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Mariveau

Mémoires de canapé

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Mémoire de canapé

 

Il est une mode actuellement venant des Etats Unis qui s’attache à réunir les anciens élèves de lycée. Eh bien pour ma part je n’y coupe pas.

 

Mais pour moi ceci est un peu différent, avec mes condisciples nous nous réunissons régulièrement pour raconter nos aventures.

 

Mais j’oublie toutes politesses, ne m’étant pas présenté à vous, moi je suis le canapé…

 

Oui un meuble de salon, avec mes amis la douche, le transat, nous nous sommes rencontrés chez « Tous pour la maison et pas queue ».

 

 Nous avons eu la chance d’être devenus propriétés de superbes femmes aux vies érotiques très débridées. Nous avons donc décidé de nous réunir autant de fois que possible pour nous raconter nos vies.  (Souvenir d’un transat, confidence d’une douche, les mémoires d’un tabouret)

 

Donc c’est mon tour de raconter un épisode de ma vie de canapé de cuir.

 

Ma propriétaire est une superbe femme, certain diront libertine, elle collectionne les aventures avec les femmes comme avec les hommes. Elle a un corps souple, des seins lourds et altiers aux larges aréoles sombres. Des hanches divines des fesses sublimes.

 

Quel plaisir de les sentir se poser  nues sur mon cuir. Oui mes lattes, mes ressorts, mon cuir bandent pour elle. Son corps sensuel est dédié au sexe.

 

Je frissonne encore en pensant à sa dernière conquête, une charmante jeune femme d’une trentaine d’années, qui a passé un petit moi avec nous. Quel délice de sentir sur ma peau couler leurs cyprines mêlées lorsqu’elles unissaient leur sexe brûlant de désir.

 

Mais revenons à la dernière aventure avec son nouvel amant. 

 

Elle s'installe sur le canapé, allongée sur le côté, tournée vers lui. Un coussin glissé entre son dos et l'accoudoir lui  cale les reins. Elle a pris soin au préalable de retirer son string déjà tout humide à l'idée de ce qui l'attend. Il est vrai qu’elle a passé une bonne partie de l’après midi au téléphone avec lui, se masturbant et multipliant les orgasmes.

 

Elle remonte lentement sa robe sur le haut de ses cuisses, ses genoux à demi repliés et ses jambes écartées laissent clairement voir son intimité, presque offerte.

Son regard est taquin et malicieux, il est même prometteur, elle glisse doucement un doigt entre ses lèvres humides, elle le suce, le mouille bien et le dépose doucement mais fermement sur son bouton. Commence alors de douces caresses en   regardant son amant droit dans les yeux.

Il est  assis en face d’elle  dans le tiers restant du canapé. Il a posé sa main droite sur la cambrure excessive de son pied gauche, il le caresse doucement de bas en haut. Arrivé aux orteils, il remonte doucement et elle se  cale sur son rythme pour ses caresses.

 

Elle a  maintenant deux doigts posés sur son sexe   entièrement rasé, l'un titillant son petit clito affamé, l'autre se faisant tranquillement un chemin entre ses petites lèvres, doucement, calmement.  Toujours le regard plongé dans celui de son amant, son autre main se fait un plaisir de venir sensuellement se saisir de son sein droit, c'est le plus sensible des deux. Cette main le maltraite un peu, mais il est déjà si dur et si tendu que c'est presque superflu, elle dessine quelques ronds autour de lui. Son corps se cambre sous ses propres caresses, sa main descend ensuite tout doucement, caressant ses côtes, toujours côté droit. Passant sur son ventre et sa taille pour enfin trouver, mais éviter, son sexe. Préférant aller se glisser à l'intérieur de sa cuisse, remontant doucement vers son genou.

 

Complice par fourniture de moyen, moi son canapé, j'en frémis de plus en plus.

Elle ressent tout un tas de sensations qu’elle semble à avoir du mal à gérer, elles sont  si présentes toutes en même temps, c'est très grisant. Son pied, très agile, vient tout délicatement faire pression sur le jean de son amant.  

La main gauche de ma maitresse n'a pas oublié ce qu'elle faisait et elle continue à se caresser sensuellement le clitoris. L'autre, toujours à l'intérieur de sa cuisse remonte vers son sein.

 

Je sens mes lattes  fondre, chavirer et mes coussins frissonnent.

 

Le désir et le plaisir monte de plus en plus, elle le sent au creux de son ventre.

Elle aime cette attente qu’elle se fait subir. Cela l'excite d'attendre au maximum sous le regard affamé, de cet homme. Son premier orgasme en sera d'autant plus fort. Sa main sur son sein se fait de plus en plus pressante, ses doigts commencent à fouiller avec gourmandise son sexe trempé et palpitant d'attente. Elle ne tiendra sans doute plus très longtemps. Son pied qui n'a pas cessé de caresser le sexe viril ;

Interdiction de toucher, pour le moment seulement... C'est elle qui décide et il n’a pas d'autres choix que celui de la  détailler alors qu’elle se caresse avec volupté.

 

J’aimerai être à la place de cet homme, la pénétrer avec force et douceur. J’aime quand elle se caresse le soir, seule. Je reconnais ce regard d’envie de désir. Si elle savait.

             
Je m’imagine, la main agile qui la caresse le désir montant encore d'un cran, mes sens sont tous en alerte, la tête me tourne un peu. Mes pensées s'égarent un instant lorsque sa seconde main vient rejoindre la première au creux de son sexe humide.

