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Guest Calista

Visiteur d'un soir

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Invité

C'était un soir d'été, la nuit était tombée et il faisait encore très chaud. Je venais de mettre mes enfants au lit et me retrouvais enfin seule, au calme. Je décidai de me faire couler un bain frais dans mon jacuzzi. J'ouvris le Velux qui se trouvait au-dessus de la baignoire et laissai ainsi entrer la douce brise mêlée au chant des cigales entrer dans la pièce. Quelle merveille pensai-je, j'aimais cette douce mélodie nocturne où tous les bruits sont plus exacerbés et les insectes inspirés. De là, je pouvais admirer le magnifique ciel étoilé. J'allumai une grosse bougie à la vanille et fit couler l'eau tempérée en y ajoutant des sels parfumés au Jasmin. En quelques secondes, j'eus l'impression d'être transportée sur une île des Caraïbes. Je descendis au salon, choisi un CD et avant de remonter, me servis une coupe de champagne. Voilà qui me tiendrait agréablement compagnie sous la voute étoilée. Je traversai ma chambre, déposai son peignoir et entrai dans la salle de bain. Je plaçai le CD dans la chaîne HI-FI et aussitôt la voix suave de Gloria Estefan s’éleva dans la pièce. J'avais une passion pour la musique et les rythmes cubains en particulier. Sans plus attendre, je me glissai dans l'eau parfumée.

Je fermai les yeux et bu une gorgée de champagne, que je laissai couler lentement, me délectant de ses petites bulles fraîches et pétillantes. A tâtons, j'appuyai sur le bouton qui commandait les jets du jacuzzi et l'eau se mit à bouillonner. Mes muscles commençaient à se relâcher quand la sonnerie stridente de la porte d’entrée se fit entendre, déchirant ainsi la douceur paisible de la nuit.

 

Qui pouvait bien sonner à une heure aussi tardive me demandai-je. J'espérais secrètement que ce n’était pas un policier venant m'annoncer une mauvaise nouvelle. Mon mari était en voyage d’affaires et bien qu'il ne m'eut pas donné de nouvelles de la journée, je ne voulais pas penser au pire.

A contrecœur, je sortis de la baignoire et enfilai en vitesse mon peignoir de soie resté sur le lit. Je descendis le grand escalier et ouvris la double porte.

Un homme d’une cinquantaine d’années, de stature imposante se tenait sur le perron.

Il se présenta rapidement et s’excusa du dérangement quelque peu tardif.
Tout en resserrant mon peignoir contre mon corps nu et trempé, J'articulai un timide et presque inaudible « bonsoir ». Je ne me sentais pas vraiment à l’aise face à cet homme taillé comme un GI, pourtant quelque chose en lui, me provoqua quelques délicieux frissons.

Il sentit ma gêne et mon désarroi, aussi il recula d’un pas, pensant m'avoir effrayée 

 

- Je suis agent de sécurité, voici ma carte, me lança-t-il. Votre alarme a émis un signal à la centrale, avez-vous un problème me demanda-t-il tout en me détaillant des pieds à la tête.

 

Je fis un signe négatif de la tête, mais devant la carte et l’uniforme de l’employé, je m'effaçai et l'invitai à entrer.

 

- Suivez-moi, je vais vous montrer où se trouve le système d’alarme central.

 

Nous traversâmes le sous-sol en direction du local de chauffage. Je pouvais sentir son regard s’attarder sur mes courbes et une certaine moiteur s'infiltra au milieu de mes cuisses.

Il entra dans le local, lampe torche à la main et commença à manipuler l'appareil en marmonnant des propos incompréhensibles pour moi, restée à quelques mètres en retrait.

Je le vis saisir son téléphone portable et appeler la centrale pour faire un test.

Quand il eut raccroché, il se tourna vers moi et me dit :

-  Rien de grave madame, il y a simplement un problème avec un des détecteurs de mouvement qui semble défectueux. Il va falloir que je fasse le tour de la maison et que je cherche d'où provient le signal. Pouvez-vous m’indiquer leurs emplacements, ainsi le dérangement sera moindre. Etiez-vous sur le point de vous coucher? ajouta-t-il en désignant mon peignoir du regard.

-  Non…non, je prenais un bain lui répondis-je un peu gênée et troublée.

