Aller au contenu

Faites des rencontres coquines près de chez vous

AsMoth

Mon élève et son membre de bête...

Recommended Posts

Bonjour, je m'appelle Denise. J'ai quarante-cinq ans et je suis professeur d'anglais dans un lycée de banlieue parisienne. J'ai divorcé de mon mari il ya quelques années de cela, et je dois bien avouer que la présence d'un homme me manque. Malgré mon âge que certains qualifieraient de "mûr", mon corps réclama encore la présence d'un homme entre mes cuisses. Et d'une certaine façon, après avoir vécu une fin de mariage catastrophique, je n'éprouve pas l'envie non plus de me remettre en ménage. La crise de la quarantaine tardive ou de la cinquantaine par avance, allez savoir. Sauf que ce manque de sexe finit par avoir un impact direct sur mes fantasmes grandissants et même sur mes attitudes ou façons de m'habiller. Prenant le RER pour aller au travail et revenir, combien de fois ne me suis-je pas retrouvée avec des hommes en érection matant sous ma jupe. Et aussi fou que  cela puisse paraître : je m'en moquai. Cela m'excitait même d'une certaine façon de savoir que je pouvais encore emporter l'intérêt de la gente masculine par mes simples attributs. Il fallait dire que je suis plutôt bien conservée et que bien des hommes aiment à lorgner sur ma grosse paire de seins. Des idées folles, des idées de sexe, j'en avais plein la tête. De la façon coquette de m'habiller jusqu'à inventer les scénarios les plus fous. Et parmi eux, le fantasme de m'amuser avec l'un de mes étudiants.

 

J'avais repéré dans l'une de mes classes de terminale un prénommé Charly. Un antillais tout en muscles que j'avais un jour surpris en train de bander dans son short. Nous arrivions à la fin de l'année et je m'étais proposée d'animer une heure de plus ou deux pour les élèves soucieux de ne pas se vautrer au baccalauréat. Nous étions un vendredi ensoleillé de la fin mai et parmi la longue liste de volontaires - 4 élèves seulement ! - figurait mon Charly. Allait-il une fois de plus arriver en short comme le faisaient beaucoup de ses camarades ? J'avais pour ma part tout prévu : chemisier à boutonnière largement défaite, et surtout, une jupe remontant facilement le long des cuisses. J'étais bel et bien décidée à faire bander ce jeune étalon, me fichant éperdument des conséquences éventuelles de mes actes. Je savais en effet que l'année prochaine se serait affectée dans un autre département, alors j'osai me dire de tenter le tout pour le tout pour cette ultime journée de classe.

 

Charly était seul sur la partie gauche de la salle de cours. Je sentais mon coeur battre à la chamade à l'idée de ce que j'allais faire.

 

J’osai. Lentement, j'écartai les cuisses. D'où j'étais, d'où Charly se situait, seul lui pouvait le voir. Ou plutôt la voir : ma petite culotte transparente. Moins de trois minutes suffirent à mon bonnet d'âne pour lever les yeux et les garder rivés sur mon entrejambes. Ses yeux croisèrent les miens. Je lâchai un petit sourire amusé avant de les baisser. Et d'écarter les cuisses, plus largement encore. Charly était la proie idéale à mon fantasme. Je l'avais déjà surpris en train de bander dans son short trois semaines auparavant. Suite à une mégarde de ma part ? Allez savoir... Je vis le beau black se sentir de plus en plus mal à l'aise au fil des minutes, et soudain trépigner sur sa chaise quand je passai le bout de mes doigts sur ma chatte, feignant me gratter. Je mouillais littéralement sur place en imaginant ce qui allait pouvoir suivre. Mais comment être sûre ? La belle bosse dessinée par le sexe de ce jeune male dans son petit short laissait pourtant espérer de belles choses. Oserait-il m'aborder ? Ce fut soudain à mon tour de rester sans voix quand, alertée par les mouvements nerveux de mon étudiant préféré sur sa chaise, je m'aperçus que le bout de sa queue commençait à dépasser de de la jambe droite de son short. Il avait dû le sentir. Je ne pus m'empêcher d'ouvrir la bouche et les yeux en grands en voyant son gland et surtout la taille de celui-ci. Charly leva les yeux vers les miens. J'étais prise en flagrant-délit de matage d queue. Paniquée, j'en resserrai les cuisses par réflexe. Je sentis alors à quel point ma petite culotte était mouillée. Du haut de mes quarante-cinq ans, ce beau jeune homme me mettait dans tous mes états. Il restait cinq minutes avant la fin du cours, la pression montait en moi. Je devais avoir les joues rouges d'excitation. De désir. Je voulais que le jeune Charly me baise, il n'y avait rien d'autre à dire. Alors, foutue pour foutue, jouant le tout pour le tout, j'écartai les cuisses en grand, en m'asseyant sur le bord de ma chaise dans l'espoir que Charly voie à quel point je mouillais. Ma petite culotte avait un double fond, mais j'étais si humide que celle-ci devait me coller à la chatte. Une chatte épilée et bien lisse pour l'occasion. L'effet escompté opéra : plus gêné que jamais, le pauvre Charly ne put rien faire sinon que baisser les yeux de honte tant il sentait son membre grossir et s'allonger entre ses cuisses. Il était foutu. Il était à moi. Impossible pour lui de se lever à la sonnerie. Il allait falloir s'expliquer.

