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Faites des rencontres coquines près de chez vous

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Vick le dur

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Chapitre 1

Je pousse la porte lourde du bas de mon immeuble, pour en sortir. Premier pas dehors et je regrette déjà de ne pas être resté chez moi à siroter un pack de bière en regardant le rugby. J'aurai été pénard. Je m'en veux déjà... Le temps poisseux humide et pénétrant des grandes villes me file toujours un cafard atroce. Je rejoins vite le métro le plus proche et constate une chose c'est que les autres me répugnent. Je paye mon ticket puis le valide mais je ne supporte plus le monde de ces premières soirées d'automne, ni la lumière des néons, je sors, tant pis pour le ticket. Je vais jusqu'à ma bagnole, je vais raquer l'essence mais tant pis. Je rentre dans ma vieille audi où je vois bientôt s'abattre des torrents de flotte sur le part-brise. Je me dis que niveau timing je suis pas mal. Je me dis que l'habitacle de cette putain de bagnole est le seul endroit sur Terre où je peux supporter la pluie. J'allume le contact et démarre et après un créneau des plus musclés, je peux enfin commencer à réfléchir à ma soirée...

Je vais d'abord aller rejoindre le Joujou, ce rade où la jeunesse se croise pour échanger leurs salives. Je connais la tenancière, c'est une bonne copine à moi, voire plus... enfin là c'est pas la question. J'y vais pour rencontrer un contact. Des raisons de me méfier j'en ai des tonnes et c'est pour ça que j'ai organisé cette rencontre à domicile. Là au moins je connais tout le monde et je mets au parfum Madeleine (la susdite tenancière) de ma venue et de ses raisons. Cet empaffé de Georges m'a mis en lien il y a quelques mois avec un type qui cherche à s'adjuger mes services. Diego. Voilà des semaines que ce type me courre après pour me rencontrer. Dans mon domaine vaut mieux rester discret mais comme Georges sait pas tenir sa langue... me voilà embarqué pour une longue nuit... et putain fallait que ça tombe aujourd'hui...

C'est quoi le problème avec aujourd'hui ? Aujourd'hui j'ai 35 ans, voilà c'est quoi le problème. J'ai gagné ce foutu droit de passer mes anniversaires tranquille comme je l'entend et pas collé avec un mari à la libido frustrée... Enfin qui sait ce que me réserve la nuit...

Je m'appelle Victor, je suis né en 2022, il y a 35 ans. Et il y a 35 ans, les autorités se sont soulevées contre la criminalité sexuelle en injectant un produit à tout les barjos qui sortiraient du droit chemin. D'abord les pédophiles, puis tous les violeurs. Et bordel ça nous a fait des vacances, la mesure était tellement populaire qu'elle s'est largement généralisé, si bien que le gouvernement a dédié un budget colossale à la production de ce "vaccin". Il lui ont donné un nom : l'Anaphron. En 2030, le gouvernement a même fini par laisser la responsabilité aux particuliers de s'auto-diagnostiquer danger potentiel en communiquant sur le fait que l'Anaphron n'aurait d'incidence que sur le "gêne" du violeur que nous possédons tous potentiellement... tu parles d'une connerie. Ils avaient tellement plus d'argent à mettre dans les moyens de sécurité classique qu'ils ont convaincu 78% de la population masculine européenne de s'injecter ce poison volontairement. Et entre 2030 et 2040, ce même pourcentage de la population masculine était devenue impuissante et pour beaucoup stérile. Ce pourcentage à continué d'augmenter car une fois injecté dans le sang, l'Anaphrodisie devient héréditaire, enfin pour ceux qui ont la chance de pouvoir faire des enfants, ne touchant que la gente masculine. Moi je fais parti du pourcentage de veinard, ou de mecs pas trop con, à avoir échappé à cette parano. Bon faut reconnaître, on n'est plus trop emmerdé avec des crimes de cette espèce aujourd'hui. La génération ayant grandie dans les années 40 arrive aujourd'hui, en 2057, à l'âge de s'acoquiner et bordel, je sens bien que pour eux ça va être coton. Et encore les femmes de mon âge ou plus peuvent être frustrées mais qui sait ce que les jeunes filles de 15 ou 17 ans peuvent avoir dans le crâne. Et pour finir avec ce petit bilan, comme vous pouvez l'imaginer, une chute démographique vertigineuse. Et je peux vous dire qu'aujourd'hui Paris n'a plus de problème de bouchon.