-  Je vous en prie, retournez dans votre bain pendant que je cherche d’où vient le problème et que je le résolve. Je vous tiendrai informée de mes conclusions.

J'acquiesçai et lui indiquai rapidement les endroits où se trouvaient les détecteurs, puis le plantai là et remontai me prélasser dans mon bain. Tout en gravissant les marches, je me demandai si c’était réellement une bonne idée que je me trouve nue alors que l’employé de la sécurité se baladait dans ma maison. Je dus cependant admettre que la vue de ce beau mâle d'âge mûr m'avait quelque peu émoustillée. En me replongeant dans les bulles, je ne pus m'empêcher d'imaginer avec envie, ses mains légèrement calleuses et poussiéreuses me caresser dans l'eau tiède. Soudain, je me rendis compte que ma main avait glissée d’elle-même jusqu'à mon sexe palpitant et que mon index titillait déjà mon clitoris durci par un désir croissant. Cette délicate caresse sur mon sexe épilé était exquise, délicieusement inappropriée au vu de l’intrus dans la maison, mais qu’importe. Pour l'heure, seul mon propre plaisir comptait.
L'idée qu'il puisse entrer et assister à mes caresses m'excita encore d'avantage et mon cœur se mit à battre plus vite dans ma poitrine. Mes seins se durcirent et mes tétons pointèrent hors de l'eau, tel de petites framboises roses et bien mûres.

 

Sous l'effet de l'atmosphère tropicale et musicale ambiante et des buses qui me massaient vigoureusement le corps et les fesses, mes doigts se firent plus pressants et partirent en expédition dans mon sexe offert.

 

"Quel délice !"

L'odeur de la vanille et du jasmin, mêlée à la douce brise qui entrait toujours par le velux ouvert et la voix suave de Gloria me firent perdre la tête. Mes doigts entraient plus profondément, fouillant mes entrailles secrètes.

J'étais sur le point de m’abandonner à une jouissance puissante et salvatrice quand un léger toussotement me fit ouvrir les yeux. Dans les vapeurs du jacuzzi et du champagne qui commençaient déjà doucement à m’enivrer, je m'aperçu que l'employé d’ADT se tenait dans l'encadrement de la porte, gêné, mais ne perdant pas une miette du spectacle que je lui offrais sans le savoir. Sa main maladroite tentait de cacher la bosse qui déformait la braguette de son pantalon de coton.

Je remarquai son air malicieux et son regard aussi troublé que le mien. Nous étions dans une situation des plus cocasses, lui ne pouvait s’empêcher d’admirer ce corps nu, offert à son regard et je ne pouvais détourner le mien du sexe dressé sous la toile foncée de son uniforme.

Le premier, il rompit le silence pesant qui régnait maintenant dans la pièce qui s’emblait de plus en plus exigüe. Il se racla la gorge et passa ses doigts dans l'échancrure de son col pour se donner un peu de contenance et d’oxygène.
 

- Désolé M’dame de vous surprendre, euh de vous interrompre…, enfin de vous déranger, j’étais simplement venu vous avertir que j'avais identifié la panne et trouvé d'où provenait le signal que la centrale avait reçu à plusieurs reprises dans le courant de la soirée. Par contre, je vais devoir rester dans le coin et attendre qu’un livreur m'apporte le module à changer pour pouvoir remettre l'alarme en service et ainsi sécuriser à nouveau votre maison correctement. Cela ne prendra que peu de temps et pour ne pas vous importuner d'avantage, je vais attendre dans la camionnette. Je voulais juste vous informer que je repasserai d’ici une petite heure environ.

 

Ses mots n’étaient pas très convainquant et je m’en aperçus immédiatement.

- Ne pensez-vous pas qu’il y ait un moyen plus agréable de passer le temps ? Ne me dites pas que vous n’avez pas envie de venir me rejoindre dans l’eau et boire une coupe de champagne avec moi.

Je me surpris de mon audace et mis cela sur le compte du breuvage ambré qui pétillait dans ma tête ainsi que sur le changement climatique dû à mon récent déménagement et qui provoquait en moi des envies coquines des plus diverses à assouvir prestement.

