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Faites des rencontres coquines près de chez vous

JO'donnell

Une nuit avec une "amie"

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          Charlène était une personne avec qui j'avais noué une réelle amitié. J'avais certes une petite attirance pour elle, que je pensais réciproque, mais elle comme moi étions en couple et elle comme moi étions fidèles.

          Un jour elle me proposa de venir diner chez elle, ce n'était pas la première fois et il ne s'était jamais rien passé, c'est donc sans arrière-pensée que j'acceptai.
J'étais chargé d'apporter l'apéritif, connaissant un peu ses goût j'optai pour de la vodka pomme.
Comme d'habitude c'était un plaisir de la voir. Tout en se servant un verre, on discutait de tout et de rien, riait, se chamaillait... Le repas en fût de même.

          Après avoir bien mangé, rien de mieux qu'une cigarette. Tous les deux fumeurs, nous continuâmes à papoter sur le canapé tout en vidant nos paquets de cigarettes.
L'heure avançait doucement mais il était encore tôt, on décida donc de se regarder un film.
Comme dit plus haut, on se chamaillait souvent à coup de chatouille par exemple, mais on savait aussi être tendre.
Je lui proposai un massage du visage qu'elle s'empressa d'accepter.
Le temps de déplacer l'ordinateur, nos verres, de la crème hydratante et de se mettre, pour elle, en pyjama. Elle s'allongea sur son lit et posa la tête sur le coussin que j'avais posé sur mes jambes en tailleur.

          Pendant que j'enduisais mes mains de crème, j'observai, à l'envers, les formes de son visage.
C'était une belle femme, petite et fine, des traits fins, de longs cheveux blonds, pas énormément de formes mais très bien proportionnée, et surtout, un charme monstrueux...
J'essayais tant bien que mal à regarder le film, mais j'étais concentré à surtout bien m'appliquer sur ce que je faisais. Je voulais vraiment qu'elle se détende et se relaxe.
Presque qu'une heure passa et cela faisait un moment qu'elle s'était endormie, les petits ronflements, dus à l'alcool surement, l'attestaient.
Content de la voir profiter, je commençais néanmoins à avoir vraiment soif. Malheureusement je la réveillai en tentant de prendre mon verre.

          Un peu à l'ouest et honteuse de s'être endormie et m'avoir laissé "seul", elle me proposa également un massage que j’ai refusé. Pas la peine de la réveiller encore plus.
Il restait encore plus d'une heure de film, je m'allongeai à côté d'elle. Il ne fallut pas longtemps pour qu'elle vienne se coller à moi dans mes bras. Un câlin, rien de plus…
Son tee-shirt était un poil remonté laissant le bas de son dos accessible à ma main droit. Je lui caressais le dos.
Elle s'est vite endormie mais ce coup-ci, je n'ai pas tenu et n'ai pas tardé à la suivre.

          Elle se retourna ce qui me réveilla à moitié. Totalement désorienté, il m'était impossible de savoir l'heure qu'il était mais le film était terminé et l'ordinateur en veille.
Je remarquais que j'étais toujours en train de la caresser avec ma main droite. Je n'avais surement pas du arrêter pendant mon sommeil sauf qu'en se retournant, je caressais la zone juste sous le nombril tandis qu'avec mes doigts j’atteignais l'élastique de son pyjama.

          L'excitation pointait son nez et pour voir si ce changement de position était volontaire ou non, je continuais à respirer profondément pour simuler mon sommeil.
La réponse ne tarda pas à arriver. Je la sentais doucement remonter, tellement doucement que j’eus un doute. Mais il se dissipa aussitôt lorsque le bout de mes doigts passèrent sous la fameuse barrière de l'élastique.
Elle ne devait surement pas se douter que j'étais vraiment réveillé, sauf peut-être à mon rythme cardiaque qui progressivement, s'emballait.
Je la laissais faire malgré ses pauses pour voir si je "dormais" toujours... Quand finalement j'atteignis le début d'une toison.

