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La bourgeoise devient libertine
Par
FocalX, dans Histoires érotiques
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Par ChunkeyMonkey
Bonsoir à tous et à toutes,
Pour ma première contribution à FI, je vais m'attaquer à un récis d'une expérience sexuelle dont je suis malheureusement assez peu fier : ma première fois !
Vous constaterez au fil des lignes toute l'ambivalence de cette aventure, entre la bonne morale et la perte de ses propres limites, poussé par le désir.
C'est un épisode de ma vie que j'ai du mal à exprimer, je pose électroniquement mon récit en guise de thérapie. Cette confession m'aidera-t-elle à envisager ma première fois comme une belle expérience ? Je vous livrerai mes conclusions à la fin de mon récit.
Peu fier, et pourtant quel moment important dans la vie d'un adolescent ! J'attendais mes premiers ébas sexuels avec beaucoup d'impatience, comme beaucoup d'autre jeunes garçons. Mon éducation sur la question était teintée de quelques visionnages de films pornographiques, mais aussi (et fort heureusement) par les bons conseils d'une soeur dont le crédo était le suivant : "Tu dois faire ta première fois avec une fille dont tu es amoureux". Chose à laquelle je m'étais resigné, refusant même les avances de filles que je n'estimais pas à même de remplir LA condition.
Et c'est ainsi que j'ai abordé le lycée, toujours vierge, toujours resigné à offrir mes premières caresses à l'élu de mon coeur uniquement.
J'étais alors d'un naturel plutôt discret, travailleur à l'école, appliqué lors de mes entraînements sportifs quasi quotidiens. Ces derniers avaient sculté mon corps, j'avais des bras musclés, des abdominaux dessinés et je savais mettre ces atouts en valeur. Je savais que je plaisais, sans pour autant trouver chaussure à mon pied.
C'est lors d'une chaude soirée d'été que tout à dérapé !
Accompagné de mes grandes soeurs et de leurs amis tous plus âgés que moi, j'étais à une fête de village. Installé sur des bancs en bois, j'étais gentillement invité à boire la bière fraîche qui m'était offerte. Verre après verre, je sentais l'alcool alterner mes facultés de raisonnement, me desinhibant un peu plus à chaque gorgée.
La nuit était tombée, il faisait toujours aussi chaud et je terminais le verre qui allait faire tomber toute les barrières que je m'étais imposées depuis si longtemps. Ce soir, l'impatience m'avait envaillit, je voulais coucher avec une fille pour la première fois !
Laissant ma discrétion sur le banc en bois, au milieux des verres vides, je me suis alors mis à la recherche d'une ou deux jolies amies du lycée que je savais interessées par la question. Avant de tomber sur l'une d'elle, j'aperçu Julie entrain de danser.
Julie était la petite dernière d'une fratrie de 4 dont l'aînée était la meilleure amie de ma soeur. Elle était toute fois plus âgée de 5 ans que moi. Plutôt forte, arborant une poitrine généreuse, elle avait la réputation d'être une jeune femme assez ouverte sexuellement. Je l'ai croisé en passant à proximité de la piste de danse. Mon regard à croisé le sien, elle me souriait en me faisant signe de la rejoindre ce que je fis sans l'ombre d'une arrière pensée, loin d'imaginer ce qui allait suivre...
En échangeant quelques pas de danse maladroit avec elle, je réalisais rapidement qu'elle avait également abusé de la bière ce soir là ! Plus expérimentée que moi, plus sûre d'elle aussi, elle ne tarda pas à me manifester ses intentions. Je me retrouvais ainsi collé à elle, ma tête plongée dans son profond décolté, mon sexe collé à sa cuisse. Ses mains me maintenant fermement tout contre elle. Au son de la musique, je sentais monter en moi le désir pour cette jeune femme qui, jusqu'alors, ne m'avait jamais interessé !
Les musiques défilaient et je me risquais maladroitement à lui montrer que l'excitation montait en moi : je lui glissais une main sur les fesses, d'abord sur puis dans le pantalon. Sous les frottements de sa cuisse, mon sexe était en érection, ce que Julie avait bien sûr remarqué.. Je ne m'en doutais pas, mais son string était lui déjà humide dû au contact de son vagin sur ma jambe.