 

Avec un dernier zeste de lucidité, je me demandai comment j'avais pu faire des avances aussi directes  à cet homme d’âge mûr qui sans sa tenue de travail ressemblait plus à un prêtre austère qu’à un homme attiré par une femme aussi peu vêtue que je ne l'étais.

Je le fixai droit dans les yeux et du bout de l'index, lui fit signe de s'approcher.

- Je pense que nous allons pouvoir patienter une petite heure de manière plus agréable, vous ne pensez pas ? Champagne ?

- Cela aurait été avec plaisir, mais n’oubliez pas que je suis en service.

- Allons, lui répétai-je. Cela restera entre vous et moi, personne n'en saura rien, détendez-vous, vous êtes au bord de l’asphyxie.

- Ok alors juste une gorgée pour vous accompagner et pour me faire pardonner de vous avoir déranger en plein….

 

Sa phrase resta en suspend.

- Ne vous faites pas de soucis, c’est plutôt moi qui devrait m’excuser et me sentir gênée non ? Pourtant, voyez-vous, je savais que vous pourriez me surprendre et cette idée mettait un peu de piment à mes caresses. Le spectacle vous a plut ? Ajoutai-je avec un clin d’œil moqueur.

- Oui, bien évidement, ce n’est pas tous les jours que nous avons des dépannages aussi… agréables oserais-je dire.

 

Je lui tendis le verre et me levai, faisant ruisseler l’eau et la mousse sur mon corps légèrement hâlé.

Je tendis le bras  et l’attirai doucement vers moi en le tirant par la ceinture en cuir marron de son pantalon. Une fois à ma portée, je commençai à déboutonner sa chemise de service sur laquelle était brodé son prénom. Arrivée au dernier bouton, j'en écartai les pans et remontai le long de son torse en le caressant du bout des ongles.

 

Il avait la peau douce et très peu de poils, un torse un peu musclé, juste comme je les aimais. Arrivée sur ses épaules, mes mains firent glisser la chemise qui tomba sans bruit sur le tapis de bain moelleux. Je me mis à le caresser doucement, délicatement, dessinant des arabesques invisibles. J'approchai ma bouche vers le creux de sa clavicule et commençai à le mordiller, remontant le long de son cou. Quelques râles rauques s’échappèrent de sa bouche qui se transformèrent très vite en gémissements d’impatience. Il dégrafa son pantalon qui tomba à ses chevilles et rejoignit la chemise froissée. Je baissai les yeux et admirai son sexe encore prisonnier de son caleçon noir. Le misérable bandait et ne demandait qu'à sortir.

 

Je laissai mes doigts manucurés, palper et soupeser l'objet de ma convoitise et je ne pu que constater le plaisir que la vision de mon corps nu provoquait en lui. Je l'aidai à finir de se dévêtir puis l'attirai lentement dans l'eau contre moi. Nos corps étaient proches mais ne se touchaient pas encore.

 Il me dépassait d’une bonne tête et sa stature ainsi nue, en imposait. Il me regarda, puis ses yeux se fixèrent sur ma bouche agréablement ourlée et s'en empara avec empressement. Sa langue impatiente explorait ma bouche avec une avidité presque brutale, ce qui me fit penser qu'il n'avait pas touché une femme depuis quelques temps déjà. Il me serra contre lui et je pouvais sentir les battements rapides et désordonnés de mon cœur. Il plaqua ses mains sur mes fesses callipyges et je sentis son érection contre mon ventre.

Il me poussa doucement en arrière en appuyant sur mes épaules ; en quelques secondes, je me retrouvai assise dans le jacuzzi, Earl se glissant entre mes jambes pour me les écarter et avoir enfin une vue plus détaillée de mon sexe dont les lèvres imberbes invitaient aux caresses buccales les plus coquines. Il m'avoua que c'était la première fois qu'il était sur le point de baiser une fille aussi jeune au sexe complètement épilé. Son gland turgescent trahissait son envie de passer à l’acte sans plus attendre mais visiblement, il avait envie de découvrir, de jouer avec cette chair fraîche que je lui offrais sans retenue.

 

Il se conduisait comme un petit garçon devant un sapin de Noël sous lequel il a déjà repéré le cadeau de ses rêves. Ses yeux pétillaient de malices, de désirs et ses gestes trahissaient son impatience grandissantes, mais également un certain stress de ne pas paraître ridicule à mes yeux. Il devait se dire qu'il fallait assurer maintenant qu'il s'était laissé entraîner.