Moi dans tout ça ? Et ben je suis représentant en Anaphron. C'est drôle hein. Et je me suis fais pas mal de blé. J'ai fais des études de commerces et voilà, la bonne combine. Bon ces derniers temps sont plus tranquille. Je pense que les gens ont plus ou moins compris. Alors pour arrondir les fins de mois difficiles, comme je fais parti de ce qui "savent encore se tenir à table" (c'est comme ça qu'on nous appelle), je vends mes services : ça peut concerner des fécondations in vitro, ou alors le boulot de gigolo bête et méchant mais je ne suis pas donné... comme j'ai du pognon à gauche, je le fait qu'à quelques rares occasions et en ayant rencontré les personnes au préalable, comme ce soir par exemple. Déjà le marché des gigolos a éclaté et des moins chers et plus jeune que moi, il y en a à la pelle. Ceux qui viennent me voir veulent le petit "plus" : la "complicité" et le fait que je sois occasionnel les réconforte et comme j'ai souvent affaire à des couples, ça les rassure. Et puis je ne suis pas trop demandé vu que j'opère dans le feutré pour pas flinguer ma situation. Je veux dire même si c'est pas la joie, au moins j'ai un job et j'y tiens. Enfin celui de ce soir c'est spécial. Sa femme ne sera pas là ce qui laisse présagé de trois choses : soit il cherche un donneur ce qui m'étonnerait parce qu'il ne voudrait pas me rencontrer un soir dans un rade moisi, soit il cherche comme les autres un mec vigoureux pour nous regarder nous éclater avec sa promise et comme c'est un jaloux, il préfère me voir d'abord et je la rencontre après, soit c'est encore un autre genre de plan du style refoulé qui cherche quelqu'un pour elle comme pour lui, dans ce cas pour moi c'est non, parce que j'aime les femmes.

Bon, ce ne sera pas ma première étape de la nuit de toute façon. La lumière de la ville n'est qu'un vaste halo rendu diffus par la pluie sur le part-brise. J'arrive avant son show. Amélie est une danseuse dont je m'occupe. Je lui ai promis de passer l'embrasser avant son spectacle pour mon anniversaire et en fait, la voir me suffit comme seul cadeau. Il est 22h quand je me gare en face du Cabaret de Passy, un nouveau haut lieu chique du 16e arrondissement qui donne sur la rue de l'annonciation. Je connais le lieu et le spectacle par cœur. Je rentre par l'entrée des artistes. Et je vois courir un panel de donzelles à moitié dévêtues, toutes coiffées pareil à s'agiter dans tous les sens, Amélie est comme les autres, vêtue pour qu'on ne la reconnaisse pas, choisie pour son corps de rêve et son visage d'ange, sauf que moi, je la reconnaitrais entre mille effeuilleuses. Elle a 24 ans, les yeux bleus, je dirais qu'elle mesure 1m75 mais je n'en suis pas sûr. Elle se retourne enfin, je sais qu'elle me cherche. Demi vêtue donc bas sombres à jarretières, d'un tutu minuscule noir laissant entrevoir sa culotte brodée noire elle aussi. Et au dessus... rien, ses seins dressés, sa taille de guêpe, ses épaules et son plus large sourire. Elle me saute dans les bras, ses bras derrière ma nuque, elle écrase ses seins contre mon impair trempé et ses lèvres pulpeuses napées de rouge brillant contre les miennes, laissant de larges traînées de rouge à lèvre à en juger par le soin qu'elle prend à les effacer. Puis je la dévisage et la contemple. Puis elle me dis "viens j'ai une surprise". Je la suis mais je la connais sa surprise et j'ai déjà décliné à maintes reprises. Son truc ce serait de le faire en cachette mais en public (genre dans un cinéma) sauf que c'est devenu tellement rare les gens qui baisent que tout est très compliqué. Et puis on se fais pincé pour attentat à la pudeur et je suis bon pour une fournée d'Anaphron, par mesure "préventive". Mon quotidien c'est de garder pour moi au maximum le fait que je peux encore bander.

Nous pénétrons sur scène, la salle est vide et attend ses premiers clients sur les coups de 23h. Une musique se déclenche, un projecteur s'allume sur nous et partout ailleurs est plongé dans le noir, nous enlaçons et nous dansons... La chanson a presque un siècle mais c'est notre préférée : "Easy to be hard" du groupe Three Dog night. Et les yeux dans les yeux nous balançons béatement nos deux corps sur la musique. Puis à la fin de chanson, d'une voix si douce que tout le stress de la journée s'évapore d'un coup : « Joyeux Anniversaire Victor ». Je la sers contre moi et embrasse son front dégagé de sa chevelure vénitienne coiffé d'un chignon. Elle me souffle enfin à l'oreille les paroles que je m'attendais à entendre. Et comme promis je me retrouve à refuser ses avances une fois de plus. Mais voilà c'est mon anniversaire et elle veut "me" faire ce cadeau et que même si cela fait maintenant 3 ans que nous nous fréquentons, notre histoire fait que cet anniversaire est le premier que nous avons l'occasion de fêter... Je lui tiens les épaules et constate qu'elle se fiche éperdument des gouttes de pluies que j'ai déposé sur son corps nu lorsque nous nous enlacions. "Pas ici" ! Je lui passe mon impair sur les épaules, nous sortons, et marchons jusqu'à la voiture et y entrons. Une vieille fonctionnalité de ce genre de bagnole est de pouvoir changer la teinte de vitres ce qui fait que l'on peut y voir de l'intérieur et non de l'extérieur : l'idéal pour notre affaire. Assis à l'arrière nous nous embrassons passionnément, elle a quitté mon impair et mes doigt parcours son corps m'assurant de réchauffer la moindre parcelle de peau refroidie par le déluge. Mais la température monte vite et l'humidité extérieure laisse place à de la transpiration.

