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Hsensuel76

Ma nouvelle vendeuse

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Depuis quelques années je tiens seul une petite boutique de cadeaux autour des arts de la table. L'activité marche tranquillement dans un quartier plutôt bourgeois. Pour retrouver un peu de liberté et me faire aider, j'ai décidé d'embaucher une vendeuse que je souhaite jeune afin de séduire une nouvelle clientèle et de pouvoir la former comme je le souhaite. Malgré plusieurs annonces et quelques candidatures reçues, aucune ne convient à mes souhaits.

Un matin, je reçois un appel téléphonique. Une voix qui ne m'est pas inconnue, mais que je ne parviens pas à identifier.
 
- Bonjour, je vous appelle au sujet de votre annonce pour un poste de vendeuse. Je suis une de vos clientes et cela me plairait vraiment de vous proposer mes services pour ce poste, s'il est toujours disponible bien sûr.
 
A ces mots, j'identifie la personne qui m'appelle. Je me souviens en effet d'une cliente qui vient parfois chercher des idées de cadeau. Il s'agit d'une femme mûre, mince et plutôt grande au look assez bourgeois, avec laquelle j'ai toujours eu des rapports courtois.
 
Dans la mesure où elle n'entre pas vraiment dans mes critères de recherche, je tente de la dissuader sans la froisser en lui faisant valoir que je ne suis pas en mesure de verser un salaire élevé et que je recherche donc une jeune femme même sans expérience, que je pourrais former à mes méthodes.
 
Loin de se décourager, elle insiste :
 
- Vous savez, je ne peux pas changer mon age. Pour le reste je saurai faire preuve d'une grande souplesse. Je ne réponds pas à tout un tas d'annonces. C'est travailler avec vous qui me motive, j'aime ce que vous faites et l'ambiance de votre boutique. Le salaire n'a pas une grande importance pour moi et je saurai m'adapter à toutes vos demandes quelles qu'elles soient...
 
Ces derniers mots ont été prononcés d'une manière curieuse. Mon imagination galopante y a vu tout de suite un sous-entendu que ma raison m'a poussé à refuser, dans la mesure où cette cliente était pour moi plutôt coincée voire hautaine.
Pour m'en débarrasser, je décide de la bousculer quelque peu :
 
- Cela est très intéressant mais bien vague et difficile à interpréter. J'ai déja reçu plusieurs candidates dont certaines sont également très motivées. Pourquoi devrais je vous embaucher vous ? Jusqu'à quel point iriez vous pour obtenir ce poste ?
 
Après quelques secondes d'hésitation, elle répond :
 
- Voici ce que je vous propose : je viens travailler bénévolement pour vous pendant 1 semaine ou 2. Au cours de cette semaine vous pourrez tester ma motivation en me demandant tout ce qui vous passera par la tête. Je m'engage à accéder à vos demandes et à ne rien, je dis bien rien vous refuser. En outre, si cet essai est concluant, je suis prête à signer avec vous un double contrat.
 
Surpris par cette dernière proposition, je lui demande de m'expliquer ce qu'elle entend par cela.
 
- J'ai travaillé pendant quelques années pour un employeur qui a malheureusement cessé son activité. Cet employeur m'a fait signer un double contrat : le premier était classique et portait sur les obligations légales. Le second restait entre lui et moi et précisait ce qu'il attendait de moi en termes de tenues vestimentaires, de disponibilité, etc. Si vous le souhaitez je peux vous apporter une copie de ce contrat et nous pourrons en parler de vive voix.
 
Intrigué, je m'entends lui proposer de venir me voir le lendemain à l'heure de la fermeture. Je pensais en avoir fini avec elle quand elle ajoute :
 
- Comment souhaitez vous que je sois habillée demain pour notre rendez-vous ?
 
Amusé par la question et souhaitant la décourager encore une fois je lui réponds :
 
- Je souhaite que ma vendeuse puisse être habillée de manière à la fois classique, sexy voire légèrement provocante.
 
Sans hésitation, elle m'indique alors qu'elle pense pouvoir accéder à ma demande et raccroche.
 
Je reste pensif et un peu déstabilisé par cet appel pendant que je continue à servir mes clientes...
 
A suivre.

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Ca sent le magnifique entretien d'embauche. Vivement la suite

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Une introduction des plus prometteuses

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Le lendemain, la matinée se déroule sans problème particulier. J'ai pu réfléchir à cet appel téléphonique de la veille et plus l'heure tourne, plus je suis convaincu que ma cliente renoncera et ne viendra pas au rendez-vous.

Pourtant, peu avant ma fermeture de mi-journée, alors que je suis en train de servir une cliente un tantinet difficile, j'entends la porte du magasin s'ouvrir et ma "candidate" entre. Voyant que je suis occupé, elle se promène lentement dans le magasin, s'intéressant, ou faisant semblant de s'intéresser aux objets en vente. Continuant de servir ma cliente, je l'observe du coin de l'oeil et note que sa tenue est très classique : tailleur-jupe assez strict, bleu marine, jupe droite arrivant à mi cuisses, jambes gainées d'un collant noir, chemisier blanc, chaussures à haut talon... Sobre, mais assez décevant par rapport à ma demande de la veille.