C'est en me surprenant observer sa poitrine qu'elle décida de prendre les devants, me prenant par la main, elle me tira à l'écart de la foule dans un bosquet. Durant ces quelques minutes de trajet, qui en parurent une éternité, j'ai pu prendre la mesure de ce qui était entrain de se passer malgré les effets bien présents de l'alcool : qu'est ce que j'étais entrain de faire ? Je bouillonnais de désir pour cette fille, physiquement assez peu attirante et pour laquelle je n'éprouvais aucun sentiments amoureux ! Je ne pouvais pas brisé mon crédo de la sorte.. Trop tard, perdu dans mes pensées, je n'avais pas vu Julie venir. A peine caché des regards indiscrets, elle m'embrassa à pleine bouche, glissant avec assurance sa main dans mon caleçon et débutant des mouvements de va et vien, mon sexe fermement maintenu entre ses doigts. C'était l'explosion des sens, toutes ces sensations nouvelles me submergeaient !
Poussé par l'adrenaline et l'excitation, j'embrassais maintenant à pleine bouche Julie, nos langues s'entremellant dans une danse frénétique. Je me decidais moi aussi à passer à l'action, carressant d'une main ses seins sous sont haut, glissant l'autre dans son string. Son vagin était humide, très humide, et la sensation de mes doigts écartant ses lèvres trempées me fit l'effet d'une bombe. Je commençais à descendre son pantalon lorsque, à bout de souffle, elle me glissa au creux de mon oreille un "pas ici"...
Je vous propose d'en rester ici pour le moment, peut être ces quelques lignes vous donneront envie de connaître la suite.
N'hésitez pas à me faire part de vos sentiments sur cette confession, importante pour moi !
Merci à tous et à toutes.
-
Par Czar
Voilà…
Arborant un fin sourire doux, en cette journée pluvieuse, une fébrile envie de consigner et de vous conter une aventure charnelle s’empare de moi. Oh, mon sourire reste nostalgique en repensant à cette aventure, plus qu’improbable, que le destin m’a donné le privilège de vivre. Même si elle est très intime en mon âme, mon cœur, lui, offre l’inspiration à cette plume qui j’espère vous enchantera.
Nous nous sommes rencontrés récemment en cette année 2016. Il faut dire que notre aventure a débuté assez rapidement. Elle, 23 ans, brune aux cheveux long noir et lisse, des yeux noisette aux iris plus que pétillant, aux lèvres finement dessinées et qui attirent, à celui qui sait regarder, comme un aimant puissant tous les désirs, même les plus interdits… Ni trop grande, ni trop petite, à la peau légèrement matte, au physique filiforme, son charme de femme italienne la rendait franchement irrésistible. Barmaid dans les boites de nuit, elle savait rester beauté froide, et offrir toute sa chaleur de femme, à celui qui sait lui cueillir un de ses plus beaux sourires. Du peu que j’ai eu l’occasion de connaître d’elle ( car notre aventure n’a pas passé 3 mois), nous étions de rares élus à avoir cette faculté à lui dessiner un joli rictus. Incroyablement belle, est-ce la rareté de ses aventures qui attisait mon désir à la connaître sans la séduire ? Elle était singulière, ceci ne faisait aucun doute ! En tout cas, elle me fascinait …
Nous nous sommes côtoyés très rapidement, sans toutefois s’être échangé le moindre baiser, et encore moins d’avoir partagé une nuit sexuelle. Pourtant nous avons dormi plusieurs fois ensemble, elle, blottit dans mes bras d’homme, dormant paisiblement comme le plus joli de tous les chatons. Et moi, veillant sur son sommeil profond, mû par des nuits de palabre sans fin. Je confesse, en mes iris pouvaient se lire le début d’un roman de celui d’un homme, fraichement quarantenaire, pleinement amoureux. En nos rares nuits partagées, quand elle somnolait, Je ne cessais de caresser ses lèvres du bout des doigts, puis de laisser parcourir doucement cette main masculine sur sa peau au fin touché de velours. Oh oui… si vous saviez cette douceur qui régnait en maitre sur son épiderme… C’était presque surnaturel… J’en ai encore l’imprimé, en ma mémoire, et sur le bout de doigt.