          Le fait d'atteindre cette zone ne nous laissa, autant elle que moi, pas indifférent. J'arrivais toujours à me contrôler mais de son côté les choses semblaient plus compliquées. En plus de se tortiller plus franchement, j'entendais sa respiration s'accélérer.

          Mes doigts sont maintenant à la pointe de son pubis. Je peux sentir une fine toison mais ne peux pas aller plus loin, ses jambes sont toujours collées l'une à l'autre.
Plus pour longtemps puisque je sens sa jambe gauche se soulever doucement pour se mettre perpendiculaire au lit, me donnant un accès total à son entre jambe.

          Dans un dernier redressement de sa part, ma main se retrouve enfin sur son sexe.
Un passage, un deuxième, pas besoin d'un troisième pour voir à quel point elle est excitée. Son sexe gonflé laisse échapper une humidité qui est clair quant à son intention.
Sa respiration s'accélère à nouveau et me sert le bras.

C'est ce que j'interprèterai comme le "signal" pour changer ma caresse "massage" à caresse "caresse", lui faisant comprendre par la même occasion que je ne dors plus.

Je ne bouge pas, elle non plus, seuls mes doigts ont ce droit.

J'appuie avec tous mes doigts sur son sexe en faisant des mouvements circulaires. La cyprine que je récupère au passage me permet d'appuyer un peu plus fortement tout en glissant parfaitement.

Je la sens serrer de plus en plus fort mon bras.

          J'essaye de mettre un maximum de ce liquide sur mon index et mon majeur pour finalement placer les deux doigts entre ses petites et grandes lèvres.
Bien lubrifié, j'effectue des mouvements de va et vient, écarte les deux doigts puis les resserre, prenant en étaux son clitoris. Je lui masse petite et grande lèvres et finis par m'attarder sur son clitoris.

Elle respire fort maintenant à l'unisson de mes caresses mais je ne m'arrêterai pas là.

          Mon majeur, qui titillait son bouton, descend lentement et atteint l'entré de son vagin. Je joue un peu en faisant des mouvements circulaires puis le rentre entièrement mais délicatement.
Elle se cambre en même temps et cette fois-ci j'ai droit à un râle de plaisir.

          Le fait de sentir ses fesses appuyer contre ma hanche me rend fou de désir.
Je me tourne vers elle et nous voilà en position de la cuillère, mon sexe plein de désire entre ses fesses.
Sentant ma solide excitation, elle recommence à cambrer tout en remuant ses fesses. En réponse, je continue à la doigter tout en lui caressant le clitoris avec l'autre main. Son oreille passe à proximité de ma bouche, j'en profite pour lui mordiller.
Nous bougeons à l'unisson dans nos gémissements de plaisir et d'envie, mais la température est beaucoup trop haute.

Je me redresse, elle se met sur le dos. Je lui embrasse le ventre pendant que je lui descends lentement son pantalon de pyjama.
Je me redresse à nouveau et nous nous fixons.

Devons-nous nous arrêter pendant qu'il est encore temps?

 

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Oh que non ! Ne surtout surtout pas s'arrêter !

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:shok: quooooooi non mais ça va pas la tête de t'arrêter comme ça ? 

C'est horrible de nous laisser sur notre faim...  Vite la suite ;-) 

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Qui arrêterait à ce moment là ? Personne

 

Alors il faut que tu continues !

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Tu oses t arrêter non mais tu plaisantes !!!

Donne nous vite cette suite 

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          La question mérite d'être posée. Nous ne sommes pas célibataires et sommes fidèles à nos partenaires respectifs.
Pourtant des fois, la raison ne fait pas tout et pour la première fois pour nous deux, nous en serons les témoins.

