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merlincurieux

Sandra

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Au gré de mes discussions sur un célèbre site de chat, j'ai eu la chance de rencontrer Sandra.

Sandra. Toute en retenue, contrôle de soi et brûlant d'un feu intérieur soigneusement dissimulé aux yeux de tous. Une jeune femme modèle, étudiante brillante, issue d'un bonne famille au destin tout tracé. Une jeune femme à la beauté classique au regard intense et sourire à faire fondre une banquise. Sportive, gourmande, taquine, rieuse. Mais aussi prudente, se protégeant de tous derrière une façade affable et courtoise.

Une complicité aussi instinctive qu'immédiate nous a lié dès nos premiers échanges. Malgré notre prudence respective, il devint vite évident que notre confiance réciproque était totale. Nous nous sommes racontés des choses que nul autre n'a jamais su, et nous sommes découverts un attrait commun pour le plaisir de braver les interdits.

C'est alors que Sandra m'a fait part, sur ma demande curieuse, de son fantasme du moment. Qu'un inconnu, dans la cohue du métro, glisse sa main sous la jupe que cette belle jeune femme porte inévitablement lors des beaux jours, et explore longuement son charmant postérieur et son intimité.

Nos conversations revinrent dès lors régulièrement sur ce sujet, la belle s'ingéniant à me donner de nombreux indices sur ses horaires de cours, sur sa ligne de métro et les moments où elle l'empruntait. Toujours seule, souligna-t-elle. En filigrane, mais sans jamais être abordée, l'évidence était là : elle m'ouvrait la porte, m'autorisait à jouer d'elle afin de pouvoir assouvir ce désir qui la tenaillait. Mais, bien entendu, à la seule condition que jamais elle ne sache qui jouait ainsi d'elle dans la foule.

Bien entendu, un tel désir ne pouvait que me plaire, et la perspective de me mettre au service du plaisir de celle pour qui mes sentiments devenaient chaque échange plus intenses m'emplissait de joie.

Au fait des horaires de ma merveilleuse complice, je me mis à étudier l'heure idéale, celle où la densité de la foule cacherait notre jeu si troublant. Sans surprise, l'heure de sortie des bureaux, coïncidant avec la fin d'un cours de Sandra me paru la plus indiquée, sur cette ligne connue pour sa saturation. Le tout étant de me trouver bien placé le jour J. Il fallait aussi tomber sur un jour où Sandra était à la fois d'humeur joueuse et portait la tenue idéale, à savoir une jupe.

Aussi, par une belle journée de septembre, me postais-je sur la quai de la station de métro desservant la FAC de ma belle. Camouflé dans la foule grâce à mes écouteurs et le regard vide de tout habitué des transports en commun, je me mis à l'affût. Après de longues minutes d'attente, je reconnus enfin Sandra, encore plus belle que sur les photos qu'elle m'avait montré. L'immobilité de la pose ne pouvait en effet reproduire la grâce de ses gestes ni l'élégance de sa démarche. Elle était éblouissante dans sa courte jupe s'arrêtant mi cuisses, et son top révélant sa poitrine joliment ferme. Ses cheveux tombant sur ses épaules et son regard grave ajoutaient un peu plus de charme à celle qui me faisait rêver depuis si longtemps. J'eus toutes les peines du monde à rester impassible.

Elle se posta au bout du quai, plongée dans ses pensées. Dissimulé par la foule, je mis à profit les quelques minutes avant l'arrivée de la rame pour me positionner non loin d'elle, apparemment plongé dans la lecture d'un journal gratuit.

Cohue, bousculade, manœuvre pour finalement me retrouver derrière la belle, dans une foule compacte. Elle se tient à la rambarde, je ne me tiens pas mais suis maintenu par la pression, mon bras gauche idéalement placé.

J'hésite un moment, espérant mais craignant aussi une réaction négative, Sandra pouvant ne pas être d'humeur à se laisser explorer. Mon cœur bat fort, je me replace de mon mieux pour que seul Sandra et moi sachions ce qu'il se passe. Puis, lentement, ma main remonte, commençant par se plaquer "par hasard" contre le superbe postérieur de mon amie jusque là virtuelle. PAs de réaction apparente. Pourtant, les mouvements du métro engendre une caresse du dos de ma main sur la fesse ferme de cette splendide jeune femme. Je tourne donc ma main et la plaque plus clairement sur ses fesses, ne lui laissant plus aucun doute.

