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Question

Salut j'adorais que ma femme me prenne par derrière je ne suis pas homo loin de la mais le faite de lui appartenir de cette façon me rend fou de désir, j'ai essayé de lui en parlé mais elle ne me parait pas chaude du tout a ce sujet et pourtant j'adorais découvrir ça avec elle qu'en pensez vous.

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Hello tom!

Moi aussi j'ai ce fantasme depuis un petit moment déjà, mais pas moyen de la convaincre pour le moment, ca fait trop "gay" et ca l'inquiète (ce que je peut comprendre).

Mais il y a des petit signe qui montre que ca ne la laisse pas indifférente, car maintenant lors des préliminaires, elle me suce en me titillant le petit trou, et parfois, m'enfonce un ou deux doigts dedans ! Une fois, elle a même été jusqu'à me lécher le trou, j'étais tout foufou!

Je pense que ce fantasme est une belle preuve d'amour et de confiance entre les deux partenaires. Après, il faut que l'idée se fasse une petite place dans sa tête, et peut-être qu'un jour....

 

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je lui ai demandé et elle se braque complètement a cette idée, je suis un peu déçu de sa réaction

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Je pense que tu dois faire comme Lasgards, y aller doucement, étape par étape. D'abord un doigt lors d'une fellation puis un deuxième, qu'elle prenne du plaisir en te le faisant pour petit à petit arriver à l'utilisation d'un gode ceinture ou d'un gode.

Et puis la rassurer, si pour aller sodomiser un homme fait "gay" explique lui que non, que le plaisir anal n'est pas réservé aux homosexuels.

 

Alors si elle est réfractaire au plaisir anal meme pour le sien, malheureusement tu ne peux que respecter son choix. 

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Laisse lui le temps de digérer la demande sans y revenir, ça pourra peut être l'intriguer par la suite et éventuellement elle pourra ébaucher un truc dans le feu de l'action !

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Invité

Salut j'adorais que ma femme me prenne par derrière je ne suis pas homo loin de la mais le faite de lui appartenir de cette façon me rend fou de désir, j'ai essayé de lui en parlé mais elle ne me parait pas chaude du tout a ce sujet et pourtant j'adorais découvrir ça avec elle qu'en pensez vous.

une petite question en passant, vous pratiquez déjà la sodomie ensemble sur madame? pas que ce soit une étape obligatoire mais un moyen de parler de cette envie et des sensations ressenties.

Je comprends son hésitation, en effet aimer la sodomie ce n'est pas être homo, mais il faut arriver à  assumer à la fois l'interdit moral de l'acte et aller à contre sens de l'image traditionnelle de l'homme virile hétéro qui pénètre et non l’inverse.

Je rejoins les conseils de beaucoup parler ensemble et peut-être pimenter vos ébats avec des petits accessoires pour commencer (genre petit plug).

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Ma compagne s'est aussi posé des questions quand je lui ai demandé de me faire goûter à la sodomie. 

Mais je l'ai rassurée, lui expliquant que c'est avec elle que je voulais le faire et pas un homme. Que je voulais juste connaître ce plaisir mais que ça ne changeait rien dans mon orientation sexuelle, que j'avais toujours envie d'elle,  etc.

Depuis on a essayé et elle a finalement adoré, comme quoi ...

Alors vas y doucement, explique ta demande tout en la rassurant et ça pourrait le faire. 

Par contre c'est vrai que si elle a une image de la sodomie très négative ce sera moins facile. 

Dans ce cas il faudra commencer par changer cette image qu'elle a de la sodomie. 

Bon courage dans ta démarche :)

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Est-ce que toi tu la sodomises?

Si pas, commence peut-être par là :-)

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Cela lui arrive de temps en temps qu'elle s'occupe de mon p'tit trou mais pas assez à mon gout :P, soit avec un doigt ou deux mais jamais plus même si je lui demande mais ce que j'aimerai vraiment c'est qu'elle me prenne avec un god ceinture mais soyons patient on sait jamais, l'envie lui viendra un jour.

Il y a longtemps, je m'étais acheté un god ventouse et lorsque je suis seul à la maison, l'envie est tellement forte que je ne peux résister et je vais le chercher. Je le fixe, me met à genou et commence a le prendre en bouche, à le lécher, tout en caressant mes tétons et ma queue puis je me redresse et présente ce sexe devant mon trou pour qu'il disparaisse en moi.

Mais le plaisir est pas le même, loin de là :( 

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Cela lui arrive de temps en temps qu'elle s'occupe de mon p'tit trou mais pas assez à mon gout :P, soit avec un doigt ou deux mais jamais plus même si je lui demande mais ce que j'aimerai vraiment c'est qu'elle me prenne avec un god ceinture mais soyons patient on sait jamais, l'envie lui viendra un jour.

