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Cousin, cousines... l'été et ses jeux coquins

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Quand on est adolescent, on joue parfois à de drôles de jeux. Surtout quand les cousines que l'on voit une fois l'an sont plus âgées que vous.

Nous étions tous réunis durant les grandes vacances d'été dans la grande demeure familiale des grands parents. Papy et mamie faisaient souvent la sieste en début d'après-midi, si bien que mes cousines et moi trouvions toujours de quoi nous occuper. J'avais seize ans à l'époque des faits. Il y avait Caroline, la brunette de dix-huit ans et Laetitia, ma cousine la plus âgée, qui avait quant à elle vingt et un ans. La maison des grands-parents était celle de la famille nombreuse que composaient nos parents. Une fratrie de trois fils et de deux filles. Elle était située en pleine campagne, ce qui avait l'avantage d'être reposant, mais parfois aussi d'être ennuyant. Mis à part des champs aux alentours, il n'y avait pas grand chose. Avec mes cousines, nous faisions beaucoup de sport, du vélo surtout. Nous partions ainsi à l'aventure des routes pour manger quelques fruits dans les vergers alentours, avant de se reposer dans un champ pour ensuite revenir pour le souper. La vie champêtre dans toute sa splendeur qui me convenait tout à fait car je vivais le reste de l'année à la capitale. Mes cousines, elles, étaient de province, et il arrivait souvent que Laetitia nous envoyait paitre, excédée de ne rien avoir d'intéressant à faire.

Je retrouvais donc chaque année mes deux cousines préférées. Nous avions grandi au fil des ans. J'avais remarqué leur corps "pousser", changer. Caro comme Laeti étaient devenues des femmes ou ce qui s'en rapprochait. Du statut "enfant", nous étions peu à peu passés au statut "jeune adulte". Enfin, pas tout à fait. Je me surprenais à oser, l'espace d'un court instant, désirer mes cousines, surtout depuis que j'avais espionné Caroline alors qu'elle prenait sa douche. J'avais pu voir ses belles fesses rebondies, ses seins pointus. Ce jour là, je m'étais masturbé en la matant par le trou de la serrure. J'avais même éjaculé au moment où elle sortit de la douche en la regardant s'essuyer le corps, passant ses mains dans chacun de ses recoins. Caroline était la plus prude de mes deux cousines. Timide, réservée. Mais si gentille. Pas comme Laetitia qui, plus âgée que nous, semblait prendre un malin plaisir à nous commander. C'était celle qui, de loin, avait le plus de caractère.

 

Il pleuvait depuis déjà deux jours, si bien que nous ne pouvions sortir nous balader. Je m'étais astreint à la lecture alors que les filles m'avaient proposé de jouer à leur jeu pénible de la maîtresse et de ses élèves. C'était toujours Laeti qui faisait la prof et qui nous faisait tourner bourrique, si bien que j'avais cette fois-ci refusé leur proposition. Laeti avait pourtant insisté sur le fait que cette fois-ci ça serait Caroline la maîtresse d'école, chose à laquelle j'avais répondu qu'elle n'était pas crédible. Laetitia avait ri, et du coup, me prenant au mot, elles étaient parties fouiller dans les anciennes affaires de mamie. Laeti et Caro avaient dégotté une jupe de tailleur bleu marine et un chemisier d’un rose délavé qu'elles avaient décidé d'utiliser dans leur jeu de rôle. Pour autant, je m'étais décidé à rester bouquiner dans ma chambre. Les minutes passèrent et je me demandais bien à quoi pouvait ressembler un cours façon Caroline. Piqué par ma curiosité et une envie certaine de me moquer de la plus jeune de mes cousines, je décidai d'aller les rejoindre au dernier étage de la grande demeure, là, où ni Papy, ni Mamie ne parvenaient à monter, vu leur grand âge.

 

Lorsque j'arrivai à la porte de la grande salle qui servait de salle de cours improvisée, je restai bouche bée, ce fut peu de le dire. Laetitia était agenouillée sur un fauteuil, sa robe retroussée et Caroline, la vilaine maîtresse d'école, était debout à côté d'elle et lui flanquait des fessées. Laeti portait une robe d'été gris souris et portait une sorte de legging blanc qui lui arrivait en bas des cuisses.

 

- Vilaine petite cochonne ! s'écria Caroline qui, posant le bouquin avec lequel elle venait de fesser Laetitia, vint porter sa main à l’entrejambes de celle-ci.

 

Je vis aussitôt Laetitia ouvrir la bouche en grand et fermer les yeux alors que la main de Caroline glissait et semblait pétrir ses chairs intimes.

Surprenant la scène, mon coeur ne fit qu'un tour. Il se mit à bouillir dans mes tempes, dans ma tête. Caroline avait une main sur la minette de Laetitia tandis que l'autre parcourait ses fesses. Laetitia ne semblait pas gênée, bien au contraire. Mis à part ses joues rouge cramoisi, la blonde de vingt et un ans avait les fesses bien cambrées, bien offertes. Une partie de moi était en train de paniquer en réalisant que j’étais présent là pour des choses interdites que je ne devais pas voir. Etais-je soudain plongé dans un doux cauchemar ?