- Victor, c'est rien que pour toi, pour ton anniversaire et te remercier de tout ce que tu fais pour moi... chuchotte-t'elle en baissant la braguette de mon pantalon.

Elle sort ma queue et me branle avec vigueur puis se penche et rapidement elle se met à me sucer. Elle se sert de ses mains pour me branler  en me gardant bien en bouche. J'ai une folle envie d'elle mais je n'ai pas le temps, ni elle. Elle veut que je jouisse pour mon pur plaisir. Si elle savait à quel point mon plaisir réside dans l'acte et non l'éjaculation. Je pourrais me faire sucer des heures par elle. Je vois son dos, tous ses petits muscles s'agiter, sa petite voix étouffée par mon sexe... c'est ça mon plaisir. Mais je veux lui faire honneur et il n'est pas difficile pour moi de jouir à se moment tant elle est douée. De temps en temps, elle arrête de me sucer, tout en n'oubliant surtout pas de me branler pour me regarder et vérifier que tout se passe bien. Bordel j'adore quand elle fait ça ! Elle voit que je suis aux anges alors elle sourit et même parfois elle rit, puis m'embrasse à pleine bouche, ainsi je sens le goût de ma bite ce qui semble l'exciter "Tu vois c'est à ça que t'as le goût" m'a-t'elle dit une fois, puis elle retourne à sa besogne. Je sais qu'elle veut que je jouisse parce qu'elle arrête de me sucer régulièrement pour me branler à toute vitesse (ce que j'adore).

Je lui dis alors :

- Allez vas-y chérie, tu le veux ? je vais te le donner...

Là elle comprend qu'elle n'a qu'à continuer à me branler et bien garder mon gland contre sa langue pour recevoir mon jus. Je pars donc, elle a bien ses lèvres serrées contre ma verge et je me sens me déverser dans sa bouche parfaite, moi je tiens son chignon pendant ce temps des deux mains, agite un peu mon bassin et quand j'ai terminé, elle continue de me sucer avec amour si bien que rien ne subsiste... maintenant c'est le calme, la pluie ne martèle plus, elle est toujours présente mais plus discrète. Amélie se redresse. Son rouge à lèvre n'a pas bougé ce qui me stupéfait. Je dis "merci" et elle me répond "de rien, comme ça j'ai des mini-toi en moi qui danserons en même temps que moi pendant le spectacle". Sa remarque est sale mais elle rend tout tendre et innocent, y compris une giclée de sperme dans son estomac. Je suis loin d'être aussi raffiné. Elle doit y aller, je la raccompagne et regagne ma caisse.

Je pense à elle, Amélie, beaucoup, je vais sûrement la croiser aux aurores lorsque la nuit nous aura lessivée tous les deux, et nous allons faire l'amour et nous endormir avant l'orgasme... une routine, du "trop souvent vécu" enfin le monde de la nuit quoi... Je savoure encore mon cadeau quand je quitte le quartier pour rejoindre le Joujou où j'ai rencart vers minuit.

Direction barbès, rue Myrha. Dans un endroit qui a le bon goût d'être fréquenté par des habitués. Le moins de nouvelles têtes possible, c'est mieux pour les affaires. On attend souvent de moi que je ne sois pas trop « fréquenté », et paradoxalement, le moins de publicité à mon sujet, le mieux je me porte.

… Amélie... la vie serait si simple...


 


 

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Chapitre 2

La pluie bat le pare-brise pour toute la durée du trajet qui me sépare du Joujou. Quand j'y arrive enfin, je me gare maladroitement pour être au plus près du rade. Je pénètre à l'intérieur et comme d'habitude, il y a une foule de petits couples asexués qui font mumuse à se rouler des patins sans plaisir (sauf peut-être pour elles mais j'en doute, les mecs font ça sans conviction, enfin c'est "social", c'est ce qu'on doit faire à sa petite amie. Je me pose la question de la sexualité de la jeunesse... Ah voilà Maddy.

Madeleine, la tenancière. Elle m'enlace chaleureusement. Elle a la quarantaine, les joues roses comme un nouveau né, elle dépose un baiser humide sur ma joue, je passe ma manche pour m'essuyer, ça la fait marrer.

- Qu'est ce que je te sers chou ?

- Un thé glacé...

- Tu déconnes Vick, c'est ton anniversaire !

- Tu sais bien pourquoi je suis là...

Maddy est une femme généreuse, si elle fricote avec moi c'est plus parce que je la fait marrer que parce que je sais encore bander... enfin un peu quand même, et si j'accepte ces avances, c'est parce qu'elle est belle et expérimentée. Une grande femme, de long cheveux lisses et noirs, de longues jambes, de grands yeux marron, une grosse paire de nibars.

- Vick, tu veux pas monter deux minutes.

J'accepte, elle passe le mot à son sous-fifre en salle pour qu'il s'occupe des clients. Je passe devant dans l'escalier qui mène au salon privé. Arrivé en haut, trois prêtresses affalées sur un sofa en cuire usé qui me fixent lascivement, attendant que je les rejoigne.

- Tu te fiches de moi ?