Et non, cher(e)s lecteurs(trices), nous ne nous sommes jamais embrassés, mais nous nous sommes déjà embrasés… Juste une fois, et une unique fois… avant que notre aventure prenne fin quelques semaines plus tard…
La nuit tombait, en cette fin de journée de printemps, la voiture roulait en une allure constante. C’était une 7 place. Il y avait le conducteur et son passager, à l’arrière trois places, et encore derrière deux places. Ma jeune italienne et moi, occupions ces deux dernières places. Juste devant nous, la mère de ma jeune muse somnolait sur l’épaule de son amant. Il est vrai qu’un silence régnait dans l’habitacle après tant d’anecdotes contées, de rires partagés, depuis notre départ du restaurant de montagne. Moi, assis en direction de la route, ma jeune demoiselle, genoux recroquevillés, son dos face à mon flanc, s’était, comme à son habitude, réfugiée au plus profond de mes bras. Je l’enlaçais d’un bras, tout en regardant la route et me délectant de la chaleur de son corps contre mon torse. Ce serait vous mentir que de vous dire que je n’ai jamais eu des pensées salaces la concernant. Mon instinct voulait jouer la carte de la romance, et je souhaitais m’approprier son corps doucement, dans la durée, pleinement… Aussi, je laissais toujours trainer mes doigts, à l’image d’un pinceau, sur la surface de sa douce peau, sans chercher à noyer mes mains sur ses seins et sur son sexe. Je sentais que le toucher masculin faisait frissonner son corps, je savais que son désir charnel s’éveillait doucement. Cependant, je n’imaginais qu’il allait nous prendre par surprise… dans cette voiture…
Son front contre mes lèvres, je pensais que ma douce somnolait tendrement. Sans doute. Ou pas. Ceci étant, sa petit main glissait depuis mon torse et descendait lentement… Extrêmement lentement… approchant presque du sésame de mon corps. Naturellement, mon désir s’éveillait et trahissait, par son volume montant, une présence en mon jean moulant. Et je ne voulais pas qu’elle découvre l’effet qu’elle me procurait, surtout si elle dormait vraiment. Habillement je posais ma main sur le revers de la sienne, et je la dirigeais vers sa cuisse. Profitant de cette prise, je lançais mon regard sur la route monotone en espérant que mon désir tomberait, puis, je continuais à caresser sa main, du bout de l’index. Mais sa main avait glissée en son entre-jambe, et je pianotais, par-dessus, comme l’on pianote à la surface du sexe d’une femme. C’est là que je commençais à sentir son corps bouger un peu, puis onduler lentement de plaisir… Son autre main remontait le long de mon avant-bras pour se faufiler sous la manche de mon T-shirt afin d’agripper mon triceps. Sa respiration demeurait toujours normale, et son joli visage alla se caler contre le biceps. Agréablement emprisonné, je sentais à présent son souffle chaud sur ma peau mâle. Inutile de vous décrire ce qui se tramait dans mon boxer. Je me suis mis, subitement à scruter les têtes dépassants des sièges pour voir si l’on soupçonnait ce qui se tramait en queue de voiture. Personne ne bougeait, ni même la tête blonde de la mère de mon italienne. Je me mordais la lèvre inférieur, découvrant que nous sommes intimement seuls, si habillement isolés. J’avais terriblement envie d’elle…
Lorsque le romantisme laisse place au terrain de la pulsion, il n’existe plus aucun rempart à la pudeur pour se cacher. Il ne faisait nul doute que ma proie était éveillée, les yeux toujours clos, sa langue venait gouter au musc de ma peau. Livré en pâture à son exquise bouche, j’enfouissais mes lèvres dans la chevelure de soie noire et lisse de ma créature. Je laissais l’exaltation de mon souffle aller mourir et réchauffer le sommet de sa tête. Toujours en silence… tous les deux…
L’obstacle de sa main de jeune femme tombait et me livrait l’entrecuisse. A travers son jean, je pouvais sentir la chaleur volcanique qui sévissait à travers le tissu. Je me mordais la lèvre plus durement. Ma main perdait toute douceur romantique, et allait se vêtir, peu à peu, d’une lente frénésie sauvage. Dieu que j’aurais aimé la ravager, là, maintenant, tout son sexe en ma bouche, je n’aurai laissé aucun reste en pâture. Jaloux de l’œuvre de ma main, je laissais mes papilles en berne, et je cherchais à enfouir ma bouche en profondeur en sa chevelure. Ne pouvant percer l’épaisseur de son jean, je la sentais toujours plus brûlante en son vénus, son souffle contre moi, l’était également, et mon bras se couvrait du sirocco brûlant sortant de ses lèvres. Elle ne m’embrassait pas la peau, elle me dévorait avec une exquise lenteur, sans empressement, et avec une fine salive elle parfumait cette peau mâle.