 

La fameuse sonnerie retentit. Mon pauvre étudiant prenait tout son temps pour ranger ses affaires dans son sac en espérant que son braquemart de cheval finisse par débander. Les trois autres élèves avaient quitté la salle. Charly et moi nous regardâmes.

 

- Un problème Charly ? lui demandai-je en me dirigeant vers la porte que je fermai. A clef.

 

- Alors mon beau ? Tu ne veux pas partir, ou tu ne peux pas partir ?

 

- Madame...

 

- Oui ? l'interrompis-je volontairement d'un ton autoritaire.

 

- Je suis désolé, j'ai un problème...

 

- Oui, je crois savoir quoi l'interrompis-je une nouvelle fois en m'asseyant sur le bord de mon bureau.

 

De là où j'étais, je pouvais voir sa queue. Son "paquet", gonflé d'excitation.

 

- Lève-toi et prends ta chaise.

 

- Pardon ?

 

- Aller !

 

Décontenancé, mon étudiant se leva, cachant son érection d'une main, prenant la chaise de l'autre.

 

- Mets ta chaise ici et assis-toi dessus, lui ordonnai-je, indiquant le devant du bureau.

 

Le bougre s'exécuta.

 

Sur ce, nous y étions. Impossible de reculer. Alors, le coeur battant à tout rompre rien qu'à penser à l'interdit que j'étais sur le point de franchir, je retroussai ma jupe et levant les pieds au ciel, le dos sur le bureau, je retirai ma petite culotte devant le pauvre Charly.

 

- Oh madame gémit-il en ayant ainsi une vue directe sur ma chatte et ma rondelle, toutes deux bien lisses. Mes orifices intimes étaient à la hauteur de ses yeux, à la hauteur de sa bouche...

 

- C'est ma chatte qui te fait autant bander, c'est ça Charly ?

 

- Oui madame...

 

- Alors viens me la lécher conclus-je en écartant les cuisses en grand.

 

Sur ces mots, Charly quitta sa chaise et vint s'agenouiller à mon bureau. Le beau black sortit sa belle langue rose de sa bouche et vint en porter le bout sur ma vulve, directement sur mon clito. Un contact qui me fit gémir instantanément. Dieu que j'aurais dû avoir honte de m'offrir de la sorte, surtout à l'un de mes élèves... La seconde qui suivit, le petit polisson colla le bout de sa langue sur ma rondelle. J'en ouvris la bouche et les yeux en grand de surprise, ne m'attendant pas du tout à cela. Je me redressai sur mon bureau indiquant ma chatte du bout des doigts. Mon bel ourson se mit dès lors à ma lécher la vulve, parfaitement offerte et entrouverte, toute luisante de mouille.

 

- Oui comme ça mon beau !

 

 Alors que je déboutonnai complètement mon chemisier, le coquin profita de ce moment d'inattention pour me lécher la rondelle à nouveau, avant de remonter au niveau de ma fente. Malgré son jeune âge, le jeune homme savait drôlement y faire. J'étais toute excitée rien qu'à me voir ainsi offerte, la chatte et les fesses au bord du bureau, mes orifices intimes en parfait libre accès. J'avais mon chemisier grand ouvert, me retrouvant en soutif. Je me en appui simplement sur ma main droite pour bien m'offrir à ce bel étalon noir que j'invitai à me lécher en posant ma main sur son crâne.

