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J'ai posé nu pour Maria

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Invité

Voici un ancien récit sorti du grenier : merci de votre indulgence.

 

Voici une semaine de ma vie que je n'oublierai pas.

Maria est une amie d'amie. C'est une peintre italienne. Nous nous sommes rencontré lors d'un voyage en Italie. Il ne s'est rien passé car... je ne sais pas, elle est jolie oui mais pas mon type. Un peu à lunatique et très réservée mais surtout, un genre pas vraiment soigné.

En résidence à Paris, on se voit  et elle me dit qu'elle cherche des modèles. Quel genre ? des nus. J'avais une copine qui était peintre et je sais que c'est dur à trouver, d'autant plus si on n'a pas les moyens de payer. Elle me propose de poser pour elle. Timidité, pudeur, peur du jugement, tout me dit de refuser mais dans sa demande il n'y a aucune retenue, pour elle c'est normal... Alors je doute, puis comme je suis persuadé du caractère désintéressé de la requête, j'accepte.

J'arrive le premier jour, à 14h, heure à laquelle nous avions rendez-vous. C'est lundi. Le deal : tous les jours jusqu'à Vendredi de 14 à 17h.

Elle est très taciturne et directive à la fois. Elle ordonne, je me déshabille, elle patiente dans une autre pièce. Je suis nerveux. Elle entre et je suis nu. L'atelier est assez grand avec un sofa où l'on ne peut s'allonger qu'à moitié. Je m'assoie d'abord puis sur sa demande, me tien finalement demi allongé. Elle entame plusieurs séries de croquis. Elle me scrute comme un objet. Moi j'évite d'abord son regard et puis je prend bientôt conscience qu'elle ne calcule pas du tout mes réactions. Je la regarde alors. Elle porte des vêtements amples et ne sourit jamais. Ces cheveux brun emmêlés dans un foulard et des yeux noirs inexpressifs. Une bouche pulpeuse qui donne un semblant d'érotisme à son visage. Trois heures passent extrêmement longues.

Je me rhabille et fin de séance, dans la cordialité la plus froide.

Le lendemain, même tisane, sauf que vers la fin de la session elle me dit :"Est-ce que tu pourrais bander un peu s'il te plaît ?" Après un temps de réflexion je lui répond que je ne sais pas, que je pourrai essayer... J'essaie alors... sans succès. "C'est pas grave" dit-elle et elle sourit enfin...

Mercredi, j'arrive à l'atelier. Avant que je ne me déshabille, Maria me dit : "Tu sais, tu as un joli sexe et il me faudrait juste que tu sois un peu tendu, tu peux te masturber"... Pas un mot de plus, elle me laisse seul. Je m'allonge nu, Maria est dans la pièce d'à côté, un peu plus longtemps que d'habitude, elle me laisse un temps pour me palucher. Sans succès, elle entre et vois que je galère. Je ne suis de toute évidence pas à l'aise. Au fur et à mesure que je dévoile mes faiblesses, elle devient de plus en plus sympathique. C'est agréable. Elle défait alors ses cheveux qu'elle camouflait et entre ouvre son chemisier épais pour faire apparaître un décolleté, vraiment joli décolleté. "Regarde-moi", je la regarde, elle est souriante et m'apparaît alors sous un tout autre jour... Et comme par magie, je vais mieux point de vue afflux sanguin. Son sourire s'élargit et dit "ça va mieux". Fin de séance. Je me rhabille et décampe immédiatement. Je ne m'attendais pas à me trouver aussi mal à l'aise du fait de bander face à une fille.

Le lendemain : jeudi. 14h30, un peu en retard et un peu plus nerveux encore quand elle m'ouvre et m'offre encore un plus grand sourire, moins de désinvolture dans son accoutrement et un petit chemisier plus léger et un plus grand décolleté et toujours cette bouche, qui maintenant qu'elle sourit semble vraiment très désirable. Pensant que la phase pénis était terminée, je me déshabille un peu plus volontiers mais je me trompais. "Il me faudrait un peu plus qu'hier, tu peux te masturber devant moi". Non ce n'est pas une question. J'obéis et étant déjà un peu dur, ça s'annonce plus simple, sauf qu'elle me regarde, ça prend du temps je me concentre, je prend ça comme un défis excitant. Puis elle me dis : "Imagine où tu voudrais éjaculer et ferme les yeux"... Surpris, un peu choqué mais j'obéis, son accent italien aidant, ça y est je ne suis plus là, je rêve, je pars et je crois que je gémis puis elle me dit :"ne jouis pas sur le sofa s'il te plaît", alors même où en effet je me sentais venir...
Je me lève avec ma queue entre les doigts, faisant fis de mes complexes, je m'approche d'elle assise, son visage près de ma bite, elle me regarde, je lui caresse le visage avec mon autre main puis les lèvres, elle ouvre naturellement la bouche que je pénètre de mon gland, je sens le contact des lèvres pulpeuses puis sa langue contre moi sur laquelle je déverse mon sperme. Je jouis alors dans sa bouche, elle me fixe du regard sans bouger. Je me retire et elle avale ma semence sans sourciller, passe sa langue contre ses lèvres. Puis se lève et sors pour que je me rhabille. Je m'assoie à sa place et me regarde en dessin. Je regarde les autres. En fait tous les dessins sont les mêmes, seul l'état de mon sexe change, j'ai une érection de plus en plus grande au fil des croquis...