Pour la première (et dernière) fois, je franchissais le Rubicon de la sexualité, il n’y a plus de romance à présent entre nous. Nos corps s’attiraient magnétiquement, sans que l’on ait cherché à créer l’artifice charnel. Elle se saisissait un sein… je pouvais lorgner du haut de ma posture, et je voyais comment elle le pressait, et je me délectais de ce spectacle. Sans qu’elle s’oppose, ma main alla s’enfouir sous son jean, lentement et toujours furtivement… Oh… pouvoir la toucher intimement, je m’en mords la lèvre rien que d’y penser et de vous le confesser. Une source chaude, à travers le relief doux de son sexe, se laisser explorer. Je ne pensais plus à rien, j’étais envahi par une frénésie indescriptible, je touchais son clitoris comme on touche une relique, et peu à peu, je prenais possession de son intimité, de TOUTE son intimité. Ma douce créature se cabrait pianissimo, sa bouche, cachée toujours dans mon bras ne bougeait plus, et était béante et exaltant toujours un souffle ardent féminin. Nos silences m’excitaient. Mon doigt glissait entre sa vulve et son bouton de plaisir. Sa main pressait de plus en plus son mamelon. Je me mordais la lèvre presque jusqu’au sang…
Elle eut son premier orgasme, quand j’ai senti son corps se replier et son ventre trembler. J’étais partagé par un sentiment mitigé, mi frustré, mi satisfait. Frustré car je trouve que je ne l’avais pas touché assez, quant à la satisfaction elle n’a pas besoin d’être expliquée. Je lui laissais du répit, tout en sentant ses papillons virevoltant en son ventre, trahi par des spasmes irrégulier qui assaillait son être. Allez comprendre pourquoi… mais j’ai porté mes doigts, recouverts de sa mouille, à ma bouche. Elle avait une saveur mi-cannelle, mi-safran. Autant vous dire que je me suis repais de sa saveur longuement. Cette gourmandise, je le lui ai fait partager, en glissant mes doigts imbibés, d’elle intime et de la source mâle de ma salive, en sa bouche. Elle me suçait avec maladresse au début pour laisser place à une véritable délectation. Elle n’hésitait même plus à me mordiller les doigts et à chercher à les gober presque jusqu’au plus profond de sa gorge. Sa langue passait sur le bout de mes phalanges comme si elle léchait un gland. Sa fine main s’est remise à ploter son sein, cette fois-ci je l’accompagnais en son geste. Voyeur, mes yeux scrutais mes doigts savamment bouffés, et la paume de ma main, surplombant la sienne, ploter sa divine poitrine.
Il suffisait. Je ne lui laissais ce repas plus longuement. Ma main retourna au verbe de son entrecuisse, glissant sous son jean, retournant en exploration en son sexe, mes doigts s’enfouirent comme dans du beurre jusqu’au plus profond d’elle. Mon autre main s’immisça, sous son t-shirt, à aller à la quête de sa peau, de son sein… je senti, en forçant la dentelle de sous son soutien-gorge, son téton bien dur, bien mûr. Oh, c’était intenable, je n’ai pu m’empêcher de jouer avec, entre le pouce et l’index, le pressant fermement, mais pas trop, jusqu’à ce que ma belle se cabre de plaisir. Son téton, je l’ai roulé sous mes doigts, je le tirai doucement, je le titillais, je l’agaçais. A l’orée de son oreille, je lui faisais entendre ma voix rauque, emplie de plaisir, presque en murmure, à aller résonner en elle. Je tenais plus… J’avais fiévreusement envie d’elle… j’ai toujours envie d’elle en cet instant… L’œuvre de ma main, épris d’une douce sauvagerie la ravageait encore et encore, scrutant en la cathédrale de son sexe, là où se cache le point de son plaisir. Il ne fut pas longtemps à le toucher… et ma belle plongea à nouveau dans un orgasme plus profond… elle soupira peut-être un peu trop fort… Je voyais les têtes des passagers de la voiture commencer à bouger un peu. Je lâchais subitement son sein, pour aller bâillonner la bouche expressive de ma belle…
Heureusement que le noir régnait dans la voiture, j’ai cru voir la tête d’un passager furtivement nous regarder, l’iris somnolant, n’accordant pas trop d’importance… et sombrant dans un sommeil à nouveau…
Ma belle ne me dit mot quand nous sommes arrivés à destination. Elle affichait un sourire, mais n’osait pas trop me regarder. Par pudeur et par respect, je ne lui ai plus jamais évoqué cette aventure. La distance de nos lieux d’habitations n’aidant pas… nous ne nous sommes plus jamais revu…
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Par alextattoo
Cela faisait plusieurs semaines deja qu'on se fréquentait.