 

- Tu ne respectes pas le règlement ! Il est formellement interdit de s'abstenir de porter une petite culotte Laetitia. Tu dois être punie !

 

Voir ces doigts pétrir les parties intimes de Laetitia me fit battre mon coeur à la chamade. Malgré tout l’interdit de la scène, je me surpris à bander comme un âne, tant excité que choqué par ce que je voyais là. Encore puceau, assister à ce drôle de spectacle me faisait peur autant qu'il m'attirait, d'autant que le bout des doigts de Caroline, que je croyais prude, passait aussi bien sur la zone correspondant à la rondelle de Laetitia que sur celle correspondant à sa minette. Son legging en nylon blanc en moulait d'ailleurs les lèvres qui semblaient déjà gonflées d'excitation. J'entendis soudain Laeti lâcher un gémissement alors que Caro, penchée en avant et ne pouvant me voir, s'attachait à caresser sa cousine avec précision et doigté, le visage orienté vers ses douceurs intimes.

 

Etait-ce le plan de cours qu'elle avait en tête depuis le début ou celui-ci avait-il dérapé du fait de mon absence ? Sans doute me croyaient-elles en train de dormir. J’étais monté à pas de loups en veillant à ne pas faire craquer le long escalier de bois en vue de les surprendre, mais jamais je ne me serais attendu à un tel spectacle, aussi excitant que malsain. Oui, malsain. Il s’agissait de deux filles, mes cousines qui plus étaient. Je ne devais pas être là. Il me fallait partir. Vite. Mon cœur battait de plus en plus vite, je mourrais de chaud tant je me sentais bouleversé, paniqué. Comme allais-je taire ce que je voyais là et faire comme si de rien n’était ? Il me fallait partir, certes, mais au risque de me faire surprendre en faisant grincer le bois de l’escalier ? Une partie de moi se sentait prise au piège. A mon propre piège. Une autre voulait voir, continuer de voir, malgré toute la perversité de la situation.

 

Je sentais mon sexe dur comme jamais dans mon short, à en avoir mal. Cette situation obscène m’excitait, je devais me l’avouer. La scène était si chaude, si brûlante, que, rouge de honte, mon cœur battant à tout rompre, je ne pus résister. Baissant mon short et mon slip d'une seule traite, je me retrouvai cul nu caché derrière la porte entrouverte. Mon chibre dardait avec force devant moi, réclamant d'être saisi, d'être pétri. Je ne résistai pas à cette envie, à ce désir, aussi malsain était-il. Excité comme un diable, je me mis à me pétrir le manche en regardant le majeur de Caroline pétrir la chatte de Laetitia et glisser entre les lèvres de celle-ci.

 

- Hmmm tu as l'air de mouiller... dit la brunette, déguisée en maîtresse d'école pour l'occasion.

 

Je n'avais jamais vu de près ni de loin une fille se caresser et encore moins deux. Ce à quoi j'étais en train d'assister devant mes yeux ébahis avait de quoi me mettre dans tous mes états. J'en bandais avec une force incroyable, gros et dur à m'en surprendre moi-même. Et entendre ce qu'osait proférer Caroline sur l'état de la minette de sa cousine aînée avait de quoi me rendre fou. Je ne savais plus quoi faire, quoi penser. Rester là ou oser entrer ? La question existentielle quant à la qualité du reste de mes vacances s'éluda d'elle-même quand je vis Laetitia tourner la tête en ma direction. Ne regardant pas vers moi en première intention, la belle surprit ma présence alors que, pris de panique, je mis un coup de pied involontaire dans la porte derrière laquelle je me cachais.

 

- Tiens tiens... voilà mon camarade de classe. Il doit être puni lui aussi ?

 

Caroline tourna la tête à son tour.

 

- Thomas ! Entrez, c'est un ordre ! dit-elle d'une autorité toute relative.

 

Etions-nous bien là pour jouer ? tic tac tic tac... Partir en courant ou entrer ?

 

- Et en plus il se branlait madame, je l’ai vu ! renchérit cette conasse de Laeti.

 

Je ne voulais pas passer pour une poule-mouillée auprès de mes cousines. Mais Laetitia m’avait visiblement pris sur le fait. Mon dieu, quoi faire ? Descendre ce vieil escalier ou entrer. J’étais pris au piège, foutu. Et là, telle une pulsion de survie, mon excitation prit le dessus sur ma peur.

 

Remballant mon membre en rut dans mon short, j'entrai.

 

Je vis les deux cousines échanger un sourire complice avant de me regarder arriver lentement vers elle, pour ma part pas tout à fait rassuré.

 

- Entre Thomas, et viens par ici. La petite Laetitia a été très vilaine. Viens ici voir par toi-même : elle ne met même pas de petite culotte sous son collant ! une honte !

 

- Mais madame, c'est parce que j'ai la minette toute mouillée ! répondit Laetitia avec un sourire complice.

 

 

Je n'en croyais pas mes oreilles.

 

- Et bien c'est ce que nous allons voir... conclut Caro qui s'était saisie du legging de son élève.

 

Je n'en croyais pas mes yeux. Les choses allaient si vite... Dans quoi étais-je tombé ? Mes deux cousines étaient-elle devenues des démons, prostrés ici à la porte des enfers ? Quel drôle de tableau, alors qu'un imposant crucifix était accroché là au mur, juste au-dessus d'elles...