Il y a longtemps, je m'étais acheté un god ventouse et lorsque je suis seul à la maison, l'envie est tellement forte que je ne peux résister et je vais le chercher. Je le fixe, me met à genou et commence a le prendre en bouche, à le lécher, tout en caressant mes tétons et ma queue puis je me redresse et présente ce sexe devant mon trou pour qu'il disparaisse en moi.

Mais le plaisir est pas le même, loin de là :( 

l'imagination de ces instants solitaire sont tout de même très plaisant :)

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J'avoue que c'est pour moi aussi un fantasme de me faire prendre par une femme. Bon j'ai un grand coté bi aussi donc ceci explique cela... mais je pense qu'avec une femme cela n'a rien à voir que le plaisir peut etre multiplié, autant pour moi que pour la charmante femme qui me prendrais

Mais je comprends ta femme, bcp de femmes pensent que le fantasme de sodomie chez un homme est un désir homo refoulé alors que pas du tout! Je connais pas mal de copines qui me disent que leur mec aiment se faire doigter lors d'une fellation et pourtant ces mecs sont des gros hétéro pur jus limite homophobes!

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Personnellement c'est un de mes plus grands fantasmes, mais c'est mon homme qui ne veut pas en entendre parler, ce que je peux comprendre. 
Pour ce qui est d'en parler quand le désir vient de l'homme ... Oui, beaucoup de femmes peuvent trouver ça gay, ou tout simplement ne pas en voir l'intérêt, n'y trouver rien d'excitant. Donc il faut certes en parler pour que madame comprenne que c'est une envie normale, mais aussi très excitante pour vous et qui peut l'être aussi pour elle. ;) 

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C'est bien dommage que ton homme ne veuille pas essayer, Wendy.

Car très certainement il en redemanderait 

Tu devrais peut être lui faire lire qq articles bien écrits sur le plaisir anal pour l'homme. ..

 

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Personnellement c'est un de mes plus grands fantasmes, mais c'est mon homme qui ne veut pas en entendre parler, ce que je peux comprendre. 
Pour ce qui est d'en parler quand le désir vient de l'homme ... Oui, beaucoup de femmes peuvent trouver ça gay, ou tout simplement ne pas en voir l'intérêt, n'y trouver rien d'excitant. Donc il faut certes en parler pour que madame comprenne que c'est une envie normale, mais aussi très excitante pour vous et qui peut l'être aussi pour elle. ;) 

Il ne se rend pas compte de la chance qu'il a d'avoir une femme qui a se fantasme, comme j'aimerai être à sa place.

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Comme homme j'ai voulu me faire prendre en anal par mon partenaire pour sentir cela et de savoir comment le faire bien. Ce n'est qu'après qu'elle ma prise et que l'ai trouvé bien que je l'ai commencé à la prendre en anal. Elle trouvait cela bien car j'ai été prudent avec elle et elle c'est vite adapté à l'anal.

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Sinon un sextoy dans le cul en solo c'est mal aussi pour commencer.

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Le 05/08/2017 à 01:47, Warth69 a dit :

Sinon un sextoy dans le cul en solo c'est mal aussi pour commencer.

En général ceux qui rêvent que leur compagne ou femme les prennent l'ont déjà fait enfin perso je le conseille pour la simple raison que l'on pourra mieux guider notre partenaire comme elle, elle nous guide pour leur plaisir ;)

 

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J'ai la chance que mon épouse me prenne depuis plus de 20 ans maintenant.

Ce n'est pas son fantasme mais elle aime me donner du plaisir.

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Le 01/03/2016 à 11:42, Capablanca a dit :

C'est bien dommage que ton homme ne veuille pas essayer, Wendy.

Car très certainement il en redemanderait 

Tu devrais peut être lui faire lire qq articles bien écrits sur le plaisir anal pour l'homme. ..

 

Je ne suis pas d'accord car certaines personnes aiment certaines pratiques et pas d'autres . C'est le charme de l'être humain justement , ses différences :)

 

J'avoue que je mettais dans la case homo refoulé les gars qui me parlaient de ça à mes débuts sur le net et depuis j'ai changé d'avis .  Je pense que beaucoup d'hommes n'osent pas le dire à la leur complice de peur de leur regard ou du refus . Mais souvent le temps fait son oeuvre dans le bon sens , ou au contraire .

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En ce qui me concerne cela ne m'attire pas du tout...

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Il y a 2 heures, Braddock a dit :

En ce qui me concerne cela ne m'attire pas du tout...

Hi hi comme quoi nous ne sommes pas toutes/tous les mêmes OUUUUUUUUUUUUFFFFFFFFF !!

