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Hsensuel76

Droit de propriété

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Voici un texte élaboré spontanément par ma soumise, dans le but d'exprimer son désir de soumission et d'appartenance. Je le soumets à votre appréciation.

 

Il est 16h30, mardi 19 avril 2016, nous sortons du tribunal d'instance de R. Nous venons de signer les papiers qui stipulent ceci :
"A compter de ce jour, Mlle S M, née le x juin 1989 à C, est la propriété de corps et d'esprit de Mr M V, né le x mars 1962 à M jusqu'au décès du propriétaire ou de l'objet mentionné ci dessous.
Au titre de ce contrat, l'objet se voit déchu de ses droits constitutionnels, de vote, de liberté et obtient les mêmes droits qu'un individu sous tutelle. Le propriétaire doit faire tatouer sa propriété, avec son emblème ou ses initiales, afin d’asseoir sa possession. L'objet doit penser et sentir son appartenance absolue à son propriétaire et comme prévu accepter toutes ses requêtes tant que celles-ci ne présentent aucun danger émotionnel, moral ou social pour l'objet.
Tous sévices corporels considérés comme nécessaires par le propriétaire sont laissés à son appréciation. Aucune charge ne sera retenue à son encontre en cas de traces, marques, cicatrices légères.
L'objet doit en plus de sa dévotion, assistance, amour et attention au propriétaire au quotidien en prenant soin de lui de toutes les manières possibles. Il gérera l'intendance, le bien-être du propriétaire sauf ci ce dernier le décide autrement."
 
Après avoir signé ce contrat, tu me remettras les bracelets d'usage, en acier poli, un à chaque poignet, qui peuvent se réunir par champ magnétique avec le bouton de ton propre bracelet, appelé bracelet de contrôle. Ainsi au moindre de tes désirs, mes deux poignets pourraient être reliés l'un à l'autre, entravant mes mouvements.
Tu prendras ma mains avec douceur sur le perron du tribunal et m’embrasseras. Tu me tireras doucement jusqu'au parking réservé au signataire de ce genre de contrat, dans la ruelle adjacente au tribunal. Là tu te mettras dans mon dos, m’enlaceras en plaçant tes bras autour des miens et tu me placeras devant ta voiture. Tu déboutonneras mon pantalon au milieu du parking, appuieras au milieu de mes omoplates pour me faire pencher jusqu’à ce que ma poitrine soit plaquée contre le capot de la voiture. Et là, comme la coutume l'exige, tu me prendras en levrette avec violence sur la voiture pour marquer ta propriété nouvelle.
Tu t’enfonceras complètement en moi, d'un coup sec, jusqu’à ce que tu sentes tout les muscles humides de mon vagin se contracter autour de toi. Puis tu ressortiras avec une extrême lenteur jusqu’à ce qu'il n'y ait plus que le gland au chaud entre mes cuisses. Tu réintroduiras ta queue avec encore plus de violence, me faisant pousser un cri de douleur, de surprise et de plaisir, avant de ressortir de la même manière. Tu garderas ton équilibre à cette chevauché lente et violente en plaquant ta main sur ma hanche gauche. Tu enrouleras mes cheveux autour de ta main droite comme tu le ferais avec une corde pour me faire me cambrer plus.
Après deux minutes de ce traitement, intense, violent et doux, tu me sentiras de plus en plus mouillée, excitée, au bord du gouffre. Toi tu sentiras également le désir monter en toi, comme une vague de chaleur, pour se canaliser dans ton bas ventre, ta queue et tes couilles, me sentant à toi, t'appartenant complètement. Tu sauteras la garce qui t’appartient. A ce moment là tu lâcheras mes cheveux, saisiras mes mains pour les placer dernière mon dos et tu activeras les bracelets qui se colleront, joignant mes deux poignets dans mon dos et plaquant mon visage, en plus de mon buste sur le capot. Là tu saisis mes deux hanches et tu me sauteras comme une chienne, ta garce. Le coup de grace sera quand tu te rendras compte que j'aime ça, que j'en veux plus, que me sentir ton objet sexuel, capable d'assouvir tous tes désirs me transcende. Cela te rendra fou de désir et tu me prendras comme la chienne que je suis pour toi.
Les mouvements seront toujours plus brutaux, sauvages, certains passants commenceront à s’arrêter pour t'observer me briser, chaude comme la braise, incandescente sous tes coups de butoir. Tu jubileras de savoir que même si les homme t’envient, désormais toi seul pourra me toucher, me prendre, me baiser de la manière qu'il te plaît, où il te plaît et quand il te plaît, car je t'appartiens.
Les suspensions de la voiture dodelineront à chaque coup de rein. Moi qui suis si discrète pendants nos ébats, je gémirai comme jamais ne sachant plus où commence mon plaisir et où se termine le tien. Et quand ta queue se plantera une dernière fois en moi, tu me marqueras de ton sperme dans un cri de jouissance commun et je t'appartiendrai à cet instant et pour toujours.

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