Faites des rencontres coquines près de chez vous
38 réponses à cette question
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Par Guest sonny08
Tu es là, lascivement allongée sur ce lit. Entre ombre et lumière ton corps m’apparaît comme la sensualité même.
Tu me regardes, tu me défies.. Tu m'attends.
Alors je m'approche, je glisse sur ta peau pour venir poser un baiser dans ton cou.. puis à la naissance de tes lèvres.. Avant de t'embrasser langoureusement.
Tu mets tes mains dans mes cheveux et délicatement me fais glisser sur le haut de tes seins, puis ton ventre, puis tu laisses ma bouche en tête a tête avec ta jolie dentelle, masquant a peine le joli sexe que tu m'offres.
Je fais glisser le tissu et te regarde dans les yeux.. Je croise un regard plein de défi, de désir et d'envie.
Mes lèvres parcourent tes cuisses puis viennent embrasser ton aine. La pointe de ma langue ondule langoureusement jusqu'à la naissance de ton sexe.
Je te regarde quelques secondes et mordille ma lèvre. Je vais te dévorer, tu le sais.
Ma langue remonte lentement sur la longueur de ton sexe, avant de couvrir ton clitoris d'un baiser langoureux.
La pointe de ma langue glisse sur ton petit bouton de plaisir, elle ondule, dessine de petits cercles de 'l’extérieur vers l’intérieur. Puis, le coiffe d'un rapide baiser.
Ma langue descend pour lécher ton sexe de haut en bas, de bas en haut, j'ondule sur tes petites lèvres puis mes caresses linguales se font plus appuyées, plus entreprenantes..
J'avance doucement vers l’intérieur et ma langue fouette tes petites lèvres. Elle s'ouvrent timidement et ma langue te pénètre.
Je te dévore encore quelques instants, puis mes lèvres se referment sur ton clitoris, pendant que mon majeur viens se glisser en toi. Ton gémissement timide et ton regard provocateur m'indiquent que c'est la bonne voie.
Mon doigt disparaît en toi. Je replie la dernière phalange et masse doucement tes parois, en revenant en arriéré, puis en avançant. Tes soupirs me guident vers l'endroit de ton plaisir.
Mon index entre à son tour dans ton sexe de plus en plus épanoui. Ton excitation facilite son entrée et il vient rejoindre mon majeur pour titiller les endroits les plus sensibles, leurs gestes sont coordonnées. Tantôt collés, tantôt opposés, ils sont les instruments de ton plaisir.
Ma langue se concentre toujours sur ton clitoris, elle le fouette, elle ondule, elle dessine de petits cercles..Mon souffle chaud et humide glisse sur lui.
Mes yeux fixent les tiens, je cherche ton plaisir... En en prenant beaucoup.
Mes caresses sont précises et passionnées. J'aime voir cette émotion si intense au fond de tes yeux.Tes mains se crispent sur mes cheveux. Tu n'as jamais été aussi belle.
Tu prends mes épaules et accompagne mon visage jusqu'au tien. Nous nous embrassons, ton regard est intense. Je te sens bouillante, mais inassouvie.
Nos regards sont l'un dans l'autre, ta peau contre ma peau, tes seins contre mon torse. Mon sexe collé au tien durcit.. J'ai envie d’être en toi, j'ai envie d’être à toi..
Tu mets tes mains sur mes fesses et dans un soupir nous fusionnons.
Mon sexe franchit les portes de ton paradis.
Mes mains sont folles de ton corps, je caresse tes hanches, ton ventre et tes seins.. Ma bouche se perd sur ton joli téton et je l'embrasse fougueusement a chaque fois que tu te cambres. Ma langue s'enroule enfin autour de lui et je le suce avec gourmandise..
Nos mouvements sont liés, nos corps sont collés l'un a l'autre, dans une danse de plaisir. Jusque là esclave de mon désir, me voilà maître de mon plaisir. Et en quête du tien.
Nous faisons l'amour comme des fous, mes pénétrations s’accélèrent, elles sont plus longues, plus puissantes, plus précises au fur et a mesure de nos échanges de regards, de tes soupirs de plaisir.
Nous continuons jusqu'au plaisir ultime, jusqu'à la jouissance finale. Je sens mon désir monter, je sent ton plaisir arriver à son summum. Nous nous laissons aller a un dernier gémissement, à un dernier geste, au plaisir.. Tes pupilles se dilatent et ton regard se perd, envahi de plaisir. Nous restons quelques instants suspendus par le plaisir, ailleurs, au 7eme ciel. Notre plaisir commun comme nirvana. Enlacés nos corps s'effondrent sur le lit. Et dans un sourire, nous nous embrassons.