- Ben quoi ? c'est ton anniversaire le dur.

- Maddy bordel, combien de fois il faut que je te le dise, m'appelle pas comme ça.

- C'est bon Vick détend-toi, j'ai confiance en elles, je te refilerai pas à des putes de lesbos.

- J'imagine, d'autant que c'est facile de nos jours de vendre un "dur" à des gamines décérébrées.

- Là tu me vexes Vick. C'est mon escorte perso, elle bouffe du minou matin et soir, tu n'auras aucun mal à les faire décoller, des verges elles en voient plus passer.

La prostitution est centrée sur le plaisir des femmes et les femmes pour gagner leurs vies doivent apprendre à faire plaisir aux femmes. Maddy croit bien faire et d'ordinaire j'aurai rien dit. Mais je suis pas là pour ça.

- Scuse Maddy, j'ai un contrat, c'est pour ça que je suis là. Et puis tu me suffis largement.

- D'une, je bosse là, de deux, tu mens très mal et trois ton rencard il est pas là. Regarde-les, tu fais connaissance, tu rencontres ton gars et tu repasses plus tard.

Je réfléchis, je les regarde, ces trois nymphettes dévêtues, simples strings et soutifs aux couleurs criardes. Les trois sont rousses, les trois n'ont pas de poitrine, Maddy n'aime pas les comparaisons.

- Ok mais dés qu'il se pointe, tu viens me chercher.

- Ok, elle sourit puis redescend.

Je me fraye une place entre elles. Elles sont déjà en train de se chauffer depuis un moment elle m'attaque au costard. Je les repousse, je ne veux pas me débrailler. D'autant que l'épisode avec Amélie m'a rassasié amplement. Je fais signe à l'une de se foutre sur le canapé d'à côté et de s'embrasser pendant que la dernière prend place sur mon épaule tout en me touchant l'entre-cuisse avec fascination. Je ne laisse pas la situation m'échapper. Je profite du spectacle comme au cinoche. Je sens bien que la miss à côté de moi a besoin d'un petit quelque chose de plus.

- Mets toi à quatre pattes devant moi.

Ses jambes d'un côté et ses mains de l'autre de mes jambes, elle m'offre son fessier. Je lui gifle violemment la fesse gauche qui marque immédiatement. Les filles à la peau claire ont tendance à rougir immédiatement. Je lis dans son sourire que ça lui plaît. CLAC ! Sur l'autre, cette fois elle gémit. Je ne sais pas si elle joue la comédie. Je suis déjà lassé du petit jeu, je me dis qu'un coup vite fait règlerait l'affaire. Je lui arrache le string, la bascule, je me lève et défait ma ceinture quand j’entends Maddy gueuler "Vick pour toi !".

- Désolé les filles, peut-être plus tard.

Je laisse la rouquine la chatte à l'air et moi je me re-sape.

Diego est là, tout de noir vêtu, l'hidalgo type, la gomina dans les cheveux, le teint mâte et le costard de tueur à gage.

- Victor, enchanté.

- On va au calme ?

- Comme tu sens.

Il me conduit dehors jusqu'à sa caisse. Il possède un de ces machins ultra moderne où y a pas la place de porter un chapeau. Il démarre, je le regarde faire.

- Euh... ouai... C'est quoi le programme ? je demande.

- Solène veut te rencontrer maintenant.

Le type ne quitte pas la route des yeux. Je comprend qu'il ne s'agit pas d'un impuissant à la colle avec une bonne femme, c'est un employé.

Étonnamment, ça me rassure, ça m'excite même. Une femme riche qui envoie son homme de maison chercher sa bite... La voiture quitte Paris par la porte de la Chapelle. Après quelques heures passées sur les routes sombres de la campagne nord parisienne, sous une pluie toujours battante, nous arrivons dans un domaine dont l'entrée est marquée par un portail immense automatisé. L'allée est bordée d'arbre et de par l'obscurité, je ne peux rien distinguer au-delà. Enfin nous pénétrons dans un garage ce qui nous permet  de sortir de la caisse sans se prendre une saucée. Un ascenseur communique directement avec les 3 étages de la maison, si j'en crois les numéro sur le tableau de bord. La lumière est éblouissante et quand nous sortons de l'appareil, c'est pour débarquer dans une chambre éclairé trop faiblement pour en distinguer le contenu.

- Bonjour Victor.

Une voix de femme assise près de son lit sur une chaise. Un bureau colle le mur de droite avec une lampe de bibliothèque pour toute lumière éclairant la moitié de son visage. Diego s'installe à l'autre bout de la pièce et son accoutrement fait qu'il disparaît dans la pénombre. un fauteuil une place est là, face à Solène qui m'y invite à m’assoir.

Le demi visage de Solène n'a aucun sourire, je vois une coupe de cheveux lisse noire et assez banale. Ces joues indiquent un forme de fatigue la perception de sa poitrine sous ses vêtements sombre m'indique un beau corps de femme pulpeuse. Mais le visage est froid. Je choisis le sarcasme :

- C'est parfaitement charmant chez vous, vous organisez souvent des fêtes comme celle là ?