Comme moi je n'aime pas le cunni :P

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Il y a 11 heures, Braddock a dit :

En ce qui me concerne cela ne m'attire pas du tout...

Et c'est bien ton droit le plus strict. ?

Nous pouvons témoigner du plaisir reçu mais si l'attirance n'y est pas, même ta prostate ne pourra pas te donner du plaisir toute seule. 

Il y a du plaisir à prendre là mais il faut en avoir envie et accepter, comme souvent mais pour cet acte particulier bien plus, de lâcher prise. 

Il faut aussi accepter l'inversion des rôles, en jouir et comprendre que cela ne change rien à sa virilité. 

Ce n'est pas une pratique anodine, il faut être bien dans son corps, bien dans sa tête et avec une bonne partenaire. 

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Le 23/10/2017 à 09:03, Jojofun73 a dit :

J'ai la chance que mon épouse me prenne depuis plus de 20 ans maintenant.

Ce n'est pas son fantasme mais elle aime me donner du plaisir.

Profite bien de cette chance que j'ai, malheureusement, pas :(

 

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Comme toute pratique il faut en avoir envie tout simplement.

Ce n'est pas parce qu'on la pratique pas que cela signifie avoir un problème quelconque avec sa virilité, féminité ou autre...cela est très réducteur comme façon de voir les gens.

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il y a 10 minutes, Braddock a dit :

Comme toute pratique il faut en avoir envie tout simplement.

Ce n'est pas parce qu'on la pratique pas que cela signifie avoir un problème quelconque avec sa virilité, féminité ou autre...cela est très réducteur comme façon de voir les gens.

Je suis entièrement d'accord avec toi, pour faire quoi que se soit il faut déjà au départ en avoir envie sinon ce n'est pas la peine.

Et que ce soit dans n'importe quel domaine.

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    • Par ChunkeyMonkey
      Bonsoir à tous et à toutes,
      Pour ma première contribution à FI, je vais m'attaquer à un récis d'une expérience sexuelle dont je suis malheureusement assez peu fier : ma première fois !
      Vous constaterez au fil des lignes toute l'ambivalence de cette aventure, entre la bonne morale et la perte de ses propres limites, poussé par le désir.
      C'est un épisode de ma vie que j'ai du mal à exprimer, je pose électroniquement mon récit en guise de thérapie. Cette confession m'aidera-t-elle à envisager ma première fois comme une belle expérience ? Je vous livrerai mes conclusions à la fin de mon récit.
       
      Peu fier, et pourtant quel moment important dans la vie d'un adolescent ! J'attendais mes premiers ébas sexuels avec beaucoup d'impatience, comme beaucoup d'autre jeunes garçons. Mon éducation sur la question était teintée de quelques visionnages de films pornographiques, mais aussi (et fort heureusement) par les bons conseils d'une soeur dont le crédo était le suivant : "Tu dois faire ta première fois avec une fille dont tu es amoureux". Chose à laquelle je m'étais resigné, refusant même les avances de filles que je n'estimais pas à même de remplir LA condition.
      Et c'est ainsi que j'ai abordé le lycée, toujours vierge, toujours resigné à offrir mes premières caresses à l'élu de mon coeur uniquement.
      J'étais alors d'un naturel plutôt discret, travailleur à l'école, appliqué lors de mes entraînements sportifs quasi quotidiens. Ces derniers avaient sculté mon corps, j'avais des bras musclés, des abdominaux dessinés et je savais mettre ces atouts en valeur. Je savais que je plaisais, sans pour autant trouver chaussure à mon pied.
      C'est lors d'une chaude soirée d'été que tout à dérapé !
      Accompagné de mes grandes soeurs et de leurs amis tous plus âgés que moi, j'étais à une fête de village. Installé sur des bancs en bois, j'étais gentillement invité à boire la bière fraîche qui m'était offerte. Verre après verre, je sentais l'alcool alterner mes facultés de raisonnement, me desinhibant un peu plus à chaque gorgée. 
      La nuit était tombée, il faisait toujours aussi chaud et je terminais le verre qui allait faire tomber toute les barrières que je m'étais imposées depuis si longtemps. Ce soir, l'impatience m'avait envaillit, je voulais coucher avec une fille pour la première fois !
      Laissant ma discrétion sur le banc en bois, au milieux des verres vides, je me suis alors mis à la recherche d'une ou deux jolies amies du lycée que je savais interessées par la question. Avant de tomber sur l'une d'elle, j'aperçu Julie entrain de danser.
      Julie était la petite dernière d'une fratrie de 4 dont l'aînée était la meilleure amie de ma soeur. Elle était toute fois plus âgée de 5 ans que moi. Plutôt forte, arborant une poitrine généreuse, elle avait la réputation d'être une jeune femme assez ouverte sexuellement. Je l'ai croisé en passant à proximité de la piste de danse. Mon regard à croisé le sien, elle me souriait en me faisant signe de la rejoindre ce que je fis sans l'ombre d'une arrière pensée, loin d'imaginer ce qui allait suivre...
      En échangeant quelques pas de danse maladroit avec elle, je réalisais rapidement qu'elle avait également abusé de la bière ce soir là ! Plus expérimentée que moi, plus sûre d'elle aussi, elle ne tarda pas à me manifester ses intentions. Je me retrouvais ainsi collé à elle, ma tête plongée dans son profond décolté, mon sexe collé à sa cuisse. Ses mains me maintenant fermement tout contre elle. Au son de la musique, je sentais monter en moi le désir pour cette jeune femme qui, jusqu'alors, ne m'avait jamais interessé !
       