Je sais que ce récit manque peut être un peu de mise en scène, d'intro ou de conclusion, mais j’espère qu'il vous a plu.
N’hésitez pas à me laisser vos commentaires...
Et merci de la lecture !
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Par Gas
Bonjour à tous,
Je n'ai pas trouvé de débat autours de ce sujet chaud qu'est la prostitution alors je le lance ici. En cette période où il commence à être question de l'interdire (pour l'instant, ils ne veulent pas interdire la prostitution mais punir les clients, je ne vois pas vraiment de différence, mais bon, passons), il me semble important d'en parler. J'ai bien sûr un avis sur la question, mais j'aimerai pouvoir le confronter à l'avis d'un plus grand nombre de personnes (car pour l'instant, je n'ai pu le confronter qu'à celui de mes parents qui est assez catégorique et sans appel...).
Dans une société, la prostitution est-elle nécessaire, bonne, mauvaise, un mal pour un bien, utile, dangereuse, dégradante... ?
Avez-vous déjà eu recours aux services d'une prostituée/d'un gogolo ou avez-vous déjà pratiqué des relations sexuelles pour de l'argent ? Quel a été votre ressenti ?
Pensez-vous que la prostitution devrait-être interdite, légiférée, encadrée, laissée dans la situation actuelle... ?
La prostitution est-elle moralement acceptable ? Je parle ici de dignité humaine.
Pour ma part, j'ai tendance à penser qu'il ne faut pas l'interdire mais qu'au contraire, il faudrait ré-introduire des maisons closes (comme c'est le cas en Espagne et en Belgique, me semble-t-il) dans lesquelles les femmes pourraient travailler dans des bonnes conditions de confort et d'hygiène, dans une structure légale qui leur donnerait accès à un salaire fixe, une médecine du travail, une reconnaissance sociale (car il n'y a pas, à mon sens, de sous-métier), une couverture sociale, etc.
Ce qui me dérange avec la prostitution, c'est tous ces mac qui se font une thune pas possible sur le dos de gamines (pas forcément mineures, mais disons des jeunes femmes) exploitées qui n'ont pas forcément leur mot à dire et je pense qu'un instituant un cadre légal à la prostitution, ça va réduire considérablement le nombre de ces commerces (à défaut de pouvoir les tuer véritablement). Si au contraire on bloque tout, j'ai peur que ces business explosent.
Après, je ne connais personnellement aucune prostituée et il est fort possible que la vision qu'on en a est pleine de préjugés dus à une mauvaise information (voire carrément une désinformation) sur ce milieu et le peu d'intérêt qu'il suscite chez les journalistes, les politiques, etc.
Voilà.
Mon avis n'est pas gravé dans le marbre et est sans doute contestable. Donnez le votre, le débat épineux est ouvert.
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Par uplustfr59
Bonsoir! Qui connait un homme avec le penis courbé ? A gauche , a droite , haut ou bas .Le mien courbe vers la gauche , malgres les complexes de l adolescence je le vit tres bien maintenant et ma copine egalement.
Y a t il des hommes concernés ici? dites comment vous le vivez.
Les Femmes dites ce que vous en pensez et si cela vous gene.
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Par mto1
Mesdames,
au moment de l'éjaculation, préferez-vous que ce soit à l'intérieur? sur votre corps? ou ailleurs?
Que ressentez vous dans chacun de ces cas?
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Par rtx42
La rencontre
Janvier.
Esplanade de la Défense. L’air est frais, il fait beau.
Les gens autour de moi sont pressés. Pour une fois j’ai du temps devant moi.
J’en profite, je flâne, je regarde la lumière se réfléchir sur les tours, révélant des formes nouvelles, issues de ces monstres de verre et de béton.
Je regarde aussi les gens qui se pressent autour de moi.
Mon œil s’attarde sur de jolies silhouettes, sur des étudiantes délurées, qui passent en éclatant de rire, sur les visages des gens que je croise.
Soudain mon cœur fait un bond. Je connais cette femme, qui s’approche.
Son visage m’est familier. Je la scrute, mais elle ne me voit pas.
Nous nous croisons, le doute n’est plus possible, je reconnais ses grands yeux clairs derrière ses lunettes.
J’hésite, attends, puis son nom fuse. Elle continue d’avancer.
Sans réfléchir, je la suis et l’appelle encore. Je la vois sursauter, s’arrêter, se retourner.
Elle me regarde sans me reconnaitre, me serais-je trompé ?
Puis nos yeux se rencontrent et je la vois sourire, c’est bien elle, cette amie Finaute.
Cela fait plusieurs mois que nous échangeons, faisons connaissance, nous caressons avec des mots. Nous éprouvons l’un pour l’autre un fort attachement.
Cette rencontre improbable a lieu à un endroit encore plus improbable. Mais somme toute c’est logique.
