Faites des rencontres coquines près de chez vous

Le jour où mon corps ressentis ses premiers frissons.
Par
lacrimosa, dans Vos Masturbations
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Par Secouss
Notre expérience se fait avec le temps, on découvre que l'on aime les frites, que la piscine ce n'est pas notre truc, que les maths font mal à la tête, qu'internet est immense,....
Et a un moment se fait le déclic, celui où l'on se sent Femme ou Homme et que notre corps devient un océan encore inexploré. Je n'avais pas plus de 15 ans quand j'ai découvert la beauté du corps d'une femme nue. Je ne vais pas vous raconter toutes les explorations, entre magazines de lingerie, découverte des BéDé pour adulte, des photos d'internet avec une connexion 512Ko,...
Et un jour on rencontre sa Némésis, le sentiment ultime, la plénitude par un simple contact, une simple vue, un sous entendu.
Je fouillais dans les tiroirs de ma mère (ne faites pas les innocents, qui ne l'a pas fait !) et je suis tombé sur ces 2 voiles si léger. J'ai tiré dessus et je les ai vu s'étendrent sous mes doigts. Le glissement de cette étole sur mes doigts, ma main, mon bras, ....
Je venais de le découvrir, le nylon, la douceur d'une culotte en satin, le maillage d'un tissus travaillé, l'épaisseur d'une feuille de papier, le sentiment de la peau sous ma main. Au début ce seul contact suffit, il intrigue, étonne, capte l'attention et l'excitation, il devient le catalyseur d'un plaisir coupable.
Cette première fois le simple toucher m'a suffit, je les ai repliés et rangés. Ensuite je suis reparti pour satisfaire mon plaisir charnel et la simple pensée m'a suffit pour jouir. La jouissance de cet âge, ou seul un petit filet incolore d'un liquide encore inconnu apparait au bout d'une verge source d'autant de complexes.
Et les jours passent, à chaque fois, chaque contact de ma main sur mon sexe, chaque pensée érotique, je le retrouve. Le plaisir des yeux face a une femme qui le porte, admirer ses jambes gainées de ce tissus qui érotise n'importe quelle situation. Ce voile simple, couleur chair, que l'on trouve à la fois inutile mais indispensable.
Vient enfin le moment, celui où l'on retourne le chercher, celui de l'approche furtive, le stress, le coeur qui bat la chamade, l'oreille aux aguets pour entendre un bruit de porte qui s'ouvrirait annonçant le retour des parents et la fin de cette quête chevaleresque du plaisir. S'approcher, ouvrir le tiroir en bois, calmement, doucement pour ne pas le faire grincer trop fort. Soulever les quelques culottes et enfin le voir, ce voile, cette fine maille. La prendre dans ses mains, sensation électrique, le frisson. Faire une pause dans le silence de la maison, pousser calmement le tiroir et l'emmener doucement dans sa grotte, son antre, sa chambre, son lit.
Enfin nu avec cet objet, le glisser sur son corps, jouer avec l'élastique, le tout d'une seule main bien entendu. Découvrir le contraste du plastique des bas autofixants sans comprendre encore à quoi sert cette bande. Faire glisser ces bas sur son torse, ses bras, s'approcher ... et enfin le toucher, du bout d'un bas ou d'un collant, sentir la divine caresse du nylon sur son sexe encore jeune et incontrôlé... Sentir la jouissance monter, les vagues se répandrent dans son corps, les coups de boutoir du plaisir qui descend inexorablement vers cette zone bouillante. Et enfin l'instant de magie, le corps se contracte, le cerveau libère des doses incroyables d'hormones, de phéromones, les membres frissonnent, le sexe palpite...
Quelques secondes hors du temps, du monde, des problèmes de la jeunesse, du risque de se faire attraper,.... Laisser son corps revenir à lui calmement. Sentir chaque parcelle de ce corps si bizarre et pourtant, à cet instant, si parfait. Se redresser et faire le chemin inverse doucement pour ranger cet honteux objet de plaisir.
Voulez-vous la suite de cette découverte ?
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Par jeunesalope
Ma cousine et moi avons toujours été proches. Avec seulement un an d’écart, nous avons grandi ensemble et toujours partage les mêmes intérêts.
Un été, elle vint donc passer quelques jours a la maison. Le loisir que nous choisîmes fut naturellement la piscine. Nous adorions jouer aux sirènes, faire des cabrioles ... Quoi de plus normal pour deux jeunes filles a peine pubères ?