          Je regarde son boxer en dentelle, elle écarte les jambes avec un demi sourire gêné, je pense que la réponse est évidente.
Sans un mot, je lui embrasse à nouveau le ventre, pose mes mains sur son boxer, puis lui enlève lentement en me relevant.
Son entre jambe n'attend que moi. Je m'y positionne, la regarde droit dans les yeux et commence par lui embrasser l'intérieure des deux cuisses.
Je sens son odeur intime, ça m'excite encore plus alors je n'attends pas, ma bouche atterrit sur sa vulve.

          Un grand coup de langue pour récupérer un maximum de son précieux liquide. Qu'il est bon... Je commence à être vraiment sérer dans mon jean...
Ma langue suit les formes de la zone, les creux, les bosses, les sommets. Je m'amuse avec ses lèvres, les aspirent, les mordillent. Elle gémit pour de bon et s'agrippe à mes cheveux, son excitation grandissante amplifiant la mienne.
L'entrée de son vagin est un bon terrain de jeu également. Des petits coups de langue, je l'introduis légèrement en imprimant de léger va et vient.
Mais ce n'est pas là où je travaillerai le plus. Non, c'est un peu plus haut. Ma bouche se décale.

          Un petit coup de langue, il est tout gonflé. Une petite aspiration, elle gémit.
Pendant que je continue, je positionne mes mains dans le creux de ses genoux et pousse ses jambes bien écartées vers ses épaules.
Mon imagination n'aurait jamais pu être à la hauteur du spectacle qu'elle m'offre.
Je lui mange littéralement l'entre jambe et ne manque pas de lui faire une feuille de rose. Surprise, elle trésaille mais se laisse aller et recommence à gémir.
Je repose finalement ses jambes pour continuer là où j'avais commencé.
Deux doigts m'aideront dans cette tâche.

...

          Je n'aurai pas eu à attendre longtemps avant de sentir l'intérieure de son vagin se contracter violemment annonçant le début d'un intense orgasme.
Il est là. Elle me tire les cheveux m'enfonçant la tête dans son sexe, tout en cambrant fortement mettant toutes ses formes en valeur.
Je manque d'avoir un orgasme en la voyant dans cet état, mais il ne viendra pas.

          Je reste quelques secondes la tête entre les jambes à lui embrasser les cuisses puis me lève pour aller chercher un mouchoir.
Je commence à l'essuyer, elle prend le relais. J'en profite pour aller chercher nos cigarettes.
Toujours sans un mot nous les allumons et commençons à fumer. Elle a remis son boxer. Je lui sauterais bien dessus mais je ne le ferai pas.
Nous ne nous sommes toujours pas adresser un mot et d'un côté c'est tant mieux, il n'y a pas grand-chose à dire, juste à vivre.


          Une fois fini, nous nous réinstallons dans le lit, moi sur le dos, elle à nouveau dans mes bras.
Sa main passe sous mon tee-shirt et me caresse le ventre. J'ai toujours une érection d'enfer mais elle est en partie occultée par mon jean. Je n'ai qu'une envie, me libérer de ce vêtement et laisser s'échapper une bonne fois pour toute ma pulsion. Mais je n'ose pas. Elle a l'air bien, je le suis aussi alors nous profitons.

          Je me dis que je suis bien là, je ne pense à rien d'autre et ferme les yeux. Mais pendant ce temps, elle en a profité pour descendre doucement sa main. Elle s'est rapprochée du bouton de mon jean. Je suis naïf mais par pour ce coup-là.
Elle me déboutonne...

 

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Grrr tu as le chic pour t arrêter au meilleur moment 

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Cette frustration que je sens monté en moi comme la meurtrissure d'une douleur de guerre qui se réveille après plusieurs années de quiétude... XD. Continue ! HAHAHAHAHAHA ! 

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          Une partie de la tension du à mon érection vient de se dissiper, laissant apparaitre une belle bosse.
Elle a la tête posée sur mon pectoral droit et inclinée vers mes jambes. Je peux sentir ses cheveux, un agréable parfum s'en dégage.
Elle passe une première fois la main sur cette bosse.
Je ne bouge pas et la laisse faire.
Elle tire doucement, comme pour faire durer le suspense, la braguette.