Vendredi dernier jour. Elle m'accueille en petite culotte et débardeur blanc. Je découvre ses formes somptueuses. Je me déshabille, elle ne quitte pas la pièce. Je bande. Elle me demande :"Qu'aimerais-tu me faire dans tes plus grands fantasmes ?" je comprend qu'elle cherche mon érection maximum. Je m'assoie, m'allonge à moitié et commence à y penser, tandis qu'elle reste debout. Puis au moment où je ferme les yeux et m'empoigne, elle me dis "Alors tu as réfléchis ?", moi : "oui", elle :"dis-moi", moi : "te prendre par derrière et agripper tes seins sur ce sofa". Elle, que je sens excitée pour la première fois : "tu veux dire m'enculer ?", moi :"oui". Elle enlève son haut et sa culotte et me dis : "prend moi d'abord en levrette s'il te plaît". Elle baisse les armes, elle tremble d'excitation.
Elle pose un genou sur le sofa et l'autre jambe reste tendu au sol, je me tiens alors debout, derrière elle, je passe ma main sur sa chatte pour constater qu'elle est humide et puis je la pénètre. Elle gémit tout de suite, elle semble émoustillée depuis un moment, je lui tien les fesses et découvre ses formes, sa peau, la forme de son dos et son odeur. C'est très bon et assez sauvage. Elle finit à quatre pattes sur le sofa et elle cambre ses hanches. Elle me dit dans un souffle confus :"caresse moi l'anus", je lui passe un doigt et le titille, elle : "oui comme ça puis enfonce ton doigt gentiment", voilà, ça dure un temps. Puis elle me saisie la main, la colle contre son sein et dit " vas-y maintenant". Je sors alors ma verge de sa chatte pour la pénétrer entre ses fesses superbes fesses et entame par la même ma première sodomie... Elle se met à crier, son dos contre mon torse et mes mains qui agrippent ses seins, sons bassin remue frénétiquement pendant que je l'encule. Ses cris "encule-moi" puis "encore" et "plus fort" me raidissent à mon maximum et je manque de jouir, puis "STOP, arrête"... elle se dégage de mon emprise et essoufflée retourne à son chevalet et se met à dessiner tout en se caressant. Je m'allonge abasourdi. Elle sourit et termine son travail et dis : "tu as vraiment une bite magnifique" et rit, les cheveux en bataille... cinq longues minutes après elle me rejoint et monte sur moi, s'enfonce ma queue dans sa chatte et me saute dessus. Je me contente de la toucher là où ça m'excite de la toucher puis elle se crispe et s'effondre sur moi et jouit à pleine gorge en une respiration accidentée, je sens sa mouille ruisselé sur mes couilles, puis elle se retire et colle ma bite entre ses seins, me branle puis me suce très bruyamment et enfin me branle devant son visage en répétant "vas-y, elle est belle ta queue", sacré accent quand même, naturellement je lui gicle au visage et à ce moment elle fourre ma verge dans sa bouche pour me finir. Elle reste un temps, son visage contre ma queue à la contempler rétrécir lentement... Une dernière caresse de sa main sur ma verge et je vois sa main s'écarter pendant qu'elle se lève, je la regarde se déhancher, la sueur dans son dos lorsqu'elle est sur le point de quitter la pièce, son cul qui se balance, puis avant de sortir, elle se retourne, elle me sourit et je souris en retour et étouffe même un rictus quand je vois un peu de mon sperme couler de son épaule vers son superbe sein.

Puis douche et rhabillage... Flatté d'avoir fait l'objet de ces dessins immortalisant l'érection progressive du début jusqu'à son maximum, j'ai eu la chance de voire plus tard le travail aboutit.  Je ne sais pas si tout était prévu mais j'ai pu constaté non sans fierté qu'elle m'avait réussit...

 

 

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beau récit où l'art de poser nu sans paraître bête, à tous les stades et en restant sérieux!

un vrai contrôle en soi

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Oui excitant ce récit!  Et tu l'as encore revu par après???

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Invité

Je l'ai écris il y a longtemps (et donc ça m'ait arrivé il y a longtemps) et je me rend compte que j'ai été trop succinct sur la description de l'expérience que c'est de poser nu... c'est particulier. Je ne crois pas que je serai capable de le refaire aujourd'hui.

Oui je l'ai revue, plusieurs fois, bien qu'elle n'habite pas à Paris donc. Mais il ne s'est plus jamais rien passé entre nous. 

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Très beau, j'ai eu droit à un épisode de ma vie similaire en plus ^^ merci du partage!

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