La piscine possédait tout un attirail de jouets aquatiques: matelas pneumatique, frites en mousse, masques de plongée, tubas ... Qui s'ajoutais à nos jeux et a nos histoires imaginaires.
Sans me rappeler comment, nous avons commencé a enlever notre bas de maillot de bain et plonger sous l'eau avec le masque pour regarder nos jolies petites chattes
"A quoi çà ressemble de prés ?"
Elle s’exécute lorsque je replonge sous l'eau et écarte ses lèvres à l'aide de ses doigts. La sensation de l'eau fraîche doit être agréable. J'ai envie d'effleurer de mon doigt le petit bouton qui pointe en son milieu. Elle n'as pas l'air d'avoir détesté ca.
Nous commençons a nous caresser, toujours dans l'eau ,a l'abris du muret qui cache la piscine.
Elle a des formes et bizarrement ça ne me déplais pas.
On décide finalement d'aller prendre une douche pour se débarrasser du chlore qui nous colle à la peau....
(a suivre....)
Je me lance dans mon tout premier recit. Dites moi ce que vous en pensez ! Bises, Hortensia.
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Par alex3-6
Bonjour. Ceci est ma première histoire. J'espère qu'elle và vous plaire. Merci de commenté une fois que vous l'aurez lus.
J'étais sur la plage, à Tharon-plage, ville proche de Nantes, j'avais 18 ans et était célibataire.
J'aperçus une blonde au yeux bleu, le bleu qui fait le soleil dans le noir, le bleu que vous ne lâchez jamais du regard. Elle était allongée, en Bikini bleu, qui lui allait à merveille, et faisait ressortir ses yeux.
Elle avait de très beau seins, a priori un bon 95C, un jolie corps, de belle forme, peau toute lisse, elle doit être douce à toucher.
Je la vie se relever, plonger la main droite dans son sac de plage, ressorti avec une bouteille d'huile de protection solaire, elle l'ouvrit doucement, fit couler goute à goute sur sa main, se l'étala doucement sur son corps, tout le monde la regardait, elle avait un sourire, comme si elle adorait être regardée dans ses bon moments.
Une fois fini, elle remet l'huile dans son sac et s'assoie. Je décide de me lever et d'aller lui parler.
On se présente, elle s'appel Sarah, elle est esthéticienne, célibataire et habite aussi Nantes avec sa colocataire Vanessa.
Nous discutons longtemps de tout et de rien, nous allions se baigner, puis bronzer, et nous partions.
Quand soudain, elle me dit qu'elle est en bus et qu'elle doit attendre le prochain. Je lui propose de la ramener, ayant le permis et une voiture. Elle accepta.
Arrivé l'entrée de Nantes, je lui propose je la déposer directement chez elle, elle accepta. Arrivé devant, elle me propose d'entrée.
Elle se fait un thé à la noix de coco, et me sert un café-caramel. Sa colocataire arriva, elle est splendide, brune, yeux marron-vert, beau seins qu'on pouvait voir au travers de son décolleté, je dirai 95D, elle part aussi tôt dans sa chambre.
Quand d'un coup, Sarah et moi entendions des cris en provenance de sa chambre. Nous décidions d'aller jeter un coup d'œil. La porte était entre-ouverte. ces cris était en faite des gémissements, elle était en train de se masturber, allonger sur le dos se frottant le clito avec son majeur de haut en bas, de gauche à droit plus elle tourne autours. Elle s'arrête, se retourne sur le ventre, passe sa main sous son ventre pour aller rejoindre son entre-jambe. Elle frotte son clito, puis enfonce un doigt dans son vagin, puis un second, elle gémis de plaisir. Je regarde Sarah, elle avait sa main sous sa jupe. Je lui dit, tu aime regarder, elle me répond sa m'excite. Nous partons dans la chambre de Sarah, nous nous déshabillions, elle me jette dans le lit, se jette sur moi, attrape mon sexe en érection, et commence à me sucer, oh que c'est bon. Je la retourne sur le dos, lui enleva sa petite culotte, je lui écarte les jambes, lui fait des bisous sur le ventre, je descend, caresse ses cuisse, autour de son sexe, elle n'en pouvait plus, et lui lécha son clito. Elle se mis à crier très très fort, elle à très bon goût et je sens qu'elle est très chaude, je n'en peut plus, mon erection est trop forte, jusqu'a ce qu'elle me dise, baise-moi. J'arrête de la lécher, elle me jeta sur le dos, se met au dessus de moi et enfonce mon sexe dans le siens. Elle se mit à crier encore plus fort, elle me dit c'est trop bon, oh oui!!!
