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LeSourceleur

Mon premier récit - 01 - Laure, la prof d'anglais

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Bonjour/Bonsoir à tous ^^

Comme je l'ai dis dans ma présentation, je suis ici d'abord dans un premier temps pour vous faire partager des récits que j'ai écris il y a quelques temps (années, maintenant), avant de me remettre à en écrire de nouveaux.

Je vous partage donc le premier récit que j'ai décidé de sauvegarder (j'ai écris pas mal de chose, qui se sont perdus dans les limbes des messages privées d'internet... mais bref, passons).

C'est assez vieux, et reflète un fantasme que j'avais à l'époque. Aussi, il faut savoir que j'ai commencé à sauvegarder mes récits, dans le but de m'améliorer par la suite. Donc soyez indulgent pour celui ci ^^. J'espère que ça vous plaira ;). Bonne lecture!

 

Je suis étudiant en fac. Mais étant en informatique, on ne peux pas dire que ça y fourmille de filles, qui plus sont jolies et attirantes... Il y en a bien quelques unes, mais elles sont très rares. En tout cas dans mon bâtiment, parce qu'au bâtiment "lettre"... Fiou :P Mais c'est une autre histoire.

Celle que je veux vous raconter aujourd'hui concerne non pas une étudiante, mais une prof d'anglais.

Appelons là Laure.


Ah, Laure... Très belle femme à l'air doux et calme, à la fois discrète et sûre d'elle. Brune, au cheveux long, lisse et brillant, les yeux noisettes cachées derrière ses petites lunettes rectangulaire.
Elle est grande. Plus grande que moi, en fait. En général, je préfère les filles qui sont plus petites. Au pire je peux apprécier une fille qui fait la même taille que moi. N'y voyez pas de discrimination quelconque... C'est juste comme ça.
Mais pour cette Laure là, je ferais bien une exception, tant elle est attirante.
Du coup, elle est assez fine, comme femme. Un petite poitrine, petite paire de fesses, mais toujours bien moulée dans son jean, de belles hanches creusées, des jambes interminables.
Sa peau blanche et rosâtre a l'air si douce, et ses petites lèvres roses donnent envie d'aller les goûter.

Je l'ai déjà surprise à me fixer intensément, lorsqu'on se croise dans la fac, ou lors des examens pour déterminer les groupes d'anglais, au début de l'année. Cela peut paraître prétentieux dit comme cela, et surtout, ça peut donner l'impression que je suis à côté de la plaque. Mais son regard intense, ainsi que ses sourires prononcés, lorsque nos regards se croisent sont sûrement loin d'être anodins, vous pouvez me croire.

Elle a un grand bureau, dans lequel elle est souvent seule, qui a de grandes fenêtres possédant des stores, empêchant toute visibilité du bureau depuis l'extérieur. Je passe souvent à côté en allant en cours.
Je me surprend parfois à m'imaginer qu'elle m'y invite, en fin de journée, lorsque tout les étudiants quittent la fac pour rentrer chez eux, prétextant une raison quelconque. Elle me laisserait entrer, et derrière moi, j'entendrais la porte se refermer doucement, puis le bruit d'une clé, en verrouillant la serrure.

A ce moment là, je comprendrais...

 

Elle marcherait dans ma direction, poserait sa main sur le bas de mon dos, la laissant glisser, tout en continuant à avancer vers son bureau, s'asseyant dessus, les jambes croisées. Son autre main serait posée sur le bord du bureau. Avec cette même main, elle me ferait signe de m'avancer vers elle, en la faisant glisser sous mon menton.
J'accepterais alors cette douce invitation, l'enlacerais au niveau du bas du dos, la serrant contre moi, tout en posant mes lèvres sur les siennes. Elles seraient douces et humides. Cette sensation serait si agréable pour moi, que je commencerais à me lâcher, et à l'embrasser de plus en plus passionnément.
Elle passerait ses mains autour de mes épaules, décroiserait ses jambes, et, avec elles, m'enlacerait au niveau des miennes, me serrant fort pour me faire rapprocher d'elle encore plus.
Mes mains remonteraient le long de son dos, caresseraient son visage, puis redescendraient au niveau de ses hanches. Lentement, je remonterais son petit pull, et lui enlèverais, laissant apparaître ses si belles hanches, et sa poitrine contenue dans son soutien-gorge.
À ce moment, je sentirais ses mains descendre entre mes cuisses, défaire ma ceinture et déboutonner mon jean.
Je lui enlèverais son soutien-gorge d'une main, avant d'empoigner sa poitrine, et de prendre en bouche ses petits tétons roses.