      Les musiques défilaient et je me risquais maladroitement à lui montrer que l'excitation montait en moi : je lui glissais une main sur les fesses, d'abord sur puis dans le pantalon. Sous les frottements de sa cuisse, mon sexe était en érection, ce que Julie avait bien sûr remarqué.. Je ne m'en doutais pas, mais son string était lui déjà humide dû au contact de son vagin sur ma jambe.
      C'est en me surprenant observer sa poitrine qu'elle décida de prendre les devants, me prenant par la main, elle me tira à l'écart de la foule dans un bosquet. Durant ces quelques minutes de trajet, qui en parurent une éternité, j'ai pu prendre la mesure de ce qui était entrain de se passer malgré les effets bien présents de l'alcool : qu'est ce que j'étais entrain de faire ? Je bouillonnais de désir pour cette fille, physiquement assez peu attirante et pour laquelle je n'éprouvais aucun sentiments amoureux ! Je ne pouvais pas brisé mon crédo de la sorte.. Trop tard, perdu dans mes pensées, je n'avais pas vu Julie venir. A peine caché des regards indiscrets, elle m'embrassa à pleine bouche, glissant avec assurance sa main dans mon caleçon et débutant des mouvements de va et vien, mon sexe fermement maintenu entre ses doigts. C'était l'explosion des sens, toutes ces sensations nouvelles me submergeaient !
      Poussé par l'adrenaline et l'excitation, j'embrassais maintenant à pleine bouche Julie, nos langues s'entremellant dans une danse frénétique. Je me decidais moi aussi à passer à l'action, carressant d'une main ses seins sous sont haut, glissant l'autre dans son string. Son vagin était humide, très humide, et la sensation de mes doigts écartant ses lèvres trempées me fit l'effet d'une bombe. Je commençais à descendre son pantalon lorsque, à bout de souffle, elle me glissa au creux de mon oreille un "pas ici"...
       
      Je vous propose d'en rester ici pour le moment, peut être ces quelques lignes vous donneront envie de connaître la suite.
      N'hésitez pas à me faire part de vos sentiments sur cette confession, importante pour moi !
      Merci à tous et à toutes.
       
       
    • Par Czar
      Voilà…

      Arborant un fin sourire doux, en cette journée pluvieuse, une fébrile envie de consigner et de vous conter une aventure charnelle s’empare de moi. Oh, mon sourire reste nostalgique en repensant à cette aventure, plus qu’improbable, que le destin m’a donné le privilège de vivre. Même si elle est très intime en mon âme, mon cœur, lui, offre l’inspiration à cette plume qui j’espère vous enchantera.

       
      Nous nous sommes rencontrés récemment en cette année 2016. Il faut dire que notre aventure a débuté assez rapidement. Elle, 23 ans, brune aux cheveux long noir et lisse, des yeux noisette aux iris plus que pétillant, aux lèvres finement dessinées et qui attirent, à celui qui sait regarder, comme un aimant puissant tous les désirs, même les plus interdits… Ni trop grande, ni trop petite, à la peau légèrement matte, au physique filiforme, son charme de femme italienne la rendait franchement irrésistible. Barmaid dans les boites de nuit, elle savait rester beauté froide, et offrir toute sa chaleur de femme, à celui qui sait lui cueillir un de ses plus beaux sourires. Du peu que j’ai eu l’occasion de connaître d’elle ( car notre aventure n’a pas passé 3 mois), nous étions de rares élus à avoir cette faculté à lui dessiner un joli rictus. Incroyablement belle, est-ce la rareté de ses aventures qui attisait mon désir à la connaître sans la séduire ? Elle était singulière, ceci ne faisait aucun doute ! En tout cas, elle me fascinait …