 

[...]

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Cool que ça te plaise ! :-) je mets la suite en ligne ce soir ;-) (je me demande si les cousines sont si coquines que ça. .. :-D

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donc la suite... :-)

 

[…]

 

Devant moi, Caroline baissa lentement le legging de Laetitia, qui se retrouva tout d'abord ses belles fesses rebondies à l'air. Puis la maîtresse d'école continua de tirer sur le collant. Laeti, l'élève pas sage, en profita pour écarter un peu les genoux. Sa chatte m'apparût. Caro lui écarta les fesses sur le champ pour ausculter son entrecuisses, sa rondelle y compris.

 

Caro avait, tout comme Laetitia, les joues rouges. Moi aussi, sans nul doute.

 

Ma première paire de fesses, ma première chatte. Laetitia soupira, les paupières clauses, en sentant les mains de Caro lui écarter les fesses. Cela eut pour effet de nous exposer sa vulve, luisante de mouille.

 

- Oh quelle belle chatte tu as là Laeti ! s'exclama la fausse prof théoriquement nunuche et pudique.

 

Les doigts de Caro vinrent se poser sur le fruit de Laeti, cette fois-ci sans voile intermédiaire. La belle blonde, à ce contact, ne put s'empêcher de lâcher un gémissement.

Laetitia avec une magnifique chatte, aux grandes lèvres parfaitement lisses, alors que ses petites lèvres en dépassaient, visibles avec leur rose pale. Un fruit gonflé d'excitation, luisant en son centre.

 

- Hmmm... Ta minette est chaude et si humide commenta la prof pour qui il n'était visiblement pas gênant de caresser une autre chatte que la sienne.

 

Hypnotisé par ce que je voyais, je ne m'étais même pas rendu compte que je m'étais beaucoup approché. Je me pétrissais le manche tout en même temps. Mon bonbon d'amour se mit lui aussi à reluire de mouille. Ma grande cousine avait un sacré cul et une chatte si belle que j'en mourrai d'envie de la goûter, d'y plonger ma langue. Caro lui écartait les fesses pour lui caresser la minette plus précisément encore. Laetitia respirait bouche grande ouverte, essoufflée. Le bout du majeur de Caroline vint dessiner de petits cercles sur le clito de Laeti qui se mit à gémir, affalée sur le dossier du fauteuil alors que son bouton d'amour se mit à grossir à vue d'oeil, visiblement très sensible.

 

- C'est une merveilleuse petite chatte que tu as là.

 

Caro porta ses doigts humides de cyprine à sa bouche pour goûter la chatte de son élève. Je n'en croyais pas mes yeux. Sacrée Caro ! Elle les mouilla ensuite de sa salive, et titillant la chatte de Laeti en surface, je fis son majeur glisser en elle.

 

Laetitia lâcha aussitôt un grand soupir qui se termina par un profond gémissement. Une main à plat sur sa fesse, l'autre enfonçant son majeur luisant de mouille dans la chatte de son élève, la maîtresse d'école avait le dont de la mettre au garde-à-vous. Et moi aussi d'ailleurs. Je réalisai que pour la première fois de ma vie également, j'étais le cul et surtout la queue à l'air, en érection totale, devant deux filles. Mes cousines qui plus était. Et cerise sur le gâteau, j'étais en train de me masturber en leur présence.

 

Laeti reprit légèrement ses esprits alors que Caro lui doigtant la minette. Je vis les yeux de Laetitia se poser sur mon chibre que je pétrissais devant elle. Laeti avait son entrejambes parfaitement lisse. Pas un seul poil. Sa belle chatte rose-violacée me donnait envie de la caresser. D'y fourrer ma queue pour être totalement honnête, malgré tout l'interdit d'un tel désir. Les chairs de sa belle chatte semblaient si tendres, si douces... Caro avait fourré son majeur en entier dans la chatte de Laetitia qui ondulait légèrement du bassin.

 

- Regarde moi cette jolie chatte Thomas me dit soudain la prof improvisée. Tu n'aimerais pas y fourrer ta belle jeune queue pour essayer ?

 

Cette question me fit sursauter.

 

- Tu es toujours puceau en plus... ça serait l'occasion pour toi de satisfaire ta petite camarade et de faire de toi un homme !

 

- Oui... répondis-je timidement.

 

- Mais avant cela, je vais goûter cette belle petite chatte !

 

Je profitai de ce cours interlude pour retirer mon tee-shirt et me défaire de mon short, me retrouvant ainsi totalement nu en présence de mes deux cousines. La folie de l'excitation et du désir avait comme annihilé en moi ma pudeur originelle. J'avais parfaitement conscience que ce à quoi j'assistais était mal, très mal. Interdit. Que le mal de l'enfer m'avait mordu à pleine dent à me tenir ainsi, nu, le membre en érection juste à côté de mes cousines, d'autant que la suite des événements m'était d'ores-et-déjà annoncée. C'était sans doute la raison pour laquelle mon excitation avait irrémédiablement pris le pas sur ma raison et ma timidité.