Ma cliente se décide enfin, et repart avec son cadeau. Je la raccompagne puis ferme la porte à clé derrière elle afin de ne plus être dérangé. Je tire le store qui cache partiellement la vue du magasin depuis l'extérieur et me tourne vers ma visiteuse.

Elle vient vers moi en me tendant la main :

- Bonjour, je suis Véronique, nous nous sommes parlés hier à propos de votre poste de vendeuse.

- Bonjour, je m'en souviens parfaitement, et je vous attendais. J'avoue que vous avez su éveiller ma curiosité, même si je reste convaincu qu'un tel poste ne saurait vous convenir.

- Laissez moi en juger, et surtout laissez moi vous convaincre du contraire, me répond-t-elle avec un léger sourire.

Afin de la déstabiliser un peu et de lui faire perdre un peu de son assurance, je décide de l'attaquer sur un terrain facile.

- Hum, si je me souviens bien, nous avions parlé pour cet entretien d'une tenue classe, sexy voire provocante, non ? Si le premier critère est atteint, j'avoue que pour les deux autres ...

- Oh, vous ne trouvez pas ma tenue assez sexy ni provocante ? Peut être, me permettrez vous dans ce cas de retirer ma veste de tailleur, il fait assez chaud dans votre magasin. Y a t il un endroit où je puisse la déposer ?

Je lui propose de me suivre dans mon bureau situé dans l'arrière boutique. En m'accompagnant, elle déboutonne sa veste de tailleur et la retire avant de l'accrocher au porte-manteau. Elle me fait ensuite face, et je découvre alors que son chemisier est suffisamment transparent pour laisser deviner un soutien-gorge en dentelle noire, qui ressort particulièrement sous le blanc du chemisier. Je note également que ce chemisier est déboutonné plus que la décence ne l'autoriserait et qu'au moindre mouvement, il laisse apercevoir ce soutien-gorge. 

Je l'observe quelques instants en silence, sans précaution et sans cacher mon intérêt.

- Cela vous parait il plus conforme à vos attentes ? demande t elle avec un demi-sourire 

- Je dois reconnaitre que vous avez plutôt bien rempli votre mission.

- Plutôt bien ? C'est tout ? me reprend-t-elle avec une petite moue boudeuse... Ah, peut être puis je vous préciser que bien sur je ne porte pas de collant, mais des bas. C'est un détail qui a parfois son importance.

Et pour me le prouver elle se tourne, et cambrant légèrement un fessier plutôt agréable, elle remonte doucement sa jupe jusqu'à la lisière de ses bas. Puis replace sa jupe, et se retourne de nouveau, guettant ma réaction.

Un peu interloqué, je lui demande si elle ne porte ces bas que pour l'entretien.

- Cela dépendra de ce que vous souhaitez mais, vous pouvez si vous le désirez m'indiquer par contrat ce que vous souhaitez que je porte ou ne porte pas lorsque je viens travailler.

Ah oui, ce fameux double contrat. Je l'avais presque oublié celui là.

- Justement, parlez moi de ce contrat auquel vous avez fait allusion hier...

Elle se dirige vers sa veste et en retire d'une poche quelques feuilles qu'elle me tend.

- Tenez, voici la copie de mon précédent contrat. Le plus simple est que vous le lisiez, et que nous en discutions ensuite pour le cas où vous souhaiteriez quelque chose de comparable. Il est évident qu'il ne s'agit que d'un exemple et que vous pourriez y rajouter les clauses qui vous sembleraient nécessaire.

Je la fais asseoir devant mon bureau pendant que je m'installe dans mon fauteuil. Elle croise ses jambes assez haut, de manière à ce que je puisse apercevoir la dentelle qui borde le haut de ses bas. Elle croise ses mains sur ses genoux et m'observe tranquillement pendant que je parcours les clauses de ce contrat.

Très vite, après quelques clauses sans intérêt, je tombe sur des clauses inhabituelles :

"Tenue vestimentaire : durant ses heures de travail, l'employée s'interdira de porter autre chose qu'une jupe ou robe. Le port de pantalon ou de jean est strictement interdit. Les jupes et robes ne devront pas être plus longues que la mi-cuisse. Le port de collant est prohibé en toute saison. Seuls seront autorisés des bas auto-fixant ou retenus par guêpière ou porte-jarretelles. Les bas seront impérativement de couleur noire. Un chemisier ou un top seront acceptés à condition qu'ils soient de couleur claire et que seuls les 3 boutons inférieurs du chemisier soient boutonnés. La lingerie devra être en dentelle blanche ou noire à l'exclusion de toute autre couleur. Lors de la prise de fonction chaque matin, l'employée se présentera dans le bureau de l'employeur qui vérifiera que la tenue de l'employée est conforme à cet article. En cas de manquement des sanctions seront envisagées selon la clause ci-après"

Je lève un oeil surpris vers Véronique qui semble très intéressée par l'état de ses ongles et qui les scrute sans s'intéresser à ma réaction.

- Si j'en crois cette clause, votre tenue d'aujourd'hui pourrait être considérée comme une tenue de travail ?

- Tout à fait, me repond-t-elle, mais encore une fois vous pouvez la modifier si vous souhaitez y inclure de nouvelles conditions. Je pourrais par exemple me voir interdire le port d'une culotte pendant les heures de travail. Ceci ne figure pas dans ce contrat mais mon employeur me le demandait assez régulièrement.