Solène ne bronche pas. Puis ouvre la bouche, prend une grande aspiration :

- Diego à un revolver qui envoie des doses d'Anaphron en fléchette. Le moindre mouvement suspect, il n'hésitera pas à s'en servir. Vous n'avez pas le droit de me toucher, vous ne bougerez pas, c'est moi qui dirige. Ok ?

- Ok.

- On a du liquide pour vous, vous avez une réputation, je veux savoir si elle est justifiée. Si oui on se rencontrera encore, sinon vous retournez dans votre rade merdique et vous n’entendrez plus parler de moi. C'est clair ?

J’acquiesce et je comprend que rien ne sert de parler.

- Vous... (elle hésite)... vous pouvez... là maintenant ?

C'est plus timide et plus humain. Elle veut que je lui montre mon engin. Je défais doucement mon pantalon, juste ce qu'il faut pour en sortir l'objet de la convoitise. Je bande car j'ai l'habitude de bander quand il faut. Mais la situation n'a rien de vraiment excitant... Solène regarde ma verge sans mot dire. Elle se lève enfin après des instants interminables. Elle enlève son pantalon, je distingue l'ombre de ses formes, c'est une femme très belle de surcroit.

- Écartez les jambes, m’ordonne-t'elle.

Je m'exécute et elle vient se placer entre mes jambes, dos à moi, la lumière vient maintenant de derrière elle alors je vois son cul, tout rond, de belles hanches, maintenant je bande pour quelque chose. Je garde à l'esprit que je ne dois pas toucher. Elle baisse à présent sa culotte et vient s'assoir doucement sur mon sexe. Elle le prend d'abord, place mon gland entre à l'entrée de son orifice. Elle est nerveuse et il faut s'y reprendre un peu. Elle ne pourra ps s'assoir tout de suite car elle ne mouille pas assez. Elle se contente de se frotter, de faire entré un tout petit bout de queue puis de le ressortir car elle semble ultra sensible. Mes mains restent sur les accoudoirs. Jusqu'au moment ou je sens que ça tourne en rond. Je lève la main en direction de Diego en signe de paix sans le voir, manquerait plus qu'il me balance une décharge d'Anaphron... Ma main je la pose alors sur mon sexe sans la toucher, je le sens s'agiter au fond de la pièce. Je remue un peu ma queue contre sa chatte, elle semble apprécier et je sens sa mouille perlée de son con.. et voilà que je m'enfonce, machinalement ma main vient se poser sur sa hanche, elle l'enlève immédiatement et mes mains reprennent leurs place sur leurs accoudoirs et Solène maintenant se laisse glisser toute seule le long de ma bite. Elle est jambes jointes, ses mains sur ses cuisses et elle fait ses propres va et vient. Je me laisse aller la tête en arrière.

L'éjaculation doit être maîtriser. C'est la cliente qui commande. Si elle le veut, je jouis sinon... ben sinon rien. Donc je dois me retenir. dans ce cas, il n'est pas très dur de se retenir ,je la sens bien glisser mais ne la regardant pas, je ne vois pas ses formes et comme elle a exclu toute forme d'interaction, je ne suis aucunement surexcité. je pense à Diego qui nous regarde, combien il en a vu des comme moi. Jusqu'à ce qu'elle fatigue un peu.

Elle s'assoit soudain complètement sur moi s'enfonçant par la même ma bite au plus profond, comme ça semble lui plaire elle se dandine... J'entends son souffle s'accélérer mais aucun son ne vient perturber le silence glacial de la pièce si ce n'est ce bruit de frottement sourd. Elle remue de plus en plus vite et de plus en plus fort.... ça commence à être sacrément bon... elle pose ses mains sur mes cuisses maintenant pour maîtriser ses mouvements. Elle joue du bassin d'avant en arrière... je regarde, je vois son cul se trémousser frénétiquement... "ah"... un son tout étouffé vient se répéter... de plus en plus aigüe... elle jouit ? je ne sais pas, mes mains agrippent les accoudoirs... Elle remue de façon trop anarchique... je vais lâcher la purée... Je pose mes mains sur ses hanches... 

Elle a laisser faire, elle continue à gémir, je ne sens plus la présence de Diego mais nul doute qu'il nous surveille de près. Je peux maintenant la soulever pour reprendre un coït plus classique... Je maitrise à nouveau... mais soudain, les cris de Solène se font plus ouverts, elle bascule sa tête en arrière et envoie un "ooooooohhhhhhhh" en secouant son cul et je ne peux retenir son corps de venir choir contre mon torse et mes mains de lui agripper ses seins sublimes au travers son haut qu'elle a gardé, elle pose d'ailleurs ses mains sur les miennes, nous nous étreignons maintenant et.... ouch...

Un décharge dans l'épaule... Mon corps est sonné, je vois trouble et je perd connaissance.

Je me réveille, Solène est assise sur sa chaise, rhabillée, à côté de moi toujours sur ce fauteuil. Apparemment elle ou Diego a pris soin de me rhabiller moi aussi.

- Vous avez reçu une décharge d'Anaphron, Diego a suivit les instruction, il ne faut pas lui en vouloir... C'est moi qui suis désolé Victor...