Debout à côté de Caroline, je la regardais doigter et caresser la chatte de Laetitia qui gémissait de plaisir. La belle blonde gémissait son plaisir avec une incroyable intensité, telle une chatte en chaleur. Il fallait dire que Caro avait ses doigts allongés sur toute son intimité. Je me masturbais juste à côté d'elles en admirant cette belle paire de fesses de jeune femme. Des fesses lisses, fermes et surtout bien rebondies qui me faisaient bander terriblement fort. J'en sentais mon coeur battre dans mon sexe, dans mon bonbon d'amour.

 

Caro pencha alors sa tête vers le bas en écartant les fesses de notre cousine adorée. La tête à l'envers, celle que je croyais si pudique se mit à lécher la chatte de Laetitia dont la bouche s'ouvrit instantanément en grand en prenant de l'air. Je vis la langue douce de Caroline passer sur les chairs intimes de Laetitia, les lèvres de sa bouche gourmande aspirer les petites lèvres de la jolie minette luisante de mouille. Je ne savais plus quoi penser de l'incroyable spectacle auquel j'étais en train d'assister. La pauvre Laetitia, penchée en avant, les fesses et la chatte bien offertes, se laissait dévorer. Elle agrippait l'accoudoir et le dossier du fauteuil avec force et faisait onduler lascivement son bassin. Caro semblait sacrément y faire. Il fallait dire que celle-ci étant une fille, elle devait savoir comment faire et où s'attarder. Caro se redressa légèrement pour caresser la chatte de Laeti de nouveau en surface. J'avais ma queue plus raide et grosse que jamais, mon gland luisait de mouille. Je dévorais cette jolie chatte humide à grands yeux, avec l'impatience de plus en plus prégnante d'y fourrer ma queue pour ma toute première fois.

 

- Hmmm... Ta petite camarade est bientôt prête. Tu vas pouvoir lui fourrer ta belle queue. Mais avant, j'aimerais que tu lui lèches la chatte à ton tour. Tu vas voir, elle est toute douce. Tu vas adorer...

 

Cette proposition décupla mon excitation. Sacrée Caro. Et le pire était que Laetitia ne rechignait pas. J'avais envie de crier de joie. Mes cousines étaient décidemment les meilleurs du monde.

 

- Aller, mets-toi à genoux Thomas. Tu vas lécher la jolie minette de ta cousine.

 

Je m'exécutai.

 

Je me retrouvai avec la chatte et le cul de Laetitia à hauteur d'yeux. Le fumet de sa fente humide me parvenait déjà au nez.

 

- Approche ta tête. Pose tes mains sur ses fesses. N'aies pas peur, elle adore ça.

 

Je m'exécutai.

 

Ma première chatte. Mon premier cul...

 

Je sentis la main de Caroline se poser derrière ma tête. Exerçant une légère pression, elle m'invita à approcher ma langue que je tenais toute dehors de ma bouche sur les chairs intimes de Laetitia.

 

L'instinct fit le reste.

 

Me retrouvant avec le bout de mon grand contre la rondelle de ma grande cousine, je me mis à laper sa bonne chatte bien lisse. J'entendis sa réaction immédiate. Laetitia se mit à geindre, à miauler de plaisir. Je glissai ma langue chaude entre les lèvres de sa chatte, dans son vagin chaud et humide. Je me mis à bouger ma langue dans celui-ci alors que le bout de mon nez exerçait une pression contre son œillet.

 

- Hmmm oui c'est ça ! glisse bien ta langue dans sa minette. Lape-lui la chatte maintenant de bas en haut. Passe ta langue sur son clito.

 

Je sentais les chairs luisantes de mouille de Laetitia plisser sous ma langue, mes lèvres. Le goût suave de sa cyprine excitait mes papilles. Ses gémissements m'irradiaient les oreilles. Laetitia se mis à onduler du bassin, à bouger des fesses. Celles-ci frottaient contre mes joues. Je me mis à lui aspirer la chatte, à laper son bouton d'amour, gonflé, si sensible. Laetitia s'activait de plus en plus. Je sentis soudain une main ferme se poser sur ma tête. ça ne pouvait être que la sienne. Cette main tira presque sur mes cheveux, m'invitant à coller mon visage plus fortement encore contre ses fesses, à fourrer ma langue le plus loin possible en elle. J'avais chaud à en manquer d'air. Un doigt vint soudain se glisser entre le bout de mon nez et la rondelle de Laetitia. C'était celui de Caroline. Elle l'avait enduit de salive et elle se mit à titiller l'œillet interdit de notre grande cousine avec. Les gémissements de celle-ci se firent de plus en plus aigus. Son bassin ondulait avec de plus en plus d'intensité. Laetitia allait jouir d'une seconde à l'autre, c'était évident.

 

- Arrête-toi Thomas.

 

Je crus mal entendre.

 

- Arrête toi je te dis !

 

Je relevai la tête vers la maîtresse d'école qui s'empara de mon bras pour me relever.

 

- Tu vois bien qu'elle est sur le point de jouir. C'est maintenant que ta belle queue entre en action ! Je veux que tu fasses jouir ta petite camarade avec ton membre !

 

Sur ces mots, et face à mon air ahuri, Caroline s'empara de mon sexe qu'elle se mit à pétrir histoire que je l'aie bien dur.

 

[…]

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Tu oses t'arrêter ainsi ????