1m65, blonde au carré ondulé, yeux noisette, des seins de rêve, lourds au mamelons larges et petits têtons, Elisa avait la peau très pâle, comme celle des rousses et j'adorais son grain de peau, doux, très lisse.
Elle était très vorace, littéralement, au point que tous les pretextes étaient bons pour me prendre en bouche. C'etait d'ailleurs sa façon de me le demander "je peux te prendre en bouche?".
Soumise qu'elle était, ses yeux étaient remplis de joie à l'idée de savoir que j'allais me décharger au fond de sa gorge.
En plus de cet appétit insatiable, elle était très demandeuse de sexe, ce qui me laissait tout le loisir de la faire languir.
La ligoter, la fesser, tout en lui bandant les yeux n'était pas si occasionnel que cela. Je savais qu'elle prenait autant de plaisir que moi à être traitée de la sorte.
Souvent, ajoutant aux quelques petites insultes que je lui destinais, je pouvais l'entendre dire "baise moi comme la petite chienne que je suis"
Elle aimait le sexe, et j'aimais la baiser comme elle le méritait.
Lui donner autant de plaisir qu'elle m'en procurait.
Rentrant d'une soirée, ma belle se dirigea vers la douche tandis que je prenais place assis sur son lit.
Face à moi sa bibliothèque était remplie de diverses livres ou revues pour femme sans grand intérêt. Une étagère cependant attira mon attention.
Des BD? Il n'y en avait que 2 ou 3 alors j'en sorti une au hasard.
Tournant les quelques premieres pages, je fus surpris de voir qu'il s'agissait une BD pour adultes.
Et bien ma cochonne, on ne cache pas bien son jardin secret!
Les images et les dialogues étaient très crus, violents.
Dans un univers entre paradis et enfer, un diable monté de 2 penis faisait subir les pires tourments salaces à des femmes et, dans la quasi totalité des scènes, sodomisait ses esclaves, que ce soit par simple ou double pénétration anale ou encore fist anal. Le tout dans une clameur enjouée que ces femmes laissaient entendre à gorge déployée.
À l'étroit dans mon pantalon, je bandais déjà quand elle sortie de la douche.
Je lui tendait alors le livre avec un sourire en coin qu'elle saisi en rougissant.
"Je ne savais pas que tu aimais ce genre de littérature" la mettant encore un peu plus mal à l'aise.
"Si si, mais bon, j'avais oublié qu'elles étaient là" m'avoua-t-elle
"Ca te plait?"
Je lui répondit que, bien que surpris, l'effet que me faisaient les scène dessinées avait été efficace.
Alors je lui demandais si ses envies portaient sur le fait de se faire prendre les fesses, ce à quoi elle me répondit par un sourire gêné, puis : "j'aimerai mais j'ai peur d'avoir mal, surtout avec la taille de ton engin"
Je bandais encore un peu plus.
Plaisir un peu sadique de savoir que je peux lui faire du bien tout en lui faisant un peu mal (ou un peu mal en lui faisant du bien) m'excitait beaucoup, évidement..
Nous sommes ensuite retournés au salon pour notre digestif. Games of thrones était notre série fétiche commune alors nous en avons regardé 2 ou 3 épisodes, buvant plus que de raison pour un couple à la maison...
Il etait très tard, j'ai pris une douche avant d'aller me coucher.