Qu’est ce que tu fais là ? Comme toi, je suis en déplacement professionnel Nous nous connaissons, mais ne nous sommes jamais rencontrés.
Comment lui dire bonjour. J’hésite puis l’embrasse sur la joue. Elle me rend ce baiser. Puis l’autre joue un peu plus près de sa bouche, de ces lèvres que j’ai envie d’embrasser, mais le cœur me serre.
C’est elle qui tourne doucement la tête pour que nos lèvres se rencontrent. C’est d’abord un baiser furtif, presque volé, puis un baiser qui revient, s’enhardit. Nos langues font connaissance, se caressent. Nous nous goûtons pour la première fois.
Je l’enlace, mais nos vêtements d’hiver nous gênent.
As-tu du temps ? J’ai 1 heure avant mon prochain rendez-vous. Viens on va s’assoir dans un café. Nous nous retrouvons côte à côte sur une banquette au fond d’un café. Nous avons enlevé nos manteaux.
Mais comment as-tu fait pour me reconnaître ? La chance et une bonne mémoire. Disons Je la détaille, regarde son sourire, ses rondeurs. Je suis hypnotisé par l’énergie qui se dégage d’elle. Je la dévore littéralement des yeux, mais je ne m’en rends compte que lorsque j’entends
Arrête de bloquer sur moi Désolé mais j’y peux rien, je suis tellement abasourdi que tout ceci arrive Nos mains se sont rejointes et se caressent mutuellement. J’adore la sensation des ces doigts qui s’emmêlent, se touchent.
Je me penche vers elle, elle vient se nicher au creux de mon cou et me dit
Tu sens bon. Laisse-moi te respirer. Je caresse ses cheveux. Son parfum chatouille mes narines, son odeur m’enivre doucement.
L’envie de l’embrasser me submerge. Je veux prendre sa bouche mais elle me l’offre. Je la goûte, la déguste. Elle parcoure mon visage des baisers elle me mange, me savoure.
Mes mains ne peuvent rester en place et partent à la découverte de ses rondeurs. Je sens les siennes qui palpent ma poitrine, qui effleurent la bosse de mon pantalon.
Nous nous découvrons avec tous nos sens. Nous parlons, aussi, mais la conversation est un peu décousue.
Le temps file entre nos doigts. Lorsque je réalise que l’heure tire à sa fin, je lui demande
Quand repars-tu ? Demain Alors dinons ensemble, ce soir Je sens qu’elle hésite, mais j’insiste
S’il te plait, le hasard a permis cette rencontre, ne le décevons pas. Je ne sais qui, de mes arguments ou de mon désir de la revoir la convainc, mais elle accepte.
Comme mon hôtel est à côté de la place Pigalle et qu’elle loge chez des amis à côté de la station Rennes, nous nous donnons rendez-vous au métro Abbesses.
Nous avons rendez-vous à 19 :30. Je suis venu à pied depuis mon hôtel, mais je suis en avance.
Je me prépare à l’attendre, quand je la vois sortir de la bouche de métro.
Nous trouvons un resto. Lorsque nous enlevons nos manteaux pour nous installer, je constate qu’elle s’est changée et légèrement maquillée. Je la sais coquette, mais cela me touche (Ceci dit j’ai aussi pris une douche et me suis parfumé lorsque je suis repassé à l’hôtel).
Nous parlons de nos vies, de Paris, où nous avons tous les deux longtemps habité.
Nos mains se touchent, se caressent. Les pressions de nos mains l’une sur l’autre, provoquent des petits frissons doux et délicieux.
Nous évoquons ce que nous avons écrit ou lu sur FI.
J’aimerais pouvoir la câliner, mais la configuration de la table rend difficile les contacts. Seuls nos genoux et nos mains se frôlent.
Naturellement nous en arrivons aux jeux qui nous ont aidé à faire connaissance et notamment un que j’avais évoqué :
Découvrir l’autre en n’utilisant qu’un seul de nos 5 sens à la fois.
Tu n’as pas envie qu’on essaye de réaliser ce jeu ? Quand, maintenant, mais tu es fou ? Puis de toute façon on n’a pas ce qu’il faut. Je n’ai pas tout de qu’il faut, mais j’ai des bouchons d’oreille et des masques pour dormir. Par contre je n’ai pas de pince-nez. Tu es sûr que tu as envie de me voir nue. Je n’aime pas trop mon corps. Ecoute je ne sais pas ce que je vais voir de ton corps. Je ne sais pas si je vais en aimer tous les détails, mais c’est toi qui m’as dit qu’il valait mieux s’attacher à la vue d’ensemble plutôt qu’aux détails.
