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Faites des rencontres coquines près de chez vous

brittlacokine

La cuisine 2

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                               Arrivés dans la zone commerciale, il faisait une chaleur étouffante le thermomètre indiquait trente et un degrés, je ne regrettais pas d'avoir garder cette petite robe légère  En passant devant chez But, nous voyons la pub qui annonce des soldes sur les cuisines, nous allons voir, mais je ne trouve rien qui me plaise. Nous quittons les lieux aussitôt, notre second choix se porte sur une grande enseigne nationale. Ici aussi des affiches annoncent des prix coûtants, Nous entrons, il y as la foule des grands jours, au moins cela nous laisse le temps de se faire un avis sur les prestations. En déambulant dans le magasin, ma robe fait son effet, de nombreux hommes se retournent sur notre passage. Au fond du magasin, j'aperçois une copine libertine nous nous dirigeons vers elle, quant une vendeuse nous interpelle :

                             ─ Je peux vous renseigner ?

                               Je lui réponds que, nous jetions un coup d'œil pour le moment, Marie, ma copine nous avait elle aussi vus, elle venait à notre rencontre :

                            ─ Coucou les amis, comment allez vous ?

                            ─ Très bien toi, ton homme t'as laissée sortir seule ?

                            ─ Non il est par là. En dis donc Britt, on voit qu'il fait chaud, tu es plus que légèrement vêtue, et je m'aperçois aussi que ce ne sont pas tes sous vêtements qui vont te tenir chaud, comme d'habitude.Ta robe est très jolie, un peu transparente pour moi, mais toi, je sais que cela ne te dérange pas.

                             ─ Merci, je viens de l'acheter sur le marché, j'en ai même trouvée deux, mais Mark la trouvais trop transparente.

                             ─ Ah bon ? Qu'es ce que cela doit être alors, déjà que celle là, on voit à travers, je n'ose même pas imaginer l'autre.

                             ─ Tu es sérieuse ?

                             ─ Oui, je t'assure que l'on voit grave à travers et en plus tu ouvre bien ton décolleté, tu vas déclencher une émeute.

                                Au même moment,JB son mari nous rejoint et là, même remarque que Marie :

                             ─ Salut les amoureux, waouh les premières chaleurs sont bénéfiques pour la vue, Britt tu es ravissante, ta petite robe est très jolie. Mark, tu es quand même un petit veinard avec Britt tu fais des économies de lingerie.Tu vois Marie, tu pourrais toi aussi mettre ce style de robe de temps en temps.

                               J'étais ravie que ma nouvelle robe fasse autant d'effets, nous avons papoté un moment puis, nous avons repris nos recherches. Mark se tenait souvent en retrait, je lui ais demandé ?:

                              ─ Qu' es ce qu'il te prends, tu à honte de moi ou quoi ?

                              ─ Non, je profite juste de la vue, qui je t'assure est splendide. Quand tu te tiens à contre-jour, c'est magique. Sur le marché, je ne m'était pas rendu compte quelle était si fine que ça, mais c'est pas grave, j'adore voir ton petit cul au travers du tissu.

                                 Nous avion fait le tour du magasin et là, juste à l'entée nous avons vus un modèle qui nous plaisait. Nous regardions la fiche de la dite cuisine, quand un vendeur, c'est adressé à nous :

                               ─ Bonjour, un petit renseignement messieurs dames ?

                               ─ Oui s'il vous plaît, ce modèle nous plaît bien, mais nous aimerions en savoir un peu plus sur la modularité des éléments etc etc ... Mais je tiens à vous prévenir de suite, je suis une emmerdeuse et en plus je suis blonde, j'ai déjà ma petite idée sur la disposition des éléments, alors cela risque d'être un peu long et fastidieux pour vous.

                              ─ Ce n'est grave, j'y suis habitué et si je puis me permettre, une emmerdeuse j'en ais une à la maison alors je suis rodé.

                              Sa réponse nous a fait sourire. Et il a commencé le baratin habituel du vendeur, L'épaisseur des panneaux, le placage, les tiroirs à fermetures automatique etc etc.... En même temps, il matait souvent mon décolleté et mes jambes , pour une fois n'y prêtais pas plus attention que cela, j'étais ici, pour « ma » cuisine, cela faisait trop longtemps que j'attendais.Une fois son baratin terminé :

                              ─ Suivez moi, nous allons essayer de mettre votre projet en situation.