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Mdr !!! :-D promis suite demain ;-)

suis super content que ça vous plaise en tout cas :-)

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hello ! donc suite et fin... (...bonne lecture :-))

 

[…]

 

- Allez Thomas, mets-toi bien en position. Cette belle chatte est fin prête à recevoir en elle ta belle grosse queue ! Laeti ne me croyait pas quand je lui disais que tu avais une belle queue malgré ton âge. Je t'ai vu te masturber sous la douche l'autre soir ! Et bah pour la peine, elle va recevoir la grosse bite de son petit cousin dans la minette, cette belle cochonne qui ne met pas de petite culotte ! Et je compte sur toi pour la faire jouir !

 

Les contours de ma mission bien en tête, je pris en effet position, tout excité, tant par les paroles de Caro que par le fait que Laetitia ne bronchait pas quant à la punition de nature purement incestueuse qui était faite par notre maîtresse. Alors que je me tenais debout en position juste derrière Laetitia, je sentis soudain la main de Caro me pétrir le manche et tirer sur la peau de mon sexe pour ainsi me décalotter le gland d'une seule traite, me faisant gémir instantanément :

 

- Hhmmm... Si tu voyais son gros gland luisant de mouille. Tu vas sentir celui-ci glisser dans ta petite chatte, attends.

 

Caro se mit à me pétrir le manche quelques instants avant que je ne sente le bout de mon sexe glisser contre la vulve de mon autre cousine. Tous deux nous mîmes à gémir à sentir nos sexes glisser l'un contre l'autre en surface. Excité comme un diable, j'osai poser ma main gauche sur le cul de Laeti. MA toute première paire de fesses, rien qu'à moi, ou presque. Caro s'amusait à exciter la vulve et le clito de sa cousine à l'aide de mon gland. la situation était on ne put excitante alors que tant Laeti que moi savions que d'ici quelques secondes, nous sentirions mon sexe en rut glisser en elle. Caro cessa les mouvement de ma queue et positionna celle-ci bien à l'horizontale. J'ouvris les yeux en grand. Mon gland gonflé d'excitation et luisant de mouille vint chercher l'entrée de la chatte de Laeti. Celui-ci entrouvrit sa vulve, se glissa en elle. Je n'osai plus bouger. J'avais le gland dans la chatte délicieusement chaude de ma cousine.

 

- Aller, glisse-la en elle, Thomas. Deviens un homme !

 

Excité, le coeur battant, j'osai. Tendant on bassin en avant, je vis, je sentis la première moitié de mon chibre dur et épais glisser dans la chatte de Laetitia qui, les yeux fermés, ouvrit la bouche en grand en sentant ce sexe d'homme bien raid investir ses chairs ; les écarteler ; les combler. Tous trois gémîmes en même temps. Dieu que c'était bon. Divine, cette sensation de chaleur douce entourant mon gland si sensible. Je me mis dès lors à bouger lentement en elle. Caro prodigua une grande fessée à Laetitia et agrippant ses deux fesses avec rage, elle les lui écarta.

 

- Alors, c'est ça que tu voulais hein ? La belle bite de Thomas dans ta petite chatte !

 

- Oui... répondis Laetitia tout en gémissant.

 

- ça t'excite de sentir la queue de ton petit cousin dans la chatte, pas vrai ? Tu en mourrais d'envie ?!

 

- Oui !

 

- Tu sens comme il bande dur, comme il bande fort ! Il bande de voir sa queue toute luisante de ta mouille, petite cochonne !

 

Penchée en avant, les fesses ouvertes et cambrées, Laetitia s'offrait à moi comme une chienne en chaleur. Je n'avais jamais vu ça. J'allais et venais lentement en elle, de toute la longueur de ma queue. Chacun des mouvements de ma queue épaisse dans sa chatte bien lisse était accompagné d'un chuintement de mouille. Effet de mon chibre dans sa minette étroite ou le fait que Caro lui pétrissait les fesses par des mouvements allant vers l'extérieur, Laeti en avait la rondelle à moitié entrouverte. Tout son entrejambes luisait de mouille. Elle avait les joues rouges de chez rouge. Je sentais mon gros gland glisser tout le long de son vagin divinement chaud et humide. Je le sentais s'écraser dans ses profondeurs délicieusement serrées. Laetitia, qui avait jusqu'alors la grimace et la bouche ouverte, se mit à se mordre les lèvres et à sourire. Oui, cela ne faisait aucun doute : elle adorait avoir ma queue en elle, combien même j'étais son petit cousin. Je me mis donc à bouger en Laetitia. Lentement, mais sûrement. Sa chatte était si chaude, si étroite. Ma queue épaisse glissait si merveilleusement en elle. Caro se mit à genou et passa sa main entre les cuisses de Laeti pour venir lui caresser le clito du bout des doigts. La plus âgée de mes cousines fondait littéralement sur place. J'allais et venais en elle de toute la longueur de ma queue. Je lui pilonnais la chatte. Je sentais ses fesses rebondies s'écraser et claquer contre mon bas ventre.

 

- Oui ! C'est ça Thomas ! défonce-lui sa petite chatte ! c'est bien continue comme ça !

 

Laetitia gémissait tout son plaisir sans retenue aucune.

 

- Sors ta queue un instant commanda la maîtresse.