Elle est paniquée, gênée par la situation visiblement. Mais moi là je suis juste sonné. Elle glisse un papier dans la poche avant de ma veste.

- Venez me voir demain à cette adresse, vous aurez une compensation.

Un taxi me ramène au Joujou. C'est fermé. Il est tard. Maddy crèche au fond du bar, un ou deux coup de pied dans la grille suffira sûrement pour la réveiller.

J'ai la nausée... Je connais le produit, il est pas sensé filer la gerbe, ils ont dû y foutre autre chose pour neutraliser les mecs trop dur ou trop entreprenant...

Maddy m'ouvre avec les yeux hors des orbites.

- Putain Vick qu'est-ce que t'as foutu ? il est 5 h du mat'

- Désolé de te réveiller en plein sommeil paradoxal.

Je cours aux chiottes, je sors mon bazar, je commence à me branler... rien. Maddy cogne à la porte :

- Oh qu'est-ce que c'est ce cirque tu m'expliques ?!

Je sors débrailler.

- Tu te branles dans mes chiottes maintenant toi ? T'es pas un peu zinzin ?

Je l'emmène dans sa piaule, lui enlève son peignoir qu'elle maintenait fermé d'un main, la regarde... rien...

- Oh tu m'explique dit ?

Je m'assois sur son lit une place. Je prend mon visage dans les mains et étouffes mes paroles :

- Je me suis pris une charge d'Anaphron par cette salope...

- ben tu m'a pourtant l'air en forme...

J'ai effectivement une petite érection qui me fait dépasser de mon futal. Je ne réfléchis pas, je quitte mes frusques, je plaque Maddy sur son lit et pendant que je bande mon sexe avant de la pénétrer, Maddy m'envoit :

- La prochaine fois que tu veut me sauter, me raconte pas des craques putain... tu m'as fait peur.

Elle prend la relève, me masturbe, et s'enfile toute seule ma bite puis je la baise en missionnaire. Des mouvements réguliers puissants, elle gémit mais l'étreinte est trop courte... rapidement j'ai une panne. Je m'allonge près d'elle... j'évite de penser...

- t'es crevé "dur", ça ira mieux demain... me dit-elle essoufflée.

Elle me caresse le sexe, mon érection revient. Elle me lèche le lobe de l'oreille et me branle en même temps, dés que l'occasion se présente, je lui gicle entre les doigts, sans me retenir, je sans sa chatte humide se frotter contre ma jambe, le sperme jonché mon corps... Je m'assoupis... Demain est un autre jour...

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Chapitre 3

Trois heures de sommeil dans les dents, je me réveille nu, maddy collée à moi qui pionce profondément. Nos corps sont gras. Nous nous sommes endormis juste après les jovialités. Je m'arrange pour la déranger le moins possible en me levant.

Bilan de la soirée : Amélie m'a taillé une pipe merveilleuse, j'ai doigté une rouc-moute, je me suis fait baisé par cette Solène que je n'avais pas le droit de touché, j'ai pris une charge d'Anaphron, j'ai sauté Maddy et j'ai de l'Anaphron dans le sang. Joyeux Anniversaire Vick. Je repense à Amélie, ses petits seins, sa tenue de ballerine coquine, la bagnole où on voit passer les gens mais eux non. Rien n'y fait. Je pense à Maddy et son expérience, ses seins, sa saleté... queue dalle. Je devrais pas paniquer comme ça. L'anaphron c'est un traitement sur plusieurs semaines, c'est pas une petite secousse qui va changer les choses... N'empêche, pour l'instant je n'ai rien de dur...

Douche, je m'habille, je me casse en laissant un mot à Maddy : "désolé pour hier soir, j'ai paniqué, je me rachèterai, promis"

Je me tire. Sur le trajet, je me fais porter pâle. Aucun problème. Il n'est pas dur de faire son chiffre à l'année quand on est représentant d'un tel produit. De savoir qu'il commercialise des armes à base de cette merde me conforte dans l'idée que mon job est plutôt sûr.

Je passe chez moi, je prends quelques affaires, je me change. Dans la poche de ma veste, un papier avec une adresse écrite dessus et un nom : mlle Brancion...

Le labo Brancion est le labo qui commercialise l'Anaphron, mon patron pour ainsi dire, l'adresse correspond au siège social. "Mlle" ce serait donc la fille du directeur... Elle m'attend donc à cette adresse. D'abord faut que je vois Georges, le gars qui a refilé mon contact à la fille de mon boss.

Il habite rue d'Avron dans le 20e, dans un appartement glauque. J'arrive devant sa porte, je sonne, je cogne à la porte, il finit par ouvrir en peignoir. J'attend pas qu'il m'invite pour entrer. Je file à la chambre où je savais bien qu'il traînait avec une de ses putes que lui a présenté Maddy. Elle est belle comme un camion, se cache sous les drps, j'arrache le drap. Elle est nue, appeurée, son corps est frêle, svelte... elle est excitante... Mais pas assez. Rien ne se passe. Georges est derrière moi anxieux. 

- Vick, il se passe quoi là ?