Elle évite clairement de regarder qui est derrière elle dans le reflet de la vitre, mais je ne manque pas un sourire fugace. Encouragé, je me mets à lentement explorer cette fesse, suivant l'arrondi, fermement , possessivement. Sandra accentue alors clairement sa cambrure, se replace en écartant légèrement les jambes... L'arrivée dans la station suivante nous interrompt alors, un mouvement de foule nous séparant.

Frustré, je la regarde. Elle me tourne le dos, comme en attente, n'a nullement bougé. Mais dès le mouvement de foule suivant, elle se replace plus au fond du wagon, comme pour éviter de se retrouver de nouveau séparée de cet inconnu pervers. J'ai suivi le mouvement, et me retrouve dos à la paroi, stable, une belle femme devant moi, à la posture ambiguë, telle une invite. Ma main retrouve cette superbe et ferme courbe, aussitôt récompensé par une cambrure de nouveau accentuée. Je descend alors lentement jusque sur sa cuisse, et remonte lentement ma main entre deux belles cuisses complaisamment entrouvertes.

Mon coeur bat la chamade, je suis à l'étroit dans mon jean et me concentre sur cette sensation délicieuse, ce moment de partage à l'insu de tous. Je découvre la peau de ses cuisses nues au dessus de ses dim up. Remonte à son entrecuisse, dans son boxer de dentelle, y découvre un sexe brûlant, déjà...

Je sais que nous disposons d'environ vingt minutes, je sais son plaisir à être explorée, à ce qu'une main joue d'elle, à ce que ses fesses soient attentivement utilisées. Aussi, je me place un rien différemment, captant son parfum, ma main remontant sur ses fesses, et s'en emparant fermement, les remontant et les pelotant avec douceur mais puissance.

Je la surprend à regarder une femme, à l'air sage , élégante. La femme me regarde de temps à autre, rosissante, semblant comprendre le jeu entre nous.

Je suis si heureux de l'explorer ainsi, de lui offrir ce plaisir, de ce jeu dont nous ne parlerons jamais mais qu'elle me racontera en détail, ignorant toujours si c'était moi ou pas.

A chaque arrêt, nous nous arrangeons pour rester collés l'un à l'autre, ma main jouant de ses fesses, avant de s'immiscer entre ses cuisses, découvrant un boxer humide désormais. L'écarter met un peu de temps, mais bientôt j'effleure de mon majeur sa vulve trempée, ses lèvres ouvertes... Je remonte à son clitoris, récompensé d'un tressaillement. La femme semble hypnotisée par le regard de Sandra qui ne la lâche pas. Je m'enfonce en elle au moment où les portes se ferment, d'un doigt curieux.

Je la masturbe un moment, accompagné du mouvement de ses hanches, parfaitement accordés... Quelques contorsions me permettent alors d'insérer mon annulaire en plus du majeur, mon pouce reposant sur l'anus de la belle...

Je me mets alors à la pistonner plus fort, récompensé par une mouille abondante enduisant rapidement ma main. Les mouvements de Sandra deviennent désordonnés alors que le plaisir monte... J'enfonce lentement mon pouce en elle, sans autre réaction qu'une cambrure presque indécente. Je ne relâche pas ma caresse, sachant la station de Sandra proche... Soudain, elle semble se cabrer, se tétaniser , son sexe enserre mes doigts, et elle jouit en silence. La femme face à elle me regarde et me sourit, comme complice, peut être un peu envieuse de cet orgasme.

Sandra reste immobile, tandis que ma main se remet à explorer ses fesses, laissant un boxer trempé de son plaisir.

Les portes s'ouvrent, elle descend sans un regard en arrière. Altière et superbe. Je la regarde partir, ému, troublé, heureux.

Je rentre chez moi et reprend ma vie de famille, attendant le moment où je pourrai retrouver Sandra sur mon pc.

Je me connecte, elle est là. Elle m'interpelle aussitôt :

"Bonjour ! J'ai quelque chose à te raconter !"

Je t'aime Sandra.

 

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Quel beau fantasme

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joli, je n'avais jamais vu le métro sous cette angle.

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Invité

Magnifique récit qui me rappelle quelques souvenirs sensuels dans le métro parisien, dommage, à chaque fois je portais un jeans.

 

Très bien écrit et qui à le mérite de faire son effet  :oops:

 

Enchante-nous encore de ta plume cher merlin.  ;)

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Tu es adorable :) je suis tellement feignant que je n avais rien publié depuis quelques années...

 

Avoir une Muse aide !

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