                                Son bureau était juste à coté, nous nous installés. Il a taper sur son pc et commencé ses questions, nom, adresse, téléphone etc ...Il a ensuite pris un bloc notes, maintenant les questions technique :

                              ─ Vous avez les dimensions de votre pièce ? Nous nous sommes regardés avec Mark, il lui a répondu que non mais :

                              ─ Je ne connais pas les cotes au centimètre près, mais je peut le vous dire a peu près, l'emplacement des portes aussi. ─ O.k nous allons essayés.

                                Mark lui a donné le maximum de détails, il griffonnait sur le papier, une fois terminé, il nous a montrer l'esquisse :

                              ─ Cela ressemble çà ?

                                Nous lui avons dit que oui, grosso modo, c'était bon. Il a ensuite reporté tout sur le pc et en voulant faire pivoter l'écran pour nous faire voir le résultat, il a renversé un gobelet porte crayon, un cadre photo avec une femme et un enfant et quelques papiers: .

                              ─ M.... , que je suis maladroit.

                                Nous l' avons aidés à ramasser ses affaires, je me suis accroupis vraiment sans arrière pensées, mais il était juste en face de moi par chance j'avais les cuisses bien serrées il ne pouvait rien voir. En ramassant le cadre :

                              ─ Oh la jolie petite fille, c'est la votre ?

                              ─ Merci, oui c'est notre fille et à coté c'est mon épouse.

                                Au son de sa voix, je l'ais sentit ému et à sa façon de regarder la photo, il avait l'air très fier de ses deux amours. Son bureau remis en ordre Mark lui a proposé :

                              ─ Ne bouger pas.

                                 Il s'est levé, pour passer de l'autre coté du bureau, en voyant le plan de la pièce, il lui a dit que c'était bon.

                              ─ Bon maintenant nous allons passer aux choses sérieuses. Expliquez moi ce que vous voulez exactement. Dit il en regardant Mark.

                                 Celui ci, lui répondit :

                              ─ Maintenant, ce n'est plus de mon ressort, il faut voir avec madame.

                                 Il m'a regardé, en m'interrogeant du regard. Je me suis levée pour venir me placée debout à coté de lui. Je lui ais alors fait part de mes envies, il positionnait les éléments au fur et à mesure de mes choix. Ses yeux plongeaient de temps à autres dans mon décolleté et à chaque fois ses yeux regardaient la photo de sa femme et sa fille. Le pauvre était perturbé. C'est à ce moment que j'ai décidée, de m'amuser un peu :

                             ─ Cela ne vous dérange pas si je m'assois à coté de vous ?

                             ─ Non non, pas du tout je suis désolé de ne pas vous l'avoir proposé avant.

                               Je me suis donc assise à sa droite, en croisant bien haut les jambes, Mark a tout de suite compris mes intentions, il m'a fait un clin d'œil complice.Tout en lui expliquant ce que je désirais, je croisais et décroisais sans cesse les jambes. Le pauvre type avait du mal à garder ses yeux sur l'écran, à force de faire le bas de ma robe était à la limite de ce que la morale réprouve. Je l'ais remise ne place en me tortillant sur le siège,il ne pouvait pas se concentrer sur son travail. En plus, je me suis mise à faire la pénible :

                             ─ Non pas comme cela, le meuble four plus à droite, celui je pense qu'il serait mieux ici....

                                 Il ne répondait pas, mais matait toujours mes cuisses et moi je continuais de gesticuler jusqu'à ce qu'il craque :

                             ─ Je pense que comme cela, nous n'allons pas y arriver, je vous propose de voir directement sur place. Se sera plus simple et au moins j'aurai les bonnes dimensions.

                                 Mark lui à alors dit :

                             ─ C'est vous le professionnel, si vous pensez que c'est plus simple, nous cela ne nous pose pas de problèmes. Mais pour caler un rendez-vous, cela ne vas pas être facile. Il a consulté son agenda :

                             ─ Vous êtes pressés, ou cela peut attendre ?

                             ─ Pressés, pas vraiment, mais le plus rapidement possible.

                             ─ Je pourrais ce vendredi, vous avez de la chance, le client vient de me m'annoncer son désistement ce matin. le seul petit hic se serait le matin à neuf heures trente, cela ne vous dérange pas ?

