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lacrimosa

Le jour où mon corps ressentis ses premiers frissons.

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Mmmh, la masturbation. Cette pratique si intime, presque tabou, que nous ne pourrions aborder sans une grande gêne en public, sans passer pour un dépravé ou tout autre énergumène à regarder de travers... cette pratique qui pourtant, apporte sérénité, détente, un bienfait non négligeable pour le corps et l'esprit quand elle est pratiquée avec soin, sans pression...

 

Ma main gauche est ma meilleure amie depuis des lustres quand il s'agit d'évacuer le stress, une amitié de longue date, qui commença un jour de pluie, il y a un peu plus de quinze ans. Ce jour où ma petite main se rendit compte que de ses doigts habiles, pouvait naitre une relation plus profonde avec cet étrange appendice entre mes jambes, qui m'avait fait me poser tant de questions depuis le jour où j'ai découvert, du haut de mes six ans, que ma cousine n'en avait pas.

 

En enfant sage que j'étais, je n'ai pas insisté devant les "tu comprendra quand tu sera plus grand" des mes ainés, visiblement dérangés par la question... j'ai donc laissé les histoires de zizi au placard pendant un moment, qui semblaient tant déranger pour je ne sais quelle raison.

 

Jusqu'au jour où mon corps commençait à m'envoyer des signaux que je ne comprenais pas vraiment. Pourquoi ai-je ce sentiment étrange en regardant le corps de cette jolie fille ? Que sont ces bouffées de chaleur qui m'assaillent ? Qu'est-ce que des cheveux viennent faire... ici ?

 

Me rappelant des réactions de mes parents, j'ai gardé ça pour moi... mais plus le temps passait, plus j'entendais les camarades au collège parler de ce genre de choses.

Sexe ? Masturbation ? De quoi parlent-ils ?

D'une oreille timide, j'écoutais leurs conversations, sans m'y impliquer, ayant vite compris que cela était en rapport avec cette chose qui pendait entre mes jambes, et que je devrais bientôt amener au coiffeur si ça continuait.

 

Plus ça allait, et moins les filles me laissaient indifférent. Quand celles ci m'effleuraient, une sensation étrange mais pas désagréable me parcourait l'échine, douce, chaleureuse. Que m'arrivait-il ? Je me surprenais de plus en plus souvent à les observer avec insistance, sentant parfois mon flexible au récent brushing se tortiller dans mon slip.

 

Puis un jour, alors que j'écoutais attentivement une nouvelle conversation à ce sujet, un camarade s'est vanté de s'être masturbé, il semblait avoir découvert quelque chose de nouveau.

Puis me voyant en retrait, il m'adressa la parole d'un ton légèrement moqueur : "Cédric, tu t'es déjà masturbé toi ?"

Pris de court, je ne sus que répondre dans un premier temps. Un timide "non" sortis de ma bouche", ce à quoi ce garçon répondit, toujours aussi moqueur, mimant le geste : "ha ha prépare les mouchoirs ce soir".

 

Ne sachant que répondre d'autre qu'un :"pff, n'importe quoi", je m'éloignai du groupe, gêné, un peu troublé par la situation.

Le semaine continuant, cette pensée me travaillait.

"Me masturber ? Qu'est-ce que cela peut bien être ?"

 

Le dimanche, arriva... c'était tôt le matin, tout le monde dormait encore, il pleuvait dehors. Ne voulant pas allumer la console pour ne pas réveiller mes parents, je me suis alors allongé sur le lit, repensant à ce que m'avait dit mon camarade, et aux sensations que j'avais ressenti en effleurant ou regardant les filles.

Alors, j'en ai profité pour satisfaire ma curiosité. Discrètement, j'ai subtilisé un vieux magasine de vêtements féminins. Arrivé à la page lingerie, je me suis arrêté sur une femme en sous vêtements. J'ai alors déchiré la page et suis remonté sur mon lit, sans un bruit.

Plus je regardais cette femme sous toutes ses coutures, plus je sentais cette sensation agréable qui me parcourait le corps... il bouge, je le sens. Ni une, ni deux, je le sors délicatement à l'air libre. Toujours aussi bien peigné avec ses trois cheveux, je le regarde se débattre calmement, et je me rends compte qu'il grandit, sous les afflux de sang d'un système que je ne comprenais pas encore.

 

Toujours dans le calme du petit matin, à peine dérangé par la petite pluie qui battait dehors, j'ai commencé à parcourir mon sexe désormais bodybuildé, comme je ne l'avais encore jamais vu. Dans mes recherches, mes palpations, je découvrais certaines zones sensibles, c'était agréable à toucher, étrange sensation, mais agréable. Je sentais mon coeur battre légèrement plus fort que d'habitude, je commençais à ressentir quelques bouffées de chaleur, je ne pensais plus à rien, mon regard se posait alternativement sur la photo de cette femme presque nue et mon sexe. Instinctivement, mon regard se montrait insistant sur l'entre-jambe de la demoiselle.