- Il arrive à bander ? je demande en m'adressant à la demoiselle. Elle secoue la tête (non). Et me tournant vers Georges, ça te sert à quoi alors ?

Il est gêné, il cherche à m'expliquer mais en vrai j'm'en tape. Nous passons au salon laissant Cendrillon se revêtir. Georges me dit : "ça s'est mal passé ?"

Je lui assène un crochet dans la glotte, il s'écroule, sans verbe, sans souffle.

- Écoutes connard, tu refile plus mon numéro à personne, capice ?

Il secoue la tête (oui). Je me tire le laissant jonché son parquet moisi.

Le siège Brancion est porte de Vanves. Ils y ont construit un quartier d'affaire à la démesure des villes américaines à qui nous avons toujours voulus ressembler. Je ne bosse pas là-bas. Je suis la plupart du temps en déplacement. Je pourrait néanmoins y croiser le DRH à qui je viens de signaler mon absence, donc je fais gaffe.

J'arrive à l'accueil. Bonjour, j'ai rendez-vous avec Mlle Brancion. Un coup de file, Diego descend me chercher. Nous montons par l'ascenseur au bureau de la directrice adjointe de la société. Mlle Solène Brancion.

Grand bureau, grande baie vitrée donnant sur le sud de Paris, 43e étage, le chemin jusqu'au bureau ne permet pas de croiser d'autres employés, ce qui m'arrange. C'est létage des réunions, des réceptions, et seulement ce bureau est habité pendant la journée. Solène est assise à son bureau, dos à la fenêtre, dans un grand fauteuil pivotant en cuire noir. Elle est elle même vêtue de noir, une gilet sans manche dévoilant son incroyable décolleté et ses épaules nues. Ses yeux clairs et sa coupe de cheveux raide et sévère lui confère une sensualité extraordinaire.

Je m'assoie en face d'elle et bien sûr, Diego reste au fond de la pièce. Elle commence.

- Merci d'être venu Victor. Je suis vraiment désolé pour tout ça...

- Vous fatiguez pas... Je veux mon pognon. L'interrompt-je.

Elle sort son chéquier perso et me signe un chèque... un très gros chèque.

- C'est un bon début.

- Vous partirez avec votre petite amie en voyage comme ça. Solène me sourit, elle est vraiment très belle. son petit nez pointu et ses lèvres roses et larges.

Mais je maintiens mon air blasé, c'est mieux pour les affaires. Je suis déjà en train de réfléchir à où est-ce que je vais emmener Amélie en vacances...Elle continue sur ses remarques :

- Vous avez une petite amie Victor ? Son sourire a disparu. 

- Ça ne vous regarde pas.

- Bon... et sinon...

- Sinon, vous voulez me revoir c'est ça.

- C'est cela, soupire-t'elle très timidement.

- J'ai rien contre mais ce sera sans votre gorille.

Elle s'enfonce dans son siège, croise les jambes et pivote un peu de chaque côté, signe qu'elle pèse le pour et le contre... Je renchéris...

- D'abord, je veux être payé à l'avance, ensuite ça vous a plu hier. Vous aimez vous faire toucher comme tout le monde, pourquoi s'en privé, je fais ça très bien. Et puis votre petite mise en scène prouve que vous n'avez aucune expérience en la matière, vous avez dû avoir un petit ami un jour mais vous ne fréquentez pas régulièrement les types comme moi. Alors il faudra me faire confiance parce que là la merde que j'ai dans les veines, ça ne me va pas du tout.

Elle arrête de se laisser pivoter, elle me regarde sans rien dire depuis quelques secondes.

- Victor, l'anaphron...

- Oui je sais, l'anaphron fait vraiment effet sur une longue durée d'injection régulière, je connais merci.

- Vous allez seulement ressentir une petite baisse de régime pendant quelques jours, profitez-en pour les prendre ces vacances...

- Vous m'envoyez en vacances avec ma copine alors que je ne peux même pas lever le bras, vous trouvez-ça juste vous ?

- Je croyais que ce n'était pas mes affaires ?

J'ai encore trop ouvert ma gueule. Cette fois je me tais. un long silence plus tard.

- Diego, sortez s'il vous plaît... faites ce que je vous dis !

Diego ronchonne puis quitte la pièce.

- Je vais vous donner quelque chose que vous devrez garder pour vous.

Solène sort un petit flacon de pilules bleues.

- Vous me prenez pour un con, le viagra n'a jamais fonctionné contre l'anaphron.

- Ce n'est pas du viagra...

Je la regarde interrogé. Elle poursuit :

- Nous avons trouvé un antidote à l'anaphron... Vous devez le garder pour vous absolument, je ne peux rien vous dire de plus. Alors ce soir vous allez voir votre amie et vous l'essayer...

- Je vous sers de cobaye quoi...

- Pas du tout. C'est vraiment un cadeau que je vous fait, c'est inoffensif et très efficace... et puis...

- Et puis quoi...

- Ben on dîne ensemble demain soir ? Vous me direz si ça marche ou pas...