- Et il vérifiait que vous lui obéissiez ?

- Oui bien sûr. En fait il me demandait de la retirer devant lui et de la glisser dans le tiroir de son bureau où je ne pouvais la reprendre qu'au moment de repartir.

Elle m'énonce tout cela comme si je lui demandais de glisser 2 sucres dans mon café. Pour le coup, c'est moi qui me retrouvait déstabilisé. Pour me donner une contenance, je reprends ma lecture. 

"Disponibilité : l'employée s'engage à se rendre immédiatement disponible au moindre appel de l'employeur, que ce soit durant ses heures de travail habituelles ou non. Elle communiquera à cet effet un numéro de portable à son employeur afin que celui-ci puisse la contacter à tout moment. L'employée fera son affaire des difficultés personnelles que ses demandes de son employeur seraient susceptibles de provoquer auprès de son entourage."

- Votre employeur faisait souvent usage de cette clause ?

Elle réfléchit un instant :

- Peut être pas autant qu'il aurait pu le faire. Cela n'a jamais constitué un problème, je peux me libérer assez facilement sans que cela ne gêne mon époux, même au milieu de la nuit.

"Attributions de l'employée : en plus des taches définies dans le contrat de travail principal, l'employée sera chargée de satisfaire de toute manière possible les demandes de son employeur que ce soit dans le cadre professionnel ou personnel. Le cas échéant, elle saura anticiper ses besoins en lui proposant tous services susceptibles de participer au bien être et à la satisfaction des besoins et des désirs de l'employeur."

- Vous pouvez me donner des exemples des tâches auquel cette clause se réfère ?

- Non.

Sa réponse claque assez soudainement. Surpris, je relève la tête pur mieux l'observer :

- Non ?

- Non, monsieur. Il est évident que je ne peux entrer dans les détails concernant cette clause ou celle qui suit. Vous comprendrez aisément que je ne peux rien dévoiler qui puisse nuire à la confidentialité de mes missions. Vous apprécierez, je suppose de savoir que quoi que vous me demandiez, nulle autre personne que vous et moi n'en soyons informés.

Je reste sur cette réponse et poursuit ma lecture :

"Prêt de l'employée : à la demande expresse de son employeur et sous cette seule condition, l'employée pourra être prêtée ponctuellement à un client ou un fournisseur de l'employeur afin de faciliter les relations commerciales de ce dernier. Sur instruction de son employeur, l'employée se rendra donc à tout endroit proposé par le fournisseur ou  le client et obéira à ses demandes comme si elles émanaient de son employeur. A la fin de sa mission, elle procèdera à un compte-rendu détaillé auprès de son employeur. Celui ci s'assurera auprès du fournisseur ou du client de leur satisfaction au regard de la prestation de l'employée. En cas de retour négatif de leur part, l'employée se verra sanctionnée conformément à l'article ci-après"

A la lecture de cette clause, je ne peux m'empêcher de relever les yeux vers Véronique. Celle-ci est alors entrain de me fixer,sans ciller, elle me demande :

- Un problème ?

- Non, pas vraiment, tout au plus cela est il assez... déroutant, dis-je avant de reprendre ma lecture

"Clause de non-refus : en signant ce contrat, l'employée s'interdit durant toute la durée de validité dudit contrat d'opposer le moindre refus à une quelconque demande de l'employeur, quelle que soit la nature de cette demande, son domaine ou le ton sur lequel cette demande sera exprimée."

- Peut être pourriez vous m'en dire un peu plus sur la fin de cette phrase : "le ton employé"

- Oh, c'est tout simple, la plupart du temps, mon patron s'exprimait de manière courtoise, mais il pouvait lui arriver lors de périodes de stress ou autres, d'être moins... civil.

- Civil ? J'avoue ne pas être sûr de comprendre

Après un léger soupir, Véronique complète :

- Il pouvait lui arriver d'utiliser des mots assez crus à mon égard ...

- Comme ?

Il n'était pas question que je la laisse s'enfuir...

- Comme salope, ou putain, bref, ces mots que certains hommes utilisent lorsqu'ils sont en colère ou excités

- Et ces mots vous semblent humiliants ? Vous avez eu du mal à me les indiquer.

- Pas du tout, me répond-t-elle avec son léger sourire. Je les trouve même assez ... motivants. Mais je ne vous connais pas assez, et je craignais de vous choquer...

Encore un point pour elle, elle commence à m'agacer, mais je me demande si ce n'est pas ce qu'elle cherche en fait.

"Sanctions : dans tous les cas de désobéissance à une demande de l'employeur, d'échec dans la réalisation d'une tache confiée ou pour tout autre motif laissé à l'appréciation de l'employeur, celui-ci pourra décider de punir l'employée. Les punitions pourront être corporelles (gifles, fessées, coups de cravaches...), vestimentaires (nudité partielle ou totale,...) ou se traduire par des actes imposés à l'employée (exhibition, isolement,...) sans que cette liste ne soit exhaustive."

- La non plus je suppose que vous ne pouvez pas donner d'exemples ?

- Sans entrer dans les détails, je peux quand même dire que j'ai pu passer quelques heures nue et attachée dans le sous-sol des bureaux de mon employeur, il m'a également exhibé lors de réunions privées, et il était assez imaginatif en matière de douleurs corporelles...