 

Je m'exécutai.

 

- Laisse-là sentir et réaliser à quel point ton chibre remplit sa petite chatte.

 

J'avais le gland contre la rondelle de ma cousine qui gémissait encore de cette queue bien raide glissant en elle. Laeti se frottait contre mon chibre que je remis à l'horizontale à l'aide de mes doigts pour qu'elle se rempale dessus.

 

- Regarde comme elle aime ça. Ta camarade vient elle-même chercher ton dard.

 

Mon "dard". Drôle de mot pour faire allusion à mon sexe.

 

- Attrape-là par les cheveux et baise-là bien en profondeur ! exigea soudain Caroline de moi.

 

La maîtresse improvisée devenait-elle délurée ?! Laetitia ne bronchait toujours pas. Alors, une fois de plus, je fis ce que ma maîtresse me demandait.

J'empoignai le chignon de Laetitia et tirant dessus, je me mis à culbuter bien en profondeur. Laeti se mit à gémir de plus belle, prise ainsi en puissance.

 

- Oui c'est ça mon Tommy, baise-là fort ! Elle ne va pas tarder à jouir, c'est sûr !

 

Laetitia mouillait comme pas permis. Elle se mit soudain elle même à sauter sur ma queue, à me donner des coups de cul, s'empalant lourdement sur mon chibre. Celui-ci était si gros, dilaté par la chaleur de sa minette...

 

- Lâche ses cheveux. Laisse-là faire mon beau. Contente-toi de lui offrir ta belle queue.

 

Sur ces mots, le bassin tendu en avant, je laissai ma grande cousine faire. Je regardais ma queue disparaître dans sa chatte et réapparaître luisante de mouille. La respiration de Laetitia était de plus en plus saccadée. Ses mouvements aussi. Ils étaient tantôt rapides, tantôt lourds.

 

- Oui ! ... Ouii.... Ouiiiii !!!! se mit à crier Laetitia alors que Caro activait ses doigts sur le clito en fusion de celle-ci.

 

Ma grande cousine se mit à jouir, emportée par un orgasme terrible. Elle lâcha un cri puissant lorsque son orgasme se déclencha au même moment qu'elle se laissa glisser sur toute la longueur de mon sexe qui lui combla le vagin de part en part. Les caresses précises et efficaces prodiguées par Caro la maîtresse d'école firent décoller la pauvre Laeti et continua de s'empaler comme elle le pouvait sur mon "dard". Celui-ci sortit malencontreusement de sa minette.

 

- Je peux plus ! je peux plus ! stop ! gémit Laeti toute essoufflée.

 

Mêmes mes boules luisaient de mouille. Laetitia avait sérieusement joui. J'avais la queue bien raide, le gland juste à l'entrée de sa rondelle. La maîtresse allait-elle me demander à présent de sodomiser ma grande cousine adorée, profitant que celle-ci était dans tous ses états.

 

Il n'en fut rien, bien qu'excité comme un diable, j'aurais été capable de tout pour exciter ces deux belles jeunes femmes, y compris les choses les plus interdites.

 

La maîtresse d'école me reprit en main et me pétrit le manche.

 

- Hmmm... Elle est toute chaude de ta chatte !

 

Caro, qui était accroupie à côté de moi, me fit tourner vers elle. Je la vis soudain ouvrir la bouche. La brune sainte-nitouche qu'en apparence se mit à me lécher le gland en gémissant tout en me tenant le manche à sa base, avant de me masturber doucement en avalant mon bonbon d'amour d'une traite. De la chatte de l'une, j'avais la queue qui atterrissait dans la bouche de l'autre.

 

- Hhhmmmm... gémit Caroline en faisant glisser mon dard épais dans sa bouche, le long de sa langue.

 

J'en eu un frisson de plaisir.

 

- Sa queue à le goût de ta jolie chatte Laeti ! Elle est exquise !

 

Sur ces mots, ma cousine lubrique me reprit en bouche en me pétrissant le manche. Sucer une queue ne semblait pas avoir de secret non plus pour elle. Décidemment, je n'y comprenais rien aux filles. Au moins elles en parlaient, au plus elles semblaient y faire et le pratiquer.

Me faire pomper la queue par ma cousine déguisée en maîtresse d'école me fit une drôle d'impression, tout comme celle d'être leur "homme-objet". J'avais une vue directe sur le décolleté de ma cousine alors que je voyais ses lèvres glisser autour de mon gland pour englober celui-ci. Mon bonbon, par ses caresses, devenait très très sensible. Tout cela était beaucoup pour moi. Je sentais qu'à ce rythme, je ne tarderais pas très longtemps à exploser à mon tour.

 

Y avais-je seulement droit, l'autorisation de ma "maîtresse" ?

 

Me sentant dur et gros comme jamais, prêt à exploser, Caroline réussit à me garder opérationnel au détriment de son envie de me sucer.

 

- Aller, lève-toi Laetitia. A ton tour de t'occuper un peu de moi.

 

Laetitia avait quelque peu repris ses esprits pendant cette session de sucette assurée par Caroline. Laeti était debout et vint embrasser Caro sur la bouche. Drôle de situation. Etait-elle donc lesbiennes ces deux-ci ? Quoi qu'un baiser après ce qu'elles venaient de faire pouvait faire pale figure.

