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L'éveil d'une liaison torride

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Il y a longtemps que je n'ai pas écrit de récit explicite et cette histoire est le bon prétexte pour m'y remettre.

Je vais vous parler d'une fille qui fût ma petite amie un cour instant. J'ai eu une liaison éphémère avec elle qui a été aussi courte que torride. Elle s'appelle Aya, elle est syrienne d'origine, elle a les cheveux les plus noirs que je n'ai jamais vu, longs et ondulés et des yeux noisettes sublimes. Sa bouche pulpeuse et ses son sourire large m'ont fait tombé raide... dingue... amoureux... dés la première rencontre. Tant et si bien que je n'ai su articuler un traître mot de notre première conversation. Je vais vous parler de son corps aussi. Son corps je ne l'ai pas vraiment vu tout de suite car... ben c'était l'hiver mais rapidement j'ai compris qu'elle avait les atouts de la femme que tu es toujours heureux de pouvoir toucher, masser, malaxé, des seins magnifiques, de belles hanches et un superbe cul.

Amie d'amis, je l'ai vu et revu sans rien tenter pétrifié de lui avouer mon transport. Le rapport entre nous était pourtant bon, une fille intelligente et sensible, enfin bref. Quelques mois se passent et enfin je me décide à demander son numéro à des amis et à l'appeler. Aussi simplement que ça, je me retrouve convié à un dîner avec ses collègues que je ne connaissais pas, et la soirée fut... longue et chiante : une catastrophe. Les derniers sont partis à 3h du matin et nous étions cisaillés par la fatigue. Elle me propose de rester dormir chez elle, j'accepte.

Nous passons une heure à nous parler, nous faire écouter de la musique, bref la soirée s'éternise et je sais bien qu'elle n'attend plus que j'agisse et malgré tout je ne tente rien. Bon... Je la regarde s'agiter pour ranger avant d'aller se coucher dans sa chambre (moi j'ai le clic clac du salon), je me souviens de sa robe rouge dans laquelle elle a paradé toute la soirée, devant mes yeux je voyais s'agiter son décolleté... Nos nous croisons dans la cuisine, je fais une blague pourrie à laquelle elle rit aux éclats, je la regarde rire, elle me regarde dans les yeux, je passe alors les mains sur ses joues et m'approche de ses lèvres. Je n'ai pas le temps de tendre les miennes qu'elle ouvre déjà sa bouche pour m'offrir sa langue. Je n'hésite pas et nos langues s’entremêlent dans un baiser fougueux.

Mes mains se balades sur le tissu de sa robe, les siennes sur mon torse. Elle m'invite à l'attendre dans le salon pendant qu'elle passe à la salle de bain. Je m'allonge sur le clic clac convertit. Elle ressort en petite culotte pour seul apparat. Je me déshabille avec précipitation à cette vue et ça la fait rire. Je me retrouve en boxer, je regarde sa belle poitrine échoir de sa gorge, je me délecte de sa peau matte et mon érection est telle qu'elle soulève l'élastique du boxer. Elle me rejoint en me regardant droit dans les yeux, toujours souriante, sa main vient empoigner mon sexe à travers mon boxers. J'espère qu'elle me sens gonflé entre ses doigts, que ça lui plaît. Nous nous embrassons, et mes mains découvrent sa peau, ses formes, sa sueur et ses frissons sous mes caresses. Puis je découvre ses fesses, je les empoigne fort contre moi, elle m'enlace alors au niveau du coup. Je prend mon temps pour malaxer son cul contre moi. Elle est sur moi et elle profite de mon érection pour se frotter contre mon sexe. Mes doigts s'approche de sa raie, le tissu de sa culotte nous sépare encore et en m'aventurant je tombe sur un petit trou dans le tissu au niveau de son sexe. Elle m'a sentis l'effleurer, elle a sursauté en me regardant et elle a prononcé ces mots : "j'ai une culotte de clocharde... elle est toute trouée" le dialogue s'amorce.

- Elle est surtout trempée, je rétorque

- C'est parce que c'est aussi une culotte de coquine...

- Coquine hein ?

- Tu n'a pas idée...

Je plonge un doigt dans le trou qui s'élargit et ce ne sera pas le seul à s'élargir ce soir. Je titille son antre, je lui lèche maintenant les seins, elle commence à se tortiller de plaisir et elle me maintien le visage bien contre sa poitrine. J'ai la sensation la plus délicieuse de sentir sa chair m'écraser le visage. Puis elle remonte sous l'effet de mes mains et maintenant je lui embrasse le ventre puis rapidement je me retrouve contre son bas-ventre encore voilé par son sous-vêtement. Le trou étant déjà bien élargit, je passe un doigt de chaque main dedans puis déchire sa culotte pour que son cul soit à l'air. Le tissu déchiré jonche alors inélégamment ses cuisses maintenu encore par l'élastique autour de ses hanches. Mais maintenant j'ouvre la bouche et elle s'assoit sur mon visage. Je sors ma langue et lui lèche la chatte au rythme de ses balancements de hanches. Si j'ouvre les yeux j'ai la perspective de son ventre surmonté de ses deux seins, qu'elle maintient contre elle d'une main comme s'ils allaient s'envoler. Elle se montre étonnement expressive criant des "putain c'est bons" ou des choses du même genre. Je me tiens maintenant la bite et j'ai commencé à me branler pendant que je la léchais, j'ai trop envie... j'ai trop envie... j'ai trop envie...