La lecture du contrat étant terminée, je regarde plus attentivement mon interlocutrice.

- Vous êtes donc prêtes à signer ce genre de contrat pour que je vous embauche ?

- Ce serait avec grand plaisir en effet.

- J'avoue avoir quelques difficultés à vous croire...

- Pour quelle raison ?

- Il y a un tel écart entre votre... apparence habituelle et ce... contrat que j'ai un peu de mal à imaginer que vous puissiez vous plier à ce genre d'obligations.

- Je vois... elle réfléchit quelques instants. Puis se lève.

- Je crois qu'il me faut vous prouver à quel point vous ne regretterez pas de m'embaucher.

Intéressé et plutot excité je dois le reconnaitre, je lui demande :

- Et comment comptez vous me le prouver ?

- Calez vous confortablement dans votre fauteuil et laissez moi faire, et ne m'interrompez pas tant que je n'aurai pas fini.

Intrigué, je m'installe confortablement et ne la quitte pas des yeux.

- Je vous propose de vous offrir et de mettre à votre disposition tout ce que je vais vous montrer maintenant.

Elle déboutonne alors complètement son chemisier, le sort de sa jupe, puis l'écarte largement me permettant d'admirer une poitrine lourde sans être trop grosse gainée par un soutien gorge de dentelle noire. Faisant glisser les bonnets tout en conservant son soutien, elle fait sortir ses seins et en pince doucement les pointes qui se durcissent rapidement sous la stimulation.

Elle fait glisser la fermeture éclair de sa jupe avant de la laisser tomber à ses pieds, puis l'écarte d'un geste du pied. Ses jambes mises en valeur par les bas noires semblent interminables et son string de dentelle également complète l'aspect érotique qui s'offre à ma vue. Glissant ses pouces dans l'élastique, elle le fait glisser vers le bas, laissant apparaître un sexe entièrement lisse.

Le string ayant rejoint la jupe, elle pivote lentement sur elle-même, offrant à mon regard un corps sportif et élancé.

- Ce que vous voyez vous plait il ? me demande t elle, sure de la réponse.

Alors que je pense la démonstration terminée, elle s'approche de moi. Sans me quitter du regard, elle s'agenouille juste devant moi. Elle place ses mains derrière son dos, comme si elles étaient attachées, puis me dit :

- A compter de ce jour, et si vous m'embauchez monsieur, je m'engage à vous servir du mieux de mes possibilités, à réaliser tous vos désirs, vos envies et même vos fantasmes sans aucun interdit. Je me prêterai à tous les jeux auxquels vous souhaiterez me faire participer. Je vous donne toute autorité sur mon corps, sur ma tenue, sur mes actes. Vous pourrez me traiter de la manière qui vous conviendra, soit comme employée, soit comme putain, soit comme esclave sexuelle. Afin de vous donner le temps de la réflexion, je vous propose, si vous m'y autorisez, de prendre votre sexe dans ma bouche et de vous sucer jusqu'à vous faire jouir. Et vous me donnerez votre réponse de la manière suivante : si vous décidez de m'embaucher, vous jouirez dans ma bouche, et si vous décidez de ne pas donner suite, vous jouirez sur mon visage, et je quitterai votre boutique sans avoir le droit d'essuyer mon visage, ce qui constituera ma punition pour avoir échoué. Qu'en pensez vous ?

A suivre... 

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Belle écriture

 

Et belle solution pour dire oui ou non.

 

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Le moyen de résister à une telle proposition ?

Je m'installe plus confortablement dans mon fauteuil, je desserre la ceinture de mon pantalon, le baisse sur mes chevilles, rapidement rejoint par mon slip. Mon sexe déja raide se tend devant le visage de Véronique qui ne m'a pas quitté du regard durant ce déshabillage.

Immobile elle semble toujours attendre mon autorisation. Je lui dis alors :

- Sucez moi et appliquez vous, votre embauche en dépend.

Elle place alors ses mains sur mes cuisses et approche lentement son visage de mon sexe. Elle y dépose de légers baisers sur l'extrémité puis tout le long de la verge, descendant lentement vers mes boules avant de revenir à la pointe et de l'entourer de ses lèvres, avalant ma queue lentement mais profondément. Elle entame alors un lent mouvement de va et vient. De temps en temps, ses yeux se lèvent vers les miens cherchant à interpréter mes réactions. Ses mains remontent vers mes boules qu'elle caresse lentement. Elle s'interrompt parfois pour aller gober mes couilles l'une après l'autre avant de revenir à sa tache initiale. Sa bouche aspire mon sexe avec avidité. Elle varie le rythme de ses mouvements, alternant des mouvements vifs et plus lents lorsqu'elle sent mon désir monter, trop rapidement.

Je l'observe me pomper ainsi, son corps nu offert à mon regard et je savoure cet instant de docilité et d'abandon de la part d'une cliente qui me semblait inaccessible...

Lorsque je sens que mon plaisir va bientôt exploser, je réfléchis à sa proposition.

