partager ce message


Lien à poster

Oh. My. God. AsMoth. Le mec qui m'a fait revenir, et re-revenir, et re-re-revenir sur FI. Waouh ! Bon retour et bravo pour ce récit, même si j'ai le souvenir d'un autre récit avec la mère d'un pote, et d'autres collants... :P 

Partager ce message


Lien à poster

Hello Ainsel ! Oui, le retour lol. Suis super content que mes petits textes vous plaisent. Et il y en aura d'autres ! ;-)  . Textes imaginés nous sommes bien d'accord, donc parfois oui, les bases de départ peuvent parfois être similaires ;-) .

Merci encore ! :-) 

Partager ce message


Lien à poster

Excellent !

Mon passage préféré :

"ça ne te dérange pas si je te masturbe pendant que tu me masses les seins ?

-        Oh non, bien au contraire ! Vous faites ça si bien !"

 

:yahoo:

 

Partager ce message


Lien à poster

ça s'appelle avoir le sens du service... :-D:-D:-D ... "bon, si vous insistez..." :-D . Merci Mein Teil pour le J'aime ! ;-)

Partager ce message


Lien à poster

:good::clap:  j'aurais du être masseur !

Partager ce message


Lien à poster

Ca demande une suite, cette jolie femme ne peut se contenter de ça ! Surtout qu'il y a un WE entier à passer ;)

 

Partager ce message


Lien à poster

Ouais mais merde, c'est la merde de mon meilleur pote quand même... ça ne se fait pas ... XD un ou une volontaire ? :-D

Partager ce message


Lien à poster

Elle, elle le fait ... cours Forest

Partager ce message


Lien à poster

Ha oui beau retour et beau récit, merci a toi !!

Partager ce message


Lien à poster

×

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.