Soudain, on s'aperçois que la porte était entre-ouverte, la colocataire de sarah, Vansessa, en train de regarder et de se masturber. Sarah me chuchote à l'oreille, une deuxième fille dans le lit, sa te dit? J'accepta sans hésiter une seconde.
Elle lui demande si elle veux nous rejoindre, elle rentra avec un grand sourire, les yeux pétillants, viens à 4 pattes sur le lits. Elles s'embrassent en se touchant le sexe. Mon érection devient plus forte, il và exploser.
Vanessa se mit à me sucer langoureusement, c'est une déesse, elle partage avec Sarah, ainsi les 2 qui me lèche le sexe de chaque côté, vous n'imaginez même pas le plaisir procuré par 2 déesse avec 2 langues très douces.
Sarah reviens sur moi, et Vanessa au-dessus de ma tête pour que je lui fasse un cunni. Oh qu'elle à bon goût.
Sarah se retire et vanessa me dit prend moi à 4 pattes. J'obéis. Elle se mit à crier de plaisir. Sarah se mit devant vanessa, allongé sur le dos, pour qu'elle lui fasse un cunni.
J'étais sur le point de jouir, quand soudain, vanessa me dit, au oui và y jouit devant moi. Je m'exécute, les 2 filles se mit devant moi, je jouis à un point jamais vécu, ma quantité de sperme n'a jamais été aussi grosse, elles en avaient sur le visages, les seins, le ventre. Les 2 filles prient mon sexe, le lécha affin de tout bien essuyé, sans omettre une seul goute.
Elles se lécha ensuite affin d'enlever le sperme qu'elle avaient sur elles.
Je voie toujours Sarah, nous sortons ensembles, et avons décidé d'avoir une vie sexuel débridé (plan à 3, Club, Sexshop, etc...), m'a avouer qu'elle aime coucher avec des filles.
Suite une prochaine fois.
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Par Secrète Alcove
Eva96 n'arrivant pas à publier son texte, elle m'a demandé de publier son texte en son nom...
Je vous laisse découvrir et partager nos plaisirs !
Un moment de plaisir vécu récemment, mis modestement en mots, juste pour le souvenir et le plaisir...
Un texte dédié à mon âme sœur d'ici...
SA, pour ces parenthèses enchantées et sensuelles que tu m'offres, MERCI !!!
J'ai envie de toi...
Ca fait une éternité, toi et moi que nous n'avons pas joué à nous faire du bien.
Mais je devine que tu nourris bien des projets. Ton "Mon doux rêve, prend bien tous tes jouets" en fin de semaine dernière n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde...
Aux alentours de 22 heures, te voilà sur Skype... Premiers frissons...
Deux, trois mots bien appuyés et déjà, je me sens humide. Je suis nue sur mon lit et toute chaude....
Tu m'excites, j'ai tellement envie de toi, et je te le dis...
"Mmmm alors il va falloir remédier à cet état" me dis-tu....
Tes mots me rendent fiévreuse....
"Prend ton rosebud".
A te lire, ce n'est pas du tout une proposition, mais un ordre qui n'admet aucune discussion...
Intérieurement, je pense : "Déjà ? Comme ça ? Sans tour de chauffe ?
Tu sais que j'ai quelques appréhensions avec le côté anal, même si je me suis livrée à des petits jeux pour découvrir cette zone de plaisir.
J'ai beaucoup aimé, bien que je ne sois pas allée très loin encore dans ces pratiques...
Je saisis donc ce petit objet de plaisir, l'enduit généreusement de lubrifiant et vient le poser tout contre ma rondelle en exerçant une faible pression...
Je me détends, attendant patiemment que le rosebud soit aspiré par mon petit trou.
Cela ne tarde pas...
Cela m'a toujours déconcertée de voir avec quelle facilité ce petit objet puisse être accepté sans effort et sans douleur.
C'est une drôle de sensation, aussi dérangeante que plaisante que de sentir ses fesses investies par un jouet comme toute assez lourd…
"Tu aimes ?". Punaise, toujours tes mots qui m'enflamment...
"Presse sur ton rosebud de manière à faire de toutes petites poussées".
Mon cerveau se met sur pause.
Dans ma tête, il n'y a plus que du désir et de l'envie de toi.
Mes mains t'obéissent.
Le rosebud fait des mini va et viens. Même si j'ai un peu honte, je dois admettre que c'est très agréable...