En un instant, je décide de retirer mon sexe de sa bouche. Sans un mot je la regarde et commence à me masturber devant son visage. Elle lève des yeux interrogateurs vers moi, et comprenant la situation ouvre sa bouche pour recevoir mon sperme qui jaillit soudain sur son front, ses cheveux et parfois dans sa bouche. Elle reste immobile attendant que ma queue se vide en 2 ou 3 spasmes. Puis lorsque ma jouissance prend fin, elle essuie ma queue de sa bouche, de sa langue et de ses lèvres...

Alors qu'elle se relève pour se rhabiller, je remets en place mon pantalon. Je tends à Véronique une boîte de mouchoir qu'elle refuse d'un geste de la main :

- Comme je l'ai dit tout à l'heure je n'essuierai votre sperme qu'une fois rentrée à la maison, ce sera ma punition...

Sur ces derniers mots, sa voix se casse et je remarque soudain des larmes couler sur son visage.

Surpris de cette réaction, je lui demande la raison de ces larmes.

- Vous plaisantez ? me répond-t-elle sur la défensive. J'ai fait du mieux que j'ai pu et vous me rejetez. Je me suis juste donnée en spectacle et tournée en ridicule.

- Mais ...

Sans me laisser le temps de poursuivre, elle attrape sa veste sur le porte-manteau et s'enfuit. J'entends la porte du magasin claquer, et à travers la vitrine je peux la voir courir jusqu'à sa voiture, y monter rapidement et démarrer en trombe... Par chance, elle n'a croisé personne sur le parking, relativement désert à cette heure de déjeuner, ce qui aurait sans doute ajouté à son humiliation.

 

A suivre...

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Pendant plusieurs jours, je n'ai aucune nouvelle de Véronique, et je n'aperçois pas non plus sa voiture sur le parking. Sans doute évite t elle de venir faire ses courses dans le quartier.

Un matin cependant, je la vois se garer à proximité. Elle descend de sa voiture et passe devant la boutique sans même jeter un coup d'oeil à ma vitrine. Visiblement toujours fâchée, j'ai juste le temps d'apercevoir la robe blanche, courte et moulante qu'elle porte ce jour là.

Profitant de son absence, je vais glisser sous les essuie-glaces de sa voiture une feuille sur laquelle j'ai rapidement griffonné : "Si vous êtes toujours intéressée par le poste de vendeuse, venez en discuter".

Une heure plus tard, je la vois repasser pour regagner sa voiture. Elle marque un temps d'arrêt en découvrant la feuille. La déplie. La lit et jette un regard vers ma boutique avant de la froisser et de la jeter par terre. Puis elle monte dans sa voiture.

Alors que je m'attends à la voir démarrer sur les chapeaux de roue comme la dernière fois, rien ne se passe. Elle reste assise dans sa voiture, les deux mains sur le volant.

Après quelques instants, elle ressort de sa voiture, ramasse la feuille, la défroisse et se dirige vers mon magasin.

Par chance, je suis seul dans ma boutique lorsqu'elle y entre.

Après m'avoir brièvement salué, elle m'interroge :

- Que signifie ce papier ? Il me semblait que vous aviez été clair lors de notre précédent entretien.

Son ton froid, ne me laisse rien présager de bon.

Afin de détendre l'atmosphère je lui propose un café, ce qu'elle accepte après une légère hésitation.

- Si vous n'étiez pas partie comme une furie la dernière fois, j'aurais pu vous expliquer la raison de mon geste.

- Il me semble qu'il n'y avait rien à expliquer et tout était très clair non ?

- Justement non. Si je ne vous ai pas proposé de vous embaucher à cette occasion, c'est parce que je souhaitais rajouter 2 clauses à ce double contrat, et que je souhaitais que vous les lisiez avant de vous engager.

Un silence s'installe. Elle assimile mes propos, semble se détendre un peu.

- Et quelles sont ces deux clauses ? demande t elle d'une voix adoucie.

- Passons dans mon bureau, je vous ai préparé le contrat, je veux que vous le lisiez attentivement avant toute décision.

Par précaution, je place un panonceau "fermeture exceptionnelle" sur la porte du magasin afin que nous ne soyons pas dérangés.

Véronique est debout devant mon bureau lorsque j'y entre. Le dos de sa robe est très décolleté et celle-ci moule parfaitement son corps.

Je passe derrière mon bureau et lui tend le document. Alors qu'elle s'apprête à le lire, je l'interromps :

- Je ne vous propose pas de vous asseoir car je souhaiterais que vous lisiez ce document à haute voix... après avoir relevé votre robe, que je trouve très sexy.

- Souhaitez vous que je la retire entièrement ?

- Jusqu'à la taille seulement, au delà vous me déconcentreriez...

Ma remarque déclenche un léger sourire. Puis elle relève doucement sa robe. A ma grande surprise elle est nue dessous.

- Vous faites souvent vos courses sans culotte ?

- Habituellement pas sans en recevoir l'ordre, mais en l'occurrence, il est difficile d'en porter une avec cette robe... et puis je n'étais pas à l'abri d'un entretien d'embauche impromptu.

J'apprécie l'humour et la laisse débuter sa lecture, alors que je tourne autour d'elle, afin de me repaître de la vue de ses jambes, de ses fesses et de sa chatte lisse.

Lorsqu'arrivent les deux clauses rajoutées par mes soins, je m'installe dans mon fauteuil afin de pouvoir observer ses réactions.