Mes deux cousines se déshabillèrent mutuellement devant moi. Laeti avait encore son legging retroussé en bas de ses cuisses et tenait de retirer sa robe. Elle portait encore un fin tee-shirt en dessous. La voir là debout, les fesses et la chatte à l'air, m'excitait terriblement. Caro quant à elle déboutonna son chemisier. Laeti finit de se mettre totalement nue. La plus vieille embrassa à nouveau la plus jeune qui n'était pas encore totalement nue. Excité comme un damné, j'en profitai pour me masturber en dévorant les belles fesses rebondies de Laetitia du regard. Moi qui avais eu ma queue et ma langue quelques instants plus tôt en elle. Je n'en revenais pas d'avoir eu un rapport sexuel avec une telle beauté.

Caro retira son haut tandis que Laetitia l'aida à quitter sa culotte. Tout à l'inverse de ce sa cousine aînée, Caroline avait un pubis bien fourni, et des petits seins pointus. Les nymphes s'embrassèrent à nouveau, cette fois-ci totalement nues, devant mes yeux ébahis. Depuis combien de temps s'adonnaient-elles à des plaisirs coquins ?

Caro qui tenait Laetitia contre elle, s'assît dans le fauteuil et invita Laeti à s'assoir sur ses genoux. Les filles écartèrent alors les cuisses en grand devant moi, posant leur mollet droit sur l'accoudoir. Caro mouilla le bout de ses doigts de salive et se mit à caresser à nouveau la chatte de son aînée. Elles s'embrassaient alors que Caro doigtait la fente de Laetitia.

Debout devant elles, je me masturbais en dévorants leurs belles chattes du regard. Une bien lisse pour l'une, une poilu pour l'autre. Toutes deux aussi excitantes l'une que l'autre.  Le clito rose pale de Caroline était gonflé d'excitation au simple fait de doigter la belle blonde. La chatte de Laetitia clapotait lorsque les doigts de Caroline bougeaient en elle. De la mouille coulait sur les fesses de Laeti.

Excité comme un diable, je n'attendis pas les consignes cette fois. Je m'accroupis entre les cuisses de Caro et une main sur celle située à ma gauche, l'autre sur celle de Laeti, je me mis à lécher la chatte poilue de notre maîtresse adorée qui se mit à gémir aussitôt. Sa chatte sentait bon la mouille chaude. Le bout de ma langue titillait son clito et les petites lèvres roses de sa chatte. Les gémissements de plaisirs des filles, la chaleur dégagée par leurs corps en fusion décuplaient mon appétit pour cette belle chatte de femme. De part ma position, j'avais deux chatte quasiment en face des yeux. Comment diable aurais-je pu deviner un jour qu'il m'arriverait une telle expérience ?! Caro aussi ondulait du bassin. La pauvre mouillait depuis plus longtemps que Laetitia sans avoir été soulagée de quelque façon que ce fut. Je le mis à pincer les petites lèvres de sa chatte entre les miennes, à lécher son clito. Caro gémissait profondément, à en grimacer. Sa mouille paraissait blanchâtre par moment. Les poils frisés se chargeaient de cyprine. Attendait-elle aussi que j'y fourre mon "dard" dur et épais ? Les doigts de Caro dessinaient en surface ses ronds sur la minette de Laeti qui, le corps cambré, gémissaient bouche grande ouverte. Heureusement que papy et mamie étaient sourds comme des pots, car les filles gémissaient comme des bêtes en chaleur. Lécher la chatte pleine de poils de Caroline était curieusement moins agréable mais tout aussi excitant. Caroline dégoulinait de mouille et sa chatte avait plus de goût. J'avais le nez qui frottait contre les poils de son pubis. Caro avait finalement la minette d'une gentille fille bien sage qui n'osait pas se l'épiler. Elle se mit à caresser la chatte de Laetitia avec de plus en plus d'intensité. Laeti se mit de nouveau à geindre, à crier. Puis à jouir. Ses tétons pointaient avec force vers le ciel. Laetitia se mit à trembler de tout son corps.

Excité par ses miaulements, je m'activai plus encore sur la minette de Caroline, excitée par la jouissance de sa cousine. J'aspirais les petites lèvres roses et luisantes de mouille de Caro et activait avec fougue ma langue dans sa chatte. Caro se mit à gémir, à faire onduler son bassin avec de plus en plus d'entrain. Il me sembla soudain recevoir un jet chaud dans la bouche. Caro grimaçait, gémissait. Je la sentais d'approcher de l'orgasme à son tour. La belle brune me plaqua la tête contre sa chatte poilue et humide. Peinant à respirer par le nez, je lui continuais de lui laper la chatte, encore et encore. Les mouvements de son bas ventre se firent de plus en plus saccadés, jusqu'à ce que la "maîtresse d'école" ne me plaque le visage contre sa chatte. Quelques petits coups de langue bien placés sur son clito et puis le cri. Des cris. Ondulant à nouveau de son bassin, Caroline se fit exploser la chatte contre ma bouche et ma langue. Elle frottait sa minette en fusion dessus, gémissante, haletante. L'odeur de sa chatte trempée occupait mon nez. J'avais des poils de sa bonne chatte dans la bouche. Je m'en moquais. J'étais parvenu à mes fins : celles de faire jouir celle par qui j'avais perdu mon pucelage.