          Ce n'est plus une bosse mais un véritable chapiteau que forme mon pénis avec mon boxer.
Elle ne m'a pas encore touché que mon souffle s'accélère. Je ne parle même pas de mon rythme cardiaque qui s'est emballé déjà depuis un moment.
Elle plonge sa main droite dans mon pantalon, passant de l'aine et arrivant sur le haut de ma cuisse. Elle a volontairement évité de me toucher directement, augmentant mon désir et ma frustration.
Après quelques mouvements de main, comme pour faire une pseudo caresse de ma cuisse, elle remonte tout doucement en passant cette fois-ci par l'intérieure de ma cuisse droite.
Tout doucement...

          Enfin. Elle atteint mes bourses avec son poignet. Les effleure et continue à remonter sa main. Sa paume se pose sur ma verge tandis que ses doigts commencent à me masser les testicules.
Je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà eu une érection aussi forte, et les sensations sont inimaginablement agréables.

Elle remonte sa main, la passe sous mon boxer et la pose sur mon vit. La petite différence de température me fait réagir par une contraction involontaire mais pleine de sens.

Elle commence par me masturber très lentement mais mon boxer semble la gêner. Obstacle loin d'être infranchissable puisqu'elle le descend, laissant apparaitre au plein air, tout mon attribut masculin.

Elle reprend ses caresses. Je ferme les yeux et profite de ce moment.

Tiens... Je sens qu'à chaque caresse, elle descend un peu plus sa tête vers mon entre-jambe. Son jeu durera de longues secondes. De longues secondes me permettant d'imaginer la suite très facilement...

          Elle a la tête posée sur mon ventre, son oreille au niveau de mon nombril. Elle est tellement proche que je sens son souffle sur mon gland. Chaque sensation de cet air chaud et les caresses prodiguées déclenchent de mon côté de léger  
coups de rein, pointant encore plus mon sexe vers son visage.

          Et puis enfin, je sens quelque chose d'humide et doux. Elle vient de passer sa langue sur une partie de mon gland. Encore une fois. Encore une fois mais cette fois-ci la partie est plus grande. Elle joue, alternant des coups de langue  
droits avec des coups de langues circulaires, suivant la couronne. Je n'en peux plus. Mon excitation est telle que cette fois-ci j'appuie un peu plus mon coup de rein pénétrant ainsi sa bouche. Encore une fois, la sensation est  
inimaginable, c'est loin d'être ma première fellation mais avec ce que je ressens cette fois, c'est comme si. Un mélange de chaud, de douceur, d'humidité...

          Je me retire mais elle suit mon mouvement gardant le tout dans sa bouche et sans prévenir, gobe aussi loin qu'elle peut cette chose qui n'a jamais été aussi dure. Un râle de plaisir s'échappe de ma bouche.
Elle voit et ressent le bien qu'elle me fait, alors elle accélère, redresse sa tête et continue ce qu'elle a commencé. Toujours perpendiculaire à moi, elle vient finalement se positionner entre mes jambes que j'écarte pour lui laisser  
toute la place qu'elle désire.

          Il fait sombre, mais je la vois légèrement relever la tête et me regarder droit dans les yeux tout en continuant ses mouvements de va et vient. Elle ne sourit pas, mais son regard transperçant, comme pour me prouver qu'elle a le  
contrôle, décuple le plaisir qu'elle me procure.

          Je gémis. En même temps je lui pose la main sur la tête comme pour appuyer un peu et la forcer à descendre un peu plus. Mais je n'en ai pas besoin, elle a les choses bien en main, ou en bouche. Alors je passe ma main dans ses cheveux,  
derrière sa nuque et l'accompagne dans ses mouvements. Je l'entends gémir également, l'excitation qu'elle me procure ne doit pas la laisser indifférente.

J'ai beau apprécié la situation, elle semble pourtant m'échapper. La belle s'y prend trop bien et je sens l'orgasme arriver.