 

- Oh oui ! Lèche bien ma petite chatte !

 

Sa belle langue rose et épaisse lapait ma chatte et cliquetait sur celle-ci en s'agitant de bas en haut avec agilité. Charly m'embrassait la chatte entre les grosses lèvres, m'aspirait la fente, s'abreuvant de ma cyprine.

 

- Bah tu vois Charly que tu sais utiliser ta langue. Alors pourquoi tu peines autant en anglais ?

 

Un trait d'humour auquel le bel étalon ne répondit pas. Mon bel ourson était bien plus occupé à lécher son pot de miel...

 

Un ourson polisson que je n'avais pas vu retirer son short alors qu'il me dévorait la minette.

 

Sans me prévenir, sans doute rassasié, je le vis se relever. Toujours aussi excitée, je crus que le feu des enfers me monta à la tête quand je le vis pétrir mon énorme chibre entre ses doigts. Une bite énorme. Si longue, si grosse... Je n'en avais jamais vue de pareille. Le feu me monta aux joues et je ne sus plus quoi dire. Sans mot dire, Charly approcha sa belle queue de ma chatte. On y était Denise...

Je me contentai de lever les pieds en l'air, en appui sur mes coudes pour voir ce chibre de cheval glisser dans ma chatte. Je sentis ainsi son énorme gland entrer en contact de ma vulve heureusement trempée de mouille et de salive. Le bel étalon tendit alors son bassin en avant. Je sentis comme mes chairs intimes se dilater au passage de son gland. Je ne pus m'empêcher de lâcher un cri, et de serrer les dents en grimaçant. "Tu l'avais voulu chérie !" me dis-je à moi-même.

 

- Oh bordel ! ta queue est si grosse ! Vas-y doucement mon beau... gémis-je en sentant le bout de ce chibre bestial glisser en moi.

Charly se mit à me pénétrer avec délicatesse en tenant son membre épais en main, se contentant juste d'en glisser le premier tiers dans ma chatte. Il en ressortant tout luisant de mouille.

 

- Purée... quelle queue !  m'exclamai-je en saisissant celle-ci à pleine main. Le beau dard couleur ébène ressortit de ma fente tout luisant de mouille. Je me mis à la guider dans ma chatte alors que Charly bougeait lentement d'avant en arrière, comme pour bien réaliser la taille du mandrin que je revenais en moi. Même mon plus gros gode n'était pas aussi imposant. Charly me mit un long coup de rein au moment où je relâchai son chibre. Je ressentis alors comme un électrochoc parcourir ma chatte toute entière. Ma fente était écartée en grand pour accueillir cet engin long et épais et mon clito, ainsi bien en évidence, se mit à gonfler à vue d'oeil. Nous étions vendredi après-midi. J'étais de corvée pour ces cours de rattrapage et je savais qu'il n'y avait plus personne dans l'établissement. Et quelquepart, je m'en moquais. Je râlais mon plaisir à gorge déployée. Charly prit à nouveau sa grosse queue entre les doigts pour me la retirer et me la fourrer à nouveau. Nous gémîmes tous deux de concert.

 

- Ma queue vous plait madame ? osa-t-il me demander.

 

- Ta belle grosse queue me fait mouiller comme une chienne ! osai-je lui rétorquer.

 

- Vous me faites beaucoup bander madame... se confia Charly, prenant visiblement la confiance, tenant toujours sa bite épaisse dans sa main, prenant soin d'enfoncer les deux tiers restant jusqu'au fond de ma chatte.

 

- Sans déconner... Je savais bien que tu étais monté comme un cheval ! Oui, doucement mon beau, oui, comme ça.

 

J'avais le pied gauche sur l'épaule de mon étudiant et celui-ci me godait la chatte avec son gros dard, tout en douceur. J'avais les tétons qui pointaient avec force sous mon soutif transparent. Sentir ce membre épais en moi me donnait l'impression d'être plus femme que jamais. Son gros gland investissait et écartelait les profondeurs de ma chatte jusque là jamais parcourues.

 

Je regardais ce beau jeune homme d'un regard neuf. Il était le dieu de la baise !