Je me relève, je baisse mon boxer, juste de quoi sortir mon sexe, elle ne change pas de position, assise sur ses talons, elle soulève juste sa croupe, je présente simplement ma queue contre son vagin, et naturellement je glisse en elle. Quand je commence à la baiser, je suis tendre et je sens que ça lui plaît, je profite de ses seins, l'embrasse dans le cou. Et ma queue dure au fond d'elle n'a jamais semblé autant à sa place. Ses petits gémissements sont excitants, ils semblent renforcé par mon érection encore montante, qui renforce son plaisir, qui renforce nos mouvements, qui renforcent mon érection, et sans nous en rendre compte, je suis en train de la baiser sauvagement en levrette, et elle jouit à pleine gorge. Je la retourne, elle se retrouve sur le dos. Je la regarde avant de reprendre ma besogne et alors que j'étais presque sur le point de jouir en elle, que je me suis retenu de jouir, j'ai la mauvaise pensée, celle qu'il ne faut pas avoir.

Je la regarde, elle est sur le dos, sa culotte en lambeaux toujours autour de sa taille. Elle lève les jambes comme un animal au dessus de son ventre, elle m'offre sa belle chatte touffues, elle plonge son visage dans son bras qu'elle allonge au dessus de sa tête. Cette situation de sexe bestiale avec cette fille qui fait l'objet de mes rêves et même de mes sentiments depuis tant de mois m'a mis le vertige, je ne saurais dire vraiment pourquoi. Elle s'impatiente et donc elle me saisit la queue, elle se l'enfourche et nous voilà reparti. J'ai limé pendant près de 30 minutes sans arrivé à jouir, à en croire ses gémissements tout va bien pour elle mais je suis sûr qu'elle n'a pas eu d'orgasme et fatalement elle en a marre maintenant. J'abandonne et m'allonge. Elle vient dans mes bras et me demande ce que j'ai. Je suis bien incapable de répondre. Elle me caresse le torse tendrement. Elle place ses doigts autour de mon sexe encore dur et turgescent. Elle me masturbe et me regarde, dépose un baiser sur mon épaule. Elle approche ses lèvres de mon gland, me suce mais sans résultat. C'est bon pourtant mais voilà, j'ai le trac. Elle reviens sur mon épaule, visiblement émoustillé par sa propre fellation, sa bouche est moite.

- Donne moi ton doigt, m'ordonne-t'elle, je sais de quoi tu as besoin.

Elle lèche alors mon indexe et mon majeur de la main droite. Elle accompagne ensuite mes doigts derrière son dos jusqu'à son cul...

- Amuse-toi avec mon petit trou.

Elle continue de me branler, mon érection est toujours là, je profite un peu de ses fesses et quand je trouve le trou de Aya, j'appuie dessus légèrement, ça lui plaît. J'appuie plus fort mais sans la pénétrer. Je sens ses doigts me serrer la bite plus fort. Je trempe mon index de sa phalange dans son anus. Elle a joint son autre main à son clitoris. Elle est quasiment face contre le matelas. je continue mon petit travail. J'écarte son petit trou, elle me branle de plus en plus fort. Elle est collée de sa bouche contre mon torse comme une ventouse. Je sens qu'elle me lèche la peau. Je change de doigt. Mon majeur est plus épais, mon mouvement est moins patient, je lui enfonce un peu plus vite mon doigt dans le cul. Elle commence à gémir des "Oui vas-y". Je me redresse alors, m'assois sur les talons, présente ma queue à son visage, elle ouvre la bouche et me gobe la queue goulument tandis que j'ai une main derrière elle en train de lui enfoncer frénétiquement un doigt dans l'anus, et mon autre main lui masse généreusement la chatte de façon synchrone avec les mouvements de mon autre main. Elle se tord de plaisir, elle m'agrippe la queue de ses deux mains, ma queue étouffe ses cris. Mais quand elle sort ma queue de sa bouche c'est pour manifester son orgasme. Son bassin part dans tous les sens, je ne plus garder mes doigts en elle, je m'allonge, l'embrasse en continuant de la masturber. je sens le goût de ma queue contre sa langue puis je me relève et replonge ma bite dans sa bouche. C'est moi qui branle cette fois et dans un cri d'extase, je me sens venir. Elle reprend les choses en main, secoue vivement ma verge de bas en haut et je sens tout mon sperme me traverser pour atterrir dans sa bouche. Moi je lui caresse les cheveux, sa bouche est pleine de sperme mais sans retirer ma bite de sa bouche, elle le recrache le long de celle ci.

C'est sale, ça sens le sexe à plein, l'atmosphère est moite. C'est l'aube, je viens de gicler dans la bouche d'Aya après lui avoir doigté l'anus. Ceci était la première nuit. Nous nous sommes fréquenté pendant quelques temps avons consumé à toute vitesse notre relation torride et passionnée et bientôt la question de nos sentiments réciproques s'est posée et nous avons arrêté de nous voir. Comme ça.

Il y eu d'autres nuits, si ça vous intéresse dites-le.

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