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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Fenrir

Esquisse d'une envie....

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Le récit qui suit possède un style très particulier.

Contrairement aux textes que j'écris d'ordinaire, ce dernier n'a rien de recherché dans ses tournures.

Au contraire, j'ai voulu ici un effet "oralisé", comme si la description se faisait au moment où mes gestes se réalisaient...

Cela donne donc un effet très curieux, très différent de ce que j'aime poster d'ordinaire... 

et en même temps très excitant pour moi, car inspiré d'une femme.

 

 

Me serre tout contre toi...

Caresse tendrement tes avant-bras, tes mains.

Y mêle mes doigts délicatement.

Les frotte contre les tiens.

Remonte lentement sur tes bras... pose mes mains contre ton cou, contre ta nuque, et caresse lentement ta peau.

Ma joue qui se frotte à la tienne.

Tu portes une chemise... mes doigts glissent sur le tissu de cette dernière...

Le long de ton ventre, de tes flancs, parcourent ton dos...

Deux de mes doigts font lentement sauter le premier bouton... puis le second... encore un...

J'écarte le tissu...

Celui de ton soutien-gorge se révèle alors.

Un sein se laisse apercevoir en-dessous...

La lingerie l'épouse parfaitement, le met en valeur... sa belle rondeur.

Je te souris... tandis que mes lèvres s'approchent... se déposent contre ton cou... le parsèment de baisers délicats...

Puis c'est au tour de ta gorge de subir mes assauts, ma pulsion... Le haut de ton sein, visible de venir se laisser embrasser.

Tu entends le bruit d'un autre bouton qui saute... et enfin du dernier. 

Ta chemise s'ouvre naturellement, ton ventre se dénude... 

Ma main s'y glisse, dans un geste délicat, venant se poser au-dessus de ton nombril... te faire sentir ma présence, cette chaleur contre toi.

Je te bascule, t'entraine dans ma chute... d'un petit cri de surprise, tu te laisse atterrir sur le lit, les fesses amortissant la chute, puis ton dos qui se pose tout doucement.

Je m'allonge sur toi, le temps de poser mes lèvres sur ta peau, sur ton ventre, et le parcourir, partout, y laisser la marque de mes lèvres, par des baisers très doux ou de légers suçons. 

Je me redresse pour te contempler. Tu es délicieuse ainsi. L'on dirait une oeuvre peinte, immobile, les lèvres entrouvertes et le regard fixé sur moi.

Un autre bouton saute... celui de ton pantalon...

Le silence dans ta chambre, l'on entend parfaitement le bruit distinct de la fermeture éclair qui glisse, provoquant un son presque excitant. 

Tu te tortilles... le pantalon n'en glisse que plus facilement le long de tes belles cuisses, dénudant tes genoux, tes mollets... 

Je retire une jambe, puis la seconde... tout se fait délicatement...

Le bruit sourd du pantalon venant retomber de tout son poids sur le sol provoque là aussi un son des plus excitants. 

Je ne peux que t'admirer une fois de plus.

Tu es belle habillée, dans ta vie de tous les jours... tu es belle nue, les courbes de ton corps offertes à la lumière et aux ombres... et tu es belle à demi-nue, à la fois visible et cachée. 

Je me mords les lèvres.

Tes chaussettes se retirent avec une extreme lenteur, comme si la vision progressive de ta cheville, du haut de ton pied, et peu à peu de chacun de tes orteils était la plus sensuelle et excitante des vues...

Je ne peux m'empêcher de caresser ce dernier. Le parcourir du plat de ma main, du dos de ma main.

Tu le fais pointer vers moi. Il est lui aussi si beau, ainsi tendu. 

Tu me regardes retirer mon t-shirt, mon pantalon... mon boxer.

Je sais que tu aimes cette vision de moi, nu, alors que tu restes habillée.

Je guide alors la pointe de ton pieds sur ma cuisse, la laisse me frôler, me faire frémir, frissonner. 

Je l'aide à remonter, sur ma hanche, sur mon ventre, sur mon torse...

Tes orteils qui se pressent contre mon cou... et doucement derrière ma nuque.

Tu m'attires contre toi, sur toi.

Nos lèvres se trouvent, s'embrassent, se goutent.

L'agrafe de ton soutien-gorge saute soudainement... tes seins se dénudent sous mon empressement.

Ta lingerie demeure sur ton ventre, comme pour continuer d'habiller ton corps tout en me laissant t'admirer.

Je veux y poser mes paumes, le bout de mes phalanges, mais mes lèvres sont les plus rapides...

Elles viennent embrasser ce sein, par-dessous, et en suit ses contours, avant d'entreprendre son ascension, de se rapprocher de plus en plus de sa pointe...

Un souffle très doux dessus te fais frissonner...

Je capture aussitôt cette pointe soudain en érection entre mes lèvres, puis délicatement entre mes dents.

Un léger couinement se fait entendre dans la pièce, seul bruit qui vient alors percer ce silence.

Je te fixe dans les yeux, tandis que je le sucote, lentement, longuement.

Je suis bien avec toi, avec lui, avec le second ensuite...

J'écoute tes sons faibles, ta respiration qui s'accélère, les ondulations de ton ventre, le creux qui se forme dans le bas de tes reins... 

Mes mains dessinent tout cela, épousant les réactions de ton corps.

Mes lèvres finissent par quitter ces chairs, et redescendre le long de ton ventre, le parsemer une seconde fois de toute mon attention.

Le bout de mon index se fait aventureux...

Il se glisse sous le tissu de ta culotte, et la tire lentement... centimètre après centimètre... il me laisse entrapercevoir, oui, ton bas-ventre, ton pubis... la naissance de ta jolie toison brune...

Les poils de ma barbe la rencontrent, s'y frottent doucement.

Sous tes ondulations fermes, la lingerie suit le mouvement de mes doigts, quittant peu à peu tes hanches, glissant vers le haut de tes cuisses...

Mes lèvres se posent sur ton genou, puis le second.

Mes paumes caressent l'arrière de ces derniers, ou tes mollets, à tour de rôle. 

Ton intimité m'est offerte, encore une fois entre dissimulation et vision...

Je te souris...

Sans rien dire, tu sais que j'ai envie de toi... 

Instinctivement, tes cuisses s'écartent un peu, laissant ta lingerie glisser tout seule jusqu'à tes genoux.

Mon visage se glisse par-dessous, emprisonné en cet instant contre toi, à déposer des baisers sur l'intérieur de tes cuisses...

Je relève mes yeux, nos regards se croisent.

Ta lèvres est soudain mordillée.

Tu fermes les yeux, et me laisse te posséder... toute une nuit... toute une vie...

 

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Original cette facon d ecrire mais j aime beaucoup

on a l impression de ressentir les choses en meme temps .

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Invité

Dépaysant, mais réussi ! Les images viennent par à-coups, urgentes... Je n'ai repris mon souffle qu'au dernier mot. :hi:

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