 

Charly se baissa pour me lécher la chatte à nouveau, lui accordant ainsi un moment de répit. J'en profitai pour sortir mes seins de leurs bonnets. Je voulais m'offrir complètement nue à mon bel étalon qui me mettait dans un état pas possible. Ses baisers, sa langue cherchant à investir mon cul me fit fondre de plaisir. Je me mis à caresser ma chatte devant mon élève, tellement que j'étais en chaleur, l'envie de jouir plus forte que jamais. Ma chatte clapotait de mouille tant j'étais humide. Que devait-il penser de moi à me voir dans un tel état de chaleur ? Je m'étais rarement faite lécher la rondelle et cela m'excitait au plus haut point, tant l'audace de mon jeune étalon ajoutait à l'interdit de la situation.

 

- Oh oui lèche mon petit trou vas-y ! ça me fait tellement mouiller ! l'encourageai-je dans son vice.

 

Charly me fixait du regard tout en léchant son pot de miel à pleine langue. Le beau Noir se redressa pour me renfiler son gros gland dans la chatte. Charly vint s'embrasser sur la bouche. La sienne avait le goût et l'odeur de ma chatte.

Le bel homme d'ébène me "godait" la chatte en tenant son gros chibre dans la main, me pénétrant toujours délicatement, veillant à ne pas me faire mal.

 

- Votre chatte est si étroite madame...

 

- Tu trouves ? lui demandai-je, perplexe, pensant surtout que sa bite était énorme.

 

Tous deux avions nos yeux rivés sur nos sexes en fusion. Charly insista un peu plus. Je sentis la moitié de son chibre en moi. J'écartai pourtant les cuisses comme je pouvais, mais je ne pouvais faire ma chochotte et le laisser autant en difficulté. J'eus l'idée de mettre ma cuisse droite sur le côté, posée sur le bureau et de lever ma jambe gauche vers le ciel, posant mon mollet sur l'épaule de Charly.

 

- Agrippe-toi à ma jambe mon beau, et baise-moi !

 

Je réalisai que le bel étalon avait une queue presque aussi grosse que mon avant-bras. Quelle position prendre. Il me fallait lui donner la niaque, l'envie de me baiser comme je le désirais, comme je le méritais aussi sans doute. Il n'y avait qu'une seule solution pour cela : qu'il me prenne en levrette.

 

Cela supposait de lui donner toute la latitude pour m'enfoncer son membre épais, mais j'étais si excitée que j'étais prête à courir le risque. Je me levai du bureau, et prenant mon fauteuil, je m'installai à genou dessus, les fesses bien cambrées en arrière, outrageusement écartées, offertes.

 

- Oh mon dieu jura le jeune Noir à la queue d'étalon.

 

Je me mis à me caresser la chatte devant lui, en écarta les lèvres luisantes de cyprine.

 

- Qu'est-ce que tu attends pour y fourrer ta queue !

 

Le jeune homme semblait captivé par la vue de celle-ci, se pétrissant le manche, l'air hagard. Je sentis le contact de son gland sur la vulve et aussitôt celui-ci glisser en moi. Les mains du jeune Noir agrippèrent mes hanches et le jeune homme prenant ainsi appui, il allongea ses reins vers l'avant. Je me retrouvai avec les deux tiers de son gros dard en moi. Je crus que ma chatte toute entière allait éclater. Je ne pus m'empêcher de lâcher un grand cri. Lentement, le bougre retira son membre. Etais-je en train de vivre un second dépucelage à l'approche de la cinquantaine ? Ainsi bien en position, Charly se mit à allonger ses coups de reins. Lentement. J'écartais et cambrais les fesses le plus possible pour pouvoir laisser passer son énorme engin. Une sensation nouvelle... exquise. Je devais avouer que je ne faisais plus beaucoup la maline, ainsi soumise aux désirs de mon bel étalon. Heureusement, celui-ci y allait mollo, bien que cherchant à enfiler son membre le plus loin possible en moi de temps à autre. Mes seins à l'air, ma chatte et mes fesses offertes comme rarement j'avais osé le faire, mon Charly prenait un plaisir certain à baiser sa prof d'anglais. J'en avais les tétons qui pointaient comme pas permis. Je croyais que j'allais en avoir une montée de lait. Des frissons tantôt brûlants, tantôt glacés me parcouraient l'échine. Sa grosse queue me remplissait la chatte de part en part. Les coups de queue de Charly se firent de plus en plus longs, de plus en plus lourds. Le bout de son chibre percutait le fond de mon antre, je pouvais le sentir. Charly m'enfonçait son chibre jusqu'à ce que mes fesses percutent le haut de ses cuisses musclées. J'avais l'impression d'être prise par une bête sauvage. J'en avais la rondelle entrouverte, je pouvais le sentir ça aussi. A m'avoir léché le cul comme il avait osé le faire, j'espérais seulement que Charly n'avait pas d'idées salaces en tête. Je gémissais sans retenue, sentant tout mon entrejambes comblé de plaisir.