          Sans un mot, je lui attrape le bras et la tire vers moi. Lui fait comprendre de me donner une jambe, que je vais mettre à côté de ma tête. Nous voilà en position 69. J'espère que m'occuper un peu d'elle à nouveau pourra m'aider à ne pas  
jouir trop vite.

Ses jambes sont repliées et je passe mes bras entre son ventre et ses genoux. Je peux atteindre toutes les parties de son corps.

A nouveau l'odeur de son sexe. Je redeviens fou à nouveau et replonge la tête dans son sexe. Cette fois-ci, pas de lenteur ni de douceur, je lui mange sa chatte. Sa réaction est immédiate, elle me mange la bite.

          Elle cambre de plaisir. Je lui caresse le dos et accentue cette cambrure en appuyant sur ses reins.
Mes mains se posent sur ses fesses. Je les masse. Puis les écarte faisant à nouveau apparaitre son petit trou que je m'empresse de lécher. Cette fois, l'unique réaction est un long gémir de sa part qui m'en provoque un également.

Les bruits que nous faisons ensuite ne sont certainement pas une forme de communication, quoique, peut-être que si en fait, mais compréhensible par nous uniquement. Nous gémissons, nous nous tortillons, léchons, avalons, caressons...

Je vais jouir et elle a dû le sentir par mon liquide séminal qui devient abondant, du coup elle s'arrête après avoir pris soin de nettoyer tout liquide sur ma verge.

Elle se retourne, se met à califourchon sur moi, positionne mon sexe entre ses lèvres intimes et commence à se frotter...

 

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Mais pourquoi s'arreter au moment crucial??!  Tu es cruel!!! 

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Pfiooouuu j'ai chaud là et toi tu es cruel. 

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          Son travail pour rendre propre mon attribut est réduit à néant en quelques secondes.
C'est son liquide à elle qui maintenant lubrifie ses déhanchés.

          Toujours à genoux, mon sexe entre le sien, ses mains posées sur mes cuisses, elle ondule gracieusement, cambrant un maximum, faisant ressortir ses seins.
J'en profite pour la caresser, ses cuisses, ses hanches, son ventre, ses seins, ses tétons pour finir par poser mes mains sur ses hanches et l'accompagner dans ses mouvements.

          Mais j'ai envie de plus, vraiment plus.
Alors je pose ma main gauche sur sa nuque, et d'un coup, me redresse et la retourne pour l'allonger sur le lit.
Je suis à genoux entre ses jambes écartées.
Je lui prends ses poignets et allonge ses bras au-dessus de sa tête. Elle est là, soumise, attendant que je vienne en elle.
Je m'allonge sur elle, lui maintenant toujours ses bras, et l'embrasse farouchement.
Nos langues s'entremêlent violemment pendant que mon pénis titille l'entrée de son vagin.
Elle se tortille dans tous les sens pour faire en sorte que je la pénètre, mais je la bloque dans ses tentatives. Elle a joué avec moi, c'est ma petite vengeance.

          Quelques secondes ont suffi pour lui faire comprendre que c'est moi qui mène la danse. Elle se calme.
Je redresse ma tête et on se regarde droit dans les yeux pendant un court moment qui parut être une éternité.
C'est là que je me décide. Tout en continuant à la tenir et la regarder, je la pénètre lentement une première fois.
En réaction, elle lâche un gémissement aiguë tout en relevant la tête jusqu'à ce que j'arrive au fond.
Elle ouvre les yeux, je me rue sur sa bouche. Deuxième pénétration, deuxième gémissement.
Je lui lâche les bras, elle s'agrippe à mon cou et mes cheveux.
Troisième pénétration, j'accélère le mouvement qu'elle accompagne par des mouvements de bassins à chaque fois.

...