                             ─ Je pense que je pourrai me libérer, en plus un vendredi cela tombe plutôt bien,le week-end sera plus long. Au pire des cas, mon épouse sera là, et comme c'est « sa cuisine », sa présence est plus importante que la mienne.

                             ─ O.k je prends note, vendredi neuf heures trente, Mr et Madame......., pour plan de disposition cuisine.C'est noté .

                                 Nous nous sommes levés :

                             ─ Bon week-end à vous, au revoir et à vendredi.

                             ─ Merci, à vous aussi à vendredi.

                                 Il s'est remis assis, et à plongé le nez dans ses notes, nous nous sommes arrêté devant la cuisine, pour nous assurer que notre choix était le bon, j'en ais alors profiter pour en remettre une petite couche en me tenant debout, jambes légèrement écartées face à la baie vitrée, avec le soleil qu'il faisait, la vue devait être sympa. Le type, matait du coin de l'œil en feignant de téléphoner. A l'extérieur, il faisait une chaleur étouffante, Mark m'a demandé ce que je voulais faire :

                             ─ Avec cette chaleur, je n'ai envie de rien, même pas faire les boutiques, nous n'avons qu'a rentrer à la maison, pour faire un plouf dans la piscine. Qu'en pense tu ?

                             ─ Moi cela me vas, l'idée me plaît bien. J'aurai droit à une petite gâterie ?

                             ─ Nous verrons bien, si tu es sage pourquoi pas.

                                Une fois dans la voiture :

                            ─ Tu n'as pas pu t'en empêcher, d'allumer ce pauvre vendeur.

                            ─ Franchement, se n'était pas prémédité comme d'habitude, mais sa réaction quant-il a parlé de sa femme et sa fille avec son air de sainte ni touche, m'a incitée à m'amuser un peu. Tu as bien vu que je n'ai pas insisté, de plus c'est pas vraiment un beau mec. Mais son petit air sérieux ne me déplais pas.

                            ─ Toi je te connais, à t'entendre je pense que tu t'enverrais bien en l'air avec lui quand même.

                            ─ Faut voir, peut être bien que oui, peut être bien que non.

                                Arrivés à la maison, nous nous sommes déshabillés et avons plongé dans dans la piscine, c'était super agréable avec cette chaleur. Après quelques brasses, je me suis allongée face au soleil sur mon matelas gonflable, bras et jambes en croix, pour peaufiner mon bronzage. Mark m'a enduit le corps d'huile de monoï, il en profitait pour me titiller les tétons et me couvrir le corps de caresses.Le coquin voulait un câlin, cela ne faisait aucun doute, il s'est glissé entre mes jambes pour me manger le minou comme il sait si bien le faire. Il est de loin le meilleur lécheur que j'ai pu rencontrer, il m'a fait jouir rien que par ses léchouilles. Quel plaisir de jouir ainsi offerte nue aux rayons du soleil!! Il m'a alors proposé tendrement :

                            ─ Tu veux quelque chose à boire ma chérie ?

                            ─ Ce n'est pas de refus, avec cette chaleur.

                               Quelques minutes plus tard, je l'entendit m'appeler j'ai levée la tête, il était couché sur les escaliers de la piscine, un verre dans chaque mains, son sexe tendu sortait hors de l'eau. Je me suis retournée à plat ventre sur le matelas pour lui faire face, de mes mains j'ai effectuée des petits mouvements pour m'approcher lentement de lui. Ma bouche s'approchait lentement de l'offrande qui dépassait hors de l'eau, mes lèvres se sont posées sur son gland brillant. S'en suivit une fellation gourmande dont je raffole, sentir sa queue se durcir dans ma bouche, me procure des sensations indescriptibles.Ce coquin me dit alors :

                            ─ Avoue que tu aimerais que cette queue, soit celle du vendeur ? Je suis sûr que cet après-midi, tu t'es demandée si il était bien monté ?