"Maintenant, je veux que tu te caresses le ventre, les cuisses, les seins. Frôle
tes lèvres.... Lisses-les....Ecartez-les... Voilà...Tu es toute mouillée ?" (Quelle question !)
"Enfonce-toi un doigt..."
Ces mots....Mes caresses....Je me sens électrique.
Docilement, mes mains, mes doigts suivent tes mots laissant des empreintes brûlantes sur ma peau...
Mon doigt s'enfonce lentement dans mon vagin. C'est chaud, doux et terriblement humide.
Je caresse l'intérieur de ses parois, découvre des zones plus sensibles que d'autres... Le plaisir monte doucement mais inexorablement....
"Prend ton double gode en acier". Sur le moment, petite frustration d'interrompre ce si délicieux moment...
Le gode en acier ? Je commence à m'inquiéter connaissant la taille de l'engin...
"Tu veux quand même pas que ...".
"Pénètre toi avec son petit côté...". Ouf....
J'attrape le gode, punaise qu'est ce qu'il est lourd, pas loin de 600 grammes le bougre...
Lentement, je viens l'insérer, frémissant sous l'aspect froid du métal...qui ne tarde pas à se réchauffer très rapidement !
C'est délicieux !
Mon vagin comprimé par la présence du rosebud est caressé de toute part par le gode....
La petite boule à son extrémité vient caresser la zone du point G que je sens gonfler... C'est super bon !
Suivant tes ordres, j'alterne de va et viens rapides et secs avec de longs et lents coups puissants....
"Maintenant, c'est le gros coté que tu t'enfonces...". Non, non, il est dingue, ça va jamais passer !
"Je sais que ça passera !".
Je ne raisonne plus, j'obéis...
On verra bien... L'intromission délicate au début, s'avère finalement aisée....
Je me sens remplie comme jamais, c'est fabuleux.
Chaque parcelle de mon vagin est stimulée, je sens une douce chaleur se diffuser dans mon bas ventre...
Un clapotis obscène accompagne mes vas et viens....
"Attrape ton lapin et viens le faire vibrer sur ta rondelle...."
Un peu d'appréhension... j
J'enlève mon rosebud. Je sais ce que tu vas me demander et je ne suis pas sûre d'y arriver...
Mais tu m'excites tellement là, maintenant, que je suis incapable de te refuser quoi que ce soit.
J'enduis à son tour mon lapin de lubrifiant et viens le presser doucement contre mon anus avec de très faibles vibrations...
J'aime ces caresses...
Mon petit trou frémit... Et j'ai envie de plus...
Sans attendre tes indications, je presse doucement le lapin entre mes fesses....
Les vibrations me chatouillent et m'excitent.
Et je l'enfonce lentement, toute attentive à ces sensations nouvelles.... Aucune douleur…
Perception d’un plaisir étrange et grisant… Je continue ma progression, ces vibrations, c’est juste si bon…
Je pousse encore et encore, tout à mon plaisir….
Jusqu'à ce qu'il soit fiché dans mon cul jusqu'à la garde !
Je n'en reviens pas de ce que je viens de faire !
Pénétrée des deux côtés simultanément et sans douleur et surtout un plaisir qui s'accroit sans cesse....
J'augmente les vibrations au maximum, le lapin fait vibrer le gode en acier à travers la fine paroi séparant mon cul de mon vagin....
Je me sens pleinement remplie, ouverte, brûlante, béante...
Mon sexe et mon cul se contractent sur ses sexes artificiels…
Mais c’est toi que j’imagine, ta queue qui flue et reflue dans mes deux orifices.
J'entreprends alors de me faire du bien sans ménagement, me pénétrant avec des va et viens désordonnés.
C'est une sensation incroyable, je lâche tout contrôle sur ce que je fais, ce que je croyais ne pas aimer.
Je m'en fous, plus rien ne compte à part ce moment de plaisir intense ! Et tes mots, mon ange....
"Caresse-toi le clito"....
Une main sur le gode en acier, l'autre caressant mon petit bouton et ces vibrations dans mon anus...
C'est trop bon...
"Imagine ma langue qui vient titiller ton petit bouton, ma queue en toi qui s'enfonce...".
Je sens une chaleur monter à toute vitesse, se répandre dans mon ventre, mes seins... Chaleur qui descend aussi dans mes cuisses.
J'halète, je gémis, je me crispe et puis une vague de plaisir énorme déferle et me laisse pantelante.
J'ignore d'où est partie cette vague, si c'était anal, vaginal ou clitoridien mais putain que c'est bon !!!