Et là je vois une femme ronde qui dégage beaucoup d’énergie et la vue d’ensemble me plait bien. Je la vois rougir à cet aveu. Je prends ses 2 mains entre les miennes, les presse, les caresse.
S’il te plait … Je me penche par-dessus la table, pour l’embrasser. Notre baiser se fait plus passionné et j’accroche la carafe d’eau qui se renverse sur la table.
Elle éclate de rire…
OK, tu as gagné, comment veux-tu t’y prendre ? Je propose, que l’on commence par la vue, ensuite le goût et l’odorat en même temps, car on ne pourra pas les dissocier, puis le toucher et enfin l’ouïe où chacun écoutera l’autre raconter ses sensations. Es-tu d’accord ? Elle hoche la tête et nous partons vers mon hôtel.
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Hello,
Suite à une conversation où je théorisais visiblement trop dans un cadre qui se voulait uniquement dévoué à la gaudriole j'aimerais bien discuter du sujet dominant / dominé avec plus de réflexion.
Que ce soit bien clair je ne rejette pas ce type de jeu sensuel / sexuel. Depuis qu'une ex m'a fait découvrir mon potentiel dominant, ainsi que le plaisir que j'éprouvais à profiter de sa soumission, je suis très sensible à la chose. De même je crois qu'il me serait aussi profitable de vivre un peu mon côté dominé histoire de me connaitre mieux. Je ne juge pas, je cherche à comprendre de quoi il retourne.
De ce que je sais c'est un terrain glissant que l'on ne peut pas vraiment éviter de parcourir. Le rapport dominant / dominé est inscrit dans nos gènes, c'est un phénomène qui est très lié aux amygdales situées dans notre cerveau. Elles ne servent pas qu'à cela mais à la gestion de la lecture comportementale et de la peur sociale, on a cependant déterminé que plus les amygdales sont fonctionnelles plus on est anxieux / hyper émotif / dépressif / soumis et qu'à l'inverse moins elles sont réactives plus le sujet sera calme / faiblement émotionnel / satisfait / dominant. Bon tout ça ne nous dit pas exactement de quoi sont faits nos rapports dominant / dominé, juste qu'ils sont profondément ancrés en nous. D'autant que cette zone profonde est très ancienne en terme d'évolution.
Une théorie avance que ce comportement que l'on retrouve chez toutes les espèces animales (et on parle aussi de domination dans le règne végétal) est une nécessité évolutive : un groupe composé que de dominants ou que de dominés ne pourrait arriver à survivre. Le groupe de dominants se laissant déchirer par les querelles et le groupe de dominés ne parvenant pas à prendre de décisions. On fait partie de ce monde évolutif, il faut faire avec notre nature.
Il y a un truc très intéressant tout de même dans le fonctionnement des amygdales : c'est qu'il évolue en fonction des événements et comportements. Un sujet dominé peut devenir progressivement dominant en s'exerçant à ce comportement. Rien n'est figé et c'est à mon sens la raison qui fait que toute dictature finit un jour par s'effondrer : un jour ou l'autre la majorité des esprits se rebellent et font tomber leurs despotes. Ça c'est un autre truc qui me passionne... le lien entre sexualité et politique qui s'avère en fait tenir particulièrement à ce que c'est la même zone du cerveau qui gère notre soumission sociale ou sexuelle. Des questions comme "jusqu'où la syphilis d'Hitler qu'il avait chopé dans on ne sait quel bouge l'a conduit à ses folies ?" "Pourquoi les gouvernants aiment souvent se faire traiter comme des chiens par des dominas ?" ou "comment se fait il que dans l'Allemagne de l'Est la sexualité était largement plus permissive et débridée que du côté Ouest ?" etc...
Bref... je trouve important de discuter de tout ça parce que le rapport dominant / dominé peut s'avérer plus que dysfonctionnel, carrément pathologique. Perso je suis toujours du côté des indiens... que les dominants se fassent bouffer par leurs pulsions je m'en fout un peu, je suis surtout touché parce que ce sont les dominés qui en paient les frais, et ça me défrise parce que je n'aime pas les souffrances et les injustices. Et il y a des seuils, cinq selon les spécialistes, qui vont du comportement relativement équilibré à des épreuves terribles (pour le dominant sadisme cruel utltime, pour le dominé auto mutilation, suicide...). Quand on joue avec ces tendances on fait évoluer notre système amygdalien et on glisse sur cette pente.
Cependant c'est notre nature, et faut dire ce qui est c'est aussi souvent délicieux... donc où sont les limites à ne pas franchir ? Quels garde fous peut on mettre en place ? Et plus généralement que sait on de ce mécanisme ?
Ça risque partir dans tous les sens parce que le sujet est touffu, mais toutes intervention sera bonne à prendre
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