Caroline finit par relâcher son étreinte sur ma tête.

 

- Oh punaise, c'est trop bon ce que tu m'as fait là ! me dit-elle souriante, implorante. Reconnaissante.

 

Les filles reprirent leurs esprits et d'un regard complice, elles tournèrent leur regard vers moi.

 

Elles se levèrent et me firent m'assoir dans le fauteuil. Elles se mirent accroupies de part et d'autre de ma queue, en appui sur mes cuisses. Caro fut la première à me saisir le chibre qu'elle se mit à pétrir. Les coquines se mirent dès lors à me lécher le sexe. A me laper le gland. Toutes langues dehors, je les regardais titiller mon gland et mon frein avec leurs lèvres et leurs langues coquines. Ma respiration se mit à rapidement d'accélérer. Et histoire de m'exciter à fond, Caro tirait fortement sur la peau de mon chibre, histoire de bien me tendre le frein et ainsi de rendre celui-ci et mon gland plus sensibles que jamais. Mon bonbon d'amour était gonflé, prêt à éclater. Une coulée de mouille en fit irruption. Laetitia me regardait droit dans les yeux en me le léchant alors que Caro avait les yeux rivés dessus. Mon bonbon d'amour adoré. Si sensible, si fragile, en proie avec ces deux jeunes femmes en chaleur.

 

- Et si on faisait gicler cette belle queue de puceau, hein Laeti ? lança soudain Caroline en me pétrissant le manche.

 

- Hmm... Ouiii ! Je suis sûr qu'elle ne demande qu'à exploser ! répondit ma grande cousine entre deux coups de langue sur mon frein.

 

- Tu crois qu'il va gicler beaucoup de sperme ?

 

- Hmmm... se contenta de répondre la blonde qi  s'attendait à une éjaculation imminente.

 

Elle n'avait pas tort... j'étais à l’agonie. Caroline me serrait fort la queue et tirait sur la peau de celle-ci de façon à tendre mon frein au maximum. Les petits coups de langue de Laetitia me faisaient gémir à en mourir de plaisir. Je sentais l'orgasme se rapprocher, monter peu à peu. Mon gland était plus sensible que jamais.

 

Je gémissais, grimaçais sans mot dire. Le travail complice de mes deux cousines lubriques sur ma queue était démoniaque d'efficacité. Je sentais mon bonbon d'amour prêt à exploser, mais leurs caresses étaient si subtiles que mon orgasme était en suspension permanente.

 

En suspension, alors que je sentais mon coeur battre dans mon gland. Soudain, un coup de langue de trop de Laetitia derrière le gland. Une violente décharge électrique partit de celui-ci jusqu'à mes couilles et me fit lacher un cri.

 

- Ça y est. Il vient. Je le sens dans sa queue commenta Caro qui la serrait toujours aussi fortement.

 

Les filles se mirent toutes les deux à me lécher le gland. De violentes secousses parcoururent mon chibre alors que je râlais mon plaisir. Une première coulée de sperme dégoulina de mon gland, avant qu'un puissant jet m'explose. Je me mis à éjaculer de puissants jets de sperme. Caro gardait mon chibre légèrement orienté vers moi pendant que Laeti continuait de me laper le frein et le gland.

 La belle blonde s'empara à son tour de ma queue, la tenant de la même façon que Caro le faisait précédemment.

 

- Vas-y, goûte son sperme ! dit la blonde à la brune.

 

Je vis alors Caro tendre la langue et recueillir de ma semence chaude et onctueuse du bout de celle-ci. Mais celle qui semblait bel et bien le plus excitée par mon sperme était Laetitia. Elle gardait mon frein divinement tendu, si bien que les secousses qui parcouraient mon sexe le tendaient plus encore. Du coup, je ne cessais plus d'éjaculer. Mon sperme coulait de mon gland devnu rose violacé et le faisait luire. Mes cousines avaient leurs visages à quelques centimètres seulement de mon chibre en éruption. Mon orgasme n'était pas tut à fait terminé que Laetitia se mit à me laper le chibre tout entier de bas en haut, avant de venir s'attaquer à mon gland en fusion avec une infinie délicatesse. Caro en fit de même avant que la plus âgée des deux ne vienne prendre mon bonbon dégoulinant en bouche. Cela eut pour effet de me faire gémir de plus belle. Voir ces deux cochonnes goûter mon sperme était vraiment la cerise sur le gâteau. Lorsque Laeti sortit ma queue de sa bouche, je vis qu'il y avait de mon sperme à l'intérieur. Elle invita sa cousine cadette à en faire de même. Caroline m'aspira le gland en me regardant.

 

Tout le monde avait donc copieusement joui en cette après-midi pluvieuse.

 

Cette dernière semaine de vacances avec mes cousines se poursuivit les autres jours avec des activités plus "classiques", comme si cette expérience ne s'était jamais passée. Caroline ne me regardait pas moins avec un oeil lubrique. Les soirs suivants, il me semblait avoir entendu mes cousines gémir. Elles dormaient dans la même chambre. Nul doute qu'elles s'adonnaient à des plaisirs aussi secrets qu'interdits.

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