Elle, un peu éméchée, m'a rejoint dans la salle de bain et m'attendait.
J'eu à peine le temps de sortir pour me sécher qu'elle se mis à genou pour me sucer, sans dire un mot.
Je ne mis pas longtemps à bander fort, elle était vraiment très douée, alternant succion, léchage, elle me branlait divinement, prenant soin de toujours garder mon gland humide.
Ma bite gonflée devant sa bouche, je pense que cette fois encore, elle aurait voulu que je lui donne mon jus mais j'avais d'autres plans en tête.
La saisissant par le coude, je la redressais et la dirigeais vers la chambre. Elle titubait très légèrement, les effets de l'alcool encore sensibles.
Je la fis se mettre à genou sur le lit et la penchais en avant, que son visage et ses seins lourds touchent la couette.
Ainsi positionnée, ma belle était cambrée au possible et je pouvais laisser mes mains parcourir sa croupe afin d'alterner caresses et petites tapes qui la faisaient sursauter à chaque claquement, surtout lorsque mes phalanges se posaient sur son sexe.
Je savais que ça l'excitait, son con suintait déjà de mouille.
Les images des BD ne m'avaient pas quitté l'esprit, je bandais encore fort de savoir ce que j'allais lui faire.
Me mettant derrière elle, mes lèvres se posèrent sur ses fesses outrageusement ouvertes, offertes.
Ma langue parcourant sa raie, je longeait la lisière extérieure de ses grandes lèvres et remontait en prenant soin de bien décalotter son clitoris sur lequel j'appliquais une pression tanto forte ou faible mais constante, la laissant étouffer un petit cri dans l'oreiller, puis remontant sur ses petites lèvres, écartant les grandes pour gouter son con trempé.
Quel extase..,
Retournant sur son bouton de plaisir, je lui remettais un peu de pression, son cri se fit plus fort encore, à nouveau étouffé, puis je la pénétrais de ma langue, écartant sans ménagement ses fesses et ses lèvres dans le but de la gouter au plus profond.
Allant et venant, sa respiration accélérait, alors mes mains vinrent rejoindre le bal pour jouer de son clitoris de l'une et de son anus de l'autre.
Tournant la tête pour reprendre sa respiration elle me dit qu'elle allait jouir!
Alors j'arrêtais de mes mains et lui fourrais ma langue dans les fesses.
La belle poussa un long soupir de soulagement.
Répétant mon mouvement de va et vient mais dans son petit trou, elle se mis à respirer fort, son plaisir remontant de plus belle.
C'est la que je décidais de la prendre.
Me redressant, la tenant par la hanche, je présentais ma queue raide devant son cul et me frottait contre.
Déjà entre ouvert, je n'eu aucun mal à commencer à la pénétrer.
Elle tourna la tête, yeux fermés dans l'attente de la suite. Je me mis alors à enfoncer mon membre un peu plus...
Elle respira de façon plus réfléchie, une certaine appréhension compréhensible.
Alors je ressortais et lui crachais sur le cul. Elle adorait que je la souille de ma salive, lui cracher sur le con lui procurait une sensation d'intense soumission qu'elle aimait particulierement.
Son cul ainsi lubrifié, je plaçais à nouveau mon chibre devant son trou et y entrait.
Cette fois, plus aucune résistance, et j'entendais déjà les clapotis de mes couilles s'écrasant sur sa chatte trempée. Elle etait sur excitée et je savais pertinemment qu'elle n'attendait que ça : se faire enculer.
Y allant tout doucement au départ, la cadence augmenta assez rapidement quand j'ai vu qu'elle affichait un sourire de satisfaction.
Je décidais alors que cette séance découverte allait être un baptême du feu et nous verrons combien de temps elle va pouvoir tenir, j'accélérais encore..
Son visage changea encore, cette fois ci, quelque chose d'intense se passait.
Plus je la défonçais plus elle semblait proche de l'extase.
Alors, brisant le silence je lui demandais "tu aimes quand je t'encules hein?!"
-" ouiiii j'aime ça! J'ai honte mais j'aime ça"
Ma question et sa réponse eurent un effet fulgurant pour tous les deux.