 

- Vous êtes si serrée madame... commenta à nouveau mon bel étalon qui peinait à me culbuter.

 

Je pensais surtout que, ma chatte trop serrée ou pas, il se sentait pas loin de jouir. Il se remit à me goder la chatte en tenant son dard en main, n'en utilisant que le premier tiers.

 

Je ne sus si c'était le fait de tenir sa queue dans sa main ou non, mais son chibre me parut grossir encore un peu plus. Calme et immobile, telle une proie agonisante, je me laissais pilonner la chatte par cette queue venue d'ailleurs. Je me contentais de gémir et de la sentir fondre de plaisir tandis que Charly s'amusait à la faire aller et venir lentement dans ma fente à l'aide de sa main. 

 

- Oh oui Charly, ta queue me fait fondre. Continue, comme ça, ouiiii...

 

C'était la première fois que je couchais avec l'un de mes élèves, et celui-ci se révélait déjà être dans la top-liste de mes amants. Il fallait avouer que je ne demandais pas grand chose : juste à me faire lécher et me faire remplir la chatte. Chaque seconde qui passait me faire un peu plus lâcher prise. La tête posée sur le haut du dossier, j'avais les fesses plus cambrées et écartées que jamais, dépassant largement de l'assise du fauteuil. Je voulais sentir cette grosse queue de noir me remplir la chatte. Tenant mon dard d'une main, m'écartant les fesses de l'autre, le jeune Charly me pilonnait la fente. Son gland était devenu si gros que je le sentais comme au point de m'arracher la chatte chaque fois qu'il menaçait d'en sortir. Ce n’était pas dieu possible de créer des bites pareilles ! Ma chatte clapotait de mouille au moindre des mouvements de Charly en elle. Le bougre grimaçait et gémissait même à sentir son gros membre glisser dans ma petite chatte de Blanche. Ce gros salopard sembla avoir repris de la vigueur tant il se mit à le fourrer ma queue en entier. En appui sur mes genoux, j'en avais les jambes qui tremblaient, les pieds qui frétillaient. Non, à bien y réfléchir, je ne m'étais jamais offerte de la sorte, même à mon ex-mari. Sa grosse queue me donnait l'impression de me faire bourrer la chatte et le cul en même temps. J'étais maintenant bien dilatée, plus humide que jamais pour l'accueillir en moi en entier. Un plaisir unique à chaque lente et longue pénétration, me faisant sentir plus femme que jamais. Charly m'agrippa à nouveau par les hanches pour me culbuter totalement. Je le sentais appuyer mes coups de rein en bout de course pour forcer sa grosse queue à me remplir la chatte bien jusqu'au fond. Et là, telle une bête en rut, le bougre posa son pied à-même le bureau pour me baiser. Oui, Charly, mon bel étalon noir. Ainsi offerte sous lui, j'avais l'impression de me baiser remplir la chatte par un cheval. Ce jeune bougre avait une queue par humaine, et me faire baiser de la sorte m'excita à un tel point que mon clitoris se mit à gonfler de plaisir. Je sentais que j'allais jouir. Oui, jouir. J'eus à pleine à me caresser le bouton du bout des doigts que je sentis soudain un électrochoc de jouissance naître de mon clito et de mon vagin tout en même temps. C'était la première fois que je ressentais cela. J'en lâchai un grand cri, alors que Charly continuai d'enfoncer son dard épais en moi. Mon entrejambes tout entier vibrait et frissonnait de la puissance de cet orgasme, lui aussi venu d'ailleurs. Je ne savais plus si s'ouvrais ou serrais ma chatte, remplie par cette énorme queue. Le courant électrique du plaisir, ce frisson hors du commun parcourut mon échine et mon corps tout entier, jusqu'en haut de ma tête. Mes tétons pointaient comme des pis. Je me sentais en cet instant précis plus femme que jamais. Charly me mit quelques autres profonds coups de queue avant de sortir sa belle bite de ma fente défoncée. Je m'accroupis alors à même le sol pour prendre cette bite énorme dans la main, loin d'en faire le tour et les joues rouges autant de honte que d'excitation, j'ouvris la bouche aussi grand que je fus pour parvenir à enfourner difficilement son énorme gland. Moi, la prof d'anglais, était accroupie, les yeux levés vers mon élève, soumise à mon désir pour lui. J'étais toute excitée à voir et avoir une queue aussi énorme en bouche. Même dans mes fantasmes les plus torrides, je n'aurais imaginé qu'une bite pareille puisse exister.