       
      Nous nous sommes côtoyés très rapidement, sans toutefois s’être échangé le moindre baiser, et encore moins d’avoir partagé une nuit sexuelle. Pourtant nous avons dormi plusieurs fois ensemble, elle, blottit dans mes bras d’homme, dormant paisiblement comme le plus joli de tous les chatons. Et moi, veillant sur son sommeil profond, mû par des nuits de palabre sans fin. Je confesse, en mes iris pouvaient se lire le début d’un roman de celui d’un homme, fraichement quarantenaire, pleinement amoureux. En nos rares nuits partagées, quand elle somnolait, Je ne cessais de caresser ses lèvres du bout des doigts, puis de laisser parcourir doucement cette main masculine sur sa peau au fin touché de velours. Oh oui… si vous saviez cette douceur qui régnait en maitre sur son épiderme… C’était presque surnaturel… J’en ai encore l’imprimé, en ma mémoire, et sur le bout de doigt.

       
      Et non, cher(e)s lecteurs(trices), nous ne nous sommes jamais embrassés, mais nous nous sommes déjà embrasés… Juste une fois, et une unique fois… avant que notre aventure prenne fin quelques semaines plus tard…

       
      La nuit tombait, en cette fin de journée de printemps, la voiture roulait en une allure constante. C’était une 7 place. Il y avait le conducteur et son passager, à l’arrière trois places, et encore derrière deux places. Ma jeune italienne et moi, occupions ces deux dernières places. Juste devant nous, la mère de ma jeune muse somnolait sur l’épaule de son amant. Il est vrai qu’un silence régnait dans l’habitacle après tant d’anecdotes contées, de rires partagés, depuis notre départ du restaurant de montagne. Moi, assis en direction de la route, ma jeune demoiselle, genoux recroquevillés, son dos face à mon flanc, s’était, comme à son habitude, réfugiée au plus profond de mes bras. Je l’enlaçais d’un bras, tout en regardant la route et me délectant de la chaleur de son corps contre mon torse. Ce serait vous mentir que de vous dire que je n’ai jamais eu des pensées salaces la concernant. Mon instinct voulait jouer la carte de la romance, et je souhaitais m’approprier son corps doucement, dans la durée, pleinement… Aussi, je laissais toujours trainer mes doigts, à l’image d’un pinceau, sur la surface de sa douce peau, sans chercher à noyer mes mains sur ses seins et sur son sexe. Je sentais que le toucher masculin faisait frissonner son corps, je savais que son désir charnel s’éveillait doucement. Cependant, je n’imaginais qu’il allait nous prendre par surprise… dans cette voiture…  

      Son front contre mes lèvres, je pensais que ma douce somnolait tendrement. Sans doute. Ou pas. Ceci étant, sa petit main glissait depuis mon torse et descendait lentement… Extrêmement lentement… approchant presque du sésame de mon corps. Naturellement, mon désir s’éveillait et trahissait, par son volume montant, une présence en mon jean moulant. Et je ne voulais pas qu’elle découvre l’effet qu’elle me procurait, surtout si elle dormait vraiment.  Habillement je posais ma main sur le revers de la sienne, et je la dirigeais vers sa cuisse. Profitant de cette prise, je lançais mon regard sur la route monotone en espérant que mon désir tomberait, puis, je continuais à caresser sa main, du bout de l’index. Mais sa main avait glissée en son entre-jambe, et je pianotais, par-dessus, comme l’on pianote à la surface du sexe d’une femme. C’est là que je commençais à sentir son corps bouger un peu, puis onduler lentement de plaisir… Son autre main remontait le long de mon avant-bras pour se faufiler sous la manche de mon T-shirt afin d’agripper mon triceps. Sa respiration demeurait toujours normale, et son joli visage alla se caler contre le biceps. Agréablement emprisonné, je sentais à présent son souffle chaud sur ma peau mâle. Inutile de vous décrire ce qui se tramait dans mon boxer. Je me suis mis, subitement à scruter les têtes dépassants des sièges pour voir si l’on soupçonnait ce qui se tramait en queue de voiture. Personne ne bougeait, ni même la tête blonde de la mère de mon italienne. Je me mordais la lèvre inférieur, découvrant que nous sommes intimement seuls, si habillement isolés. J’avais terriblement envie d’elle…

      Lorsque le romantisme laisse place au terrain de la pulsion, il n’existe plus aucun rempart à la pudeur pour se cacher. Il ne faisait nul doute que ma proie était éveillée, les yeux toujours clos, sa langue venait gouter au musc de ma peau. Livré en pâture à son exquise bouche, j’enfouissais mes lèvres dans la chevelure de soie noire et lisse de ma créature. Je laissais l’exaltation de mon souffle aller mourir et réchauffer le sommet de sa tête. Toujours en silence… tous les deux… 