Bêtement, je pris, l'initiative de percer un trou dans la feuille de papier, pile à l'endroit du fruit défendu. Laissant jouer mon imagination, j'ai alors enfilé cette demoiselle de papier, je comprenais peu à peu, tout seul, le fondement de tout ceci.

Mon imagination fertile m'a passablement excité, en observant cette scène que je considère aujourd'hui comme ridicule, mais qui à l'époque m'a émoustillé. La pression montant, j'ai retiré le papier, et ai commencé à me caresser le poteau, lentement, au rythme de ma respiration, qui se faisait de plus en plus forte. Je réalisais qu'inconsciemment, je reproduisais le geste qu'avait mimé mon camarade quelque jours auparavant.

C'était une sensation incomparable, je sentais des frissons me parcourir le corps, dont une particulièrement grisante dans l'entre-jambe. Jamais je ne m'étais senti aussi bien jusqu'à présent. Cela me rappelais la sensation que l'on a lorsque l'on se laisse aller aux bras de Morphée dans un lit douillet, après une journée fatigante, mais décuplée par dix.

Et plus je parcourais mon membre, scrutant le corps de la demoiselle à moitié déchirée, plus cette sensation de bien-être s'intensifiait, tout allait plus vite, mon coeur, mon souffle, mes caresses, jusqu'au moment où j'ai ressenti ce plaisir se décupler de manière exponentielle. Un frisson électrisant a subitement éclaté dans mon entrejambes, se répandant dans tout mon corps. Mais je fus surpris lorsque je sentis mon pénis "m'échapper", en voyant ce liquide visqueux, étrange, couler sur mes doigts. Par réflexe, j'ai attrapé la page du magazine pour recueillir le tout, et éviter d'en mettre sur mon lit.

C'était crade, gluant (peut-être est-ce parce que c'était ma première fois, mais par chance, il n'y a pas eu de jets puissants, sinon bonjour la tapisserie :3), et je venais de comprendre pourquoi mon camarade m'avait recommandé des mouchoirs... je me sentais un peu honteux, mais... wouaw... je venais de découvrir quelque chose de formidable, je me sentais tellement bien, tellement détendu, que depuis lors, je ne m'en lasse pas.

 

Sans doute le côté découverte a beaucoup joué, mais depuis, je n'ai plus ressenti la chose aussi intensément.

 

Voilà, c'était le récit de ma découverte du plaisir sexuel... malheureusement je n'ai toujours pas su aller plus loin, et j'attends impatiemment de pouvoir passer le flambeau de ma propre main à celle d'une charmante demoiselle, en chair et en os cette fois ci... la main, et bien plus, évidemment.

 

PS : Ca fait bizarre de raconter ça mais ce n'est pas déplaisant. x)

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Je trouve que tu l a tres bien decris

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Invité

Merci pour ce témoignage qui est joliment écrit et décrit.

 

Perso, je fais partie de ces femmes qui rêveraient de savoir ce que ça fait que d'avoir une érection, rien qu'une fois, juste pour en avoir la sensation.

 

Au plaisir de te lire Cédric, tu as une belle plume.

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Ravi que ça vous plaise.

Ayant été très longtemps timide, c'est fou ce que ça fait du bien de parler de sexe de façon décomplexée sans crainte d'être regardé de travers.

Ca revigore.

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Invité

Pour en parler tu es au bon endroit....

 

c'est le premier pas qui compte et tu l'as magnifiquement franchi ;)

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Et ben ça me rappel des souvenirs ^^ bon ça ne s'est pas déroulé de la même manière mais bon, cette découverte à été aussi surprenante pour moi. C'est un bon pas dans ta timidité de partager.

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Depuis petit je jouais avec ma bite. Bien sûr je ne connaissais pas encore la masturbation. Mais plus agé j'ai joué de plus en plus. Alors une nuit je me suis réveillé, j'avais rêvé que je pissais devant des autres et puis je sentais mon pyjama mouillé, j'avais peur de me trouver ainsi. Grand étonnement, ce n'était pas de l'urine mais un liquide blanchâtre qui collait. Ma première éjaculation! J'ai tout nettoyé dans la toilette, mais je jouais par après beaucoup pour avoir ce sentiment et c'est ainsi que j'ai appris à me masturber!

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      Elles se lécha ensuite affin d'enlever le sperme qu'elle avaient sur elles.
       