                               Ces paroles m'ont ramenée au moment où le vendeur matait mes cuisses, pour ensuite regarder la photo posée sur son bureau. Et ce qui ne m'avais pas effleuré l'esprit à ce moment là, à soudain envahit mes pensées. Ce n'est le genre de mec sur lequel, je ne me retournerais pas, mais son coté bon père de famille et mari fidèle, je dois l'avouer m'as quelque peu fais craquer. Et à entendre mon homme me dire ce genre de chose, ne me laissait pas sans réactions, car je m'affairais davantage sur son membre dressé. Ce coquin s'en est vite aperçu et à plusieurs reprises il a fait participer virtuellement le vendeur à mes caresses buccale. Mon excitation était telle que j'ai arrêtée de le sucer, je suis descendue de mon matelas pour venir m'empaler sur son sexe tendu. J'imprimais un rythme soutenu, mon sexe avalait littéralement son membre qui venait buter au fond de mon ventre, j'étais à deux doigts de l'orgasme quand :

                            ─ Tu vois, je le savais qu'il t'avais émoustillée, je l'ai vu dans ton regard. Je pensais même que tu allais le chauffer plus que cela. Je te connais trop bien petite cochonne.

                               Je me suis retirée pour me mettre à quatre pattes en haut des escaliers, en demandant à Mark de me prendre en levrette. Lorsque ses mains se sont posées sur mes hanches, un long frisson m'a parcouru l'échine, ensuite il a posé son gros bâton de chair sur ma croupe tendue, en simulant la pénétration. Connaissant mon chéri sur le bout des doigts, je savais qu'il voulait me faire mijoter avant de me prendre, son membre glissait au creux de mes reins, ses bourses effleuraient mes fesses. Il ne disait pas un mots, lui qui d'habitude dans cette position aime proférer des mots salaces à la limite de la vulgarité, qui je dois l'avouer m'excite beaucoup, je raffole de me faire « humilier par les mots pendant nos rapports », mais là rien, le silence total. Seul le chant des cigales résonnait autour de nous quand soudain :

                               ─ Alors ma petite cochonne, imagine que nous ne soyons pas que tous les deux, si le vendeur était là, que ferait tu ?

                                 Je ne répondis pas à sa question, mais j'avais le feu dans le bas ventre. C'est alors que ma croupe se mit, de façon incontrôlable à onduler indécemment, je l'imaginait venant vers moi nu, son sexe mou à la main pour l'offrir à mes lèvres. Mon imagination c'est alors mise en route, je décalottais son membre pour en faire apparaître le gland, la pointe de ma langue parcourait son sillon et doucement mes lèvres se refermait sur le lui, je le sentait durcir à l'intérieur de bouche, je le masturbais du bout des doigts, je prenais un plaisir fou à sucer ce sexe imaginaire, mais la voix de mon chéri, m'a faites redescendre sur terre:

                               ─ Tu ne me répons pas, je dois prendre cela pour un oui ou un non ? Mais à ta façon de bouger, je pense plutôt que c'est un oui ? Je me trompe ?

                               ─ Oui, non plutôt non, tu ne te trompe pas, je m'occuperais de lui sans doutes ? Tu es quand même infernal, cet après-midi au magasin, à aucun moment je n'ai eu de pensées sexuelle, mais maintenant oui. Je m'occuperai de lui plus tard, pour l'instant, il n'y a que toi, alors prends moi .

                               ─ Vos désirs sont des ordres Madame, me dit-il avec ironie, et en m'administrant une petite claque comme je les aimes, sur les fesses.

                                  Il fit descendre lentement son sexe le long de ma raie, arrivé contre mon abricot gonflé, le coquin tapotait mes lèvres de son gros membre, je n'en pouvais plus, j'avais envie de le sentir en moi. J'ai alors passée une main entre mes jambes, pour m'en saisir, j'ai appuyée son gland à l'entrée de ma vulve et d'un coup de reins rageur, je l'ai fait plonger au plus profond de moi dans un long râle de plaisir. Mark se mit à me pilonner sans vergogne, ses bourses claquaient contre mes fesses, je me mordais les lèvres pour ne pas ameuter les voisins. En équilibre sur un bras, je branlais mon clito en érection, je sentais la jouissance venir. Mon chéri c'est alors retiré pour répandre sa semence sur ma croupe,la chaleur de son liquide chaud, m'a procurée un violent orgasme, mon vagin se contractait de plaisir, je me suis alors étalée sur les lames de bois chauffées par le soleil. Mon chéri comme à son habitude, venait de me procurer un immense plaisir, c'est vrai qu'il est amant hors pair. Quelques minutes plus tard, il essuyait le foutre qui m'acculait ma peau halée, nous sommes allés prendre une bonne douche, pour nous remettre de nos émotions. Il était dix neuf heures trente quand nous sommes sortis de la salle de bains, c'était l'heure de l'apéro. Je sortis une bouteille de rosé du réfrigérateur, un petit verre de rosé et toujours le bien venu après l'effort. Et ne me sentant pas d'humeur à cuisiner, ni à sortir dîner à l'extérieur, nous avons commandés des pizzas. Calés devant la télé en mode détente, nous avons mangés tranquillement, toutes nos discussions revenaient irrémédiablement sur la cuisine. Le repas terminé et la table débarrassée, il a ressortit le dossier pour essayer de peaufiner l'esquisse réalisée cet après-midi. Nous ne tombions jamais d'accord sur l'emplacement des éléments, mais il fallait tout de même arrivés à se mettre d'accord. T'en bien que mal, après plus de deux heures de palabres, nous avons réussis à nous entendre, mais quelques petits détails restaient flous, je lui ai alors dis:

                                ─ Arrêtons de nous prendre la tête pour ce soir, demain il feras jour et d'ici vendredi, tu sais très bien que je vais encore changer d'avis.

                                ─ Tu as raison, pensons plutôt à nous.

                                 Il rangeaient les différents papiers dans le dossier, quant-il a éclaté de rire. Je l'ai regardé interrogative:

                               ─ Qu'es ce qu'il te prend , tu deviens fou ?

                               ─ Non, c'est juste que je viens de trouver la carte du vendeur, devine comment il s'appelle ?

                               ─ Alors là, vraiment aucune idée, c'est comment alors ?

                               ─ Auguste !

                                  Et là, nous sommes tous les deux partis dans un fou rire mémorable, Auguste c'est le prénom d'un de nos amis d'enfance et ce pauvre Gugus, comme tout le monde l'appelait était ce que l'on peu appeler un souffre douleur. Le pauvre n'avait pas un physique avantageux, il portait des lunettes avec des verres super épais et pour couronner le tout, il avait le visage couvert d'acné. Mais au delà de cela, il était très sympa et nous étions souvent ensemble, Mark à plusieurs reprises avait prit sa défense quand les autres insistaient trop. Nous sommes d'ailleurs restés en contact et quand Gugus, passe dans la région seul ou avec sa femme et ses enfants, nous nous faisons un plaisir de les accueillir.

                              ─ Tu comprend ma surprise, quand j'ai lu sa carte, je t'imaginais en train d'allumer notre Gugus national.

                              ─ Ce n'est pas drôle, et « l'Auguste » de cet après-midi s'en vouloir être moqueuse est quand même mieux.

                                C'est sûr que « notre » Auguste, jamais je ne m'amuserais à cela avec lui, mais le petit vendeur pourquoi pas après tout. Et voilà le sujet était lancé, je repensais à la scène de la piscine, et me voilà repartie à fantasmer sur lui. Mon chéri n'arrêtait pas de me charrier et moi je continuais à imaginer tout et n'importe quoi et soudain :

                              ─ Tu m'as bien chauffée avec le vendeur, alors tu vas voir, vendredi je vais m'occuper de lui. Et cette fois-ci, c'est moi qui vais mettre en place le scénario, tu n'y vois pas d'inconvénients?

                                 Mark, me répondit que non, et qu'il attendait de voir comment j'allais m'y prendre, je dois avouer qu'a ce moment là, je n'en avait aucune idée, mais j'avais la semaine pour y réfléchir. M on coquin de mari c'est alors glissé entre mes jambes pour me lécher, nous avons passés notre soirée à faire des galipettes sur le canapé.......

 

 

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Invité

Oh mais c'est juste sublime cette suite. Merci Britt pour ce délicieux moment de lecture qui a nettement réchauffer l'atmosphère dans l'est de la France ;)

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:)

hate d'etre à vendredi moi aussi

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Invité

Britt tu viens de révéler une nouvelle vocation chez les mâles du forum.... cuisiniste :D

 

 

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j'attends le vendeur, le poseur et le plombier, mais aussi l'électricien:D

ça fait des corps de métier ça!!

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oui, il faut que je corrige et je mets en ligne, demain si tout vas bien.

 

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Invité

On serra là au RDV :) 

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Invité

chouette vivement la suite ;)

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une fois ta cuisine installée, j'ai hâte de partager quelques recettes avec toi

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