Elle lit :

"Exclusivité sexuelle : durant la durée du présent contrat l'employée s'interdit toute relation extra-conjugale autre que celles ordonnées par l'employeur. En ce qui concerne les relations sexuelles avec son mari, celles-ci seront soumises à autorisation préalable de l'employeur qui devra être informé par tout moyen (mail, sms, tel) de la demande de rapport sexuel. En l'absence de réponse ou en cas de refus de l'employeur, l'employée refusera à son mari tout rapport, sans lui en communiquer la raison. De la même manière, toute envie de masturbation de la part de l'employée sera soumise à autorisation préalable."

Véronique s'interrompt :

- Je ne devrais pas vous déranger trop souvent. Mon mari est très rarement demandeur. Sa jeune maîtresse lui pompe toute son énergie. Quant à la masturbation, mes désirs pourraient se trouver assouvis durant la journée au travail...

Elle continue :

"Surveillance : l'employée fera installer dans les pièces principales de son domicile des caméras IP dont elle communiquera les codes d'accès à l'employeur. Elle prendra soin de se vêtir et de se dévêtir devant une caméra placée à cet effet. L'employée autorise l'employeur a enregistrer les vidéos ainsi obtenues et à en faire l'usage qu'il souhaitera."

- Cela voudrait il dire que vous pourriez les diffuser sur internet ?

- En effet, le cas échéant, même si cela n'est pas mon but premier.

Après quelques secondes d'hésitation et de relecture de quelques passages, Véronique pose les feuilles sur mon bureau.

- Où dois-je signer ?

- Nulle part aujourd'hui. Je veux que vous repartiez avec ces contrats, que vous les relisiez attentivement avant de les signer, car lorsque vous le ferez, il n'y aura pas de retour en arrière possible : comme vous avez pu le noter, je suis le seul à pouvoir rompre ces contrats.

- C'est entendu. Et donc, dans l'hypothèse où je serais d'accord, quand devrais-je commencer ?

- A l'instant où vous me ramènerez les contrats signés, vous commencerez et ils s'appliqueront immédiatement.

- Puis je ajouter une dernière chose ?

- Je vous en prie.

- De toutes évidences, ma conduite lors de notre précédent entretien était inappropriée. Je ne vous ai pas laissé le temps de m'expliquer votre décision et j'ai quitté votre magasin sans votre autorisation. Cela ne se reproduira plus, mais si vous souhaitez me punir pour ce comportement, je subirai bien volontiers la punition que vous choisirez, même en l'absence de tout contrat.

Après quelques secondes de réflexion, je lui répond :

- Effectivement, cela me parait juste. Puisque vous êtes dans la bonne posture, vous allez vous placer à plat ventre sur mon bureau, les jambes écartées et je vais vous fesser à l'aide de cette règle plate.

Sans hésiter, elle écarte les quelques papiers sur mon bureau, place ses avant-bras, et se cambre légèrement, son joli cul offert à ma vue.

A l'aide d'une longue règle, je commence à la fesser, ce qui lui fait pousser des gémissements de plus en plus intenses.

Après quelques coups, alors que je marque une pause, le temps d'observer le résultat obtenu et la rougeur de ses fesses, elle me dit :

- N'hésitez pas à frapper plus fort, monsieur, je mérite vraiment cette punition, n'ayez aucune pitié.

C'est donc avec plus de force que les coups suivants pleuvent sur son fessier qui après avoir rosi, rougit de plus en plus, accompagnant ses gémissements qui bientot se transforment en cris.

Au bout de quelques moments, je finis de la frapper, et après avoir caressé ses fesses chaudes et fouillé son sexe durement de mes doigts je lui demande de se rhabiller et de partir.

Elle réajuste sa robe, prend les exemplaires des contrats sur mon bureau et se dirige vers la sortie de mon magasin et, se retournant avant de partir, alors qu'une cliente entre, profitant de la porte ouverte, elle me lance :

- Je vous remercie pour tout ceci monsieur, et je donne une réponse au plus vite à votre proposition.

A suivre

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Tres chouette recit, clair et tres bien detaillé, j' attend la suite avec  impatience

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Je viens de lire toutes les suites et j'ai beaucoup aimé le ton employé. vivement la fin de ta réflexion

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Curieusement, malgré cette promesse d'une réponse rapide, je n'ai plus de nouvelles de Véronique durant les jours suivants. Au point que je finis par me demander si je n'ai pas poussé le bouchon un peu loin, soit dans la rédaction des clauses du contrat, soit dans mon comportement lors de nos entretiens.

Il s'écoule presque deux semaines, et un matin, alors que je prépare le magasin avant l'heure d'ouverture habituelle, quelqu'un vient frapper à la porte du magasin, occultée par les stores que je maintiens baissés en dehors des horaires d'ouverture. Craignant l'arrivée d'un client matinal, je m'apprête à lui demander courtoisement, mais fermement de revenir un peu plus tard. Ouvrant la porte, je me trouve en fait nez-à-nez avec Véronique, qui, malgré l'heure matinale n'est vétue que d'une robe légère, courte et boutonnée sur toute la longueur. Une paire de bas (puisque je sais qu'elle ne porte pas de collants) sur des escarpins à talons complète sa tenue.