Dans un râle de plaisir partagé, nous avons jouis ensemble, me déchargeant dans ses fesses et la remplissant de mon sperme chaud, elle, étouffant son cri, souillée comme elle aimait l'être et satisfaite d'avoir enfin pu se faire prendre par là où elle n'avait jamais osée.
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Par fredoRacso
J'avoue jaime échanger par texto ou téléphone avec des femmes vicieuses ou cochonne...... attention pas le genres de femmes que l'on paye ....... non car celle que l'on paye Travaille et on travaille rarement par plaisir .... je préfère les vicieuses celle qui se caresse par plaisir ...... hummmmmm
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Par FocalX
Au fil du temps ,une grande complicité s'installe entre la belle bourgeoise et l'ouvrier chippendale qui profite d'un voyage de son mari pour l'inviter à une soirée chippendale ...
La belle bourgeoise présente son invitation à la caisse et pénètre, d'un pas mal assuré, dans la salle à la lumière tamisée, baignée par une douce musique .Pour l'occasion elle porte une robe, noire courte et n'a pas mis de sous-vêtements. Un homme ,la vingtaine ,tout mimi dans son short moulant l'accompagne à la table qui lui a été réservée devant la scène .Son chippendale comme elle l'appelle vient la saluer et s'assoit quelques instants auprès d'elle , lorqu'un projecteur, tout à coup , éclaire la scène sur un colosse ébène, vêtu d'un pagne sous lequel ,on devine un slip panthère bien rempli. Il exécute une danse tribale.
Anne -Sophie avait souvent ,en secret ,fantasmé sur les africains. Au fil des pas de danse ,l'homme fait glisser son pagne sur le sol .
Anne - Sophie sent des fourmillements dans son bas ventre ,enfin elle va voir et qui sait s'offrir son premier bambou ébène. La salle s'échauffe pendant que l'homme continue à danser imperturbable. Quand tout à coup ,fixant la belle bourgeoise ,il lui demande de monter sur scène et de venir lui retirer son slip .
Anne -Sophie, prise de panique, refuse. il insiste ,la salle l'encourage , elle finit par accepter sous les applaudissements. Face au colosse souriant ,elle s'agenouille, porte ses mains sur son torse musclé ,caresse ses tablettes de chocolat ,s'attarde à faire le contour de la proéminence dissimulé sous le tissu et enfin glissant ses deux pouces sous l'élastique, libère lentement ,le monstre qui s'en échappe.
Tel un ressort ,sous un roulement de tambour .L'organe se dresse et vient heurter au passage le nez de la belle qui pousse un petit cri de surprise et déclenche un éclat de rire dans la salle. Puis le silence revient et notre étalon relève ,maintenant ,la bourgeoise ,il passe ses mains sur son dos ,descend avec dextérité le zip de la fermeture éclair de sa robe et la fait glisser à ses pieds. Anne -Sophie est maintenant nue sur la scène. Un brin tétanisée ,elle se laisse prendre dans les bras du colosse nu qui l'entraine dans un zouk effréné au son d'une musique africaine, son bassin collé au sien, sexe contre sexe , pendant qu'une dizaine de strip teaser envahissent la scène et commence leur show. La salle se déchaine ,des femmes en furie hurlent ,certaines filles dévoilent leurs seins, d'autres ouvrent leurs cuisses, une autre enlève sa culotte et la jette à un stripteaseur .
Anne Sophie est désignée comme reine de la soirée ,son partenaire lui pose une couronne sur la tête et la prenant par la main ,ils descendent dans l'arène et commencent une tournée des tables au milieu de femmes surexcitées ...
Anne Sophie découvre pour la première fois la caresse gourmande d'une femme .elle résiste ,puis se dit c'est une nouvelle expérience et cède aux exigences perverses de la gent féminine .elle subit, non sans plaisir les caresses très intimes et même la pénétration de doigts inquisiteurs qui fouillent son intimité. Quant au beau chippendale ,rompue aux séances d'attouchements de femelles avides de sensations exotiques, son lingam est l'objet de toutes les attentions ,il est sucé, ses testicules sont malaxées. Enfin le couple arrive en bout de salle suivi par une meute de gazelles en chaleur.Le bel étalon monte sur une chaise et s'offre à la bouche des plus téméraires .Tour à tour, après une brève caresse ,Elles engouffrent dans leur bouche l'objet du désir et se livrent a une rapide fellation ,Souvent surprise par la texture du bâton du radis noir.Puis c'est au tour d'Anne Sophie de monter sur la chaise ,une matrone se précipite ,écarte les pétales de son orchidée et vient fouiller sans ménagement son puits d'amour, les femmes se succèdent entre ses jambes ,quand une d'entre elles se glisse ,derrière elle et commence à lui lécher son œil de bronze pendant qu'une autre lape son abricot avec sa langue et qu'une troisième masse ses seins. Anne Sophie s'abandonne sans retenue et prise d'un violent orgasme son corps se contracte à plusieurs reprises, électrisé de plaisir.