Il m’agrippa à nouveau sous les fesses pour faire apparaître hors de l'eau mon sexe qui ressemblait à un abricot mûr et juteux. Il s'avança en direction de mon clitoris et le saisit à pleine bouche. Il me mordillait doucement et déjà j'haletais de plaisir.

Il avait l'air d'avoir déjà bien roulé sa bosse en matière de sexe, pensai-je, car ses caresses buccales étaient expertes et il savait titiller mon intimité avec précision et avidité. Il s’en délectait comme un affamé, passant le bout de sa langue dans le moindre repli, débusquant le petit bout de chair rose qui semblait déjà prêt à exploser de plaisir. J'étais trempée et ma liqueur commençait de ruisseler sur le menton d’Earl. Il me pénétrait de son index, avant d’y ajouter un deuxième puis un troisième doigt qui vint rapidement rejoindre les deux précédents. Mes gémissements se firent de plus en plus sonores, j'aimais cette intrusion musclée. Mes seins dressaient fièrement hors de l'eau comme deux torpilles prêtent au lancement et mon ventre ondulait au rythme des entrées et sorties des doigts puissants qui me labouraient le sexe. Dieu que c’était bon pensai-je en appuyant sur la tête de l’employé pour qu’il s’empare d’un de mes tétons bandés à l’extrême. Les aréoles étaient froncées et me faisaient presque mal. Il ne se fit pas prier et mordilla ce minuscule bout de chair rosé, le faisant rouler sous sa langue, l’aspirant et le suçotant. Mes seins étaient ronds et lourds et visiblement, il aimait les voir réagir sous ses caresses.

 

Soudain, il saisit une coupe de champagne et la versa sur mon sexe qui tressaillit. Les picotements que produisirent le liquide me firent frissonner et Earl reprit son lapement de plus belle, dévorant littéralement mon sexe doux et alcoolisé.

 

Je me mis à jouir et il continua à déguster ce liquide ambré mêlé de liqueur intime.  C'était si bon que je désirais moi aussi le faire jouir à son tour.
Du bout de mon index, je le repoussai pour qu'il s'appuie contre la baignoire, puis m'emparai de ce sexe qui attendait lui aussi sa part de jouissance. Lentement, je le fis glisser entre mes seins blancs avant de le prendre à pleine bouche. Mes lèvres glissaient le long de son membre, en exerçant des va et vient lents puis plus rapides. Il était déjà sur le point d'exploser et il me demanda de remettre sa queue entre mes seins. Il explosa sur ma poitrine, se rependant sur ma gorge tendue.

Il m'attira contre lui et s'empara de ma bouche dans un long baiser tendre. Comme s’il voulait me remercier pour le moment que nous venions de passer tous les deux.

Nos lèvres restaient soudées et ne semblaient pas vouloir se séparer. Ils devenaient de plus en plus profonds, plus passionnés et plus violents. Nos dents s'entrechoquaient et nos langues dansaient une véritable sarabande endiablée. L’alchimie opéra et au bout de quelques instants seulement, le sexe du quinquagénaire reprit de la force et de la vigueur ; Je le regardai se dresser avec envie. L’envie de m'empaler sur lui fut la plus forte. Je pris appui sur le rebord de la baignoire et me mis à califourchon sur lui, laissant cette longue tige épaisse me pénétrer toujours plus profondément. Je lui imposai  mon rythme et à le voir la tête rejetée en arrière les yeux fermés, il appréciait lui aussi le traitement que je lui infligeais. Je resserrais les muscles de mon vagin, je voulais le sentir me pénétrer jusqu’au fond de mes entrailles, je voulais garder son empreinte au fond de ma chatte à nouveau trempée.

 

Il n’allait pas tarder à jouir pour la seconde fois. Il s’agrippa à mes seins et en les malaxant, les pétrissant, il en dessina les courbes tout en agaçant de ses pouces, les tétons encore érigés.

Il partit si violemment au fond de moi qu’une vague de frissons semblait le parcourir le long de la colonne, Il cherchait son air et serrait les dents comme si des petites décharges électriques les agaçaient.

“Ding dong” un son strident déchira la magie de l’instant.

- Merde mon collègue !! S’exclama Earl.