Je regarde le flacon. Je regarde Solène. Elle aussi me regarde. Je regarde le chèque. Je constate que sur le bureau il y a un broc d'eau, je m'en sers un verre. Je plonge une pilule bleue dans ma gorge et avale mon verre d'eau. Solène m'observe intriguée de son air toujours un peu sévère. Je me lève, contourne le bureau et je me retrouve assis contre le bureau face à elle. Elle s'enfonce dans le siège en me fixant de son regard bleu glacé. Je lui attrape une main, la pose sur ma braguette, d'elle-même, elle commence à masser le serpent qui dors pour l'instant.

- Ça fait effet rapidement ? je lui demande.

- Normalement c'est instantané mais un stimulus supplémentaire est souvent le bienvenu.

Je pose ma main sur un de ses seins gonflé par son gilet, je le lui caresse puis l'autre. Elle appuie fort contre mon sexe qui commence à gonfler.

- Je vous avais dis que vous aimeriez le toucher. Lui dis-je.

- Là je touche un bout de tissus....

Je défait mon ceinturon et ma braguette et enfin ma queue se dresse. Elle pose sa main sur elle, me branle. Je me lève, je m'approche de son visage. Elle dépose une léchouille sur mon gland, elle ouvre sa large bouche et ses lèvres font le tour de ma bite, qui s'enfonce généreusement dans sa gorge. J'ai une jambe d'un côté du fauteuil, le genoux sur l’accoudoir opposé. Je lui attrape la tête et je lui baise la bouche. Pendant se temps, elle essaie d'ouvrir son pantalon noir mais elle n'y arrive pas. Je sors ma bite qui est trempée de salive, de sa bouche. Elle se concentre maintenant sur son pantalon, quand elle l'a déboutonné, elle plonge sa main dans sa culotte. Je sais pas si elle se doigte ou si elle choisit plutôt de masser le clitoris. Moi j'essuie ma verge sur son visage qui est luisant maintenant, ça dégouline sur son décolleté. Je le lui caresse alors, étalant le liquide gluant sur sa gorge. Puis je me branle, je m'assoie sur le bureau face à elle :

- Ma petite amie s'appelle Amélie, je ne sais pas si on peut parler de petite amie mais bref... hier soir, elle m'a sucé dans ma voiture, les vitres teintées empêchant les passant de nous voir mais nous... nous les voyions. C'est l'inverse de l'exhibe en fait. Voir le monde extérieur alors que l'on baise et le monde extérieur lui ne nous voit pas... Je trouve ça excitant.

Solène se masturbe vivement en me regardant tantôt dans les yeux, tantôt le regard vissé sur mon sexe que j'astique devant elle. Je poursuit.

- Je me dis que les baies vitrées comme celles-ci ça doit être le niveau supérieur...

Elle se met à sourire, presque à rire et c'est une première. Elle me dit :

- Vous voulez me prendre contre la baie vitrée ?

- Si ça ne vous dérange pas ?

- Au contraire mais celle-ci est gratuite.

Je sourit à mon tour :

- Bien entendu...

Elle se lève, s'approche de la baie vitrée, marche lentement et ondulent ses hanches, je pourrait éjaculer rien qu'en la regardant. Elle baisse son pantalon en prenant soin de me tendre ses fesses. Je la rejoint.

Je la colle d'abord contre la fenêtre, elle prend un coup de froid, en lui attrapant le creux de la nuque et de l'épaule, ses seins écrasent la vitre. Je lui baisse sa culotte noire elle aussi jusqu'à mi-cuisse. Je me colle à son dos, à son cul, je glisse ma verge entre ses fesses pour atteindre sa chatte. La mouille déferle de son entre jambe et mon sexe s'enfonce alors...

Comme je la baise de façon brutale, elle crie tout de suite. Elle aime les "ah". J'imagine que sa grande bouche est plus disposée à cette voyelle. Moi je la ceinture et lui attrape les seins, je profite de sa volupté. Ça claque entre son cul et mes reins. Je sens mes jambes faiblir mais je tiens le coup. Je me penche sur elle, lui embrasse le cou, elle tourne la tête, je saisie ses lèvres, sa langue saisit la mienne. Ma queue sort de sa chatte, elle se retourne vers moi, m'attrape les joues de ses mains, je lui attrape les hanches, je la colle contre moi et nous nous embrassons... juste un baiser torride... et lorsque nos lèvres se décollent nous nous regardons d'un air gêné, perdu dans le bleu de ses yeux... elle est la première à se reprendre :

- Tu as terminé ?

Je fait signe de la tête que non. Je lui prend l'épaule et lui fait comprendre qu'elle doit se mettre à genoux. Je branle contre son décolleté et une violente décharge de sperme vient heurté ses son cou, la vitre derrière elle puis les goûtes suivante lui jonche ses incroyables seins. Elle déboutonne son gilet serré, et me colle la queue entre les seins pour me finir.

Elle ne sourit pas, elle fronce les sourcils, signe d'excitation extrême sans doute. Moi je tremble. Je regarde ce tableau, mon gland qui dépasse d'entre sa poitrine nappé de perles blanches, et son regard bleu ciel que souligne sa chevelure noire, assise culotte étirée par ses cuisse...

 

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