      L’obstacle de sa main de jeune femme tombait et me livrait l’entrecuisse. A travers son jean, je pouvais sentir la chaleur volcanique qui sévissait à travers le tissu. Je me mordais la lèvre plus durement. Ma main perdait toute douceur romantique, et allait se vêtir, peu à peu, d’une lente frénésie sauvage. Dieu que j’aurais aimé la ravager, là, maintenant, tout son sexe en ma bouche, je n’aurai laissé aucun reste en pâture. Jaloux de l’œuvre de ma main, je laissais mes papilles en berne, et je cherchais à enfouir ma bouche en profondeur en sa chevelure. Ne pouvant percer l’épaisseur de son jean, je la  sentais toujours plus brûlante en son vénus, son souffle contre moi, l’était également, et mon bras se couvrait du sirocco brûlant sortant de ses lèvres. Elle ne m’embrassait pas la peau, elle me dévorait avec une exquise lenteur, sans empressement, et avec une fine salive elle parfumait cette peau mâle.

       
      Pour la première (et dernière) fois, je franchissais le Rubicon de la sexualité, il n’y a plus de romance à présent entre nous. Nos corps s’attiraient magnétiquement, sans que l’on ait cherché à créer l’artifice charnel. Elle se saisissait un sein… je pouvais lorgner du haut de ma posture, et je voyais comment elle le pressait, et je me délectais de ce spectacle. Sans qu’elle s’oppose, ma main alla s’enfouir sous son jean, lentement et toujours furtivement… Oh… pouvoir la toucher intimement, je m’en mords la lèvre rien que d’y penser et de vous le confesser. Une source chaude, à travers le relief doux de son sexe, se laisser explorer. Je ne pensais plus à rien, j’étais envahi par une frénésie indescriptible, je touchais son clitoris comme on touche une relique, et peu à peu, je prenais possession de son intimité, de TOUTE son intimité. Ma douce créature se cabrait pianissimo, sa bouche, cachée toujours dans mon bras ne bougeait plus, et était béante et exaltant toujours un souffle ardent féminin. Nos silences m’excitaient. Mon doigt glissait entre sa vulve et son bouton de plaisir. Sa main pressait de plus en plus son mamelon. Je me mordais la lèvre presque jusqu’au sang…

      Elle eut son premier orgasme, quand j’ai senti son corps se replier et son ventre trembler. J’étais partagé par un sentiment mitigé, mi frustré, mi satisfait. Frustré car je trouve que je ne l’avais pas touché assez, quant à la satisfaction elle n’a pas besoin d’être expliquée. Je lui laissais du répit, tout en sentant ses papillons virevoltant en son ventre, trahi par des spasmes irrégulier qui assaillait son être. Allez comprendre pourquoi… mais j’ai porté mes doigts, recouverts de sa mouille, à ma bouche. Elle avait une saveur mi-cannelle, mi-safran. Autant vous dire que je me suis repais de sa saveur longuement. Cette gourmandise, je le lui ai fait partager, en glissant mes doigts imbibés, d’elle intime et de la source mâle de ma salive, en sa bouche. Elle me suçait avec maladresse au début pour laisser place à une véritable délectation. Elle n’hésitait même plus à me mordiller les doigts et à chercher à les gober presque jusqu’au plus profond de sa gorge. Sa langue passait sur le bout de mes phalanges comme si elle léchait un gland. Sa fine main s’est remise à ploter son sein, cette fois-ci je l’accompagnais en son geste. Voyeur, mes yeux scrutais mes doigts savamment bouffés, et la paume de ma main, surplombant la sienne, ploter sa divine poitrine.

      Il suffisait. Je ne lui laissais ce repas plus longuement. Ma main retourna au verbe de son entrecuisse, glissant sous son jean, retournant en exploration en son sexe, mes doigts s’enfouirent comme dans du beurre jusqu’au plus profond d’elle. Mon autre main s’immisça, sous son t-shirt, à aller à la quête de sa peau, de son sein… je senti, en forçant la dentelle de sous son soutien-gorge, son téton bien dur, bien mûr. Oh, c’était intenable, je n’ai pu m’empêcher de jouer avec, entre le pouce et l’index, le pressant fermement, mais pas trop, jusqu’à ce que ma belle se cabre de plaisir. Son téton, je l’ai roulé sous mes doigts, je le tirai doucement, je le titillais, je l’agaçais. A l’orée de son oreille, je lui faisais entendre ma voix rauque, emplie de plaisir, presque en murmure, à aller résonner en elle. Je tenais plus… J’avais fiévreusement envie d’elle… j’ai toujours envie d’elle en cet instant… L’œuvre de ma main, épris d’une douce sauvagerie la ravageait encore et encore, scrutant en la cathédrale de son sexe, là où se cache le point de son plaisir. Il ne fut pas longtemps à le toucher… et ma belle plongea à nouveau dans un orgasme plus profond… elle soupira peut-être un peu trop fort… Je voyais les têtes des passagers de la voiture commencer à bouger un peu. Je lâchais subitement son sein, pour aller bâillonner la bouche expressive de ma belle…  