      Je voie toujours Sarah, nous sortons ensembles, et avons décidé d'avoir une vie sexuel débridé (plan à 3, Club, Sexshop, etc...), m'a avouer qu'elle aime coucher avec des filles.
       
      Suite une prochaine fois.
    • Par Secrète Alcove
      Eva96 n'arrivant pas à publier son texte, elle m'a demandé de publier son texte en son nom...
      Je vous laisse découvrir et partager nos plaisirs !
       
       
      Un moment de plaisir vécu récemment, mis modestement en mots, juste pour le souvenir et le plaisir...
      Un texte dédié à mon âme sœur d'ici...
      SA, pour ces parenthèses enchantées et sensuelles que tu m'offres, MERCI !!!
       
      J'ai envie de toi...
      Ca fait une éternité, toi et moi que nous n'avons pas joué à nous faire du bien.
      Mais je devine que tu nourris bien des projets. Ton "Mon doux rêve, prend bien tous tes jouets" en fin de semaine dernière n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde...
      Aux alentours de 22 heures, te voilà sur Skype... Premiers frissons...
      Deux, trois mots bien appuyés et déjà, je me sens humide. Je suis nue sur mon lit et toute chaude....
      Tu m'excites, j'ai tellement envie de toi, et je te le dis...
       
       
      "Mmmm alors il va falloir remédier à cet état" me dis-tu....
      Tes mots me rendent fiévreuse....
      "Prend ton rosebud".
      A te lire, ce n'est pas du tout une proposition, mais un ordre qui n'admet aucune discussion...
      Intérieurement, je pense : "Déjà ? Comme ça ? Sans tour de chauffe ?
      Tu sais que j'ai quelques appréhensions avec le côté anal, même si je me suis livrée à des petits jeux pour découvrir cette zone de plaisir.
      J'ai beaucoup aimé, bien que je ne sois pas allée très loin encore dans ces pratiques...

       
      Je saisis donc ce petit objet de plaisir, l'enduit généreusement de lubrifiant et vient le poser tout contre ma rondelle en exerçant une faible pression...
      Je me détends, attendant patiemment que le rosebud soit aspiré par mon petit trou.
      Cela ne tarde pas...
      Cela m'a toujours déconcertée de voir avec quelle facilité ce petit objet puisse être accepté sans effort et sans douleur.
      C'est une drôle de sensation, aussi dérangeante que plaisante que de sentir ses fesses investies par un jouet comme toute assez lourd…
       
      "Tu aimes ?". Punaise, toujours tes mots qui m'enflamment...
      "Presse sur ton rosebud de manière à faire de toutes petites poussées".
       Mon cerveau se met sur pause.
      Dans ma tête, il n'y a plus que du désir et de l'envie de toi.
      Mes mains t'obéissent.
      Le rosebud fait des mini va et viens. Même si j'ai un peu honte, je dois admettre que c'est très agréable...
      "Maintenant, je veux que tu te caresses le ventre, les cuisses, les seins. Frôle
      tes lèvres.... Lisses-les....Ecartez-les... Voilà...Tu es toute mouillée ?" (Quelle question !)
       
      "Enfonce-toi un doigt..."
      Ces mots....Mes caresses....Je me sens électrique.
      Docilement, mes mains, mes doigts suivent tes mots laissant des empreintes brûlantes sur ma peau...
      Mon doigt s'enfonce lentement dans mon vagin. C'est chaud, doux et terriblement humide.
       
      Je caresse l'intérieur de ses parois, découvre des zones plus sensibles que d'autres... Le plaisir monte doucement mais inexorablement....
      "Prend ton double gode en acier". Sur le moment, petite frustration d'interrompre ce si délicieux moment...
      Le gode en acier ? Je commence à m'inquiéter connaissant la taille de l'engin...
       
      "Tu veux quand même pas que ...".
      "Pénètre toi avec son petit côté...". Ouf....
      J'attrape le gode, punaise qu'est ce qu'il est lourd, pas loin de 600 grammes le bougre...

       
      Lentement, je viens l'insérer, frémissant sous l'aspect froid du métal...qui ne tarde pas à se réchauffer très rapidement !
      C'est délicieux !
      Mon vagin comprimé par la présence du rosebud est caressé de toute part par le gode....
       
      La petite boule à son extrémité vient caresser la zone du point G que je sens gonfler... C'est super bon !
      Suivant tes ordres, j'alterne de va et viens rapides et secs avec de longs et lents coups puissants....
       
      "Maintenant, c'est le gros coté que tu t'enfonces...". Non, non, il est dingue, ça va jamais passer !
      "Je sais que ça passera !".
       