Bientôt le micro la ramène à la réalité en demandant à la reine de la soirée de rejoindre la scène pour contribuer au spectacle...
Elle rejoint ,alors ,les chippendales ,en slip ,aligné en demi-cercle, qui accueillent la belle par des applaudissements. Sans perdre une minute , Le présentateur demande à Anne Sophie de leur retirer sensuellement le slip et de simuler ou de réaliser selon son envie , une scène de sexe. Alors elle s'agenouille devant le premier, accroche ses yeux dans les siens ,pose ses mains sur son torse et les fait glisser langoureusement vers le slip qu'elle baisse d'un coup sec dévoilant un sexe de taille plus que raisonnable. elle simule une fellation et passe au deuxième .l'homme est grand ,très brun ,le torse velu et le slip est bien rempli. Anne Sophie, à genoux approche sa bouche de l'élastique ,la saisit entre ses dents , entraine le slip vers le bas et le retire .elle fixe un instant l'imposant bâton de chair et l'engouffre dans sa bouche .La salle explose en hourra. puis, c'est le tour du troisième ,l'homme est de type asiatique ,elle le regarde ,en fait le tour et finit par se positionner derrière lui. elle se colle contre ses fesses et arrache son slip violemment. puis l'obligeant à écarter les jambes, elle passe sa main entre et va chercher ses testicules elle revient ensuite lentement vers son anus qu'elle caresse vigoureusement, l'homme frémit. mais déjà sa tache l'appelle et elle s'occupe des suivants et se retrouve au milieu d'hommes nus. elle compare leurs attributs et reste étonné de la diversité de taille et de forme .
L'heure avançant, les hommes rejoignent les tables et se livrent aux caprices des dames pendant qu'Anne-Sophie part à la recherche du bel étalon noir ...
Enfin elle l'aperçoit ,lui sourit ,jette un regard plein de désirs sur son imposante virilité. Il vient à elle et sans un mot, l'entraine en retrait dans une petite salle seulement meublée d'un lit. Il l'allonge ,glisse un coussin sous ses fesses et verrouille la porte .Puis ,il enfonce délicatement ses doigts charnus dans sa chatte, en dilate le col, s'allonge sur elle et se place entre ses jambes écartées .ses mains noires dirigeant son gland vers les pétales de son orchidée qui s'ouvre.Il en caresse le pistil avec son pompon et le positionne à l'entrée du vestibule. Accentuant sa pression il franchit l'obstacle arrachant un petit cri à la belle qui regarde le serpent noir l'envahir lentement mais fermement jusqu'à aller en butée.il donne un petit coup de rein pour repousser les limites du fourreau.
Il essaie d'enfoncer le plus de longueur qu'il peut ,aussi profondément que ça lui est permis.La tête renversée en arrière, la bouche ouverte, le corps frémissant de désir. Elle s'ouvre, la grotte dilatée et entame de faibles mouvements des hanches pour permettre au monstre ébène de prendre possession de son étroit tunnel et d'étaler sa lubrification naturelle. Bientôt , il coulisse ,bientôt,librement ,dans le liquide du plaisir de son conduit élargi. Alors ,il la besogne frénétiquement, la taraude de plus belle, la prend avec une violence sensuelle, lui arrachant des cris de plaisirs.Anne Sophie noue ses jambes dans le dos du chippendale L'homme est endurant, inépuisable,leurs corps enlacés s'accouplent avec ferveur.
Quand vient l'extase ,leur corps soudé ,il arrose longuement son antre de long jets de sperme ,puis il l'embrasse et se retire la laissant dans un état second ,dégoulinante de sperme ...
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