      Heureusement que le noir régnait dans la voiture, j’ai cru voir la tête d’un passager furtivement nous regarder, l’iris somnolant, n’accordant pas trop d’importance… et sombrant dans un sommeil à nouveau…

      Ma belle ne me dit mot quand nous sommes arrivés à destination. Elle affichait un sourire, mais n’osait pas trop me regarder. Par pudeur et par respect, je ne lui ai plus jamais évoqué cette aventure. La distance de nos lieux d’habitations n’aidant pas… nous ne nous sommes plus jamais revu… 

    • Par alextattoo
      Cela faisait plusieurs semaines deja qu'on se fréquentait.
      1m65, blonde au carré ondulé, yeux noisette, des seins de rêve, lourds au mamelons larges et petits têtons, Elisa avait la peau très pâle, comme celle des rousses et j'adorais son grain de peau, doux, très lisse.
      Elle était très vorace, littéralement, au point que tous les pretextes étaient bons pour me prendre en bouche. C'etait d'ailleurs sa façon de me le demander "je peux te prendre en bouche?". 
      Soumise qu'elle était, ses yeux étaient remplis de joie à l'idée de savoir que j'allais me décharger au fond de sa gorge.
      En plus de cet appétit insatiable, elle était très demandeuse de sexe, ce qui me laissait tout le loisir de la faire languir.
      La ligoter, la fesser, tout en lui bandant les yeux n'était pas si occasionnel que cela. Je savais qu'elle prenait autant de plaisir que moi à être traitée de la sorte.
      Souvent, ajoutant aux quelques petites insultes que je lui destinais, je pouvais l'entendre dire "baise moi comme la petite chienne que je suis"
      Elle aimait le sexe, et j'aimais la baiser comme elle le méritait.
      Lui donner autant de plaisir qu'elle m'en procurait. 
       
      Rentrant d'une soirée, ma belle se dirigea vers la douche tandis que je prenais place assis sur son lit.
      Face à moi sa bibliothèque était remplie de diverses livres ou revues pour femme sans grand intérêt. Une étagère cependant attira mon attention.
      Des BD? Il n'y en avait que 2 ou 3 alors j'en sorti une au hasard.
      Tournant les quelques premieres pages, je fus surpris de voir qu'il s'agissait une BD pour adultes.
      Et bien ma cochonne, on ne cache pas bien son jardin secret!
      Les images et les dialogues étaient très crus, violents. 
      Dans un univers entre paradis et enfer, un diable monté de 2 penis faisait subir les pires tourments salaces à des femmes et, dans la quasi totalité des scènes, sodomisait ses esclaves, que ce soit par simple ou double pénétration anale ou encore fist anal. Le tout dans une clameur enjouée que ces femmes laissaient entendre à gorge déployée.
      À l'étroit dans mon pantalon, je bandais déjà quand elle sortie de la douche. 
      Je lui tendait alors le livre avec un sourire en coin qu'elle saisi en rougissant.
      "Je ne savais pas que tu aimais ce genre de littérature" la mettant encore un peu plus mal à l'aise.
      "Si si, mais bon, j'avais oublié qu'elles étaient là" m'avoua-t-elle
      "Ca te plait?"
      Je lui répondit que, bien que surpris, l'effet que me faisaient les scène dessinées avait été efficace.
      Alors je lui demandais si ses envies portaient sur le fait de se faire prendre les fesses, ce à quoi elle me répondit par un sourire gêné, puis  : "j'aimerai mais j'ai peur d'avoir mal, surtout avec la taille de ton engin"
      Je bandais encore un peu plus.
      Plaisir un peu sadique de savoir que je peux lui faire du bien tout en lui faisant un peu mal (ou un peu mal en lui faisant du bien) m'excitait beaucoup, évidement..
       