Sonnée quelques minutes par cet orgasme inouï, je me repasse le film et je suis sidérée par ce que je viens de me faire et surtout et d'avoir autant aimé ça...
Et puis....
Un gros sentiment de culpabilité m'envahit. Dans mon plaisir, je t'ai oublié...
Toi qui as su trouver les mots pour me faire expérimenter ces nouveaux plaisirs qui m’effrayaient tant…
Toi qui m’as mené vers ces sommets de plaisir....
J’ai honte de m’être autant laissé aller aussi égoïstement. Il va donc falloir remédier très vite à cette situation...
"Mon ange, j'ai très envie de goûter ta queue....
Je ne te demande pas si tu es excité... J'aienvie de caresser ton gland du bout de ma langue...
Apprécier la chaleur et la douceur de ta peau si fine à cet endroit-là... "
"Imagine ma langue qui te chatouille, laissant son empreinte chaude et mouillée sur ta queue. Tu n'as qu'une envie, celle que je te suce profondément...
Mais moi je n'ai qu'une envie, te faire languir les yeux dans les yeux...
Délicatement je prends dans ma bouche ton gland que je suçote..."
"Tu es si excité, si dur...
Je sais que tu aimes quand je te suce comme ça… Je savoure les premières gouttes prémisses de ton plaisir à venir.... »
« Puis, je n'en peux plus d'attendre et c'est ta queue toute entière que j'avale pendant qu'une de mes mains, coquine, se glissent entre mes cuisses. »
« Mes lèvres t'enserrent.... Coulissent le long de ton membre. A tes petits coups de reins incontrôlés, je devine que tu es proche de la jouissance."
"J'amplifie mes mouvements, ta queue dans ma bouche chaude et humide...j'aime te sentir là, profondément dans ma bouche…J'aime quand tu emmêles tes doigts dans mes cheveux pour m'imprimer le rythme que tu désires. J’aime quand tu baises ma bouche... ».
"Docile, je me laisse faire tout à ton désir, au rythme effréné que tu m’imposes. Fière de te faire jouir ainsi...
Tes vas et viens s'accélèrent et..."
"Merci mon doux rêve, c'était.....wow"
Morale de l’histoire...
Aujourd'hui, t'offrir mon cul, ne me semble plus une idée si incongrue...
:aime2:
Bon les émoticônes sont de moi, et je suis beaucoup moins doué que Val pour exprimer ce que je ressens...
On a hésité à vous faire partager ce moment très intime, j'espère que vous apprécierez ces doux moments !
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Par Oncle Julien
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Elle et moi. Souvenirs de nos soirées masturbatoires.
Pendant quelques années, avec une amie, chez moi, nous nous rencontrions pour des soirées exclusivement consacrées à la masturbation.
Confortablement installés dans des fauteuils, l'un en face de l'autre, nous nous regardions nous masturber tout en devisant tranquillement.
Nous avions pris l'habitude de morceller ces masturbations, en nous offrant des pauses thé, café et petits gateaux, composant ainsi des séquences de plaisirs différents. Cela faisait monter nos excitations à des sommets réellement vertigineux.
C'était divin...
Elle était belle, exhibitioniste, mince, svelte et sportive. Toujours vêtue, pour nos soirées "branles", d'une jupe Ecossaise plissée, d'escarpins noirs à talons hauts, d'un chemisier blanc, et d'un porte-jaretelles noir tirant des bas noirs. Ses longs cheveux bruns encadrant son beau visage, venant flotter sur ses épaules. Elle était réellement attractive...
Cela durait parfois trois heures. Les orgasmes étaient fabuleux. Une fois par semaine et toujours les vendredis soirs.
Il me fallait le samedi pour récupérer de mes deux ou trois éjaculations de la veille...
Nous avons pratiqué ainsi durant trois ans sans jamais avoir de rapports physiques de quelques natures qu'ils soient. Et, je tiens à le préciser, sans jamais éprouver la moindre frustration. Nous étions dans une approche purement cérébrale.
Les masturbations, l'un en face de l'autre, se suffisant à elles-mêmes.
J'avais une relation par ailleurs et ma complice de "branle" était mariée.
Pour des raisons professionnelles, ma complice de "branle" a déménagé à plus de sept cent kilomètres. Nous avons bien tenté d'organiser quelques soirées dans une chambre d'hotel proche de son domicile, mais la magie avait disparu. Nous en sommes restés là. Découvrant à présent la vraie frustration !
La frustration d'avoir perdu la complicité masturbatoire en "duo"...
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