On l'avait complètement oublié celui-là. Nos yeux se croisèrent et après un dernier baiser,  je fus la première à sortir de l’eau. J'enfilai mon peignoir, laissant ainsi le temps à mon nouvel amant de se sécher, de se vêtir et de redescendre sur terre.
 

Quand Earl arriva près de la porte, son regard trahissait le moment qu’il venait de passer au premier étage. Son collègue fit mine de ne s’apercevoir de rien et ensemble, ils descendirent réparer l’alarme.

Moi, je remontai et passai un short en jeans et j'entrai dans la salle de bain, je fus surprise de trouver un numéro de téléphone inscrit sur le miroir embué. Je reconnus le ton brun de mon rouge à lèvres. Je le rentrai immédiatement dans mon téléphone portable et nettoyai le miroir pour ne laisser aucune trace de ce délicieux passage.

 

Quand je redescendis, je croisai Earl dans l’entrée. Il était appuyé contre la porte de la buanderie et me regardait à la dérobée.

Je dois partir, mais n’hésite pas à m’appeler en cas de panne ou pour toute autre raison ajouta-t-il en me lançant un clin d’œil.

 

Un dernier et presque chaste baiser et il disparut dans la nuit. Je regardai les phares s’éloigner dans la rue et refermai la porte. Ce moment avait été intense et très agréable, je ne l’oublierais pas de si tôt. Dans ma tête, germait déjà des scénar pour le faire revenir au plus vite.

 

 

 

 

 

 

 

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Waouhhhh!  j'ai beaucoup aimé  et ne suis pas resté insensible en te lisant.  :clap::good:

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Génial, j ai adoré très agréable à lire

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Invité

Merci pour vos commentaires, je suis ravie que ce récit vous plaise. C'était un de mes premiers.  :)

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Merci pour vos commentaires, je suis ravie que ce récit vous plaise. C'était un de mes premiers.  :)

Si c'est un des premiers récits, c'est qu'il y en a d'autres a découvrir, si je comprends bien ...

Donne nous  vite, de la  lecture ! 

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Une petite perle sur FI.

 

J'ai lu tes mots jusqu'au bout

J'ai bu tes paroles jusqu'au bout du calice

C'est un vrai délice

 

Superbe

Encore

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Merci pour ton récit...si excitant ! Quel plaisir ;-)

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Comme piewy, j'ai tout lu. Alors comme ça, tu te prévois en bain en solitaire avec parfums exotiques, musique et champagne ?

Je n'ose pas imaginer ce que tu aurais prévu pour un bain à deux.  ;)

Gros bisous coquine

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Comme piewy, j'ai tout lu. Alors comme ça, tu te prévois en bain en solitaire avec parfums exotiques, musique et champagne ?

Je n'ose pas imaginer ce que tu aurais prévu pour un bain à deux.  ;)

Gros bisous coquine

J'aimerai aussi qu'elle l'imagine et qu'elle l'écrive

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Invité

J'aimerai aussi qu'elle l'imagine et qu'elle l'écrive

Qui sait !!!  ;)

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Invité

Merci pour vos commentaires.

 

Ma douce, tout dépend de qui se baignera avec moi...;)

 

:momotte:

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Invité

Reconversion en vue BS ?  :D

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Non merci, je suis content d'avoir plein de cordes dans mon taff. ^^

Ceci dit...

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Invité

Cali c'est une délicieuse perle que tu as déposée ici, je te connaissais lectrice , je te découvre rédactrice d'un texte tout en sensualité et chaleur (humide ;-) )

Juste un énorme merci :)

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Invité

Merci LN... Bisous

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J'accepte volontiers de partager avec toi ce bain, la musique, le champagne, et la nuit d'amour qui pourrait devrait s'ensuivre. Mais si quelqu'un se manifeste à la porte, par pitié, laisse-le sonner. :bisous6:

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une envie subite d'aller prendre un bain!! moi :D

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Allez hop hop , prenez votre ticket et attendez "sagement" vote tour (ou tout du moins essayez)

Je vous laisse mon numéro de tel ? C'est moi qui tient le planning des rendez-vous ... mdr

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Invité

Merci pour vos adorables commentaires, c'est un véritable plaisir de vous lire. 