Je masserais sa poitrine fermement, en léchant et suçant le contour de ses tétons, jusqu'à les faire durcir.
Pendant ce temps, elle passerait sa main dans mon boxer, et me caresserait la queue, la faisant gonfler entre ses doigts.
Je remonterais les yeux vers les siens, elle me regarderait d'un air amusé et coquin, tout en se mordant la lèvre inférieure d'excitation.
Je lui répondrais d'un sourire, avant de m'agenouiller face à elle. Je déboutonnerais alors son jean, l'enlèverais, ainsi que sa petite culotte, passerais mes bras autour de ses cuisses, et lui ferais un cunni.

Je commencerais par lécher sa petite chatte entretenue, rose et humide du bout de ma langue, en surface, très lentement, et délicatement.
Je la sentirais frétiller de plaisir, se retenant de gémir, tout en se caressant les seins. À ce moment, je commencerais à l'explorer plus en profondeur.
Je la lécherais de haut en bas, de gauche à droite, ferais des petits tours, dans un sens, puis dans l'autre, j'irais et viendrais même entre ses cuisses, avec ma langue. Je tenterais différents mouvements, à différentes vitesses, pour déceler ce qui lui fait plaisir.
Elle fondrait littéralement sous ma bouche, comme pourrait le témoigner sa chatte abondante de mouille, que je lécherais et avalerais avec plaisir. Elle resserrerait ses cuisses autour de ma tête, tout en y posant ses mains, comme pour m'empêcher de me retirer.
Elle bougerait son bassin sur mon visage, à mesure que son plaisir augmente. Je lui donnerais ce plaisir jusqu'à la faire jouir un première fois, en la regardant prendre son pied, tout en luttant pour ne pas crier.

Suite à ça, je me redresserais, attraperais ses cuisses, les remonterais et les écarterais, en la faisant basculer de sorte à ce qu'elle se retrouve allongée sur le dos, sur son bureau. Je commencerais alors à la pénétrer sauvagement, en missionnaire.
J'irais et viendrais vite et fort, entre ses cuisses bien ouvertes, de sorte à faire claquer ma peau contre la sienne, au rythme de mes va-et-vient, et de se faire se balancer ses petits seins d'avant en arrière.
Elle prendrait un plaisir fou, rougissant, frémissant, et commençant même à crier timidement.
Au bout d'un moment, elle resserrerait ses cuisses autour de mes hanches, me permettant d'aller agripper les siennes, prenant appuis pour la pénétrer plus profondément et plus intensément.
En même temps, elle remonterait ses bras au dessus de sa tête, prenant appuis sur la table du bureau, et accompagnerait mes mouvements en bougeant son corps d'avant en arrière. La table du bureau en grincerait de plus en plus fortement, mais ce bruit serait couvert par celui de ses cris, de plus en plus fort.
On se lâcherait complètement, l'un dans l'autre.

Elle est si belle, en prenant son plaisir...

Je la sentirais frémir de plus en plus, elle commencerait à avoir le souffle court: elle jouit pour la seconde fois.
Je me retirerais alors, et commencerais à sucer son clito, pour la faire jouir intensément, et faire durer son plaisir le plus longtemps possible.

Remise de ses émotions, elle se laisserait glisser sur le rebord du bureau, pour se retrouver à genoux, devant moi. Je poserais mes mains sur le bureau, et elle empoignerait fièrement ma queue, tout en la prenant en bouche. Elle me l'avalerait complètement, me faisant ressentir sa gorge autour de mon gland.
Elle me sucerait et me lécherait, tout en caressant mes couilles, jusqu'à me faire exploser, en dirigeant, à ce moment là, ma queue vers sa poitrine, laissant couler mon sperme chaud le long de son corps.

Après s'être rafraîchis un peu, nous nous serions rhabillés, nous aurions discuté brièvement de ce qu'il s'est passé, on se serait embrassé une dernière fois, puis elle m'aurait ouvert la porte de son bureau et laissé sortir.
En partant, je me serais retourné vers elle. Elle m'aurait adressé une nouvelle fois son si joli sourire, tout en me lançant un regard appuyé et coquin.

On se reverra, c'est sur...

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