Agréablement surpris je l'invite à entrer. Sans autre préambule, elle me tend une liasse de feuillets dans lesquelles je reconnais les deux contrats que je lui avais confiés. Je les parcours rapidement, et constate que les feuilles ont été paraphées et les contrats signés, sans correction ni rature.

Je lève les yeux vers elle et lui dit en souriant :

- Bienvenue dans votre nouvel emploi Véronique.

- Merci monsieur, je suis enchantée que vous m'ayez choisie

Tandis que je lui fais part de mon étonnement au sujet du temps qu'il lui a fallu pour se décider, elle m'explique qu'elle souhaitait faire procéder à l'installation des caméras dans son logement, conformément à ma demande. Sur le principe, et compte tenu des absences fréquentes de son mari, elle n'a eu aucun mal à le convaincre d'installer des caméras de surveillance dans les pièces principales de leur domicile, mais, dans la mesure où elle souhaitait également en installer dans leur chambre à coucher, dans la cuisine et la salle de bain, il lui a fallu attendre un de ses déplacements pour pouvoir faire procéder discrètement à leur installation.

A l'issue de ces explications, elle m'indique les codes d'accès au site permettant de visualiser les images captées par ces caméras et m'invite à procéder à un essai afin de vérifier le correct fonctionnement de celles-ci et de lui confirmer que cette installation est bien conforme à ma demande. Nous nous installons devant l'ordinateur du bureau et après m'être connecté, je découvre les différentes pièces du domicile de Véronique que je parcours d'une caméra à l'autre. La qualité des images est assez bluffante et il est même possible d'entendre ce qui se passe dans chaque pièce, les caméras étant équipées de micro. Satisfait, je félicite Véronique pour le choix de ce matériel. Puis nous retournons dans la boutique.

- Par quoi souhaitez vous que je commence ?

Je lui montre les nombreux cartons d'articles reçus la veille et qu'il faut déballer, étiqueter et mettre en rayon avant l'ouverture.

- Au préalable, pouvez vous me dire si ma tenue vous satisfait ?

Je la détaille et lui demande de déboutonner quelques boutons de sa robe afin de l'ouvrir sur sa poitrine et sur ses cuisses. Elle s'approche de moi et me dit :

- Le plus simple est que vous le fassiez vous-même, vous pourrez choisir ceux que vous déboutonnez.

Je ne me fais pas prier, et tout en la regardant dans les yeux, je déboutonne un à un les boutons en commençant par le haut. Au fur et à mesure, sa gorge, puis le haut de sa poitrine apparaissent. Alors que je commence à découvrir son soutien gorge, mon regard quitte ses yeux pour admirer le spectacle de sa poitrine toujours serti dans de jolis bonnets de dentelle noire. Lorsque ses seins sont suffisamment exposés à mon regard, je décide de m'attaquer aux boutons du bas. Compte tenu de la longueur de la robe, il ne m'en faut pas plus de deux pour qu'un string noir, assorti au soutien-gorge apparaisse au dessus de cuisses gainées de bas noirs également. La robe ne tient plus que par deux boutons...

Véronique observe le résultat amusée.

- Cela ne va pas être très facile de travailler ainsi, mais si c'est ce que vous souhaitez...

- En fait non. Bien sur nous refermerons quelques boutons lors de l'ouverture, mais je voulais apprécier le spectacle de votre lingerie.

- Oh, dans ce cas et dans la mesure où les stores sont toujours baissés, peut être serait il plus simple que je retire ma robe ?

Je ne suis pas vraiment surpris par cette proposition, mais heureux qu'elle la fasse j'accepte immédiatement.

Sans se presser, elle ouvre les derniers boutons avant d'écarter lentement les pans de sa robe. J'observe avec attention l'ensemble de son anatomie et ne peut qu'être excité de la beauté de ce corps offert à ma vue.

La bosse qui commence à se développer dans mon pantalon n'échappe pas au regard de Véronique qui sourit doucement. Elle dépose sa robe sur une étagère, et se tourne pour me faire découvrir l'envers de son magnifique corps.

Je ne peux m'empêcher de m'approcher et de poser une main sur ses fesses, ce qui la fait légèrement tressaillir.

D'une voix plus contrainte, elle me demande :

- Souhaitez vous autre chose ?

- Penchez vous en avant et écartez légèrement vos jambes...

Prenant appui sur ses genoux, elle se penche doucement, faisant ressortir un cul magnifique qu'elle me laisse contempler quelques instants. Je glisse alors une main entre ses cuisses et caresse son sexe, que je sens déjà humide sous mes doigts.

Un gémissement répond à ma caresse, m'incitant à introduire un doigt dans cette fente chaude. Véronique se raidit légèrement puis, d'un mouvement de bassin, accentue la pénétration de mon doigt dans son intimité. La doigtant quelques instants, je provoque ainsi son excitation et ses gémissements se font de plus en plus nombreux et profonds.

Je libère alors ma queue de mon pantalon et la glisse entre les cuisses de Véronique.

- Oh oui ! l'entends-je me souffler, Prenez moi s'il vous plait, j'ai tellement envie de vous sentir en moi.

Encouragé, je m'introduis vivement en elle, la retenant par la taille et lui enfonce ma queue au plus profond d'elle même. Un sursaut de son corps répond à cette agression, que Véronique accompagne de lents mouvements de son bassin. La vue de son string, écarté, laissant passer ma verge m'excite terriblement et j'entame alors de longs mouvements de plus en plus rapides. Les gémissements de Véronique deviennent plus intenses.