 

@ Orchidée.... voilà qui me donne matière à écrire une histoire et promis on n'ouvrira pas à l'importun.  :bisous6:

 

@ Sam... Piewy était là avant alors comme le dit si bien Moira.... attend ton tour. Codem y a de la concurrence, heureusement il n'y pas pénurie d'eau, pour le moment  :D

 

@ Moira, toujours aussi serviable, je veux bien te prêter mon jacuzzi, je laisse les clés sur la porte  ;)

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Me voila une sacrée  concurrence  pour  mes tickets-bains !!!

 

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Invité

Me voila une sacrée  concurrence  pour  mes tickets-bains !!!

Tu as l'avantage du lieu Codem, Gironde versus Franche Comté, y a pas photo.

 

Je peux avoir un ticket pour tester ta baignoire ?

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Il y a des privilégiés moi je vous dis ... mdr

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      Et un jour on rencontre sa Némésis, le sentiment ultime, la plénitude par un simple contact, une simple vue, un sous entendu.
       
      Je fouillais dans les tiroirs de ma mère (ne faites pas les innocents, qui ne l'a pas fait !) et je suis tombé sur ces 2 voiles si léger. J'ai tiré dessus et je les ai vu s'étendrent sous mes doigts. Le glissement de cette étole sur mes doigts, ma main, mon bras, ....
       
      Je venais de le découvrir, le nylon, la douceur d'une culotte en satin, le maillage d'un tissus travaillé, l'épaisseur d'une feuille de papier, le sentiment de la peau sous ma main. Au début ce seul contact suffit, il intrigue, étonne, capte l'attention et l'excitation, il devient le catalyseur d'un plaisir coupable.
       
      Cette première fois le simple toucher m'a suffit, je les ai repliés et rangés. Ensuite je suis reparti pour satisfaire mon plaisir charnel et la simple pensée m'a suffit pour jouir. La jouissance de cet âge, ou seul un petit filet incolore d'un liquide encore inconnu apparait au bout d'une verge source d'autant de complexes.
       
      Et les jours passent, à chaque fois, chaque contact de ma main sur mon sexe, chaque pensée érotique, je le retrouve. Le plaisir des yeux face a une femme qui le porte, admirer ses jambes gainées de ce tissus qui érotise n'importe quelle situation. Ce voile simple, couleur chair, que l'on trouve à la fois inutile mais indispensable.
       
      Vient enfin le moment, celui où l'on retourne le chercher, celui de l'approche furtive, le stress, le coeur qui bat la chamade, l'oreille aux aguets pour entendre un bruit de porte qui s'ouvrirait annonçant le retour des parents et la fin de cette quête chevaleresque du plaisir. S'approcher, ouvrir le tiroir en bois, calmement, doucement pour ne pas le faire grincer trop fort. Soulever les quelques culottes et enfin le voir, ce voile, cette fine maille. La prendre dans ses mains, sensation électrique, le frisson. Faire une pause dans le silence de la maison, pousser calmement le tiroir et l'emmener doucement dans sa grotte, son antre, sa chambre, son lit.
       
      Enfin nu avec cet objet, le glisser sur son corps, jouer avec l'élastique, le tout d'une seule main bien entendu. Découvrir le contraste du plastique des bas autofixants sans comprendre encore à quoi sert cette bande. Faire glisser ces bas sur son torse, ses bras, s'approcher ... et enfin le toucher, du bout d'un bas ou d'un collant, sentir la divine caresse du nylon sur son sexe encore jeune et incontrôlé... Sentir la jouissance monter, les vagues se répandrent dans son corps, les coups de boutoir du plaisir qui descend inexorablement vers cette zone bouillante. Et enfin l'instant de magie, le corps se contracte, le cerveau libère des doses incroyables d'hormones, de phéromones, les membres frissonnent, le sexe palpite... 
       
      Quelques secondes hors du temps, du monde, des problèmes de la jeunesse, du risque de se faire attraper,.... Laisser son corps revenir à lui calmement. Sentir chaque parcelle de ce corps si bizarre et pourtant, à cet instant, si parfait. Se redresser et faire le chemin inverse doucement pour ranger cet honteux objet de plaisir.
       