      Nous sommes ensuite retournés au salon pour notre digestif. Games of thrones était notre série fétiche commune alors nous en avons regardé 2 ou 3 épisodes, buvant plus que de raison pour un couple à la maison...
      Il etait très tard, j'ai pris une douche avant d'aller me coucher.
      Elle, un peu éméchée, m'a rejoint dans la salle de bain et m'attendait.
      J'eu à peine le temps de sortir pour me sécher qu'elle se mis à genou pour me sucer, sans dire un mot.
      Je ne mis pas longtemps à bander fort, elle était vraiment très douée, alternant succion, léchage, elle me branlait divinement, prenant soin de toujours garder mon gland humide.
      Ma bite gonflée devant sa bouche, je pense que cette fois encore, elle aurait voulu que je lui donne mon jus mais j'avais d'autres plans en tête.
      La saisissant par le coude, je la redressais et la dirigeais vers la chambre. Elle titubait très légèrement, les effets de l'alcool encore sensibles.
      Je la fis se mettre à genou sur le lit et la penchais en avant, que son visage et ses seins lourds touchent la couette.
      Ainsi positionnée, ma belle était cambrée au possible et je pouvais laisser mes mains parcourir sa croupe afin d'alterner caresses et petites tapes qui la faisaient sursauter à chaque claquement, surtout lorsque mes phalanges se posaient sur son sexe.
      Je savais que ça l'excitait, son con suintait déjà de mouille.
      Les images des BD ne m'avaient pas quitté l'esprit, je bandais encore fort de savoir ce que j'allais lui faire.
      Me mettant derrière elle, mes lèvres se posèrent sur ses fesses outrageusement ouvertes, offertes.
      Ma langue parcourant sa raie, je longeait la lisière extérieure de ses grandes lèvres et remontait en prenant soin de bien décalotter son clitoris sur lequel j'appliquais une pression tanto forte ou faible mais constante, la laissant étouffer un petit cri dans l'oreiller, puis remontant sur ses petites lèvres, écartant les grandes pour gouter son con trempé. 
      Quel extase..,
      Retournant sur son bouton de plaisir, je lui remettais un peu de pression, son cri se fit plus fort encore, à nouveau étouffé, puis je la pénétrais de ma langue, écartant sans ménagement ses fesses et ses lèvres dans le but de la gouter au plus profond.
      Allant et venant, sa respiration accélérait, alors mes mains vinrent rejoindre le bal pour jouer de son clitoris de l'une et de son anus de l'autre.
      Tournant la tête pour reprendre sa respiration elle me dit qu'elle allait jouir! 
      Alors j'arrêtais de mes mains et lui fourrais ma langue dans les fesses.
      La belle poussa un long soupir de soulagement.
      Répétant mon mouvement de va et vient mais dans son petit trou, elle se mis à respirer fort, son plaisir remontant de plus belle.
      C'est la que je décidais de la prendre.
      Me redressant, la tenant par la hanche, je présentais ma queue raide devant son cul et me frottait contre. 
      Déjà entre ouvert, je n'eu aucun mal à commencer à la pénétrer.
      Elle tourna la tête, yeux fermés dans l'attente de la suite. Je me mis alors à enfoncer mon membre un peu plus...
      Elle respira de façon plus réfléchie, une certaine appréhension compréhensible.
      Alors je ressortais et lui crachais sur le cul. Elle adorait que je la souille de ma salive, lui cracher sur le con lui procurait une sensation d'intense soumission qu'elle aimait particulierement.
      Son cul ainsi lubrifié, je plaçais à nouveau mon chibre devant son trou et y entrait.
      Cette fois, plus aucune résistance, et j'entendais déjà les clapotis  de mes couilles s'écrasant sur sa chatte trempée. Elle etait sur excitée et je savais pertinemment qu'elle n'attendait que ça : se faire enculer.
      Y allant tout doucement au départ, la cadence augmenta assez rapidement quand j'ai vu qu'elle affichait un sourire de satisfaction.
      Je décidais alors que cette séance découverte allait être un baptême du feu et nous verrons combien de temps elle va pouvoir tenir, j'accélérais encore..
      Son visage changea encore, cette fois ci, quelque chose d'intense se passait.
      Plus je la défonçais plus elle semblait proche de l'extase.
      Alors, brisant le silence je lui demandais "tu aimes quand je t'encules hein?!"
      -" ouiiii j'aime ça! J'ai honte mais j'aime ça"
      Ma question et sa réponse eurent un effet fulgurant pour tous les deux.
      Dans un râle de plaisir partagé, nous avons jouis ensemble, me déchargeant dans ses fesses et la remplissant de mon sperme chaud, elle, étouffant son cri, souillée comme elle aimait l'être et satisfaite d'avoir enfin pu se faire prendre par là où elle n'avait jamais osée.
       
    • Par fredoRacso
      J'avoue jaime échanger par texto ou téléphone avec des femmes vicieuses ou cochonne...... attention pas le genres de femmes que l'on paye ....... non car celle que l'on paye Travaille et on travaille rarement par plaisir .... je préfère les vicieuses celle qui se caresse par plaisir ...... hummmmmm
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