          Je veux l'observer à nouveau.
Je me retire et me mets à nouveau à genoux entre ses jambes que je soulève.
Comme je l'ai fait un peu plus tôt, je rapproche ses genoux de sa poitrine, me donnant un accès total à son intimité.
Je positionne mon gland à l'entrée de son vagin, en profite pour lui caresser le clitoris puis donne un bon coup de rein, faisant rentrer d'un coup toute ma bite.
Je continue à faire des va et vient. Elle gémit, moi je prends mon pied à voir toute cette mouille sur mon pénis à chaque fois que je sors pour le faire rentrer à nouveau une demi-seconde après.

...

          Je sais que je ne pourrai pas tenir encore très longtemps alors j'opte pour ma position préférée avant de craquer, la levrette.
De savoir ce que je vais faire débloque une pulsion animale en moi, je veux l'attraper à quatre pattes et lui "casser les hanches".
Je me retire, lui pose les jambes sur le lit et l'aide à se retourner brusquement. Elle comprend où je veux en venir.
Elle se positionne pendant que je pose mes mains sur ses fesses que j'écarte. Je la pénètre à nouveau violemment et commence un va et vient rapide et puissant.
Pour la maintenir, je suis obligé de passer mes mains dans le creux de ses hanches.
Nos râles et gémissements sont entrecoupés des claquements de mon bassin sur ses fesses...
Ma main droite se libère pour aller se poser sur sa nuque. Je lui tire les cheveux, elle redresse la tête et laisse échapper un hurlement de plaisir.
Je me déchaine, elle accompagne mes coup de rein, elle adore ça.

...

          Mais cette position que j'aime tant me fait perdre tout contrôle et pour la énième fois, je manque d'avoir un orgasme.
Alors je me retire et lui fais comprendre que c'est à elle de travailler.
Elle me dit de m'allonger sur le dos, je m'exécute.
A nouveau à califourchon sur moi, elle prend mon sexe dans sa main droite et le guide directement dans son vagin. Elle s'empale sans attendre.
Tout en reprenant mes esprits, je la laisse faire et profite pour caresser à nouveau toutes ses parties du corps accessibles à mes mains.
Elle dirige tout, cette fois-ci c'est elle la bosse, variant la vitesse, la profondeur de pénétration, la puissance du frottement, les baisers...

...

          Toujours à genoux, elle s'est allongée sur moi, sa bouche près de mon oreille comme pour essayer de me chuchoter quand le moment fatidique arrivera.
Son orgasme est sur le point d'arriver, sa respiration saccadée et ses gémissements plus profond l'atteste.
Je peux me laisser aller et décide de l'accompagner dans ce moment de pur bonheur.
Je lui passe une dernière fois mes mains sur sa nuque, tire légèrement ses cheveux forçant sa tête à se relever légèrement et suit ses mouvements de bassin en donnant des coups de reins profonds.
Elle se tétanise, je la suis dans la seconde, et s'est en même temps que nous avons cette orgasme.
Comme d'un commun accord, je sens son vagin se contracter sur ma verge pendant que cette dernière décharge une certaine quantité de sperme.

          La puissance de mon orgasme m'empêche de bouger. Je crois qu'il en est de même pour elle, elle a posé sa tête sur mon épaule et ne bouge plus. Je suis toujours en elle mais ne cherche pas à en sortir.
Nous sommes bien et profitons sans un mot de ce moment unique.

          Le contre coup arrive brutalement. Il est tard et toute la tension accumulée puis relâchée en une fraction de seconde nous a éprouvé.
Elle s'endort toujours sur moi nue. Je pose un bras sur son dos et me laisse aller à faire de même.


...


          Mon portable sonne, j'ouvre un œil. Il fait jour.
Je reprends mes esprits, Charlène est toujours là dans le creux de mon bras droit. Des images me viennent à l'esprit. Je la regarde aussitôt, nous sommes toujours habillés...

 

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Tes textes viennent de me faire jouir ... Tout est tellement excitant dans ce que tu décris. Waouh ! 

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Jamais j'aurais pu imaginer cette fin :P

Je suis rester scotché du début à la fin en tout cas super récit, merci encore.

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Superbe

On s'y croirait, j'y ai cru

 

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