      Voulez-vous la suite de cette découverte ?
    • Par diaoulruz
      Bonjour,
       
      Je me lance, j'adore les récits érotiques, je vous lis très souvent et que de bonheur. A mon tour de me lancer, d'en écrire un, j'espère que vous serais indulgent avec moi. Excusez moi d'avance pour les fautes :$.
       
      Je me présente, Cédric (nom imaginé) 22 ans, un bon brun de 1m80. Physique tout a fait normal, pas de musculature abondante .
      Les yeux vert, ce qui attire beaucoup les femmes.
       
      Je voulais changer de téléphone et acheter pour la première fois un IPhone. Je me met à la recherche sur internet d'un téléphone neuf, mais waaaaouw les prix sont hors de budget .
       
      Déception.
       
      Je me dis que peut etre sur le Bon Coin il y aura une offre prés de chez moi intéressante.
       
      plusieurs jours de recherche, quand soudain une belle offre tout prés de chez moi.
       
      quelques échanges par mail, pour convenir d'un rendez-vous.
       
      Une jeune femme qui vendais son IPhone pour acheter la gamme au dessus. Nous convenons d'une rencontre dans Parc de la ville.
       
      18H, plein de monde dans le parc..... merde comment je vais la trouver.
       
      Soudain j'aperçois une belle jeune femme, qui regarde par tout aussi, ca doit être elle. Habillée d'une jupe asser courte et d'un top mettant de bon atout en valeur. Chuuuuut faut rester sérieux.
       
      Je m'approche, lui dis bonjour. nous entamons la discussion et elle me présente son téléphone. déjà que pendant la discussion j'essayer de la regarder dans les yeux, mais sont décolleté montrais de belle chose, c'est duuuur. Coup fatal pour me montrer le téléphone, elle se penche dans son sac le prendre et j'aperçois son string dépassé de la jupe. Aiiiiie, commence a m'éxité.  
       
      Je me reconcentre et me focalise sur le téléphone. Comme je sortais du boulot je n'avais pas pu retirer la somme d'argent, donc je le réserve et propose de le prendre le lendemain.
       
      Elle accepte et me donne son adresse pour venir le prendre chez elle.
       
      A demain qu'elle me dis avec un grand sourire.
       
      Le lendemain je me présente devant sa porte, j'avais plein d'idée en tête. Je me dis que non il faut pas penser a tous ca et que je viens juste prendre mon portable et je repart.
       
      Je sonne, elle ouvre la porte et là.....
       
      Elle apparait, en robe rouge, magnifique. Ca robe arrive a mi-cuisse, toujours avec un très beau décolleté..... sans soutien-gorge cette fois-ci.
       
      Mon excitation recommence de plus belle, j'arrive plus a me concentrer.
       
      Elle propose un café, j'accepte.
       
      On discute un peut et faisons connaissance autour d'un café, échangeons sur l'IPhone.
       
      mais pendant la discussion, je sais si elle faisais exprès mais j'ai pu voir son string 2 ou 3 fois lorsqu'elle bougeais les jambes.
       
      Je ne peut pas cacher mon excitation à travers mon pantalon qui forme une belle bosse.
       
      café finis, les affaires sont conclus, je me lève pour partir. Lorsque je me lève la bosse dans mon pantalon est flagrante.....
       
      Elle me fais remarquer: Dis donc tu est forme.... qu'est ce qui te fais ca.
       
      Gêné... : Excusez moi, mais ce jolie corps de femme dans une petite tenue comme ca, je ne peut pas contrôler..... je vais partir.
       
      Elle me fait un grand sourire et me dit : Tu est pressé ?   Je peux peut être voir ca....?
       
      Waaaaouuw ..... je reste quelque seconde figé sur place..... puis répond: Non, j'ai le temps.....
       
       
      Elle s'approche de moi, et dépose un baiser sur ma bouche..... puis m'invite sur le canapé.
       
      je repose mes affaires et m'installe prés d'elle.....
       
      Nous continuons à discuter, la discussion cette fois-ci tourne autour de nos relations amoureuses et sexuelles .... qui de chaque coté sont très calme....
       
      pendant la discussion, ma main est posé sur sa cuisse..... je caresse doucement......
       
      Plus la discussion continu, plus elle remonte..... elle remonte la jupe avec.
       
      Arriver un moment j'aperçois se jolie string en dentelle noir.
       