- Merci de me baiser, Monsieur, me glisse-t-elle entre deux gémissements. N'hésitez pas à m'utiliser aussi souvent que vous le  désirerez.

A cette provocation, je réponds d'une claque sur son joli cul, ce qui provoque un petit cri de sa part. Elle tourne son visage vers moi et me sourit, montrant ainsi son gout pour ce traitement de faveur.

Je la reprends alors fermement entre mes mains et je m'enfonce en elle à grands coups de reins, jusqu'à obtenir un gémissement quasi continu. Je la baise ainsi de longues minutes, sentant mon désir monter.

Avant d'exploser en elle, je me retire de sa chatte accueillante et jouis à longs jets sur ses fesses et le bas de son dos.

Libéré de cette tension, je m'écarte d'elle et commence à me rhabiller.

Avant que je n'ai pu ranger mon sexe, Véronique est déja à genoux devant moi, sa bouche se pose sur mon gland qu'elle embrasse et lèche rapidement avant de ma dire :

- Merci d'avoir pris soin de moi, Monsieur... Souhaitez vous que j'esssuie le sperme qui coule sur mes fesses ou préférez vous que je le laisse sécher ainsi ?

Je choisis la deuxième option, excité à l'idée de savoir que Veronique gardera cette trace de notre rapport toute la journée.

- Mettons nous au travail maintenant.

Véronique se relève et, sans remettre sa robe, commence à déballer les différents articles.

A suivre...

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Superbe débalage de la nouvelle vendeuse

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c'est un vrai régal à lire!

j'en avais lu un avant mais celui-ci est un nectar!

on s'y croirait et l'idée de venir dans ton magasin chercher un conseil n'est pas loin!:D

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Peu avant l'ouverture, je lui demande de remettre sa robe., ce qu'elle fait en ne reboutonnant que les boutons indispensables à la tenue de la robe, mais il est évident qu'à chaque mouvement un peu prononcé, il n'est pas difficile de plonger dans son décolleté ou d'apercevoir le haut de ses bas.

La journée se déroule tranquillement, je me charge en général des clientes tandis que Véronique guide les clients dans le magasin, n'hésitant pas à jouer de ses charmes pour déstabiliser ses interlocuteurs et les influencer dans leurs choix. Elle se montre très tactile avec eux, effleurant leurs bras, leur corps de ses mains ou du sien, leur laissant apercevoir sa poitrine au cours de mouvements étudiés. Il est rare de voir un client repartir les mains vides, pourtant à chaque fois que cela se produit, je vois Véronique rajouter une marque sur une feuille blanche. Lors d'un moment de calme dans la boutique je lui demande la raison de ces marques, ce à quoi elle me répond :

- C'est la preuve de mon inefficacité dans certains cas à convaincre les clients. Je compte les noter chaque jour et faire en sorte d'en réduire le nombre. Et par ailleurs, ca peut représenter le nombre de coups de cravaches que vous pourriez être amené à me donner en fin de journée à titre de punition.

Ayant dit cela, elle retourne s'occuper d'un client qui entre à cet instant, comme si ses propos étaient les plus naturels au monde.

C'est donc sans surprise, qu'une fois le magasin fermé et les stores baissés, je retrouve Véronique dans mon bureau, sa robe déja retirée, son string sur les chevilles. Elle s'est placée face à un mur, les mains posées sur la cloison, légèrement au dessus de sa tête. La cravache qui est habituellement accrochée sur le mur, a été posée par ses soins sur mon bureau. Je m'en saisis, et me plaçant derrière Véronique, je commence à la frapper sur les fesses, et le haut de ses cuisses qui se zèbrent de marques rouges. Entre chaque coup, j'entends Véronique murmurer : " Je vous demande pardon ", ce qui augmente mon excitation et la force de mes coups.

Après l'avoir cinglé d'une douzaine de coups de cravache, la punition prend fin. Véronique me fait face. Des larmes ont coulé sur son visage.

- Y a t il autre chose que je puisse faire pour vous être agréable, me demande t elle ?

Devant ma réponse négative elle se rhabille, attrape son sac et après m'avoir salué se dirige vers la sortie du magasin.

Après son départ, je range quelques papiers et me sert un verre de whysky que je savoure en me remémorant cette journée si savoureuse. C'est alors que je remarque que son string est resté par terre, à l'endroit où Véronique a reçu sa punition. Une forme de cadeau, je suppose...

A suivre

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non, elle attend un coup de téléphone pour revenir le chercher et prendre une récompense!

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ou une nouvelle punition pour l'avoir oubliée, en même temps c'est un bon prétexte pour vous revoir . . .

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Bravo pour cette bien belle histoire très joliment racontée. 

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EXCELLENT, UN REGAL A LIRE, J ADORE! !

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Un vrai régal !

Cette Véronique me rappelle très fortement une ex compagne, c'est troublant!

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heureusement tu a recruté cette veronique si non tu regrettera sa longtemps

on aimerais tous avoir une telle Véronique prête a tout faire pour  satisfaire son patron 

 

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oui impressionnant toute cette histoire! J'ai l'impression que Véronique te feras encore des surprises

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