Relâchant une quantité généreuse de salive dessus, je me mis à la tenir à sa base d'une main pour la pétrir de l'autre, puis à reprendre son gros bonbon luisant en bouche tout en même temps. Je sentais entre mes cuisses ma chatte encore frissonnante suite à mon orgasme. Je sentais surtout celle-ci réclamer à nouveau cette queue unique que je ne reverrai probablement jamais.

 

- Tu aimes quand je joue avec ta belle grosse queue comme ça, hein mon beau ? lui demandai-je droit dans les yeux tout en faisant glisser ma main sur son chibre.

 

- Ouii... madame ! gémît-il, comme un petit ourson très sage.

 

J'étais déjà en train d'imaginer avec un homme monté avec une aussi belle queue à disposition. Des heures de sexe en perspective. Je devenais surtout de plus en plus hystérique à jouer avec ce sexe de bête entre les doigts. Je n'hésitais plus à le prendre en bouche pour faire gémir mon bel étalon. J'étais accroupie cuisses écartées, mes seins gonflés et ma chatte humide d'excitation. Je ne voulais plus que ce moment s'arrête. J'étais littéralement folle de sa grosse bite. Je la léchais, j'en suçais le bout tout en la pétrissant de tout son long, toujours en la tenant à sa base avec fermeté. Je voulais tout et son contraire à la fois : voir cette belle queue gicler mon sperme à grand jets et me la fourrer à nouveau dans la chatte au plus profond.

 

Décidée à en profiter le plus longtemps possible, j'optai pour la seconde option.

 

Je me levai et m'allongeai sur le bureau sur mon flanc droits, cuisses serrées, ma chatte et ma rondelle bien en évidence.

 

- A ton tour de me lécher un peu la chatte. On n'en a pas fini tous les deux...

 

Mon ourson coquin vint à son tour s'accroupir pour me lécher la chatte et la rondelle toute langue dehors. Ce fut à cet instant que réalisai à quel point je mouillais. Mon beau Charly avait son nez et tout le pourtour de ses lèvres luisants de cyprine. Le petit ours brun et le pot de miel de "maman professeur d'anglais". Je le regardais me lécher la chatte, aussi excitée que lui. Ses doux et délicats coups de langue sur ma chatte toute mouillée parvinrent à la remettre dans les dispositions idéales pour accueillir son énorme queue en moi. Je ne cessais pas de mouiller pour mon beau Charly qui me faisait être une autre femme. J'en  avais la minette à nouveau toute gonflée d'excitation.

 

Alors, décidée à en profiter jusqu'au bout, je cédai ma place sur le bureau à mon bel étalon :

 

- Vas-y, allonge-toi sur le bureau mon beau, à mon tour de te chevaucher !

 

Charly s'exécuta en silence. Il se retrouva allongé sur le bureau...son énorme queue à la verticale dans sa main, prête à m'empaler.