      Je lui dit : Tu as de jolie goût en sous vêtement.
       
      Elle répond : Ha oui..... et toi tu as une belle chemise qui laisse apparaitre un bon tors..... attend.....
       
      Elle commence a déboutonner ma chemise....puis embrasse mon tors..... 
       
      Ha oui très jolie tors même.....
       
      Mon sexe en peut plus..... il est à l'étroit...... et ca se vois.....
       
      D'ailleurs elle continue sur les boutons et déboutonne mon jean......
       
      Voila tu sera plus à l'aise.... mon sexe dépasse même du caleçon.... ce qui lui provoque un grand sourire.
       
      Je lui dis: Je vais faire de même et te mettre à l'aise..... se string doit te gêner.....  
       
      Je l'enlève et trouve une belle petit chatte toute rasée...... et déjà très humide.....
       
      Les yeux dans les yeux, nous nous embrassons langoureusement...... pendant se long baiser nos mains viennent sur le sexe d l'autre.....
       
      je sens ses lèvres..... douce.... et dés que j'écarte un peut.... mes doigts devienne tous mouillés.....
       
      Je caresse tout doucement son petit sexe.... des petits ronds et des petites pressions sur son clitoris..... qui durcit de suite...
       
      Pendant se temps là .... sa main à sortie mon sexe et commence a le branler...... très bonne pratiquante
       
      Je m'excuse mais la suite sera pour demain, et je vous préviens la température sera au rendez-vous.....
       
      Merci de donné votre avis, si cela vous plait je vous raconterais ce que nos corps ont pu faire sur se canapé par la suite.....
       
       
       
       
       
    • Par bittersweet
      Pendant plus de vingt heures de vol et d'aéroport il avait eu le temps de se dire seize fois "la vache ce que ça craint les charters", trente deux fois "j'suis taré", cinquante trois fois "mais qu'est ce que je fout là", soixante quinze fois 'punaise mais qu'est ce que je vais faire avec ces guedins..." et heureusement plus d'une centaine de fois "bon sang ce que j'ai envie de la...".
       
      Il l'avait rencontré en débutant le même jour qu'elle dans un cours de tai shi chuan, une jolie rousse, fine, gracieuse et foncièrement allumée qui lui parait d'énergies, de tao, de trucs aux quels il ne comprenait rien et que son esprit cartésien réfutait en bloc. Mais bon, elle était si jolie et sympa qu'il approuvait en souriant bêtement, et puis à chacun ses croyances, si ça la rendait heureuse... Petit à petit un l'alchimie s'était établie et un soir après un repas chez elle, ils avaient fini dans son lit entouré de bougies, d'encens et de tentures indiennes. Il aurait dut se méfier mais entre son manque de culture en matière de délires hippies et son attirance pour elle il avait tout occulté, à son plus grand plaisir. Elle avait eu l'air de drôlement apprécier et bilan, au petit déjeuner, elle lui avait dit qu'elle partait trois semaines pour un stage de tantrisme, qu'elle aurait préféré y aller avec quelqu'un en qui elle avait confiance, qu'il y avait encore de la place, et que s'il voulait venir se serait drôlement sympa.
       
      Il n'avait pas prit de vacances depuis longtemps, il flirtait avec le burnout et les affaires venaient tout juste d'entrer en phase de repos saisonnier. Surtout il était hypnotisé par son regard vert, son odeur vanillée et sa peau de soie, il avait donc répondu "OK, soyons fous, cassons nous". Elle avait rajouté "Super ! Tu m'étonnes drôlement, je t'aime bien mais t'es un peu coincé dans ton genre, j'me disais pas que tu partirais sur un coup de tête au Costa Rica.". Là il avait dégluti au lieu de libérer le "Au quoi ?! Attend attend..." qui trottait dans sa tête en même temps que l'image de centaines de serpents mortels, scorpions et autres tarentules. Le temps que ses neurones aient commencé à traiter l'information elle avait foncé sur son PC, ouvert le site d'un revendeur de crash aériens, sorti les dates, cliqué sur "commander" et lui avait tendu en sautillant comme une gamine qui découvrait un sapin de noël. "Trop coooool !!!"
       
      Il n'avait pas vu le prix qu'il avait déjà blanchi et bredouillé "la... la semaine prochaine ?"
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