Sa main gauche commence un petit va-et-vient sur son petit bouton gonflé et y exerce une douce pression, son autre main et ses doigts se pressent sur l'entrée très humide de son sexe, doucement, très lentement ils se fraient un chemin. Chemin qui va la mener au plaisir, d'abord un... puis deux, puis c'est maintenant trois de ses doigts qui la pénètrent.

 

Elle aime tant cela, ses doigts, tout petits doigts, trop petits doigts qui la branlent avec force et douceur, elle se connait par cœur. Les points les plus sensibles, les gestes les plus jouissifs sont pour elle si facile à atteindre. Le plaisir a une saveur, des saveurs si particulières en solitaire qu’elle aime découvrir, encore et toujours toutes les facettes de ses différents types d'orgasmes.

Elle part à la découverte d’elle-même, à la découverte de ses plaisirs, chaque fois un peu nouveaux de part les sensations, sans cesse différents et toujours enivrants. Elle s'autorise toutes les pensées qu’elle veut quand elle seule ainsi, mais là, sous le regard gourmand et plein d'une impatience indécente, c'est lui qui attise le feu de son corps, ce sont ses yeux qui guident ses mains, ses envies qui lui donnent vie, c'est lui qui  lui inspire tout cela.

 

Hélas je ne suis que spectateur et pas auteur……

 

Elle l’autorise  maintenant à la toucher, la caresser, elle partage son corps brûlant avec lui.

Il décide de  reprendre possession de ma maitresse. Elle se laisse emporter par ses va-et-vient, ils lui  procurent un plaisir inouï, ils la chavirent. Ils ne font plus qu'un, fusion parfaite, son corps se cambre sous ses assauts, chacun de ses mouvements, chaque vibration de sa verge est ressenti par son corps tout entier. Elle gémit, presque en silence, son souffle se fait court, le plaisir monte. Elle  ressent comme une douce tension, imaginaire certes mais si plaisante, le plaisir se répand en elle, son bas-ventre, ses lèvres ouvertes, offertes et pénétrées. Il descend entre ses fesses qui frissonnent, frustrées d'avoir été abandonnées...

 

Le plaisir la chavire. Il n’y tient plus et pourtant il a encore bien d'autres envies à l'esprit, ne pas jouir déjà, mais la faire jouir. Il l'abandonne quelques secondes, laissant son corps se reprendre et se reposer l'espace d'un instant. Il la  laisse désireuse, mais si peu de temps que sentir ses doigts à nouveau sur elle, en elle.

Elle est indescriptible la sensation, Sa langue a décidé de protéger son clitoris gonflé du contact de ses petits doigts.  Sa langue joue et l'aspire, de sa main gauche elle le caresse. Elle le sent  déjà durcir à nouveau sous ses doigts agiles, elle prend mon temps, désirant maintenir la pression. Deux doigts gourmands la  pénètrent, ils vont avoir raison d’elle...

 

Le cerveau de ma maitresse  se libère et savoure, sa main  'abandonne, une première vague de plaisir l'emporte, mon corps s'agite et suit les longues saccades de son plaisir. Les  mouvements de son amant  suivent son plaisir silencieux, fait de râles et de gémissements, elle se mord les lèvres, très fort, sans doute presque jusqu'au sang, Elle aime jouir en silence. Pourtant, là, ses gémissements sont sans doute en train de bercer le salon  d'une complainte adorable, à rendre jaloux celui qui entend, son plaisir ne peut pas passer inaperçu, même si elle se croit silencieuse.

Mais oui je l’entends et j’enrage ce soir je ne veux plus être un acteur silencieux, un voyeur, être son canapé pais être son amant.

La langue  de cet homme a quitté son clitoris et à présent il la  regarde, ses doigts toujours en elle alors que les contractions de son vagin s'espacent.   Il lui laisse quelques secondes de répit, sa respiration va reprendre son court normal. Le désir est toujours là, bien présent, elle a  envie de s'occuper de lui, qu’il soit à elle, sa "chose"   celle qui n'aura d'autre choix que de se plier à ses envies et subir ses doux supplices....

 

...Il ne  l'entend pas de la même façon et il la fait  mettre à genoux devant lui, il promène sur sa hampe tendue entre ses lèvres trempées de son nectar. Il la pénètre d'un coup, jusqu'à la garde. Commencent alors de longs va-et-vient qui s'accélèrent de plus en plus ; elle sent sa  hampe puissante prête à jouir en elle, son orgasme est proche. Elle s'abandonne entièrement, le plaisir la terrasse, elle est au bord de l'orgasme, sensation ô combien merveilleuse, pour elle. Ses muscles se contractent sous ses assauts. Son souffle se fait court, le plaisir monte et il fait tendrement durer ce supplice qu’elle adore, elle se sent prête à exploser. La tête lui tourne quelques instants, elle est ailleurs, moi aussi…. Ses pensées se bousculent, s'entrechoquent et se mêlent avec plaisir,  un orgasme merveilleux la traverse toute entière, il jouit à son  tour, son râle de plaisir la comble alors que sa semence se répand en elle.

Leurs orgasmes furent violents, puissants, passionnés. Mes coussins en sont tous retournés, le tapis devant moi me regarde à la fois goguenard de me voir dans cet état, mais aussi jaloux. Par pour longtemps d’ailleurs car les voilà à nouveau enlacés sur lui reprenant leurs ébats érotiques.

 

Voilà les amis, ce que je vis régulièrement.

 

La douche, le tabouret et le transat applaudissent. Et d’entendre la petite voix coquine et libertine de la douche proposer……

 

« On se fait un plan à quatre quand les gars………. »

 

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