      Je ne raisonne plus, j'obéis...
      On verra bien... L'intromission délicate au début, s'avère finalement aisée....
      Je me sens remplie comme jamais, c'est fabuleux.
       
      Chaque parcelle de mon vagin est stimulée, je sens une douce chaleur se diffuser dans mon bas ventre...
      Un clapotis obscène accompagne mes vas et viens....
       
      "Attrape ton lapin et viens le faire vibrer sur ta rondelle...."
      Un peu d'appréhension... j
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      Mais tu m'excites tellement là, maintenant, que je suis incapable de te refuser quoi que ce soit.
      J'enduis à son tour mon lapin de lubrifiant et viens le presser doucement contre mon anus avec de très faibles vibrations...
      J'aime ces caresses...
       
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      Apprécier la chaleur et la douceur de ta peau si fine à cet endroit-là... "
       
      "Imagine ma langue qui te chatouille, laissant son empreinte chaude et mouillée sur ta queue. Tu n'as qu'une envie, celle que je te suce profondément...
      Mais moi je n'ai qu'une envie, te faire languir les yeux dans les yeux...
      Délicatement je prends dans ma bouche ton gland que je suçote..."
       
      "Tu es si excité, si dur...
      Je sais que tu aimes quand je te suce comme ça… Je savoure les premières gouttes prémisses de ton plaisir à venir.... »
       
      « Puis, je n'en peux plus d'attendre et c'est ta queue toute entière que j'avale pendant qu'une de mes mains, coquine, se glissent entre mes cuisses. »
      « Mes lèvres t'enserrent.... Coulissent le long de ton membre. A tes petits coups de reins incontrôlés, je devine que tu es proche de la jouissance."
       
      "J'amplifie mes mouvements, ta queue dans ma bouche chaude et humide...j'aime te sentir là, profondément dans ma bouche…J'aime quand tu emmêles tes doigts dans mes cheveux pour m'imprimer le rythme que tu désires. J’aime quand tu baises ma bouche... ».
       
      "Docile, je me laisse faire tout à ton désir, au rythme effréné que tu m’imposes. Fière de te faire jouir ainsi...
      Tes vas et viens s'accélèrent et..."
       
      "Merci mon doux rêve, c'était.....wow"
       

       
      Morale de l’histoire...
      Aujourd'hui, t'offrir mon cul, ne me semble plus une idée si incongrue...
       
       
       
       
                      :aime2:     
      Bon les émoticônes sont de moi, et je suis beaucoup moins doué que Val pour exprimer ce que je ressens...
      On a hésité à vous faire partager ce moment très intime, j'espère que vous apprécierez ces doux moments !
       
       
    • Par Oncle Julien
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      Elle et moi. Souvenirs de nos soirées masturbatoires.
       

       
       
      Pendant quelques années, avec une amie, chez moi, nous nous rencontrions pour des soirées exclusivement consacrées à la masturbation.

      Confortablement installés dans des fauteuils, l'un en face de l'autre, nous nous regardions nous masturber tout en devisant tranquillement.

      Nous avions pris l'habitude de morceller ces masturbations, en nous offrant des pauses thé, café et petits gateaux, composant ainsi des séquences de plaisirs différents. Cela faisait monter nos excitations à des sommets réellement vertigineux.

      C'était divin...

      Elle était belle, exhibitioniste, mince, svelte et sportive. Toujours vêtue, pour nos soirées "branles", d'une jupe Ecossaise plissée, d'escarpins noirs à talons hauts, d'un chemisier blanc, et d'un porte-jaretelles noir tirant des bas noirs. Ses longs cheveux bruns encadrant son beau visage, venant flotter sur ses épaules. Elle était réellement attractive...

      Cela durait parfois trois heures. Les orgasmes étaient fabuleux. Une fois par semaine et toujours les vendredis soirs.
      Il me fallait le samedi pour récupérer de mes deux ou trois éjaculations de la veille...

      Nous avons pratiqué ainsi durant trois ans sans jamais avoir de rapports physiques de quelques natures qu'ils soient. Et, je tiens à le préciser, sans jamais éprouver la moindre frustration. Nous étions dans une approche purement cérébrale.
      Les masturbations, l'un en face de l'autre, se suffisant à elles-mêmes.

      J'avais une relation par ailleurs et ma complice de "branle" était mariée.

      Pour des raisons professionnelles, ma complice de "branle" a déménagé à plus de sept cent kilomètres. Nous avons bien tenté d'organiser quelques soirées dans une chambre d'hotel proche de son domicile, mais la magie avait disparu. Nous en sommes restés là. Découvrant à présent la vraie frustration !

      La frustration d'avoir perdu la complicité masturbatoire en "duo"... 
       

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