 

Je n'en revenais toujours pas d'un membre pareil. Une vague de chaleur - honte et excitation mêlées - monta à mon visage et fit dégouliner ma chatte tout en même temps de désir. Je montai donc sur le bureau à mon tour et enjambai mon bel étudiant. Celui-ci, une main sur mon cul, l'autre orientant le bout de son dard pour me le fourrer, parvint finalement à me m'enfiler. Le coquin allongea un long coup de rein qui fit glisser son dard en moi. Ce coquin de Charly posa ses mains larges et chaudes sur le haut de mes fesses, s'amusant tantôt à les écarter, tantôt à appuyer dessus pour me contraindre à m'empaler sur son membre le plus profondément possible. Bien qu'étant au-dessus de Charly, ma capacité à contrôler la profondeur des pénétrations était toute relative, tant le bougre allongeait ses coups de rein et me forçait à ne pas remonter. Pour autant, j'étais bien volontaire pour venir à la rencontre de son dard qui me dilatait la chatte et la rondelle à chaque fois. J'avais l'impression d'être 'la petite fille" et mon élève le "papa vicelard", tant son membre était imposant. Si imposant que Charly finit par réussir à me foutre bien au fond de la chatte. Le coquin y resta immobile et m'écarta les fesses en grand à l'aide de ses mains. Rester ainsi immobile avec son membre épais en moi eut pour bénéfice de bien me dilater la chatte. De reprendre mon souffle, de me détendre. Mais le coquin avait-il peur de débander à force de rester statique ? Il ne tarda pas trop à me remettre de longs coups de reins, toujours, lentement, centimètre par centimètre, mais profondément. Une manière lascive et efficace de me baiser, de prendre le temps de me faire fondre la chatte. Tout autre chose que ces hommes vous mettant de nombreux coups de queue aussi vite que possible pour un résultat discutable...  Je fermai les yeux pour me concentrer sur mes sensations, et uniquement celles-ci. Que ces sensations soient à jamais gravées dans ma mémoire de femme. Rouvrant les yeux, je vis que le pauvre Charly commençait à transpirer sérieusement. Et à grimacer... SA grosse queue entièrement en moi, je changeai d'appui de façon à me retrouver en appui sur mes plantes de pieds, mes mains posées à plat sur le buste de mon bel étalon. Et là, tête baissée pour bien constater ce que je ressentais, je me mis à m'empaler sur la bite épaisse de Charly, simplement en montant et descendant monter et descendre mon bassin. Au bord de l'orgasme, excité par cette femme quarantenaire se faisant exploser la chatte sur sa queue, mon beau Charly avait la bite si grosse, si dure, que je ne parvenais plus à me l'enfiler en entier. J'avais mes seins gonflés comme des mamelles et mes tétons raids comme des pis, mon corps, ma chatte au maximum de ses capacités. Pour autant, mon bel étalon cherchait à me filer des coups de queue, fougueux jusqu'au bout. Les fesses en arrière et grandes ouvertes, ma chatte recevant cette énorme queue, moi, offerte comme une chienne en chaleur, moi qui n'était plus moi... M'empalant profondément sur son gros membre, je ne pus résister. Je me mis à jouir une seconde fois. M'entendant crier et râler mon plaisir, Charly me pilonna la chatte de plus belle, si généreux était-il. J'en avais la rondelle qui s'ouvrait et se refermait, mon corps parcouru de puissants frissons. Mon vagin tout entier sous l'emprise de spasmes électriques de jouissance, je me redressai, les pointes de mes seins raides comme des pics, et m'empala sur la queue de Charly, celle-ci s'engouffrant toute entière en moi. Je ne pouvais plus bouger, ne voulait plus bouger. C'était trop le pied. Mon pauvre étudiant transpirait et grimaçait de plaisir lui aussi.

 

- Je sens que je vais jouir madame me confessa-t-il d'un air tout désolé.

 

- Viens par ici mob beau lui dis-je en l'invitant à se lever du bureau.

 

Ça tombait très bien quelquepart, car ma pauvre chatte n'en pouvait plus.

 

Je m'accroupis devant mon bel étalon à l'agonie et empoigna son énorme queue à pleine main à l'aide de mes deux mains, n'en revenant pas que j'avais réussi à m'enfiler toute cette queue dans la fente. Prenant son gros gland en bouche, je n'eus pas de mal à reconnaitre le goût de ma chatte. Appliquant de la salive dans le creux de ma main droite, je me mis à lui pétrir le sexe en tenant la base de celui-ci de l'autre main. Les yeux levés vers mon beau Charly tout grimaçant, je me mis à le sucer tout en le masturbant. J'étais toute excitée à l'idée de faire éjaculer ce beau jeune homme à la bite de cheval. Je fantasmais déjà l'idée de faire gicler cette énorme queue sur mes seins à m'en les recouvrir de bon sperme chaud et épais. J'aurais dû être au sommet de la honte, ainsi accroupie devant mon étudiant, la tête hantée de pareilles idées. Et avec son gros bonbon qui me remplissait la bouche, je grimaçais aussi à l'idée que mon beau Charly me gicle dans la bouche dans prévenir, à m'en couvrir les amygdales. Tout était possible avec un étalon en rut. Le beau jeune homme Noir se mit à gémir, gémir... quand soudain il retira son sexe dur et gonflé de ma bouche et le prenant dans sa main droite, le bougre posa son autre main sur mon front en appuyant dessus. J'étais bloquée, soumise. Je savais ce qu'il voulait. J'ouvris alors la bouche en grand et toute langue dehors, aussi excitée qu'honteuse de ce qui allait suivre, je m'abandonnai. Charly secoua son énorme sexe et le bout de ma langue venant titiller son frein, l'étalon Noir ne put se retenir une seconde de plus. Dans un râle bête, Charly se mit à éjaculer. Une aussi grosse bite ne lui permettait pas d'éjaculer à grands jets. Je sentis son sperme chaud couler sur ma langue. Je n'étais pas décidée à me laisser me faire subtiliser mon beau gros jouet de la sorte. Je poussai la main de Charly pour prendre son énorme dard en mains et le pétrir tout en blottissant son gros gland dans ma bouche, histoire de le faire jouir comme il le méritait. Le pauvre n'en gémît que plus fort alors que j'aspirais son gland tout en lui pétrissant le sexe avec fermeté pour recueillir dans ma bouche les dernières gouttes de son épaisse semence. Bien que son orgasme était terminé, je n'arrivai à me résigner à relâcher mon étreinte sur mon sexe, à cesser de lui en lécher le bout. J'avais le feu aux joues, je le savais, de montrer à mon élève une telle frénésie pour sa grosse queue. Une partie de moi me donnait même l'impression de tenir dans ma main et de lécher la bite d'un cheval, comme je l'avais déjà fantasmé dans ma jeunesse, la première fois que j'avais vu ce membre en rut d'équidé, alors que je n'avais pas encore la majorité. J'étalai ce sperme recueilli dans ma bouche et au le bord de mes lèvres sur mes seins gonflés d'excitation. J'arrivais à peine à croire que j'avais offert ma bouche à ce jeune homme alors que je ne l'aurais pas fait pour mon mari. La grosse queue de Charly m'avait fait tellement fantasmer que j'avais osé braver tous les tabous jusque là édictés par ma conscience. Et plus je me sentais honteuse de mes pensées, de mes actes, et plus j'en étais toute excitée. Dieu que la belle queue de Charly avait su me défoncer la chatte et me remplir la bouche comme une grosse salope en chaleur, et j'en assumais toutes les conséquences.

 

- Tu sais que je fantasme sur ta belle queue depuis l'année dernière mon beau ?

 

Le pauvre Charly, qui reprenait tout juste ses esprits, se mit à rire.

 

Je pris une dernière fois son gros bonbon d'amour à pleine bouche et me relevai. Nous nous rhabillâmes en silence, un peu gêné par cette drôle de situation. Moi qui étais en âge d'être sa mère, chose que je réalisai tout juste. Je réalisai que j'avais plus fantasmé sur son énorme sexe que sur son être lui-même. Le cours se termina ainsi. J'avais le goût de son sperme dans ma bouche, son odeur sur ma poitrine. Je regardai Charly quitter la salle alors que je finissais de ranger mes affaires. Il m'adressa un gentil sourire. Le bougre avait lui aussi pris un sacré pied à voir comment il planait.

 

Il n'y eut bien évidemment pas de seconde fois. Je n'ai jamais revu Charly. Une chose depuis est certaine : je revis ce moment interdit dans ma mémoire chaque fois que je sens ma minette réclamer une queue et que mon esprit s'évade vers des contrées taboues, voire interdites. Ce jour-là, le beau Charly m'avait rendue plus femme que jamais. Un plaisir total, cent pour cent sexe.

Partager ce message


Lien à poster

×

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.